On parle beaucoup de FNE en ce moment, en particulier avec sa prochaine campagne qui vise (sans jeu de mots) le monde agricole à la veille de l’ouverture du Salon International de l’Agriculture à Paris (19 au 27 février – Porte de Versailles), qui téléscope sa campagne actuelle contre le diésel (et aussi les biocarburants, donc vive le vélo(t), encore une fois sans jeu de mots !).
Mais le problème chez FNE c’est qu’ils agissent en fonction de leurs intérêts. Prenons l’exemple de leur campagne contre le déisel que nous avons déjà décrypté. Leur « caution scientifique indépendante » (le RES !), s’appuie sur une étude de l’INVS (Institut National de Veille Sanitaire). Mais pourquoi FNE ne prend pas en considération le rapport de ce même institut (INVS) sur les causes du cancer en France publié fin 200 où l’on peut lire :
« Plusieurs pesticides ont été accusés de causer des cancers chez l’homme, mais aucun des pesticides utilisés actuellement n’est cancérogène chez l’animal ou chez l’homme (Siemiatycki et al, 2004). Quelques études cas-témoins montrant une association entre l’exposition et des cancers ont été publiées, mais ces résultats sont sans doute dus à plusieurs facteurs : i) en raison du grand nombre d’études effectuées, il est normal que certaines études soient positives à cause des fluctuations statistiques ; ii) à des biais de mémoire, les sujets atteints de cancer ayant davantage tendance à se rappeler des expositions que les sujets bien portants ont oublié (Shuzet al, 2005). Un exemple de tels biais est donné par les résultats faussement positifs rapportés pour les catabolites du DDT. Les premières études publiées étaient très positives. Les études ultérieures n’ont pas retrouvé ces résultats et l’analyse conjointe de l’ensemble des données a permis de l’exclure. (figure B10.1). En conclusion, le lien putatif entre pesticides et cancer ne repose sur aucune donnée solide.«
C’est malheureusement le règne de la logique du « géométrie variable » appliquée au militantisme écologique.
Notez que faire campagne contre les microparticules du Diesel peut avoir du sens mais à ce moment là il faut aussi vanter les mérites du biodiesel ou diester qui justement permet de réduire ces microparticules de façon considérable, incorporé à 30% dans le gazole classique il réduit d’autant les microparticules et hydrocarbures imbrulés. majoritaire dans le carburant , on peut dépasser largement les 50% de réduction de microparticules.
Le diester est un sous produit indirect via l’huile utilisée, de la production de protéines pour l’alimentation animale via les tourteaux de colza, tournesol et soja…, limitant les importations d’Amérique du sud.
Pour les surfaces à consacrer à cette production: en 1900, en France, environ 6 millions d’ha de terre étaient consacrées à l’alimentation de la force de traction animale ( essentiellement chevaux et partiellement bovins, pour les travaux aux champs- avec surfaces en avoine, orge et prairies dédiées et consacrées exclusivement à cette fonction) . Donc 6 millions d’ha pour produire des protéines pour les animaux via les tourteaux et de l’huile pour le diester, c’est un retour au « bon vieux temps » avec des moteurs à explosion qui ont remplacé nos chevaux et qui sont rendus moins polluant justement par l’utilisation des biocarburants.
On ne peut pas reprocher à FNE de ne pas savoir cela ce sont eclusivement des bobos des villes.
@ alzine
« On ne peut pas reprocher à FNE de ne pas savoir cela ce sont eclusivement des bobos des villes…. »
Et y z’ont pas Internet.
@ Zygomar,
Certes mais les patrons de FNE prennent leurs ordres ( et leurs sous ) chez TOTAL et chez TOTAL on ne rigole pas actuellement de voir le climat en Russie et en Australie rendre les agriculteurs autonomes financièrement, des fois qu’ils auraient l’idée saugrenue de recommancer le coup des années 2000, produire de l’éthanol et le vendre directement à Leclerc pour faire du E85, mais avec le diester cette fois.
Pas cool, à l’époque on avait vu le député de Courson avaler sa casquette lors du vote sur la détaxation des biocarburants et fait une sortie assez gonflée.
Ce coup de sang de TOTAL lié à une nature et surtout un climat qui se joue des stratégies d’une des 7 soeur peut expliquer cette campagne, le climat se rebiffe donc on lache donc les hordes vertes aux basques des bouseux. FNE bon chien de TOTAL Ouaf Ouaf!
La jeune Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), issue de la fusion entre l’Afssa et l’Afsset en juillet 2010, a présenté jeudi 10 février son programme pour 2011. Au menu, notamment, les risques liés aux pesticides et aux perturbateurs endocriniens. Un comité de déontologie et de prévention des conflits d’intérêt sera mis en place d’ici fin avril.
« L’Anses est avant tout une agence indépendante», a tenu à rappeler son directeur et ex-directeur de l’Afssa [1], Marc Mortureux. Une manière de répondre par anticipation aux suspicions qui pèsent plus lourdement encore aujourd’hui sur les agences sanitaires, suite à l’affaire du Mediator qui a mis en lumière de graves dysfonctionnements et des conflits d’intérêt au sein de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) (voir le JDLE). « Cette remise en cause nous a bousculé et nous amène à nous poser des questions», avoue Marc Mortureux.
Un comité de déontologie
Néanmoins, « les crises antérieures qu’ont connues l’ex-Afsset [2] et l’ex-Afssa, ainsi que leur fusion, ont déjà permis une évolution des règles de déontologie», explique-t-il. C’est notamment le cas de la création d’un comité de déontologie et de prévention des conflits d’intérêt, prévue depuis la fusion, qui sera opérationnel « fin avril au plus tard». Ce conseil de Sages, composé de 5 à 8 membres nommés pour 5 ans par arrêté ministériel et sur proposition du CA, sera chargé de veiller au respect des règles fixées par le code de déontologie et les principes de l’expertise collective (voir le site de l’agence). Il pourra également être saisi par un membre du CA, à l’instar d’une association environnementale.
Suite à son rapport sur le Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) examinera « les points forts et les faiblesses» de l’Anses dans le domaine du médicament vétérinaire.
Conflits d’intérêt
Le directeur de l’Anses tient toutefois à souligner la complexité de la question des conflits d’intérêt: « Le risque serait de réduire la diversité d’horizon des experts et le caractère contradictoire de l’expertise qui est également un gage d’indépendance».
A l’heure actuelle, aucun conflit d’intérêt n’est toléré dans les groupes de travail. En revanche, la question est plus complexe dans les comités d’expertise spécialisés (CES) qui couvrent de nombreux sujets sur une durée de trois ans. Théoriquement, pour chaque nouveau sujet, les experts ayant des liens d’intérêt doivent s’abstenir de participer.
L’Anses a également fait le choix de mettre en ligne les déclarations publiques d’intérêt (DPI) de ses 350 salariés internes, comme gage de transparence. Elles devront désormais être mises à jour tous les ans et non plus tous les 3 ans.
Marc Mortureux a enfin rappelé que la gouvernance de l’agence était construite sur le modèle «grenellien» avec une participation au CA des différentes parties prenantes (ONG, syndicats, pouvoirs publics, entreprises). « Cette intégration de la société civile est essentielle pour nous permettre de capter les signaux d’alerte», avance-t-il.
Pesticides et phtalates
L’Anses va engager un travail d’évaluation des impacts réels des expositions aux pesticides pour les agriculteurs en s’appuyant notamment sur les données scientifiques les plus récentes. Un groupe d’experts sera mis en place en 2011 sur la base d’un appel à candidatures et les premiers résultats sont attendus d’ici fin 2012.
Une étude sur 12 perturbateurs endocriniens «prioritaires» sera conduite afin d’estimer l’exposition de l’homme aussi bien en milieu professionnel que via l’alimentation et l’environnement. Un premier point d’étape sur le bisphénol-A (BPA) sera présenté fin mars, puis un autre à la fin de l’année. Une coopération internationale, notamment avec les Etats-Unis et l’Allemagne, visera à développer de nouvelles méthodologies d’évaluation des risques, reconnues mondialement.
Les résultats d’une enquête sur l’exposition à 300 contaminants potentiels (pesticides, métaux lourds, toxines…) dans plus de 250 aliments seront publiés d’ici l’été 2011.
Parallèlement, une meilleure connaissance des effets «cocktail» d’une exposition à de multiples pesticides à faibles doses (projet Pericles) devrait être apportée par la publication d’une étude en 2012.
En matière de radiofréquences, un groupe d’expertise permanent sera mis place cette année. Dans le cadre de la reprise des missions de la fondation Santé et radiofréquences, l’Anses va par ailleurs créer un programme de recherche ad hoc qui lancera un appel à projets de recherche de 2 millions euros par an.
Le laboratoire Anses de Sophia-Antipolis a enfin été sélectionné par la Commission européenne pour devenir le laboratoire de référence sur l’étude des abeilles et la surveillance de leur mortalité.
Médicaments dans l’eau
Les résultats de la campagne nationale d’analyse des résidus de médicaments dans l’eau ont été également présentés ce matin. Sur les 45 substances analysées dans l’eau potable,19 ont été détectées dans au moins un échantillon. 25% des échantillons étaient positifs avec en général 1 à 4 molécules. Hormis la caféine (utilisée comme marqueur de l’activité humaine), les molécules les plus fréquentes sont la carbamazépine (anti-épileptique) et l’oxazépam (anxiolytique). 90% des échantillons ont présenté une concentration maximale cumulée inférieure à 25 nanogrammes par litre (ng/l), soit « 1.000 à un million de fois inférieures aux doses thérapeutiques» mais pour 5% d’entre eux, elle était supérieure à 100 ng/l.
FNE se trempe de cible, l’apiculture marnaise a en 2010 battu des records de production de miel,plus de 80 kg dans certaines rûches et plus de 120 kg chez un apiculteur de l’Epine,du jamais vu!!!
Et ce n’est pas tout,l’hiver avance et les pertes de colonies sont particulièrement faible en ce début d’année et les essaims sont presque trop gros,bref les abeilles sont en super forme et les apiculteurs assez stupéfait.
Les insecticides et autres pesticides accusés de tous les mots ont été utilisés en 2010, ni plus ni moins que durant l’année 2009 et malgré cela la production a pratiquement doublé en un an et le parasitisme disparu et les abeilles sont nombreuses et vigoureuses en ce début d’année 2011.
Conclusion, FNE se trempe de cible et va induire en erreur nos pauvres parisiens ainsi que bon nombre de nos concitoyens.
Merci l’escrologie et merci les enfoirés de mécènes…..
Cher ME51,
Il y a deux mecènes que vous connaissez dont j’espère qu’ils retireront leur soutien à ces menteurs et à ces escrocs.
NB Ils ne mentent pas que sur les abeilles, ils mentent sur les algues vertes, ils mentent sur les OGM, ils mentent sur tout.
Cher Laurent, vos informations n’auront pas été vaines puisque j’en ai informé la Fdsea de la Marne,et différentes caisses de Crédit Agricole.
J’en était resté sur le sujet des abeilles qui est vraiment symptomatique de ce qui se colporte comme fausses affirmations et informations.
Concernant les algues vertes qui est essentiellement un problème de » surphosphatation » du milieu, les pollutions,s’il en était ,sont à mettre au crédit et à égalité entre l’agriculture et les rejets de la population,les lessives et boues de ville.
Contrairement aux membres de France Nature Environnement, les animaux n’ont pas le droit de chier
.Une autre remarque, les animaux contrairement aux membres de FNE,n’utilisent pas de savon pour se laver,ni de lessive pour laver leur linge et leur bagnole.
Accusés de pollution , les animaux sont de vrais écolos.
Il existe de bonnes infos sur les intoxications d’abeilles et beaucoup plus fiables que celles tirées de votre botin téléphonique!!!
En ce qui concerne les abeilles l’AFPP composée de : ACTA, ARVALIS-Institut du végétal, CETIOM, ITSAP-Institut de l’abeille, DGAl, Groupama, INRA, UIPP. déclare dans une plaquette destinée aux agri productivstes:
«Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires.»
On ne reprochera donc pas à l’AFPP de cacher que des accidents sont possibles et largement documentés pour justement les éviter au maximum. L’AFPP va plus loin dans la mesure où les pesticides ne sont pas l’unique solution et décrit l’ensemble des solutions , comme l’automobile, n’est pas l’unique façon de se déplacer, il y a aussi les transports en commun, la marche à pied, le vélo…..
L’automobile club communique aussi sur les moyens d’éviter les accidents, façon individuelle de conduire, contrôle d’alcoolémie, ceinture de sécurité, vitesse limitée, ABS, carrosserie qui protège le conducteur. On n’empêchera jamais aux chauffards d’exister, ni le verglas qui rend le bon conducteur dangereux.
S’il faut interdire des objets de consommation inutiles, comme le tabac, l’automobile reste un sacré outil de liberté pour aller à la plage avec sa planche à voile ou aller se ballader où l’on veut, quand on veut en montagne ou simplement voir les grands parents à la campagne, en famille.
« S’il faut interdire des objets de consommation inutiles, comme le tabac, l’automobile reste un sacré outil de liberté pour aller à la plage avec sa planche à voile ou aller se ballader où l’on veut, quand on veut en montagne ou simplement voir les grands parents à la campagne, en famille. »
Mon cher Alzine,
Vous êtes un irresponsable criminel contre la planète ! Faire ce que l’on veut, quand on veut, est purement criminel.
Si la nocivité du tabac est aujourd’hui bien documentée, son inutilité reste à démontrer.
Demandez au addictes à la nicotine ! (Dont j’ai été dans un passé définitivement révolu).
NB Être piéton est aujourd’hui presque aussi périlleux qu’automobiliste !
Irresponsable, j’assume!
Je fais effectivement partie de ceux qui hiérarchisent :
Le tabac est très mauvais pour la santé et aurait du être plus fortement réglementé à la consommation ( pas de vente aux mineurs, espaces de consommation restreints, taxes, et lutte contre le trafic) – voter le principe de précaution et laisser la consommation du tabac dans les lieux publics relève non pas de l’aveuglement mais de l’infamie. Il y a vraiment de quoi s’indigner de cette infamie ( je cède avec cette phrase à l’effet de mode à 3 euros). Le tabac au-delà de son extrême nocivité n’est pas indispensable à la vie des hommes puisque les fumeurs ne sont pas plus de 30%.
L’automobile est dangereuse, polluante, gourmande en énergie non renouvelable mais tellement utile pour se rendre rapidement d’un point en un autre raisonnablement distant.
Il faudrait revenir au concept de la Ford T, modèle unique, efficace, robuste, prix très raisonnable, la moins polluante possible. Malgré mes « piques » au pétrolier français, je ne rempli mon réservoir qu’avec du diesel Total excellcium (véridique),
L’alimentation diversifiée est indispensable à la vie des hommes et au bon état sanitaire des populations, c’est d’ailleurs avec l’air ( pour l’instant gratuit) et l’eau ( pour l’instant pas cher en Europe ) , la seule ressource indispensable à la vie de l’Homme, ce que soulignent à juste titre le tandem Soros et Rogers dont on ne rappelera jamais assez l’honnêteté dans les propos, pour les actes ???.
Ce n’est pas un droit sauf dans les esprits de quelques illuminés (nombreux) en Europe, l’homme a toujours dû arracher sa nourriture à une nature hostile depuis qu’il a été chassé du paradis. Il a du l’arracher aussi à d’autres êtres vivants, insectes, champignons, adventices qui sont ses concurrents pour eux aussi vivre ou survivre. Les pesticides qui sont des armes contre cette concurrence sont donc bien plus utiles que l’automobile.
C’est effectivement la hiérarchie inverse de celle du missel écolo-bobo : je suis donc totalement irresponsable !
Alzine
Je pense que les seules chose qui soient indispensables à la vie des hommes c’est l’eau bénite à laquelle on peut ajouter la haire et la discipline chères à Tartuffe mais à condition toutefois qu’elles soient tenues d’une main maîtresse par Eva Joly
MK
FAITES DU BIO, CA REND IDIOT
J’ai trouvé dans la presse locale (Ouest-Fiente en l’occurence) un article relatif aux candidatures aux cantonales.Le suppléant d’une candidate , agriculteur bio depuis 30 ans, membre de Génération Ecologie et de l’UMP y affirme sans être conscient du ridicule que le passage de la future ligne grande vitesse Le Mans -Rennes dans le canton va priver le planète (sic) de 280 tonnes de blé par an. Voici le billet que je n’ai pu m’empêcher de lui faire en réponse et qui est ausi sur mon site
La bêtise est abyssale surtout quand elle se teinte de vert.
Selon Louis Michel brillant agriculteur bio,suppléant de la conseillère générale sortante de Loiron, le passage de la ligne LGV va coûter 280 tonnes de blé à la planete.(voir ouest France article ci dessus)
Le prix du blé a explosé en raison de la sécheresse en Russie , de la spéculation et des achats des pays émergents et se situe aujourd’hui à environ 200 euros la tonne !!!
Cela fait donc pour la planète une perte de près de 70 000 euros.
Puisque l’auteur de cette brillante remarque est à l’UMP faut il lui rappeler que la salle de bain de son président chéri ; Nicolas Sarkozy a coûté 245 000 euros soit pas loin de 4 années de prédation de la ligne LGV aux dépens de la planete. Et si le prix du blé retrouvait son niveau normal ce serait plutôt 7 ou 8 ans de prélèvement pour que Carla ait les fesses propres !
Ne parlons évidemment pas du séjour de Nicolas dans un palais de Mohammed VI, de celui de François chez Moubarak et des escapades de MAM dans les jets des amis de Ben Ali. Ce doit être beaucoup plus cher compte-tenu des mesures de sécurité et de la logistique mais c’est pas grave puisque ce sont les contribuables marocains égyptiens et tunisiens qui paient, lesquels contribuables peuvent toujours acheter le blé bio de Mr Louis Michel !!!
Mr Louis Michel aurait sans doute, tout pareillement, il y a deux siècles comptabilisé la perte de crottin de cheval pour l’agriculture que représentait l’intrusion des chevaux vapeurs…Lui faire un cours d’économie sur les effets économiques de la ligne grande vitesse, doit être à peu près aussi vain que ne le fut, en des temps anciens la tentative de remplir le tonneau des Danaïdes
Las !: on se pince devant autant de bêtise mais on ne tire pas sur une ambulance, même s’il faut bien remarquer que de tels personnages sont au fond assez peu écologiques car bien que ce pauvre Pégase* ait des ailes, il doit lui falloir beaucoup de carburant pour soulever un tel fardeau d’âneries
* Pegase est un cheval rouge, logo du CG53
@ kelenborn
« 280 tonnes de blé par an »
Indépendemment du prix du blé, on peut faire un autre calcul montrant l’étendue de la calamité planétaire que le passage de la ligne de chemin de fer pourrait entraîner:
Nous sommes 6 milliards d’habitants sur cette planète. Par conséquent, le manque de production de 280 tonnes de blé priverait chacun des habitants de (je vais exprimer cette quantité en milligrammes pour que cela soit plus « parlant »):
280 000 000 000 mg de blé : 6 000 000 000 habitants = 46,66 mg de blé par personne ou encore 0,047 (arrondis) kilogramme par personne et par an!! Un véritable catastrophe humanitaire sans aucun doute!
Heureusement, nous avons des esprits responsables et renseignés pour attirer l’attention des électeurs sur ce problème de société.
Ce qui prive la planète de blé c’est tout l’argent public investi dans l’aide à la conversion au bio, perte de rendement céréalier et moindre efficacité alimentaire en élevage.
« 280 000 000 000 mg de blé : 6 000 000 000 habitants = 46,66 mg de blé par personne ou encore 0,047 (arrondis) kilogramme par personne et par an! » Où de quoi nourrir environ un millier de personnes…