Le Brésil est passé devant le Royaume-Uni pour devenir en 2011 la sixième puissance économique mondiale, a annoncé aujourd’hui l’institut de recherche CEBR, basé à Londres. Dans son dernier classement, le Center for Economics and Business Research place le Royaume-Uni à la 7e place des économies mondiales, derrière les États-Unis (1er), la Chine (2e), le Japon (3e), l’Allemagne (4e), la France (5e) et le Brésil (6e).
Dans une interview à la radio BBC, le directeur de ce cabinet, Douglas McWilliams, a souligné que ce classement montrait le poids croissant de l’Asie dans l’économie mondiale, au détriment des pays occidentaux. « On voit aussi que des pays qui produisent des biens de première nécessité, comme les aliments et l’énergie, s’en sortent très bien et montent progressivement dans le classement économique » mondial, a-t-il ajouté.
Le CEBR prévoit aussi qu’en 2016, la France sera dépassée par le Royaume-Uni et qu’elle ne sera plus qu’à la 9e place des économies mondiales en 2020. Toujours selon l’institut de recherche, la Russie et l’Inde devraient se hisser respectivement aux 4e et 5e rangs des puissances économiques mondiales en 2020. Le Brésil, avec quelque 200 millions d’habitants, a connu une croissance de 7,5% en 2010 mais le gouvernement a revu ses prévisions de croissance à 3,5% pour cette année après un fort ralentissement de l’activité au troisième trimestre.
Bref, nos politiques, à la veille de la présidentielle devraient se souvenir que l’agroalimentaire français est une force pour créer des emplois. Mais pour combien de temps ?
Pire…
Ce sera bientôt le seul volet économique rentable dans tout le pays…. Mais vrai … Jusqu’à quand???
En 2020 il sera trop tard (tient je fais du catastrophisme écolo à l’envers), l’agriculture française sera moribonde, car toutes les techniques modernes auront été interdites par les Politicécolo….
Et la nourriture sera importée à grand frais dans un pays exsangue industriellement !!!!
Et la France deviendrait un vaste lupanard pour fortunés du monde entier, version moins rose que la carte et le territoire.
Enfin on n’y est pas encore et on commence à bien cerner ceux qui travaillent en ce sens, de vendre l’agriculture française qui sera le dernier facteur de richesse et d’indépendance alimentaire, avec leurs complices de l’écologie profonde. Les liens sont de plus en plus nets.