Séralini en flagrant délire

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Agriculture & Environnement vient de prendre Gilles-Eric Séralini en flagrant délit de mensonge public :

Le Pr. Gilles-Eric Séralini a affirmé avoir été sollicité par le Cour Suprême indienne pour faire une contre expertise au sujet d’une aubergine indienne OGM. Au journaliste qui lui demandé des précisions en disant : »La Cour suprême indienne vous a demandé, à vous, Professeur Séralini, de faire une contre expertise et vous la faites », Gilles-Eric Séralini a répondu « voilà ».

Mais selon Agriculture & Environnement, cette info est une pure intox. « Ni la Cour suprême, ni même les avocats de cette Cour n’ont fait appel aux services » du Professeur Séralini.

« Certes, Gilles-Eric Séralini a bien été sollicité dans l’affaire indienne, mais c’est par le biais d’une militante anti-OGM, Aruna Rodriques, qui est à l’origine de la pétition contre l’aubergine OGM ».

Petite illustration d’intox-médiatique où une simple étude (18 pages) financée par Greenpeace, devient une « contre expertise » demandée par la Cour suprême d’Inde !

56 commentaires sur “Séralini en flagrant délire

  1. Séralini, la Suprême dinde!
    Passer autant de temps et d’énergie avec des études bidons, réfutées les unes après les autres, une dernière ici!
    http://imposteurs.over-blog.com/article-le-velot-d-or-a-sebastien-portal-et-jeffrey-smith-54597503.html
    Alors qu’ils ne sont même pas foutus de faire le distingo entre muta et transgénèse, un comble!
    Et tjs rien qui soit imputable pour la santé ou l’environnement comparé aux conseils bio écolos comme d’utiliser du tourteau de ricin ou de semer du Datura dans son jardin!
    Et ça siège au Comité ethique, économique et social du HCB, une bande de bouffons qui n’a pas son pareil pour faire de la désinformation!

  2. Qui a bien pu écrire à propos de l’Amflora pomme de terre génétiquement modifié « Aucun effet négatif sur la santé humaine et animale n’a été détecté dans les études de toxicité et d’allergénicité de la protéine NPTII isolée, ni dans les études de toxicité, d’allergénicité et d’alimentarité de la pomme de terre entière EH92-527-1 ou d’un produit dérivé (pulpe). Toutefois, ces études ne comportent pas de données sur la puissance des tests mis en oeuvre, si bien qu’il est impossible d’évaluer le risque qu’un effet biologiquement significatif ne soit pas détecté avec les protocoles adoptés » et « note que les analyses statistiques contenues dans le dossier ne permettent pas de certifier que le risque d’un effet biologiquement significatif puisse être détecté. »?

    – Gilles Eric Séralini dans « Ces OGM qui changent le monde »
    – Christian Vélot dans « OGM tout s’explique »
    – le Haut Comité des Biotechnologies qui après avoir dit que l’utilité serait de plus « économiquement limité » s’est prononcé en faveur de la culture de la pomme de terre génétiquement modifiée « Amflora » alors que l’AESA (agence européenne de la sécurité alimentaire) était réservé quant aux risques sur la santé et que l’AME (Agence de Médecine Européenne) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), estimé qu’il ne fallait pas renforcer une résistance aux antibiotiques

    Bravo pour votre travail M Séralini.

  3. Monsieur Damiens,

    Vous résumez l’affaire de la pomme de terre Amflora de façon tout à fait fallacieuse et carrément trompeuse.

  4. lisez les dossiers du HCB:

    http://www.ogm.gouv.fr/article.php3?id_article=125
    et le CP retranscris ci-dessous

    COMMUNIQUE DE PRESSE
    28 juillet 2010
    Avis du HCB relatif à la pomme de terre
    génétiquement modifiée « Amflora »

    L’AVIS DU COMITE SCIENTIFIQUE :
    Le Comité Scientifique, sous la présidence de Jean-Christophe Pagès, a analysé les impacts de la pomme de terre Amflora sur l’environnement et la santé humaine ou animale :
    – Bien que la pomme de terre Amflora ne soit pas destinée à la consommation humaine, une évaluation des impacts sur la santé humaine et animale a été réalisée, en raison de l’utilisation possible de sousproduits dans l’alimentation animale et, fortuitement, dans l’alimentation humaine. Les études de toxicologie entreprises n’ont pas identifié de risque majeur lié à la consommation de ce végétal. Le CS note que les analyses statistiques contenues dans le dossier ne permettent pas de certifier que le risque d’un effet biologiquement significatif puisse être détecté. – Le CS a en particulier analysé l’impact de la présence d’un gène de résistance à des antibiotiques de la famille des aminoglycosides, molécules utilisées en médecine vétérinaire et humaine. Dans son analyse le CS a examiné les recommandations de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et de l’EMEA (Agence de la Médecine Européenne) guidant l’utilisation médicale et vétérinaire de ces molécules, la possibilité de transfert du gène porté par la plante transgénique vers les bactéries du sol, la possibilité d’expression d’un gène éventuellement transféré et la fréquence naturelle des gènes de résistance aux aminoglycosides. Considérant la présence naturelle de cette résistance dans l’environnement et dans la flore bactérienne de l’homme et des animaux, le CS a conclu que, si un transfert est théoriquement possible avec une très faible probabilité, celui-ci ne modifierait pas les équilibres des populations bactériennes existantes. La présence de ce transgène dans la pomme de terre Amflora ne constitue donc pas un risque singulier pour l’environnement et la santé.
    – Les risques de dissémination de la pomme de terre Amflora sont limités du fait de la biologie de la pomme de terre (multiplication par voie végétative, faible dispersion du pollen, absence d’espèces sauvages interfécondes en France, survie improbable hors conditions agricoles), et des caractéristiques de la variété Amflora (peu fertile, sensible au mildiou). La culture de cette pomme de terre ne constituerait pas de risque particulier pour l’environnement. Le CS recommande l’adoption de mesures appropriées pour minimiser le risque résiduel de dissémination et assurer la coexistence des filières lors de l’obtention des plants et la culture des pommes de terre.
    – Les plans de surveillance post-commercialisation devraient être adaptés selon les préconisations de l’avis du CS.

    LA RECOMMANDATION DU COMITE ECONOMIQUE, ETHIQUE ET SOCIAL :
    De son côté, s’interrogeant sur les impacts économiques, sociaux et éthiques potentiels présentés par cette pomme de terre, le CEES, présidé par Christine Noiville :
    – Diverge sur le sort à réserver, dans la décision politique, au gène marqueur de résistance aux antibiotiques. Certains estiment que, du fait du manque de manque de connaissances sur la microbiologie du sol, une précaution maximale devrait être adoptée sous forme d’interdiction d’Amflora ; l’autorisation de cette pomme de terre véhiculerait pour eux un message négatif au regard des efforts de prévention des résistances aux antibiotiques. D’autres invitent à prendre acte de l’absence de risque à laquelle concluent les scientifiques et observent que le principe de précaution n’implique en rien de parvenir à un hypothétique risque zéro.
    – Observe que dans le contexte économique actuel, la pomme de terre Amflora ne présente qu’une utilité limitée pour les acteurs des filières féculière et papetière françaises. Le CEES note certes que cette pomme de terre constitue une avancée technique pour la production industrielle de fécule, bien que des variétés non transgéniques très bientôt sur le marché offrent également une teneur accrue en amylopectine, mais qu’à ce jour, ni la filière féculière ni l’industrie papetière, qui paraissent se satisfaire des amidons actuellement disponibles, n’envisagent d’utiliser Amflora. Si quelques membres estiment que l’autorisation de cette pomme de terre pourrait constituer un signal favorable à l’innovation, notamment pour stimuler de nouveaux débouchés en chimie du végétal, le CEES estime toutefois que dans la situation actuelle, la pomme de terre Amflora, dont les débouchés sont en tout premier lieu papetiers, ne constituera pas une réponse aux difficultés économiques traversées par la filière féculière. Dans son analyse, le HCB propose une série de mesures d’accompagnement en cas de culture de la pomme de terre Amflora. Ces préconisations seront subordonnées au décret définissant le « sans OGM » et aux mesures de coexistence qui en découleront pour la filière.

  5. C’est moi ou le HCB qui est fallacieux quand on voit ce qu’écrit le HCB et la réponse donnée.

    Les résidus de la pate à amidon vont nourrir des cochons et que se passera t’il lorsque les glaneurs viendront ramassés des patates dans des champs non identifiés pour leur consommation personnelle ou pour leur canard. Cette patate composera certainement plus de 5% du bol alimentaire contrairement aux 10 rats sur lesquels les tests ont été effectués pendant 90 jours. Qu’adviendra-t-il de la thyroïde de ces cobayes non et non identifiable ?

  6. Je vous conseille aussi la lecture de ce rapport de l’OMS: http://www.who.int/foodborne_disease/resistance/antimicrobials_human.pdf sur les résistances aux antibiotiques

    Pour résumé l’EFSA décrit cela ainsi : « La kanamycine et la néomycine sont toutes deux classées par le groupe d’experts de l’OMS sur les antimicrobiens d’importance critique pour la santé humaine comme «antimicrobiens de haute importance». La kanamycine est utilisée comme médicament de seconde intention pour le traitement d’infections associées à la tuberculose multi-résistante aux médicaments (MTB). La fréquence croissante partout dans le monde d’isolats de «tuberculose ultra-résistante» (XTB, extensively drug-resistant), avec une résistance aux antibiotiques de seconde intention tels que la kanamycine, pose un problème au niveau mondial. Le gène nptII, n’est pas impliqué dans cette résistance. Le groupe de l’OMS susmentionné a également classé la streptomycine comme «antimicrobien d’importance critique» et la spectinomycine comme «antimicrobien de haute importance». »

  7. @ François Damiens

    « …pas de données sur la puissance des tests mis en oeuvre »

    Seralini et quelques uns de ses collaborateurs (à cez niveau de manipulation on peut parler de complices) ont une conception tout à fait personnelle de « la puissance » des tests mis en oeuvre et en particulier des tests statistiques. Ils se sont rendus « célèbres » et ridicules en reprenant les données d’une étude faite et publiée par Monsanto sur le rat avec l’un de leurs maïs GM dont le code m’échappe à l’instant. Monsanto a appliqué sur des données expérimentales la batterie de tests statistiques habituellement utilisés dans ce genre d’étude toxicologique (administration orale quotidienne pendant 90 jours à des rats) et acceptés par tous les toxicologues (les vrais pas les séralini et consorts) et les autorités réglementaires du monde entier depuis des lustres. Ces tests n’ont montré aucun effet toxique remarquable. Séralini ou plutôt son statisticien (qui n’est pas toxicologue mais mathématicien) après avoir reçu les données brutes de Monsanto de la part de Greenpeace qui les a obtenues en Allemagne par décision de justice, a cru bon d’effectuer environ une centaine de tests statistiques tous plus disparates les uns que les autres et surtout complètement inappropriés dans ce genre de travail toxicologique, pour finalement arriver à en trouver 3 ou 4 mettant en évidence des effets statististiquement (mais PAS biologiquement) significatifs…. Ce travail de l’équipe de Séralini a été sévèrement critiqué et réfuté par tous les toxicologues et statisticiens expérimentés en statistiques toxicologiques du monde entier. Séralini a simplement oublié (si jamais il l’a su) que les statistiques n’étaient qu’un outil, qu’une aide à la décision et en aucun cas, en matière de toxicologie expérimentale, une décision ne se fait que sur la base des résultats statistiques… Si l’on applique la méthode statistique à la centaine de tests statistiques effectués par séralini, il est normal d’en trouver 5 ou 4 donnant les résultats espérés « par chance » au sens statistique du terme…….. Ces 3 ou 4 derniers résultats « positifs » n’ont aucune signification au sens statistique du terme encore une fois!

    Si vous n’avez que séralini et velot comme références dans le domaine de la toxicologie expérimentale et de l’interprétation et de la signification des résultats,on ne peut pas grand’chose pour vous.

  8. @ zygomar

    que pensez-vous de cette phrase?
    « Toutefois, ces études ne comportent pas de données sur la puissance des tests mis en œuvre, si bien qu’il est impossible d’évaluer le risque qu’un effet biologiquement significatif ne soit pas détecté avec les protocoles adoptés »  »
    C’est tout de même le CP du HCB alors qu’il autorise ce même OGM.

  9. @ F.Damiens

    Savez-vous lire?
    Avis du CS: »Les études de toxicologie entreprises n’ont pas identifié de risque majeur lié à la consommation de ce végétal.  »
    …. »Considérant la présence naturelle de cette résistance dans l’environnement et dans la flore bactérienne de l’homme et des animaux, le CS a conclu que, si un transfert est théoriquement possible avec une très faible probabilité, celui-ci ne modifierait pas les équilibres des populations bactériennes existantes. La présence de ce transgène dans la pomme de terre Amflora ne constitue donc pas un risque singulier pour l’environnement et la santé. »

  10. tybert
    c’est bien connu qu’ils ne lisent que ce qui les arrange…

    François Damiens
    Au sein du CEES les avis divergent, normal il est noyauté par qq intégristes qui se scandalisent du manque d’études sur l’impact de la culture de cette patate. Un sujet d’étude tout trouvé pour Séralini en manque flagrant de reconnaissance… Allez au boulot!

    « Le CS recommande l’adoption de mesures appropriées pour minimiser le risque résiduel de dissémination et assurer la coexistence des filières lors de l’obtention des plants et la culture des pommes de terre. »
    Avis aux babas cool (qui fauchent aveuglément des cultures de tournesols!), aux gitans (?…), bref, à ceux qui « glanent » encore et qui seraient tentés par les restes de cette patate 😉 qui a priori n’intéresse que peu et même pas du tout d’agriculteurs français.
    Alors avec des « si », des « peut-être » ou des « éventuellement », autant de probabilités non avérées pour un produit non prévu pour la conso humaine comme animale, il y’a de quoi s’inquiéter pour sa thyroïde!

  11. Une étude sur 10 animaux -nourris avec 5% du bol alimentaire en organisme génétiquement modifié dans un échantillon de 30 animaux – qui ont présenté des nodules thyroïdiens jugés non significatifs.

    Le test 90 jours est considéré parfait par les industriels pourtant il omet les conséquences chroniques d’une consommation. Et quels effets sur la reproduction et la descendance? Vu qu’on ne se pose pas la question, c’est quand même plus pratique.

    Pourquoi les informations ne sont elles pas rendu publiques ?

    Pourquoi les scientifiques qui autorisent ne font aucune recherche et se base sur les informations des industriels ?

    Je remarque que le HCB dans sa communication ne fait qu’une seule chose se couvrir en donnant un blanc sein au producteur d’OGM

  12. François Damiens est un menteur. L’EFSA et l’EMEA ont toutes deux jugées acceptables l’utilisation du gènes nptII comme marqueur de sélection (cf avis de 2004 et 2007).

    « Le test 90 jours est considéré parfait par les industriels pourtant il omet les conséquences chroniques d’une consommation »

    => Faux. Le test de 90 jours est un standard OCDE reconnu mondialement et permet d’évaluer la toxicité subchronique de l’OGM.

    « Et quels effets sur la reproduction et la descendance? »

    => C’est également évalué, lisez les lignes directrives de l’EFSA.

    « Pourquoi les informations ne sont elles pas rendu publiques ? »

    => Toutes les études et dossiers d’homologation sont disponibles en ligne.

    « Pourquoi les scientifiques qui autorisent ne font aucune recherche et se base sur les informations des industriels ? »

    => Les experts de l’EFSA se basent sur l’ensemble des études publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture et en demandent souvent des complémentaires.

  13. Le test 90 jours a été proposé par les industriels et adopté par l’OCDE. Ca ne garantit pas l’efficacité d’un test, c’est une décision politique.
    Les tests sur l’Amflora ont été effectués sur 10 rats qui n’ont pas eu de descendance. Il est dur de tirer des conclusions sur l’état de santé sur des individus qui n’existent pas.

    Le dossier de presse de l’Amflora fournit par Bayer ne constitue pas un dossier scientifique.
    Les dossiers sont classés secret industriel. Ils ne sont pas accessibles. A une reprise un dossier a pu être consulté à la suite d’une décision d’un tribunal en Allemagne pour faire appliquer le droit communautaire.

    Voila ce que dit Jean-Louis Borloo des expertises de l’EFSA:
    «Elles ne sont pas acceptables, car elles ne répondent pas à la demande d’amélioration du niveau d’expertise pour les homologations et les autorisations votée à l’unanimité en décembre 2008»

    Sachant déjà que l’EFSA était réservé, à en croire les propos de Mme Geslain Laneelle lors d’une interview:
    « Nos avis sur les OGM portent exclusivement sur les risques pour la santé et l’environnement, pas sur l’utilité » et « Nous ne cherchons pas le consensus à tout prix », a-t-elle affirmé, rappelant que l’avis sur la pomme de terre OGM Amflora du groupe allemand BASF comportait des réserves sur son innocuité.
    « Nous n’avons pas dit qu’il n’y avait pas de problème pour l’Amflora et nous avons dit qu’il y avait des aspects à surveiller », a-t-elle souligné.

  14. François Damiens 13

    Borloo est un politique. Il sait donc très bien mentir quand ça l’arrange. Le deal passé au grenelle de l’environnemerde était le nucléaire contre les OGM. Il respecte le deal et fait feu de tout bois contre les OGM y compris l’EFSA. Démontrez nous que « la demande d’amélioration du niveau d’expertise pour les homologations et les autorisations votée à l’unanimité en décembre 2008 » (par des politqiues, pas par des scientifiques) est scientifiquement justifiée.

  15. @ François Damiens

    « Voila ce que dit Jean-Louis Borloo des expertises de l’EFSA:
    «Elles ne sont pas acceptables, car elles ne répondent pas à la demande d’amélioration du niveau d’expertise pour les homologations et les autorisations votée à l’unanimité en décembre 2008»  »

    Borloo c’est l’Astérix de la toxicologie et de l’évaluation de risque!! Seul contre tous les toxicologues et toutes les autorités sanitaires du monde entier!! Borloo a décrété pour flatter les militants écolo franco-français et les pseudo-toxicologues genre séralini dans le sens du poil que l’expertise internationale en matière d’autorisation de mise sur le marché était insuffisante. Renseignez-vous sur ce qui se passe chez les autres avant de bêler avec le troupeau.
    Par ailleurs, tous vos commentaires,remarques et questions démontrent clairement que vous avez entrepris de discuter d’un sujet dont vos n’avez aucune connaissance sérieuse.

  16. @ François Damiens

    « Bravo pour votre travail M Séralini »

    Pour votre information, je vous signale que toutes les études de « toxicologie » faites par Séralini et son équipe dans son labo de Caen, que ce soit sur le maïs OGM ou sur le Roundup ont été systématiquement démontées, critiquées et rejetées par la communauté scientifique spécialisée (toxico et statistique) internationale. renseignez-vous et vous verrez ce que valent les opinions biaisées de Séralini.

  17. @ François Damiens

    « Le test 90 jours a été proposé par les industriels et adopté par l’OCDE. Ca ne garantit pas l’efficacité d’un test, c’est une décision politique. »

    Votre affirmation est parfaitement fausse! Les protocoles OCDE ont été initialement élaborés à partir de 1981 par des commissions d’experts venant de chaque Etat membre, la grande majorité de ces experts étaient des universitaires et/ou des cherhchheurs appartenant à des instituts de recherche nationaux. Chaque aspect toxicologique (toxicité aiguë, subaiguë, chronique/cancérogénicité, mutagénicité/génotoxicité, tératogénicité/reproduction, neurotoxicité, métabolisme, etc..) a fait l’objet du développement de protocoles standards qui ont été progressivement adaptés à mesure de l’avancement des connaissances scientifiques dans le domaine concerné. Ces protocoles sont aujourd’hui utilisés par tous les laboratoires du monde entier sous peine de rejet pur et simple par les autorités nationales et internationales des (très onéreuses) études en cas de non respect des méthodologies et des procédures par les laboratoires. Ultérieurement des protocoles standards OCDE ont été, de la même façon, développés pour l’écotoxicologie, les propriétés physiques et chimiques, l’environnement (air, sol, eau). Il n’y a strictement aucune « politique » là-dedans.

  18. @ François Damiens

    Désolé! Je m’aperçois que, pour une raison quelconque , la fin de mon dernier paragraphe n’a pas été pris en compte!

    « Par ailleurs, tous vos commentaires,remarques et questions démontrent clairement que vous avez entrepris de discuter d’un sujet dont vos n’avez aucune connaissance sérieuse. »

    Voilà donc la suite manquante:

    Je ne vous reproche bien entendu pas de discuter de ce sujet, au contraire. Il est toujours intéressant de pouvoir connaître les avis et les opinions des autres, surtout de ceux qui ont la connaissance et l’expérience, sur un sujet que l’on ne maîtrise pas. c’est de cette façon que l’on apprend et que l’on progresse.

    Ce que l’on peut cependant vous reprocher c’est de ne pas avoir commencé par vous renseigner au préalable auprès de sources variées d’horizons divers et d’exercer un minimum d’esprit critique afin d’éviter une approche basée sur des idées toutes faites, pré-machées et acceptées comme argent comptant et de rejeter a priori les idées et les commentaires des autres. Ne niez pas çà se sent très nettement dans vos commentaires et dans vos questions. On sent nettement que si on émet des idées qui ne vont pas dans votre sens, on est immédiatement soupçonné d’être des vendus à la solde de l’industrie. Si, si , je vous assure, çà transparaît dans vos commentaires…

  19. @ François Damiens

    « Pourquoi les scientifiques qui autorisent ne font aucune recherche et se base sur les informations des industriels ? »

    Avez-vous une idée

    1.- du nombre d’études requises par la réglementation internationale pour constituer un dossier de demande d’homologation ou d’autorisation de mise sur le marché d’unePGM, d’un pesticide, d’un médicaùment et maintenant d’un produit chimique?

    2.- du nombre de ces dossiers constitués et soumis aux autorités chaque année?

    3.- du coût de ces études nécessaires (et bien souvent des nombreux compléments d’information demandés par les autorités nationales et internationales) et par conséquent le coût total de ces dossiers?

    Demandez-vous alors si

    1.- les gouvernements ont les ressources en laboratoires et en personnel (hautement) qualifié pour assurer la réalisation de ces études dans de bonnes conditions

    2.- si les budgets sont disponibles pour financer ces travaus colossaux

    3.- si le contribuable ou en tout cas le citoyen que vous êtes ainsi que tous les autres y compris les militants écolos, sont prêts à financer les sommes astronomiques que représentent la réalisation de ces dossiers et qui sont pourtant financés par l’industrie.

    Réfléchissez et faites nous la grâce de nous faire part des résultats de vos cogitations sur le sujet.

    NB. Ce n’est pas parce que ces études financées par les industriels et réalisées dans leurs laboratoires ou sous contrats dans des laboratoires privés spécialisés qu’elles sont de mauvaise qualité, trafiquées ou bidonnées parce que pour votre information, que ce soit les labos des industriels ou les labos travaillant à façon pour eux sont étroitement surveillés et fréquemment inspectés par des organismes d’état employant des fonctionnaires scientifiques entraînés et pas connus pour être particulièrement complaisants, laxistes ou indulgents. Il faut avoir vécu quelques unes de leurs inspections pour le savoir. Expérience qu’évidemment les détracteurs du système n’ont pas, ce qui ne les empêche pas de critiquer et de fantasmer sur les soi-disant carences (c’est un euphémisme!!) du système. Par exemple, je doute fort que le labo universitaire de Séralini à Caen soit aux normes nationales et internationales, ne serait-ce qu’ en matière de GLP notamment. C’est bien trop cher pour son budget et celui de son université ….. Tous les labos industriels respectent ces normes qui ne font que se durcir et de bureaucratiser plus chaque année, avec bien entendu le coût qui va avec.

  20. C’est bizarre cette géométrie variable entre scientifiques, industriels, politiques, juges…, c’est 2 poids 2 mesures.
    Le principe d’équivalence en substance est une décision de juges de la cour suprême nommés par des politiques sur des critères politiques. La base des travaux OGM est faite sur ce principe.

    Quand les chercheurs sont nommés par des politiques, ca ne pose pas de problème. Les normes de l’OCDE sont des normes minimales que se reconnaissent les pays entre eux en cela c’est une décision politique.

    L’information importante dans l’article sur l’aubergine est tout de même que l’aubergine a été interdite parce qu’elle présente des risques. Que la cour est directement demandé à M Séralini une expertise ou qu’elle est utilisée une étude faite par M Séralini à la demande d’une ONG, la principale information reste l’interdiction.

    En décembre 2008, le conseil Européen s’est quand même accordé à l’unanimité des 27 pour dire qu’il y avait un problème avec les avis de l’EFSA, et ont demandé :
    – le renforcement de l’évaluation des impacts environnementaux, à moyen et long termes, des OGM cultivés, notamment ceux produisant des pesticides ou résistant à des herbicides ;
    – le lancement en 2009 d’une réflexion communautaire, par les Etats membres et la Commission, pour définir et prendre en compte des facteurs d’appréciation socio-économiques relatifs aux OGM. Un rapport de la Commission est programmé d’ici 2010 ;
    – l’amélioration du fonctionnement de l’expertise, notamment en associant d’avantage les Etats membres au processus d’expertise confié à l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA) ;
    – la fixation de seuils communautaires de présence d’OGM dans les semences conventionnelles, seuils qui doivent contribuer à garantir aux utilisateurs un libre choix réel entre semences OGM, conventionnelles et biologiques ;
    – la protection, au cas par cas, de zones sensibles et/ou protégées, telles que Natura 2000, et la prise en compte des pratiques agricoles spécifiques.

  21. @ zygomar

    Parce que je ne pense pas comme vous je suis donc incompétent, pourtant sur toutes les questions posées, vous n’avez à aucun moment su apporter une réponse. Alors je vais vous poser les questions sur les PGM dans un langage que vous pourrez comprendre:

    Quelles sont les avantages environnementaux, économiques, sociaux, sociétaux pour la société en général, pour l’industriel qui développe le produit et pour les agriculteurs qui cultivent ces PGM? Quels sont les risques? Qui assure les risques? Qui paye en cas de crise sanitaire (dommages réparables et non réparables, réversibles et non réversibles)? Du fait que les recherches indépendantes sont limitées (notamment par les brevets et par les moyens), peut-on faire confiance à des tests faibles (même si c’est le standard de l’OCDE-regardons les standards en matière économique et financière après une crise-) et à un monopole de gens intéressés pour nous dire ce que doit voir disséminer dans l’environnement ?

    Pourquoi la cour indienne a rejeté l’aubergine PGM ?
    (la réponse attendue à vous lire c’est que le juge est de gauche ou bobo)
    Comment le HCB peut autoriser l’Amflora » après avoir écrit cela : Toutefois, ces études ne comportent pas de données sur la puissance des tests mis en oeuvre, si bien qu’il est impossible d’évaluer le risque qu’un effet biologiquement significatif ne soit pas détecté avec les protocoles adoptés » ?

  22. Bon, j’ai essayé mais j’abandonne. On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Et comme je ne suis pas psychiâtre, je ne me mêle pas de tenter de résoudre les cas de confusion mentale aggravés de mauvaise foi flagrante.
    Bonjour chez vous.

    ==> « Quand les chercheurs sont nommés par des politiques, ca ne pose pas de problème ».

    ==> l’amélioration du fonctionnement de l’expertise, notamment en associant d’avantage les Etats membres au processus d’expertise confié à l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA) ;

    Savez-vous qui sont les membres permanents du staff de l’AESA à Parme?

    Réponse: des fonctionnaires détachés par leur gouvernement

    Savez-vous qui sont les membres des commissions ad hoc qui participent aux travaux l’AESA à Parme et qui donnent leur avis sur les dossiers et sur la questions posées par la Commission?

    Réponse: des experts fonctionnaires (universitaires spécialisés et chercheurs d’instituts nationaux) détachés par leur gouvernement

    Rien que des fonctionnaires scientifiques nommés par les politiques……

  23. @ François Damiens

    @ zygomar

    que pensez-vous de cette phrase?
    « Toutefois, ces études ne comportent pas de données sur la puissance des tests mis en œuvre, si bien qu’il est impossible d’évaluer le risque qu’un effet biologiquement significatif ne soit pas détecté avec les protocoles adoptés » »
    C’est tout de même le CP du HCB alors qu’il autorise ce même OGM

    ==> Comme son nom l’indique, c’est un « communiqué de presse ». Moi, je préfère m’en tenir à l’original…et non pas à une vague interprétation faite le plus souvent avec des arrière pensées politico-médiatiques!

    Par ailleurs, vous ne faites, dans toutes vos interventions, aucune différence entre la procédure d’identification du danger et d’évaluation du risque et celle de la gestion du risque. Les deux premières sont de la responsabilité exclusive des scientifiques (et non pas des journaleux) et la gestion du risque est de la responsabilité des pouvoirs publics et des politiques (et encore une fois pas des journaleux et autres experts auto-proclamés des ONG et autres lobbyistes pastèques). Ce que font les gestionnaires du risque des données et des avis que leur donnent les scientifiques est de leur seule et unique responsabilité. Il est d’ailleurs curieux que lorsque une décision politique donne satisfaction, c’est uniquement grâce au génie des politiques mais quand c’est le contraire, que leur décision ne reçoit pas l’onction de l’opinion publique, c’est alors la faute des experts scientifiques…..

  24. « Certes, Gilles-Eric Séralini a bien été sollicité dans l’affaire indienne, mais c’est par le biais d’une militante anti-OGM, Aruna Rodriques, qui est à l’origine de la pétition contre l’aubergine OGM ».

    Séralini qui est, bien entendu, un « expert » totalement indépendant, objectif et impartial….

  25. Séralini qui est, bien entendu, un « expert » totalement indépendant, objectif et impartial….

    Une chose est sûre… les manipulations où il est expert ne sont pas génétiques.

  26. @ GFP 26

    Séralini qui est, bien entendu, un « expert » totalement indépendant, objectif et impartial….

    ==> Une chose est sûre… les manipulations où il est expert ne sont pas génétiques.

    Qu’entendez-vous par cette phrase sibylline?

  27. « Cette patate composera certainement plus de 5% du bol alimentaire contrairement aux 10 rats sur lesquels les tests ont été effectués pendant 90 jours. Qu’adviendra-t-il de la thyroïde de ces cobayes non et non identifiable ? »

    1) Mais pourquoi tenez-vous absolument à ce qu’une patate enrichie en amylopectine fasse quoi que ce soit à leur thyroïde ?
    2) pour rappel, ces tests sont faits sur des centaines de rats. Il n’y a guère que quelques charlatans militants anti-OGM qui travaillent sur 10 rats.

    Enfin, François Damiens, vous êtes un menteur. Et si vous n’en êtes pas conscient, c’est encore pire : vous êtes alors un lobotomisé.

    L’avis de la HCB que vous citez réponds point par point à vos objections. Il vous suffirait de le lire en ENTIER pour le voir, au lieu de vous focaliser sur des extraits tirés de leur contexte.
    Enfin, je vous rappelle que si la MTB et la XTB sont très préoccupantes dans certains pays du « Sud », c’est de la France dont on parle. Et il y a peu de cas de tuberculoses contractés en France suite à un contact avec un sol cultivé.

    Enfin bref : c’est du grand n’importe quoi. Vous nous servez un embrouillamini de tout et n’importe quoi qui ne démontre que votre absence totale d’information et de réflexion sur le sujet.

  28. « Cette patate composera certainement plus de 5% du bol alimentaire contrairement aux 10 rats sur lesquels les tests ont été effectués pendant 90 jours. Qu’adviendra-t-il de la thyroïde de ces cobayes non et non identifiable ? »

    ==> C’est toujours la même chose avec ceux qui se mêlent de discuter de ce qu’ils ignorent totalement.

    Les études de toxicité subchronique par administration par voie orale sur le rat se fait sur des groupes de 10 rats: c’est à dire 10 males et 10 femelle par groupe et que ce type d’étude se fait sur 4 groupes: une dose faible, dont on n’attend aucun effet, une dose moyenne dont on attend quelques effets modérés dans le but d’identifier d’une part le type det l’intensité de la toxicté et d’autre part les organes-cibles et d’une dose forte dont on attend des effets toxiques marqués mais pas suffisamment pour entraîner la mort des animaux et ce de façon à permettre le travail statistique sur un nombre suffisant d’animaux pour être significatif. Il y a en outre un groupe dit « témoin », c’est à dire nourri et traité de la même façon que les autres mais sans le produit à tester. Ce groupe permet la comparaison entre les observations faites chez les traités et les non traités, la seule différence entre les groupes étant la présence ou non de la substance à évaluer dans la nourriture. A noter que la concentration maximum d’un produit dans la nourriture des animaux du groupe traité à la forte dose est limitée (par la réglementation internationale – protocole OCDE – basée sur des observations scientifiques) à 5% afin d’éviter, à plus forte concentration des déséquilibres nutritionnels perturbant l’économie des animaux (métabolisme, carences vitaminique et protéique notamment), ce qui est en général source de lésions organiques dont il est difficile de faire la part entre effets du produit à tester et effets des perturbations alimentaires.

    Quant aux effets sur la thyroïde (dont j’ignore la nature et la répartition au sein des groupes traités, dans le cas des patates en question), généralement observés chez les rats, ils ne sont en général pas pris en compte car ce sont des effets spécifiques aux rats, c’est à dire que l’on ne rencontre que chez les rats ( à des fréquences variables selon la souche de rat utilisée). Ces effets thyroïdiens du rat ne sont pas transposables à l’homme car l’homme possède un système enzymatique au niveau de la thyroïde différent de celui du rat, ce qui permet à l’homme d’éviter la formation de métabolites toxiques pour la thyroïde, ce que ne peut pas faire le rat. Par ailleurs, indépendamment de ce mécanisme, on peut ne pas prendre en compte des lésions observées au cours d’une étude, lorsqu’il n’y a pas d’effet-dose dans la fréquence observée des lésions. La toxicologie est une science complexe qui requiert de solides connaissances pluridisciplinaires et une grande expérience!

  29. quel espèce de scientifique insoumis !

    Insoumis et foncièrement malhonnête…..

  30. « quel espèce de scientifique insoumis ! »

    Moi je le trouve assez soumis pourtant. De tous les chercheurs qui interviennent sur ce sujet, il est celui qui a le plus de prises d’intérêts.

  31. « …vos tentatives de retournement d accusations ( lobbys des agrotoxiques , pseudo scientifiques etc..) , sont totalement vaines et ridicules ,… »

    Renseignez-vous avant d’éructer des insanités! La communauté scientifique internationale dans son ensemble (scientifiques indépendants de l’industrie employés par des instituts et des administrations nationaux, tels qu’australiens et néo-zélandais par exemple) a rejeté tous les résultats expérimentaux de séralini et de son équipe (et pas seulement ceux sur les OGM! à la fois sur des bases scientifiques mais également sur des bases de méthodologie….

  32. http://www.foodstandards.gov.au/scienceandeducation/factsheets/factsheets2009/fsanzresponsetoseral4647.cfm

    Food Standards Australia New Zealand (FSANZ) is an independent statutory agency established by the Food Standards Australia New Zealand Act 1991.

    FSANZ response to de Vendomois et al. (2009), A comparison of the Effects of Three GM Corn Varieties on Mammalian Health, Int. J. Biol. Sci. 5 (7): 706-726

    […]Séralini and colleagues have distorted the toxicological significance of their results by placing undue emphasis on the statistical treatment of data, and failing to take other relevant factors into account. Reliance solely on statistics to determine treatment related effects in such studies is not indicative of a robust toxicological analysis. There is no corroborating evidence that would lead independently to the conclusion that there were effects of toxicological significance. FSANZ remains confident that the changes reported in these studies are neither sex- nor dose-related and are primarily due to chance alone.[…]

    […]Séralini and colleagues have now published several papers reporting on feeding studies with GM foods. In June 2009, Séralini and colleagues repeated claims made in an earlier article (Séraliniet al., 2007) that a statistical re-analysis of the toxicity data originally reported by Hammondet al., 2006 provided evidence of hepatorenal effects in rats fed GM maize for three months. No new data were presented in the article. Instead, the authors commented on a published report by an expert panel (Doullet al., 2007) that discussed the risk assessment conducted by Séraliniet al. 2007. For reasons not stated, the authors did not address the numerous deficiencies of their statistical re-analysis that had been reported by several international regulatory agencies (FSANZ 2007; EFSA 2007a; EFSA 2007 b; Monod 2007). Instead, they chose to focus on the issues raised in a later published report by Doull et al., 2007. In the absence of new data and the failure of the authors to acknowledge that the interpretation of toxicity studies does not only involve statistics but requires the need for biological context, FSANZ is of the opinion that the recent article from Séraliniet al. provides no grounds to revise its previous conclusions on the safety of food derived from MON 863 corn. The FSANZ assessment concluded that food derived from MON 863 corn is as safe and wholesome as food derived from other commercial corn varieties.

  33. @ ronan
    GES est membre du CRIIGEN organisme de Mme Corinne Lepage ( un des deux « I » veut dire indépendant, sans rire.. :o)) ) et il fait partie de son comité scientifique.Le plus beau fleuron de ce comité scientifique,est un médecin praticien privé, le Dr Joel Spiroux de Vendommois, qui a la particularité d’être à la fois
    1 acuponcteur( il croit donc que les maladies viennent d’un déséquilibre entre le yin et le yang et qu’on peut les guérir en rétablissant le flux du Qi en débouchant les « méridiens » au moyen d’aiguilles si possible en or…)
    2 homéopathe (il croit à la mémoire de l’eau )
    3 ostéopathe ( n’en jetez plus..)
    Un scientifique ou prétendu tel ( je parle de GES..) qui siège à côté d’un tel charlatan n’est à mes yeux de neurologue ( retraité ..) qu’un « peigne-cul »
    On retrouve la signature de GES dans une revue ésotérique (site:http://www.sciencedelaconscience-magazine.com ) à côté de celles de Brigitte Lahaye et de Rika Zarai)

  34. @ tybert :

    Brigitte lahaye a sûrement fait plus de bien à l’humanité que Séralini

    Bon, OK, je sors

    😉

  35. En ce qui concerne le Dr Joël Spiroux de Vendommois, « expert international » ainsi que le présente Séralini dans son document préparé à l’intention de la Cour Suprême indienne (ref. cas de l’aubergine OGM) à la demande de Greenpeace et non pas comme il l’a prétendu de la Cour elle-même, l’expertise en matière de toxicologie et de biotechnologies est très très récente comme le prouve son CV ci-dessous et consultable sur le net. Ces types n’ont aucune vergogne et aucun respect d’eux-mêmes.

    TITRES : Docteur en Médecine
    Spécialité : Médecine Générale
    DIPLOMES : Brevet de technicien agricole – Doctorat en médecine – Diplôme de réparation du préjudice corporel – Certificat international en écologie humaine (faculté de médecine de Paris)

    ACTIVITES: 1981 Installation libérale en Médecine Générale

    Depuis 1985 : Secrétaire général du SML 27 (Syndicat des médecins libéraux de l’Eure)

    Actions de santé publique :

    De 1996 à 2000 : Membre de la commission « permanence des soins » à l’URML HN (Union Régionale des Médecins Libéraux de Haute Normandie)
    2000 à 2006 : Réélu à l’URML HN. Fonction : Président Fondateur de la Première Commission Santé Environnement des URML
    Actions de la commission (entre autre):
    -Information du corps médical sur les biotechnologies et les OGM
    -Participation au PNNS (Plan National Nutrition Santé)
    -Partenariat avec le rectorat à la prévention du cannabis.
    -Mise en place d’un système original de collecte des « piquants coupants » pour les particuliers et professionnels libéraux, gratuit, pris en charge par les Conseils Généraux.
    -Organisation du Premier Congrès National sur les Pathologies Environnementales en octobre 2005.
    -Création du premier « Pôle Libéral de Santé Publique » en partenariat avec la DRASS, visant à impliquer les médecins libéraux dans le domaine de la santé publique et plus particulièrement en Santé Environnementale.

    Actions d’expertise en santé publique :

    2006 : Expert régional responsable de la formation des formateurs du corps médical régional de Haute Normandie pour le « Plan National Pandémie Grippale »
    Janvier 2007 : Nommé Expert en santé environnementale pour l’URML HN.
    Septembre 2007 : Nommé par Monsieur le Préfet de Région Expert en santé environnementale au CODERST (Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques) de Seine Maritime.

    Décembre 2007 : Nommé par Monsieur Jean Louis BORLOO à la « Haute Autorité Provisoire sur les OGM ».

    Janvier 2008 : Nommé Expert en « Santé Environnementale » à la MACIF (assurance mutuelle)

    Mai 2008 : Initiateur et promoteur d’une étude sur la recherche des résidus médicamenteux dans les effluents du CHU ainsi que du centre Henri Becquerel (centre de traitement du cancer) de Rouen. Avec la participation des Prs. Lacroix, Goullé et Guerbet des université de Rouen et du Havre. Etude financée par le GRSP (Groupement Régional de Santé Publique)

    Juin 2008 : Organisateur pour l’URML et membre du conseil scientifique pour l’organisation du « Premier Congrès Européen sur les Pathologies Environnementales » qui se tiendra à Rouen les 9 et 10 octobre 2009.

    Actions dans les biotechnologies :

    Membre du Comité Scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendant sur le Génie Génétique) Présidé par Madame Corinne Lepage depuis sa création en 1998.

    Travaux pour le CRIIGEN sur l’évaluation des OGM tant en ce qui concerne l’impact potentiel sur l’environnement que sur la santé.

    Nombreuses auditions entre autre : CGB, EFSA, Parlement Européen…

    Nomination par Monsieur le Ministre Jean Louis Borloo à la Haute Autorité provisoire en décembre dernier.

  36. @ tybert

    Il y a aussi dans cette revue une interview de l’illustre Pr Montagnier qui donne dans le malthusianisme…..

    Il y en a aussi une du non moins illustre J-M. Pelt!

  37. Relevé sur le site de CRIIGEN dans le résumé de l’intervention de Séralini en Inde au sujet de l’aubergine GM:

    http://www.criigen.org/SiteFr//index.php?option=com_content&task=blogcategory&id=65&Itemid=113

    Le Pr Gilles-Eric Séralini a évalué pour la Cour Suprême de l’Inde les études de Mahyco qui demande la mise sur le marché d’un nouvel OGM, l’aubergine Bt.

    J’aime bien la manière tout à fait objective et collant à la réalité utilisée par le CRIIGEN pour présenter la chose: « a évalué POUR la Cour suprême… »!! La Cour suprême indienne n’a strictement RIEN demandé a Séralini!! C’est Greepeace qui lui a demandé de pondre un document de 19 pages qui a été ensuite soumis à la Cour. Rien, strictement rien ne dit que c’est sur la base du dit document que la Cour a pris sa décision de ne pas octroyer l’homologation à cette aubergine….

    Pour le plaisir et l’information des amateurs et des spécialistes, le texte en anglais (maladroit) du papier séralinesque se trouve sur le site ci-dessus.
    Les spécialistes pourront y constater que Séralini ne sait pas écrire un compte rendu analytique et une interprétation scientifique de données toxicologiques! Un seul exemple simple: lorsque un toxicologue expérimenté constate des variations dans un ou plusieurs paramètres,prenons la glycémie par exemple, il indique clairement s’il s’agit dune augmentation ou d’une diminution du taux de glucose sanguin par rapport au taux normal et en général il donne une indication quantitative de la variation enquestion. Seralini lui ne parle que de « modifications » sans jamais préciser dans quel sens se fait la dite modification.Par conséquent, les informations ainsi rapportées ne signifient rien pour le lecteur lecteur!

    Par ailleurs, le texte se termine par ce paragraphe d’autocongratulation:

    « …By contrast, numerous international experts (among Joël Spiroux de Vendômois 2,
    Dominique Cellier 2,3, Charles Sultan 2,4, Marcello Buiatti 2,5, Lou Gallagher 6, Michael Antoniou
    7, Krishna R. Dronamraju 8.

    2 CRIIGEN, 40 rue Monceau, 75008 Paris France

    3 University of Rouen, LITIS EA 4108, 76821 Mont Saint-Aignan, France
    4 University of Montpellier, School of Medicine, IGH, CNRS, France
    5 University of Firenze, Italy
    6 Institute for Environmental Science and Research, Ltd, Crown Research Institute, Porirua, New
    Zealand
    7 King’s College London School of Medicine, Dept. Medical and Molecular Genetics, London,
    United Kingdom
    8 Foundation for Genetic Research, Houston, USA)

    « numerous international experts »: Spiroux de Vendommois, le médecin généraliste acupuncteur homéopathe, expert international en quoi? Biotechnologies? biologie moléculaire? toxicologie? pathologie toxicologique?
    Dominique Cellier, le statisticien, un pur matheux sans expérience pratique dans le domaine de l’interprétation de données toxicologiques….

    Charles Sultan, le professeur qui s’est ramassé il y a quelques années tout content d avoir trouvé une relation directe de cause à effet entre pesticides et malformations génito-urinaires masculine sur la base de quelques cas seulement. Il avait brassé beaucoup d’air à l’époque (avec une publication prématurée de ses « résultats » )mais ses « observations dramatiques » n’ont jamais été confirmées depuis… C’est un peu le Belpomme de la malformation…

    Il convient de remarquer que parmi les « experts internationaux » cités dans le papier de Séralini, 5 (avec lui) sont du CRIIGEN…. Ce qui bien entendu est une garantie d’indépendance, d’objectivité et d’impartialité….

  38. a zygomar

    allons allons ! un organisme d état lol , comme l afssa quoi ….

    We are a bi-national Government agency. Our main responsibility is to develop and administer the Australia New Zealand Food Standards Code (the Code), which lists requirements for foods such as additives, food safety, labelling and GM foods. Enforcement and interpretation of the Code is the responsibility of State/Territory departments and food agencies within Australia and New Zealand.

    un exemple rapide sur le sérieux et l indépendance du site

    http://isiria.wordpress.com/2009/01/24/australian-independent-food-regulator-run-by-the-food-industry/
    ou
    http://www.dailytelegraph.com.au/news/sunday-telegraph/the-poison-fed-to-our-babies/story-e6frewt0-1225887506944

    a d autres…

    sinon vous vous reconnaissez ?

    Le Professeur Seralini fait actuellement l’objet d’une campagne de dénigrement car il a publié des études illustrant les risques pour la santé liés à l’utilisation de certains pesticides dans l’agriculture ainsi que les risques liés à la consommation de produits à base d’organismes génétiquement modifiés (O.G.M.).

    Ce faisant il se met à dos d’importants lobbies qui ont d’importants moyens de pression (ou de conviction !!!) auprès de scientifiques qui se contentent :
    – soit des conclusions d’études toxicologiques réalisés par les fabricants d’OGM sur leurs propres produits (bonjour l’objectivité !!!) et de plus sur des durées trop courtes (3 mois au lieu deà 2 ans)
    – soit d’approches théoriques contestables comme le principe d’équivalence en substances, dénoncé par de nombreux scientifiques.

    La campagne de dénigrement dont le professeur SERALINI fait l’objet est notamment liée à une étude qu’il a réalisé pour le gouvernement indien et qui s’est traduit par l’interdiction de la culture d’une aubergine transgéniqué en Inde, ce qui lui vaut les fureurs des producteurs d’OGM concernés et des scientifiques qui ont cautionné ce type de produit.

    A lire à ce sujet dans la prese nationale :
    sur Médiapart : OGM : l’étude russe qui pourrait «déraciner» une industrie
    sur Libération Les parlementaires enfumés sur les pesticides
    A signer : le soutien au professeur Seralini,
    Pour une science indépendante et contradictoire
    Plus de 290 scientifiques, chercheurs et médecins au 04/05/2010, provenant de 29 pays, soutiennent le Pr. Gilles-Eric SERALINI, ses collaborateurs, le CRIIGEN et ses travaux, pour une science indépendante et contradictoire. La Fondation Sciences Citoyennes et le Réseau de Scientifiques Européens engagés pour une responsabilité Sociale et Environnementale (Réseau ENSSER) le défendent sur leur site Internet en recueillant chaque jour des soutiens. Il a été vivement attaqué par la Société Monsanto ainsi que par des agences réglementaires ayant donné des avis en faveur de l’autorisation des OGM et des scientifiques appartenant ou ayant appartenu à ces agences. Il vient de citer en diffamation le Pr. Marc Fellous et l’Association Française des Biotechnologies Végétales. Les recherches et expertises du Pr. Séralini sur la toxicité des OGM et de pesticides dont le Roundup ont un retentissement international notamment en Inde où elles ont aidé au moratoire sur l’aubergine OGM, au Canada, en Europe, aux Etats-Unis.
    Voici le lien de la PETITION DE SOUTIEN que nous vous invitons à rejoindre :
    http://www.sciencescitoyennes.org/spip.php?article1801
    Informations générales

    * L’Huile de palme => Danger pour la santé, cauchemar écologique …
    * Pollution catastrophique à Java
    * Le MDRGF gagne son procès face aux producteurs de raisin de table
    * Où sont les femmes ? dans les conseils d’administration
    * A mi quinquennat, la défiance fait son retour en politique
    * 50 ans de consommation en France
    * Régionales 2010 : comment sont élus les conseillers ?
    * Régionales 2010 : conseil régional quelles compétences
    * Le BUDGET européen
    * Causes et conséquences du séisme d’Haïti?

    Pétition : soutien au Pr. Gilles-Eric SERALINI

    Le Professeur Seralini fait actuellement l’objet d’une campagne de dénigrement car il a publié des études illustrant les risques pour la santé liés à l’utilisation de certains PESTICIDES dans l’agriculture ainsi que les risques liés à la consommation de produits à base d’organismes génétiquement modifiés (O.G.M.).

  39. hahaha il est mignon !! , pris ds ses derniers retranchement , il n a que les insultes qui sortent de son clac merde de scientiste 🙂  » science sans conscience n est que ruine de l âme « 

  40. ouaaaa je m incline mr le professeur, quel culture !! , mais entre con on doit se comprendre non ? « Les idées d’un blogueur politiquement incorrect. Comment pourrait-il en être autrement, je suis un vieil humaniste kantien et qui dit kantien, dit CON et réac !!! Histoire des idées, épistémologie, progrès technique, agriculture intensive, distinction homme/animal, réchauffement climatique, religion et science, etc. : ce blog n’épargne aucune des bienpensances de notre monde postmoderne idéologiquement formaté par l’émotion médiatique.

    un vrai rebelle ( qui croit l être 😉 ) intello au service d une noble cause …, , par contre faudrait arrêter de manger des cochonneries …

  41. @ ronan 44

    C’est çà mon vieux, vous êtes bien brave. Vous savez tout sur tout et vous avez tout compris (doctus cum libro). Vous répétez à l’envi, sans même les avoir complètement digérés, sans exercer un minimum d’esprit critique, tous les poncifs, même les plus ridiculement erronés et établis comme tels, qui trainent dans les feuilles de chou et les péroraisons écolo-correctes . Vous ne déparez pas un seul instant la meute des détenteurs de la Vérité révélée aux idées toutes faites des sauveurs auto-proclamés de la planète, des conspirationnistes de tous poils. Gardez donc vous certitudes et votre catéchisme. Asinus asinum fricat, .
    Mais surtout n’oubiez pas de prendre les petits comprimés et les gouttes que le docteur vous a donnés hein?.

  42. « allons allons ! un organisme d état lol , comme l afssa quoi ….  »

    On va donc commencer par les organismes qui nous concernent le plus : avez vous le moindre élément à reprocher à l’AFSSA et à l’EFSA ?

    « Le Professeur Seralini fait actuellement l’objet d’une campagne de dénigrement car il a publié des études illustrant les risques pour la santé liés à l’utilisation de certains pesticides dans l’agriculture ainsi que les risques liés à la consommation de produits à base d’organismes génétiquement modifiés (O.G.M.). »

    Ah bon ? Moi je dirais plutôt que Seralini se fait constamment allumer par la communauté scientifique toute entière pour son incompétence dans les domaines qu’il prétends aborder.
    Ses « études » ont toutes été dégommées pour des raisons qui feraient rougir de honte un étudiant de M2 :
    – incompréhension complète des bases de toxicologie.
    – usage de statistiques « en roue libre » ou « cherry picking » : Mr Seralini utilise n’importe quel test statistique jusqu’à obtenir le résultat qu’il souhaite.

    « – soit des conclusions d’études toxicologiques réalisés par les fabricants d’OGM sur leurs propres produits (bonjour l’objectivité !!!) et de plus sur des durées trop courtes (3 mois au lieu deà 2 ans)
    – soit d’approches théoriques contestables comme le principe d’équivalence en substances, dénoncé par de nombreux scientifiques. »

    Seralini se moque du monde. Les études toxicologiques nécessaires à l’homologation d’un produit en Europe ne sont pas contrairement à ce qu’il prétends, réalisées par les fabricants. Elles sont PAYÉES par le fabriquant (ya pas de raisons qu’on paye pour eux), qui est tenu de les faire réaliser par un laboratoire figurant dans une liste de laboratoires agréés par l’organisme d’état.
    Ensuite, ces études sont envoyées à l’EFSA, AFSSA et cie qui en analysent les données.

    Maintenant, Seralini prétends que l’analyse des données réalisées par l’EFSA et l’AFSSA est mauvaise, et que la sienne est meilleure.
    Ouais, bah il n’y a bien que lui pour le croire : tous les spécialistes du domaine interrogés rejettent son analyse, et appuient ce rejet sur les erreurs grossières qui y figurent.

    Quant au principe d’équivalence en substance, la bonne blague !!!
    Seralini utilise ce même principe dans le cadre de son analyse !

    « A lire à ce sujet dans la prese nationale :
    sur Médiapart : OGM : l’étude russe qui pourrait «déraciner» une industrie »

    Et elle est où cette sois-disante étude ? On peut la lire quelque part ?
    Est-ce qu’elle existe au moins ?

    « Plus de 290 scientifiques, chercheurs et médecins au 04/05/2010, provenant de 29 pays, soutiennent le Pr. Gilles-Eric SERALINI »

    Des médecins généralistes et des chercheurs en sociologie ?
    Nan, parce que mine de rien, parmi les centaines de chercheurs compétents, il ne s’en est pas trouvé un seul pour défendre les travaux de Seralini.

    « science sans conscience n est que ruine de l âme »
    Oui, et :
    « seuls les imbéciles citent des choses qu’ils n’ont pas comprises ».
    Vous avez lu Rabelais au moins ?

  43. Moi, je vois une rumeur véhiculée par Médiapart.
    Mais toujours aucune étude.

    Une étude publiée, c’est ça par exemple :
    http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jsfa.1105/abstract
    (cliquer sur « get PDF » à droite pour avoir accès au document).

    Tu vois pas comme une différence, blaireau ?

    « Quelles conclusions peut-on tirer de cette expérience ? A ce stade, aucune, comme le reconnaissent eux-mêmes les scientifiques qui ont fait ces observations. »
    Tu m’étonnes : c’est pas avec 4 groupes de 5 couples de rats qu’on tire des conclusions pertinentes. Suffit qu’il y ait un rat taré dans un groupe (ce qui est fréquent avec les souches de laboratoire) pour tout fausser.

    « il est rigolo le ptit !! »

    Trouves-en donc un.
    Contrairement à toi, je sais de quoi je parle ; j’en fais partie de cette « communauté scientifique ». Les travaux en question, je les lis, contrairement aux gens comme toi qui se contentent de parler de choses qu’ils ne connaissent pas sur des blogs.

  44. « Contrairement à toi, je sais de quoi je parle ; j’en fais partie de cette « communauté scientifique ». Les travaux en question, je les lis, contrairement aux gens comme toi qui se contentent de parler de choses qu’ils ne connaissent pas sur des blogs. »

    et bien sur , complètement libre , pas de pression de la hiérarchie , si vous l ouvrez un peu on vous coupe pas les budgets , non bien zzzuur .

  45. Vient mettre les pieds dans un labo, après tu pourras causer.

    Pour ton information, ça fait un bail qu’on a plus de budgets : on travaille sur des fonds alloués à des projets. Ya plus de budgets par labo ; il n’en reste que des clopinettes.

    Et information supplémentaire : les financements sur projets, ils sont surtout nationaux et européens, distribués par l’agence nationale de la recherche (en gros, l’état) on les reçoit AVANT de publier les conclusions du projet.
    Lorsqu’elles le sont, l’argent est déjà reçu, et dépensé.

    Quand à la hiérarchie, le jour où elle prendra la peine de lire nos publis, on pourra sabrer le champagne !

  46. « une rumeur ouaiouai  »

    Oui : une rumeur. Parce qu’en attendant, cette sois-disante « étude » n’est trouvable nulle part.
    Bah tient, tant qu’on y est : trouve-la donc, où remballe !

    On nous as déjà fait le coups avec Traavik : même charlatannerie ; grandes annonces dans la presse, une étude qui montre des effets dramatiques, bientôt publiée tout ça !
    C’était en Mars 2004, et toute la presse s’en faisait l’écho.
    On est en Aout 2010. Elle est où l’étude ? Oh, bah tient ! Nulle part.
    Traavik a ensuite refusé de la publié, et s’est réfugié dans un étrange mutisme quand on lui en a réclamé les données.

    On ne nous auras pas deux fois : machintruc affirme avoir pondu une étude révolutionnaire ?
    Qu’il nous la montre ! Tant qu’on a rien vu, elle n’existe pas.

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