Qui a dit ?

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« Ce n’est pas en France qu’est le gros problème. Aujourd’hui, je peux avoir accès à la direction de l’Inra, aux patrons de la FNSEA, au ministre de l’agriculture Bruno Le Maire, à Jean-Louis Borloo, Chantal Jouanno, Nathalie Kosciusko-Morizet, et j’ai même rencontré en délégation Nicolas Sarkozy pour discuter de l’applicationd e la partie agricole du Grenelle. Ceux auxquels je n’ai pas accès, ce sont Pascal Lamy à l’OMC et Dominique Strauss Kahn au FMI. Et pourtant il y aurait urgence ! Le sort de l’agriculture française se joue dans les négociations internationales, qui doivent absolument prendre en compte les rapports Nord-Sud, les questions environnementales, les mouvements migratoires. Avec Pascal Lamy et Dominique Strauss Kahn, on a affaire à de brillants intellectuels, on a la chance qu’ils parlent français, mais il y a chez eux trop peu d’écoute à l’égard de ceux qui réfléchissent à l’agriculture de demain. Mais j’ai confiance dans le combat politique des résistants, des citoyens, des associations, des syndicats ! »

A vous de jouer…

10 commentaires sur “Qui a dit ?

  1. L’Astérix moustachu ? Sur le fond, ce serait bien de lui. Son inculture le rend incapable d’une forme pas très évoluée, mais quand même plus que ce à quoi il nous a habitué. Je donne ma langue aux chats.

  2. ça pourrait sentir son Bové à plein nez mais la question suppose une réponse plus surprenante

  3. Lorsque je dis le « Rouquin Vert »,je pense à Daniel Cohn Bendit et non à José Bové!!!

  4. Rageous,

    Avec des écoles d’agronomie qui formatent des ingénieurs persuadés à l’avance et sans preuve des avantages de l’idéologie écolo, avec des « chercheurs » qui ne « cherchent » qu’à ne pas déplaire pour ne pas voir leurs crédits amputés, on ne peut qu’aboutir à ce genre de rapport complètement bidonné.

    Les experts de l’Afssa et de l’Efsa n’ont aucune crainte de se faire lyncher. Leurs expertises ne sont pas rendues dans le cadre de leurs Instituts de recherche mais dans celui de groupes d’experts d’origines diverses constitués sur un sujet précis. Il est difficile de punir collectivement tous les labos ou institutions dont ils sont originaires, sans compter qu’il y a qui viennent de labos privés qui n’ont pas besoin de la manne publique pour vivre.

  5. @laurent b.
    « D’ailleurs l’enseignement agronomique en général est devenu une pépinière écolo qui enseigne aux futurs ingénieurs à se méfier de la science et de la technique comme de la peste  »
    oui c’est vrai mais quand ces eleves arrivent sur le marche du travail, ce n’est plus la meme histoire, car ce ne sont pas les AMAP, ni l’AB qui recrutent, ou alors, ils payent avec un lance pierre. Ces eleves sont alors obliges de se faire une raison.

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