Nicolas Hulot vient de fêter les 20 ans de sa fondation et souhaite donner un coup de boost à ses actions pour peser lors de la prochaine élection présidentielle. Il a donc eu l’idée de lancer les « éco-acteurs ». Il souhaite en recruter 20.000 avant la fin de l’année civile. Manque d’ambition pour celui qui avait fait signé son pacte écologique par des centaines de milliers d’internautes ?
Pas vraiment car il convient de rappeler ce qu’est un « éco-acteur ». Il s’agit tout simplement d’un donateur. Et la Fondation Nicolas Hulot peine à recruter ces « éco-donateurs » (c’est pourtant tellement plus chic d’être un éco-donateur qu’un simple donateur) et le compteur affiché sur le site internet de la fondation est encore bien loin des 20.000. On ne peut pas toujours acheter du foie gras et faire un don à la FNH.
En fait ces « Eco-acteur » puisque c’est ainsi pudiquement qu’il faut les appeller se décomposent en 3 catégories, comme dans toute officine de racket et d’influence verte, l’entreprise de Nicolas Hulot appartient bien à cette catégorie. Ils se distinguent par les nombre de nuls, non pas qu’elle emploie mais qui caractérisent les donnations des mécènes.
Si vous avez 6 chiffres nuls: des 0, qui suivent le 1 :le 1, c’est Nicolas (certes Claude Allègre a écrit que Nicolas était nul mais sans tenir compte du fait qu’il prend de belles photos et intéresse le public. Comme d’hab Claude Allègre exagère, Nicolas Hulot est nul pour les sciences et technologies, sujet qu’il prétend certes traiter mais pas en communication où il excelle. Donc Nicolas vaut 1),
Donc un chèque d’au moins 1 000 000 « euros »; alors vous faites partie des « inventeurs », vous avez créé le mythe Hulot et vous en servez abondamment pour éviter que les officines d’influence verte à la solde de vos concurents ne viennent vous faire des misères sur votre prés carré, enfin votre quasi monopole. Vous vous appelez TF1, EDF, Rhone Poulenc, Total…
De façon très cinique,on notera que c’est très bien vu de la part des inventeurs et que Nicolas Hulot présente un excellent bénéfice/cout.
Si vous alignez entre 4 et 6 chiffres nuls après Nicolas Hulot, alors vous faites partie des gentils membres du club, suivant les enjeux qui vous intéressent et évidemment dans la mesure où les inventeurs ne sont pas hostiles et n’ont que faire de votre près carré, vous pouvez vivre en paix, utiliser l’image de l’officine et bénéficier de quelques menus services fonction du nombre de chiffres nuls qui caractérisent vos talents d’acteur, pardon d' »éco-acteur ».
Si vous n’alignez que moins de 4 chiffres nuls soit moins de 10 000 euros; alors vous appartenez au troupeau des couillons qui croient encore au père Noël, enfin ici à St Nicolas. Vous êtes tondu sans rien en retour… et c’est bien fait. Si vous aimez : continuez!
@ Alzine :
Excellent!!!
@Alzine
Votre ironie frise le mauvais esprit, cher ami. :-)))
JxM
Ce n’est pas de l’ironie, juste de l’aigreur. Alzire manifestement ne sait pas de quoi il parle et n’est pas concerné par l’environnement. On peut ne pas aimer Nicolas Hulot, mais ne pas reconnaître qu’au moins lui essaie de faire bouger les lignes. Il pourrait vivre tranquille et heureux grâce à ses émissions. Au lieu de celà il consacre un temps et une énergie importante au service de la protection de l’environnement, à titre totalement bénévole, puisqu’il ne toucher aucun salaire et aucune indemnité de la Fondation.
Alzice, soit moins acide et renseigne-toi avant d’écrire des bétises.
« …. puisqu’il ne toucher aucun salaire et aucune indemnité de la Fondation. »
==> ….renseigne-toi avant d’écrire des bétises
°°°°° C’est curieux, c’est précisément ce que j’allais vous écrire à vous après avoir lu votre message!
Alzire manifestement ne sait pas de quoi il parle
Alzice soit moins acide
Et Pascal Duch ne sait pas recopier les noms correctement…..
Même s’il ne touche aucune indemnité ni salaire de sa fondation, il est bien évident que sa notoriété, qu’il entretient savamment grâce à sa fondation, fait monter le chiffre de vente des produits sur lesquels il touche des royalties ! Nicolas Hulot, désintéressé ! Et mon postérieur, c’est de la volaille ?
Pascal Duch fait donc visiblement parti du troupeau bêlant. Il est inutile pour lui de lire les lignes qui suivent, c’est du temps perdu. Une recommadation, s’y j’ose, visionner le 1 film de la trilogie produite par Jean Yanne : « tout le monde il est beau… » : simple et efficace.
Pour les autres participants à ce blog.
Il n’y bien sûr aucune aigreur dans le propos, simplement le fait que St Nicolas exploite le besoin existentiel d’écolo bobo, principalement citadins, de tout âge et de toute condition.
Dans les années 80, la mode était au strass et paillettes, aux voitures puissantes, au raids en terres soit disant sauvages, période du Paris Dakar sur lequel on retrouvait le tandem Hulot –YAB mais dans l’autre camp celui des sales polleurs , 15 ans plus tard l’écologie est le produit à la mode, donc changement de registre pour nos deux compères, le commerce c’est de produire ce qu’attend le public.
Chaque époque a eu besoin de figures charismatiques, : religieuses, philosophiques, politiques, les époques précédentes faisaient percer souvent des personnalités d’exception, non sans défaut mais avec un talent authentique.
Les 40 dernières années avec des outils de communication et une instrumentalisation a conduit à voir fabriquer des idoles sans vrai talent, ou du moins dans le domaine qu’ils prétendaient couvrir.
En fait s’il fallait résumer, ce ne sont pas les mesures tièdes et souvent consensuelles que propose Nicolas Hulot, c’est la multiplication des contradictions entre ses propos et ses actes, c’est en quelque sorte dans son genre un prêtre pédophile, dont on sait que certains d’entre eux ont pu intéresser un temps leurs ouailles, avant que la réalité ne soit connue .
J’aurai pu aussi citer les papes Borgia dans la même veine.
Critiquer sans concession les prêtres pédophiles et souhaiter que toute la lumière soit faite n’est pas remettre en question le christianisme ou la branche romaine du christianisme.
Idem pour Nicolas Hulot, critiquer le bonhomme qui est un pur produit de certains milieux politiques, de la finance et de l’industrie n’est pas une critique du caractère incontournable de la limitation des atteintes à l’environnement.
C’est un lieu commun d’écrire que les propos ne valent rien sans les actes, lieu commun mais socle indispensable: ce n’est donc pas par son soutien ou son vote vert que l’on adhère au nécessaire équilibre entre l’Homme et son environnement mais, au quotidien en limitant son impact : mode de déplacement lorsque le choix est possible, distance parcourue pour partir en vacance, cylindrée de sa voiture ou de sa moto, très simplement et sans que cela coute grand-chose, tri soigné des déchets, mode d e consommation en choisissant les produits les plus durables ou en poussant des gammes de produits que l’on ne remplace pas ou économe ou avec des garanties de durabilité étendues (concept Dyson) et surtout réparables… bref le contraire du système hulot qui s’inscrit dans une société de consommation échevelée et touche de joli cachets des entreprises sponsors pour faire de la pub pour les différents produits en jouant sur son image de marque fabriquée via sa fondation.
Sur tous ces sujet carton rouge à Nicolas Hulot. Avec ses choix de hiérarchie des sujets, il occulte souvent ou réduit l’importance des actions les plus efficaces.
Il est donc contre productif, ce qui est d’ailleurs sa finalité pour permettre à des monopoles d’occuper le terrain de la communication voire d’utiliser et de valoriser les thèmes touchant à des thématiques en lien avec l’écologie.
L’exemple du 4×4 vert recommandé par St Nicolas n’est pas le moins savoureux avec l’utilisation à tout va de l’hélico.
Ce sont là quelques lieux désormais communs concernant le personnage Hulot, mais qu’il n’est jamais mauvais de rappeler, sachant que c’est parmi les participants à ce blog les plus rugeux vis à vis des faux culs de l’écologie que l’on trouvera très probablement ceux qui tentent modestement et en toute discrétion, au quotidien, de respecter les quelques règles de bon sens listée précédemment.