Succès pour l’enquête sur le bio

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Nous avons déjà parlé de la publication de l’enquête de Gil Rivière Wekstein, “Bio : fausses promesses et vrai marketing”. Il faut dire qu’un tel livre était attendu depuis longtemps pour faire contrepoids à la vague de livres et de documentaires de ces derniers mois qui prennent tous l’agriculture pour cible et font l’apologie du bio qui serait comme une réponse miracle au défi alimentaire et environnemental mondial qui nous concerne tous. Bien que publié dans une petite maison d’édition, le livre de Gil Rivière-Wekstein commence à faire parler de lui dans les médias. Le Figaro, l’AFP, Europe 1, RTL2, RMC, Autoroute FM, Radio Classique, France Inter et bien d’autres médias ont donné ces derniers jours la parole à Gil Rivière Wekstein. Et le résultat est intéressant. “Bio : fausse promesses et vrai marketing” est ainsi en tête des ventes de livres “Développement durable et écologie” dans le réseau de librairie Decitre. Il arrive même devant “Le poison quotidien” de Marie Monique Robin ou “Le livre noir de l’agriculture” d’Isabelle Saporta.
Pour plus d’informations et pour acheter le livre : www.bio-lelivre.com


19 commentaires sur “Succès pour l’enquête sur le bio

  1. Bravo pour ce livre d’un grand intérêt.

    Merci à Gil rivière-Wekstein pour ses recherches très éclairantes sur les revendications actuelles portées par tous ceux qui prophétisent (un peu trop hâtivement) l’apocalypse alimentaire…

    Tous ceux qui s’intéressent aux idées politiques y puiseront des informations tout-à-fait intéressantes sur les origines du bio et les fondements des combats écologistes.

    A LIRE !

  2. Le purin d’ortie bientôt autorisé à la commercialisation en France

    LEMONDE.FR avec AFP | 20.04.11 | 19h22

    Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une douzaine de mesures destinées à promouvoir une alternative aux pesticides chimiques, comme le prévoit le plan Ecophyto 2018.

    Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une douzaine de mesures destinées à promouvoir une alternative aux pesticides chimiques, comme le prévoit le plan Ecophyto 2018.AFP/MYCHELE DANIAU

    Jusqu’alors interdit à la vente en France, le purin d’ortie (une décoction de la plante) sera finalement bientôt autorisé à la commercialisation pour encourager les agriculteurs à utiliser des produits naturels, a annoncé mercredi 20 avril le ministère de l’agriculture dans un communiqué.

    Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une douzaine de mesures destinées à promouvoir une alternative aux pesticides chimiques, comme le prévoit le plan Ecophyto 2018. Ce plan, élaboré lors du Grenelle de l’environnement, a fixé comme objectif la réduction « si possible » de 50 % des pesticides dans l’agriculture d’ici à 2018.

    Pour « favoriser la mise sur le marché de produits » naturels, le ministère a annoncé la publication dans « les prochains jours de la première liste des substances autorisées pour les préparations naturelles peu préoccupantes », qui permettra notamment la publication de l’arrêté autorisant le purin d’ortie, selon un communiqué.

    PROBLÈMES DE RÉGLEMENTATION

    Attendue depuis longtemps par les militants d’une réduction de l’utilisation des pesticides, l’autorisation de mise sur le marché (AMM) achoppait sur des questions réglementaires depuis janvier 2006 et l’adoption de la loi d’orientation agricole, qui soumet ces produits à la même procédure européenne d’autorisation que les pesticides chimiques. Une obligation que les militants de l’Association pour la promotion des produits naturels peu préoccupants (Aspro-PNPP) jugeaient « inadaptée » dans un article du Monde publié le 9 décembre 2010, au lendemain d’une action spectaculaire en faveur du purin d’ortie : une séance d’épandage devant la mairie de Montreuil (Seine-Saint-Denis).

    La mesure est en effet très onéreuse : il en coûte 40 000 euros pour déposer un dossier, rappelait Le Monde à cette occasion, évoquant une « guerre des nerfs ». Sans compter que pour être homologuée, une substance doit remplir une série de critères (stabilité, homogénéité…) très difficiles à atteindre techniquement pour ce type de produits. Les jardiniers amateurs bénéficiaient d’une tolérance, mais les agriculteurs prenaient des risques, car ils sont tenus d’utiliser des préparations dotées d’une AMM.

    Mais le ministère de l’agriculture a indiqué mercredi avoir « trouvé une voie réglementaire un peu étroite pour sortir de la difficulté ». « Nous avons demandé l’inscription de l’ortie sur la liste européenne des ‘substances de base’, ce qui nous permet désormais d’autoriser la mise sur le marché » du purin d’ortie, mais aussi d’autres préparations naturelles, explique-t-il.
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    1. Toutes molécules ou formulation commerciales mises en circulation doit-être testées et dans les mêmes conditions pour tout produits.
      Sinon cela est de la discrimination.

      Seules les études scientifiques peuvent dire ou non si une préparation phytosanitaire est « peu préoccupante » ou non.
      Tant que les tests ne sont pas faits, et des études rigoureuses menées, il n’es pas possible de dire si la préparation X (et non pas H …lol) n’aura pas d’impact sur la santé du manipulateur, du consommateur et de l’environnement.
      Si les écolo considèrent que le Purin d’Ortie n’a pas d’effets sanitaires, qu’ils le prouvent.
      Dans un système démocratique on ne peut pas faire deux poids deux mesures:
      imposer des critères stricts aux industriels et autoriser n’importe quelles mixtures estampillées « biologique »….

      Et aucun cas ce sont les fabricants qui décident, et encore moins les associations écolo….

  3. Les tomates issues de l’agriculture biologique seraient plus riches en antioxydants, bénéfiques pour la santé, que les tomates non bio, d’après une étude publiée dans la revue Journal of Agricultural and Food Chemistry.
    L’enquête a été menée pendant dix ans (entre 1994 et 2004) par des chercheurs américains de l’Université de Californie, à Davis, aux Etats-Unis. Les résultats obtenus sont formels : les tomates bio contiennent davantage de flavonoïdes, des antioxydants, que les tomates cultivées de façon industrielle. Elles seraient en particulier plus riches en quercitine et en kaempferol. En moyenne, les tomates bio seraient 79% plus riches en quercitine et 97% plus riches en kaempferol que les tomates « classiques ».

    1. Savez vous ce que sont les anti-oxydants?

      Il semblerait bien que non!!! comme tous les écolo bobos d’ailleurs.

      L’idée que les anti-oxydants sont bons pour la santé est un mensonge né du délire de quelques idéologues pro-bio auto-proclamés nutritionnistes. Ces molécules n’étant que très peu absorbées par le système digestif…

      Les anti-oxydants sont des molécules ayant un grand pouvoir pour captées les radicaux hydroxyles (OH-) issus des réactions chimiques cellulaires. Ces molécules sont contenues dans des organites cellulaires nommées Vacuoles chez les plantes et Peroxysomes chez les animaux.
      Les radicaux hydroxyles sont ensuite assemblés entre eux pour former de l’eau oxygénée H2O2, qui est dégradée en eau (H2O) et oxygène (O2).

      Leurs efficacité dépend fortement de l’acidité de l’organite. Les anti-oxydants sont efficaces à pH acide uniquement.

      Ce qui fait que dans des conditions normales (pH neutre) ces molécules vont relâcher les groupements hydroxyles qu’elles ont neutraliser.

      En fait, ces molécules sont issus du métabolisme secondaire de la cellule. Elles ont un double rôle:
      – Protection contre les radicaux libres (uniquement dans les organites prévus)
      – Protection contre les prédateurs.

      D’où vient ce rôle de protection contre les prédateurs???
      il vient du fait que dans les conditions normales (pH neutre), les anti-oxydants vont relâcher les radicaux OH-. Qui vont donc attaquer les membranes cellulaires du prédateur.

      Ces molécules ne sont fabriquées en quantité dans une plante uniquement en cas de stress. hors la prédation est un stress. Mais cela détourne de l’énergie qui ne sera pas allouée à la production des sucres, des graines, des fruits etc etc.

      Dans une culture conventionnelle, c’est l’homme qui s’occupent d’éliminer les prédateurs (insectes, champignons, bactéries…). Ce qui fait que la concentration en anti-oxydant est faible, puisque les plantes n’ont pas besoin de se protéger directement.
      Dans une culture bio, puisque les plantes ne sont pas protéger par l’homme, elles doivent le faire elles-mêmes. Et fabriquent donc une plus grande quantité d’anti-oxydant.

      Pour finir:
      la DL 50 pour la Quercitine est de 161 mg·kg-1, rat, en oral (PhR : 25)
      la DL 50 pour l’Imidaclopride (molécule du gaucho) est de 410 mg·kg-1 (rats, oral; PhR 22)
      Ce qui veut dire que la Quercitine est 2,5 fois plus toxique que le Gaucho!!!

      D’ailleurs la Quercitine est considérée comme toxique par la directive européenne Directive 67/548/EEC, le Kaempferol est classé Xénobiotique, tout comme l’Imidaclopride.

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Phrases_de_risque

      Petit bonus:
      Les flavonoïdes sont des molécules dites polyphénoliques, c’est à dire basées sur la structure du polyphénol. elles ont gardé sa toxicité. Elles sont des inhibiteurs compétitifs de plusieurs enzymes du corps et peuvent bloquer l’expression de nombreux gènes (mimétisme du facteur de transcription NF -Kb).

      Ces molécules sont des systèmes de défenses des plantes contre les agresseurs – prédateurs, donc toxiques.

      1. Septique par principe, quand je compare la réponse très précise de Daniel à l’article de Wikipedia, je ne sais plus que penser !

        http://fr.wikipedia.org/wiki/Querc%C3%A9tine.

        Si je comprend bien, le stress de la tomate active ses propres défenses ( en l’occurrence, la production de flavonoïde), mais ceux-ci sont-ils aussi néfaste que semble l’affirmer Daniel ?

        En résumé, si pour se préserver du discours culpabilisant des ayatollahs écolo, vous employez les mêmes armes de désinformation et de déformation de la réalité, vous affaiblissez grandement votre propos.

        1. Si vous êtes ou semblez être septique par principe et surtout un brin antipesticides,le premier pas dans la vie d’une tomate est beaucoup plus compliqué et risqué que celui de nos enfants.
          La nature est cruelle,seuls les plus résistants sont sortes et surtout les plus chanceux!!!

          Heureusement ,la découverte de la chimie a permi de chinter les caprices de la nature et les nombreux centenaires nous le rappellent chaque jour.

          Alors qu’il fallait parfois faire 10 enfants pour en avoir un ou deux de viable voici guère plus de 100 ans, aujourd’hui la naissance de 2 ou 3 enfants par couple permet le renouvellement des générations futures.

          Ce n’est surtout pas l’agriculture biologique qui permettra d’amèliorer les choses et encore moins de garder le cap!!!!!

        2. « Septique par principe, quand je compare la réponse très précise de Daniel à l’article de Wikipedia, je ne sais plus que penser !
          http://fr.wikipedia.org/wiki/Querc%C3%A9tine. »

          Wikipédia n’est pas une source d’information valable. En effet, au cas ou vous l’ignoriez; tout le monde peut écrire sur Wikipédia. Et nombre de pro-bio ne se gène pas. Il suffit de lire les pages sur les OGM ou sur l’AB pour se rendre compte de l’absence totale d’objectivité des auteurs.

          « Si je comprend bien, le stress de la tomate active ses propres défenses ( en l’occurrence, la production de flavonoïde), mais ceux-ci sont-ils aussi néfaste que semble l’affirmer Daniel ? »
          Tout les organismes ont des défenses avec un niveau de veille, et un niveau plus actif. Les plantes aussi. Elles contiennent des molécules limitant les effets de leur propre physiologie, et d’autres toxiques les rendant impropre à la consommation; à des degrés divers, dans des organes divers: par exemple des composés cyanogènes dans les noyaux des cerises, des amandes, des abricots. Des composés alcaloïdes chez les plantes de type renoncules…. Même les simples primevères peuvent être toxiques pour certaines personnes allergiques. Des résines chez les résineux.

          En cas d’attaque par un parasite, un prédateur … elles peuvent très déclencher le production massive de molécules toxiques afin de combattre l’infection.
          En cas de stress hydrique, elles peuvent produire des molécules retenant l’eau…

          « En résumé, si pour se préserver du discours culpabilisant des ayatollahs écolo, vous employez les mêmes armes de désinformation et de déformation de la réalité, vous affaiblissez grandement votre propos. »
          Je n’ai aucunement employé « d’armes de désinformations », bien au contraire. Mais si vous vous basez uniquement sur les « info » de wikipédia alors c’est ce qui peut paraître.

          L’article de Hester van der Woude (http://edepot.wur.nl/121777) montre bien que la Quercitine a un effet toxique, elle permet de contrer le développement de lignée cellulaire cancéreuse (ce qui est la preuve de sa toxicité, comme la papaïne, la colchicine …)

          La quercitine inhibe aussi la cytochrome P450 oxydase, qui est une enzyme majeur de la dégradation des xénobiotiques.
          Elle ralentit la croissance des foetus chez le rat, augmente la fréquence de dommage de l’ADN chez le rat…

          Nombre d’études ont montrés les effets toxiques:
          http://lib.bioinfo.pl/meid:173289
          http://www.inchem.org/documents/iarc/vol73/73-18.html

          Pas mentionnées sur Wiki… Encore faudrait-il que l’auteur de cette page wiki soit honnête…Ce dont je doute fortement!!!!

          Vous croyez que j’utilise des « armes » de désinformation, alors que c’est vous qui ne savez pas chercher correctement l’information….

          1. « la dégradation des xénobiotiques. »

            Qu ‘s’appelle également en langage courant, compréhensible par tous:  » processus de détoxification »! Ce qui dit bien ce que çà veut dire….

  4. Aubarecy a copié-collé dans plusieurs billets un article du Monde sur un produit prétendument interdit que l’on trouve dans bien des jardineries… Technique bien risible, Aubarecy !

    Daniel n’a pas évoqué le point qui me semble le plus important : il appartient à ceux qui souhaitent l’homologation du produit d’en démontrer l’efficacité.

    Bizarrement, alors que la polémique a fleuri sur la toile française, il n’y a rien…

    1. Je n’ai pas abordé sur sujet car pour moi il rentre dans l’idée « d’un protocole de test » standardisé.

      Je suis d’accord que le produit doit être testé sur son efficacité au même titre que sur son impact sanitaire et environnemental.

      C’est pourquoi les écolo veulent une législation unique pour « leurs produits peu préoccupants » car ils savent que ces produits sont:
      1) totalement inefficace si expertisé dans un cadre scientifique rigoureux;
      2) qu’il est impossible d’exclure un « risque potentiel » sur la santé ou l’environnement (ce qu’ils demandent pourtant pour les produits phytosanitaires normaux).

      Tout ceci est une escroquerie, et le gouvernement n’est rien d’autre qu’une poule mouillée de s’aplatir aussi facilement devants ces cinglés.
      Aplatissement qui se fait sur les lois et réglements mis en place pour assurer la sécurité des citoyens, et qui n’a pour but qu’une vision électoraliste à court terme.

      Franchement, les politiques n’ont toujours pas compris que les électeurs préfère toujours l’original à la copie. CF les scores de FN aux dernières cantonales.

  5. De toute façon les antioxydants ne passent pas la barrière intestinal, ils ne peuvent pas agir ailleurs quand dans le tractus…

  6. @Douar: comme le dit le dernier commentaire affiché, les alters-écogistes acceptent très mal de devoir passer à travers un semblant de procédure de contrôle, alors même qu’ils exigent des contrôles délirant sur ce qui est d’origine artificiel. Etre libéral n’est pas une posture qu’il suffit d’appliquer, le principe n’est pas de vendre n’importe quoi, mais d’être loyal avec le client. L’état, manifestation de la volonté politique général, exige que les allégations santés soient un minimum prouvé, et c’est pas un mal. Lutter contre le charlatanisme n’est pas anti libéral, c’est au contraire une condition à une économie de la concurrence saine. L’exemple du lait cru est anecdotique, mais ce produit pose un vrai problème quand il est distribué à des populations qui ne savent pas comment le traité.

  7. très bien votre reportage . dommage que l’on ne puisse partager sur les réseaux sociaux , cela serait peut-être une bonne méthode pour faire avancer les bons gestes pour le bien être de la nature.
    avec toute ma sympathie
    nicole

  8. En espérant avoir posté dans le fil approprié, je mets en exergue le commentaire ci-dessous, tiré de la page : http://www.skyfall.fr/?p=763#comment-72806

    1008. Marot | 25/05/2011 @ 10:49
    Les calamités environnementales vertes sous silence
    Merci à Pierre Gosselin
    Botulisme
    Le bacille botulique prospère dans les installations de biogaz subventionnées en Allemagne et qui poussent donc comme des champignons.
    Voir http://www.wildundhund.de/438,6670/ et http://www.wildundhund.de/r30/vc_content/bilder/firma438/Downloads/2011_05_03_botulismus_pr_wildundhund.pdf
    Les digesteurs de production de biogaz (du méthane) sont réglés à 38 °C et sont anaérobies, autant dire l’idéal pour un bouillon de culture. On notera dans les articles digesteur et biogaz ne mentionnent nulle part les déchets finaux. Ils sont prétendument assainis par un chauffage à 70°C ce qui est une rigolade pour la spore botulique qui survit plusieurs heures à 100°C.
    Et après : épandage comme engrais !
    Plus de 600 vaches mortes en Saxe, infection d’animaux domestiques. Les animaux infectés sont mis dans le circuit de la boucherie.
    Que font les verts ? rien
    Escherichia coli pathogène
    Propagation rapide d’infections par E-coli pathogène en Allemagne.
    Selon http://www.bild.de/news/inland/ehec/alarm-aerzte-rechnen-mit-todes-opfern-18040966.bild.html 40 malades à Hambourg, plusieurs centaines ailleurs.
    Le soupçons se portent sur les légumes bio engraissés au fumier et sans traitement industriel normalisé après cueillette.
    Que font les verts ? rien

    1. Ce qui compte pour la stérilisation c’est le rapport temps/température.. Enfin 70°C c’est pas vraiment pour stériliser, c’est du lessivage. En fait le biogaz allemand est utilisé pour actionner des turbines électriques, la chaleur sert uniquement à déshydrater les résidus pour rendre moins coûteux le transport avant épandage. Ils ne montent pas forcément haut en température.

      Sinon le botulisme ça arrive avec de l’ensilage avec un pH trop élevé, [i]Clostridium botulinum[/i]n’aime pas les milieux acides. La toxine ne résiste pas à la cuisson, les spores par contre…

  9. J’ai juste une question à vous poser: pourquoi attends t on pour sauver le monde ? alors que c’est a la portée de tous de sauver la planète c’est a dire ne pas jeter les plastiques par la fenêtre, ne pas arroser les plantes de produits chimique dont on ne sait pas quels effets il y a sur l’environnement! se sont les particuliers qui polluent le plus donc voilà!!!!
    au lieu d’arroser avec n’importe quelle substance chimique regardé sur internet( surtout que de nos jours il y a pratiquement toutes les methodes bio à utiliser pour chaque problème)
    Car un geste de plus et c’est la planète qui sera sauver alors n’attendons pas!!!
    VIVE LE BIO!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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