Cruiser : manipulation de Stéphane Le Foll (décryptage)

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C’est un mauvais tour de prestidigitateur qu’a réalisé Stéphane Le Foll pour annoncer la future interdiction de l’insecticide cruiser. Le tout nouveau ministre de l’agriculture dit s’appuyer sur des éléments nouveaux remis par l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail) qui montreraient « clairement l’effet néfaste de ce produit sur la mortalité des abeilles ». Sauf que… les chercheurs de l’ANSES n’ont jamais utilisé ce terme. Ce sont les attachés de presse de l’ANSES qui ont ajouté l’adjectif dans leur communiqué de presse {{1}}. [[1]]L’avis officiel de l’ANSES, celui écrit par les experts scientifiques dit ceci (P14) : « L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail estime que les résultats rapportés dans l’article de Henry et al. (2012) mettent en évidence un effet d’une dose sublétale de thiaméthoxam sur le retour à la ruche des abeilles butineuses ».

Les communiquants de l’ANSES, eux, parle de l’«effet néfaste d’une dose sublétale de thiamethoxam sur le retour à la ruche des abeilles butineuses“ ».[[1]]

Ceci n’est pas anodin. D’autant plus que la vidéo réalisée par la France Agricole{{2}} lors de la conférence de presse au Ministère de l’agriculture montre d’abord des propos catégoriques du Ministre qui dit s’appuyer « sur des avis scientifiques ». Sauf que… peu après, le directeur de l’ANSES, Marc Mortureux ne dit pas vraiment la même chose. [[2]]Propos du Ministre : de 0 à 3 mn 10[[2]]

La fameuse étude sur laquelle s’appuie le Ministre (celle de l’INRA-CNRS, ACTA, ITSAP-ADAPI) expose les abeilles à des doses « supérieures aux doses que l’on trouve dans la réalité » commente Mortureux. « L’expérimentation de l’INRA a conduit à une exposition à 1,34 nanogramme par abeille alors que les abeilles, sur des champs de colza, sont exposées entre 0,1 à 0,3 » explique même le directeur de l’ANSES. « Il y a quand même un facteur de 4 à 5 » (!).

En clair, cette étude ne correspond en rien à la réalité dans les champs. «Dans des cas très particuliers, on ne peut pas complètement exclure que dans des cas, très, très particulier, l’abeille puisse être exposé à des niveaux du nanogramme », tente d’expliquer Mortureux (on appréciera au passage le recours au « très » !). Voilà donc cet élément nouveau qui explique la fin du Cruiser : « les chercheurs ont littéralement saoulés leurs abeilles avant de les relâcher dans la nature » ( Agriculture et environnement – Mai 2012)

Hormis Agriculture et environnement de Rivière Wekstein, aucun média n’a relevé la grossière erreur d’appréciation du Ministre qui se prend les pieds dans les nanogrammes !.

 

110 commentaires sur “Cruiser : manipulation de Stéphane Le Foll (décryptage)

  1. Pas de changement de discours avec la nouvelle équipe de gouvernement, de toute façon les politiciens conventionnels ont trop peur des écogistes pour prendre des décisions courageuses. Il faut travailler les masses, ça ne sert à rien de critiquer les portes flingues qui se chient dessus dès que GP ou FNE s’agitent. Tant que les forces du progrès et de la raison ne pèseront pas dans l’espace médiatique ça continuera, quelques soit l’équipe aux manettes.

    1. « Il faut travailler les masses »

      ==>Dans l’esprit « des forces du progrès et de la raison » cela ne peut se faire qu’avec la matraque et les injures !!!

      1. José.B nous fait l’aveu qu’il est contre les forces du progrès et de la raison. A retenir ! Ne jamais l’oublier !

        José.B ou l’obscurantisme personnifié !

        1. Laurent Berthod ingénieur agrenoble ne dément pas l’usage de la matraque et des injures par « les forces du progrès et de la raison »
          « les forces du progrès et de la raison » puisent donc leurs références chez le même gourou facho que Laurent Berthod ingénieur agrenoble !!!
          A retenir !!! Ne jamais l’oublier !!!!

          1. JB, étant parmi les psychologiquement violable, vous ne pouvez comprendre le mécanisme de la propagande. Vous êtes simplement l’illustration de ses effets.

  2. Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

    Purement et simplement scandaleux!

  3. Il y a un autre biais, et je trouve curieux qu’il n’ait pas été relevé. Les abeilles, saoulées ou non au thiamethoxam, étaient transportées à un kilomètre de la ruche.

    L’ivrogne qui est allé à pied au bistrot a quand même plus de chances de rentrer chez lui que celui que l’on a transporté au bistrot les yeux bandés.

    Quoi qu’il en soit, la réponse est : contester la décision qui sera prise .

    1. Vous n’y êtes pas du tout. Hips ! Comme il y a un dieu pour les ivrognes, hips, il y en a un pour les abeilles, hips : le sens, magique, hips, de l’orientation ! Hips !

    2. Il y a un autre biais :
      Les abeilles en question ont nourris durant 8 jours uniquement avec cette mixture (sucre + thiamethoxam).
      Pour une espèce dont l’espérance de vie est de 60 jours en période estivale, cela correspond à 10 ans de vie humaine…
      Je pense sincèrement que cela à un impact fort négatif sur les individus testés !!!

      1. « L’EFSA, saisie sur la même question, conclut, sur la base des données collectées auprès de l’ensemble des Etats membres, que la concentration en thiaméthoxam du sirop administré aux abeilles dans l’étude de Henry et al. (2012) est environ 10 fois supérieure à la concentration maximale observée dans un échantillon de nectar et que, bien que l’exposition calculée des abeilles puisse théoriquement dépasser la dose administrée dans cette étude, elle ne peut intervenir sur le terrain que progressivement au cours d’une journée de butinage. »

        Dans sa conclusion générale, elle écrit :

        « L’unique dose administrée dans les expériences décrites (1,34 ng/abeille) est inférieure aux doses induisant une mortalité chez les abeilles dans un essai de toxicité aiguë. Les données disponibles en ce qui concerne les concentrations en substance active et les taux de sucre dans le nectar de colza, qu’elles proviennent de dossiers soumis dans un cadre réglementaire ou d’analyses réalisées en 2012 dans les conditions de pratique agricole actuelles, indiquent que l’exposition des abeilles au thiaméthoxam au travers des résidus de nectar de colza est inférieure à cette dose, bien qu’une exposition à des doses de ce niveau ne puisse être totalement exclue dans des circonstances exceptionnelles. Cette conclusion rejoint celle de l’EFSA, saisie par la Commission européenne sur la même question.

        On peut s’interroger sur la raison d’être de la partie mise en italiques. Peut-être la solidarité scientifique et la volonté de ne pas éreinter les auteurs.

        Les complotistes penseront qu’elle a été insérée à dessein pour permettre au ministre de prendre une décision d’interdiction. Je suis plutôt disposé à épouser cette thèse.

        1. Encore une couche: du communiqué de presse de l’EFSA :

          « Dans les études réalisées par Henry et al. et Scheinder et al., les abeilles avaient consommé la quantité totale de substance active dans un intervalle de temps relativement court plutôt que sur une période plus longue et plus proche des conditions réelles. En fonction des propriétés de la substance et de la vitesse à laquelle elle peut être métabolisée par les abeilles, cette méthode d’exposition pourrait entraîner des effets plus graves que si les abeilles butinaient dans des conditions de terrain réelles.

          Par ailleurs, il est difficile de savoir avec certitude dans quelle mesure l’exposition à l’imidaclopride dans l’étude de Whitehorn et al. est représentative des conditions naturelles étant donné que les bourdons devraient uniquement butiner des cultures traitées à l’imidaclopride pendant deux semaines pour être exposés aux mêmes niveaux que ceux appliqués dans l’étude.

          Néanmoins, avant de tirer des conclusions définitives sur les effets des néonicotinoïdes sur le comportement des abeilles butineuses et des colonies d’abeilles sur la base des doses effectives, il serait nécessaire de réitérer les expériences réalisées dans les études en prenant en considération d’autres niveaux d’exposition et d’autres situations. Des données additionnelles seraient également nécessaires pour pouvoir évaluer de façon complète la pertinence des nouveaux résultats de recherche par rapport au traitement des semences d’autres cultures et dans le cadre de l’utilisation de la pulvérisation. »

          Ça a quand même une autre allure que l’avis de l’ANSES.

          1. D’autres points du protocole méritent une discussion entre autre le fait de relâcher artificiellement des butineuses a un kilomètre de la souche
            Normalement les butineuses sortent de la ruche se repérèrent par rapport au soleil et se rendent a au lieu de butinage indiqué par une caste très spéciale des butineuses les éclaireuses ( un petit nombre )qui partent en repérage le matin par ex pour indiquer au gros de la troupe ou il faut se rendre pour amasser le magot nectar et donnent leurs indications aux autres par la fameuse danse frétillante décrite par Karl von Frisch ( http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/UVLibre/0001/bin35/abeilles/danse/danse.html ) indiquant direction , distance, et intensité du butin potentiel par un simulacre du vol a effectuer par rapport a la position du soleil a l’instant T après le repérage
            Relâcher des butineuses artificiellement transportées a 1 km revient a fausser les données et rendre aléatoire le pourcentage de retour des butineuses . les plus aguerries reviennent a la ruche sans problèmes , d’autres butineuses novices sont paumées …

        2. « ……cette dose, bien qu’une exposition à des doses de ce niveau ne puisse être totalement exclue dans des circonstances exceptionnelles. Cette conclusion rejoint celle de l’EFSA, saisie par la Commission européenne sur la même question.

          On peut s’interroger sur la raison d’être de la partie mise en italiques…. »

          ===> C’est ce qu’on appelle un « parapluie » ou une « échappatoire »…..

          1. J’en reviens à mon commentaire : un « parapluie » pour l’ANSES ? Une « échappatoire » pour le Ministre (et/ou le ministère) ? Les deux ?

      2. Daniel dit : «Il y a un autre biais : Les abeilles en question ont nourris durant 8 jours uniquement avec cette mixture (sucre + thiamethoxam). »

        ==>Daniel docteur en entretien d’espaces verts ignore tout naturellement que la floraison du colza dure de 4 à 6 semaines !!!
        Il n’y a donc pas de biais avec « 8 jours uniquement avec cette mixture (sucre + thiamethoxam). »

        1. Et? où sont les tapis d’abeilles mortes? 50% du colza a été traité au Cruiser cette année.

          1. Très nul karg, les effets sublétaux du thiamethoxam ne sont pas visibles par un « tapis d’abeilles mortes » !!!

          2. D’après les écologistes, des tapis d’abeilles mortes recouvre les champs de colza Cruiser.

          3. « D’après les écologistes… »

            ==>Encore de l’intox de la part de karg !!!

    3. L’avis de l’Anses aborde cette question. Si je ne me trompe pas, il dit que les abeilles des lots témoins aussi. Mais que rien ne prouve que celles des lots témoins et celles des lots exposés au thiamétoxam étaient dans le même degré « d’ignorance ».

      1. Le haut degré d’ignorance de Laurent Berthod ingénieur agrenoble sur ce sujet est bien une réalité indubitable!!!

    4. « Il y a un autre biais, et je trouve curieux qu’il n’ait pas été relevé. Les abeilles, saoulées ou non au thiamethoxam, étaient transportées à un kilomètre de la ruche. »

      ==>En bon alcoolique Wackes Seppi ignore que les abeilles peuvent retrouver facilement leur à cette distance !!!
      Les apiculteurs et les chercheurs savent très bien qu’il faut au moins 3 km de distance pour un nouvel emplacement de ruches afin d’éviter le retour des butineuses sur l’ancien emplacement !!!

      1. Oui bien entendu les abeilles sont souvent téléporté de façon aléatoire à plusieurs km de leur ruche.

        1. Formidable aveu d’ignorance de karg en matière d’apiculture !!!

          1. José Bové pense que les abeilles se téléportent de façon aléatoire hors de leur ruche, puis doivent rentrer par leur propre moyen. Tellement attardé qu’il ne se rend même pas pas compte des conneries qu’il écrit.

        2. Par exemple si l’on échantillonne un lot de butineuses tôt le matin la proportion des éclaireuses caste des abeilles les plus a même de retrouver leur ruche sera plus importante que celle des butineuses suiveuses que vers midi ou la proportion est radicalement a l’opposée
          Ainsi l’heure de la prise des échantillons doit être la même pour le groupe témoin et les autres si l’on ne veut pas fausser les résultats par ce biais aléatoire

  4. Ils n’ont qu’à l’interdire pendant 5 ans et ils verront que les abeilles disparaîtront tout autant!!!
    Nos gouvernants sont de plus en plus cons, mais où cela va t’il s’arrêter!!!

    1. Cela ne s’arrêtera pas. Et plus nos gouvernants ont passé une alliance politique et électorale avec les écolos, moins cela s’arrêtera !

  5. Sur la photo, notre ministre a le front bien soucieux. On le comprend. Redresser la production après les promesses démagogiques et l’alliance avec les écolos, c’est vraiment pas de la tarte ! (Du far breton, non plus !)

    1. Rendez-nous Sarkozy, le seul président légitime…

      Françaises, Français ! Vous savez ce qu’il vous reste à faire ce 10 juin.

      1. Je vais me permettre un commentaire politique.

        M. Sarkozy n’était déjà plus légitime au soir de son élection quand il l’a fêtée au Fouquet’s avec la classe possédante.

        Il l’était encore moins quand il est monté à bord du yacht de M. Boloré, tous frais payés par celui-ci.

        Et il ne l’était plus du tout au moment de sa prise de fonction, qu’il a transformée en fête de famille ou en pendaison de crémaillère.

        La droite devrait prendre acte, y compris de sa veulerie, tourner la page et se reconstruire un avenir. Désolé pour le gros mot, mais l’UMP n’a pas eu le courage de montrer la porte de l’entrée dans l’histoire à M. Sarkozy et de faire émerger un candidat rassembleur.

        1. Un français ayant atteint la magistrature surpême de son pays, avec tout l’énergie et le travail que cela demande, doit il aller fêter sa victoire au flunch pour que les médias ne l’harcèlent pas ? Il doit aussi surment prendre le train commr Mr. Ayrault, très « normalement » suivi d’une horde de journalistes. Ce n’est pas de la comm, pas du tout, Mr Ayrault lui est juste « normal » ! De plus, si on vous invite sur un yacht tout frais payé, je doute que vous refuseriez. Il aurait peut etre mieux valu que Mr Sarkozy attende de payer tout cela lui même au frais du contribuable ? Jamais content décidèment.

          Il faudrait cesser de jouer sur la forme et encourager ainsi l’hypocrisie de plus en plus courante en politique. Qu est ce qui est le plus honorable : être millionaire et se faire passer pour un français de la classe moyenne pour plaire au peuple ou avoir un bon niveau de vie et en profiter comme il se doit ?

          1. Dans les pays plus avancés, les ministres et présidents ne se comportent pas comme des monarques de droit divin, ils n’ont pas une suite de policiers, chauffeurs, cuisiniers et autre bagagistes derrière eux. Dans les pays anglo-saxon accepter de vacances payés par un chef d’entreprise est inacceptable, ça met en jeux l’indépendance du politicien.

            Sarkozy a

          2. Sarkozy a toujours été légitime, il a simplement était mauvais, c’est un autre débat.

        2. Monsieur Sarkozy a été élu avec 53 % des votes exprimés, Monsieur Hollande avec à peine 51,5 %. Au mode de scrutin uninominal à deux tours, chacun est aussi légitime que l’autre. Mais enfin, si certains commentateurs se demandent s »il y en a un plus ou moins légitime que l’autre, la réponse de l’électorat, donc du peuple, est claire.

        3. Alors Mr Hollande n’est pas légitime lui non plus.

          Puisqu’il déjeune régulièrement « Chez Laurent », le restaurant le plus cher de Paris.
          Puisqu’il a pris un avion privé (30 000 €) entre Tulles et Paris le soir de son élection.
          Puisqu’il a emmené sa « compagne » (fille de banquier, non divorcée) avec lui au sommet de l’Otan à Camp David…
          Puisqu’il c’est fait « offrir » une voiture par Citroên, alors que le parking de l’Elysée en contient 105….

          Alors quoi???
          Les Casseroles du nouveau président sont déjà légion en seulement 1 mois de présidence…
          Mais personne n’en parle. Et oui la presse est muselée par Mme Trierweiler, elle même journaliste, et qui en plus annonce doctement qu’elle continuera son métier durant la présidence….
          Drôle d’Ethique que tout cela…
          Drôle de « Normalité »…

          1. Non, non, la presse n’est pas muselée comme un rottweiler par Trierweiler. Elle est hollandomaniaque comme elle était sarkohaineuse. C’est ça, le journalisme à la française. ça relativise fortement la défaite de Sarko et la victoire de Flamby, le capitaine de pédalo brutalement promu amiral de la flotte.

          2. Oui, surtout que le Fouquet’s est un attrape touristes pour américains un peu friqués mais pas tant que ça et pas trop regardants sur la gastronomie. Tandis que « Chez Laurent » c’est la first classe pour l’addition et la qualité.

            Bon, on a eu le président bling-bling, on a le président « charme discret de la (grande) bourgeoisie » ! C’est ça l’alternance à la française, la seule chose qui compte, c’est les apparences.

          3. – et alors? il fait ce qu’il veut de son argent
            – et alors? l’avion a été payé par le PS, si ça gène pas les militants
            – et alors? En France l’union libre est reconnu, nous sommes un état laïc et tolérant
            – et alors? A chaque nouveau président le parc de voiture est renouvelé, en plus il a fait un excellent choix

  6. « expose les abeilles à des doses « supérieures aux doses que l’on trouve dans la réalité »  » A tel point que sur l’ensemble des indésirables du colza les insectes ciblés par le cruiser sont plutôt limités et que cela semble avoir pas mal déçu les utilisateurs…
    Il risque d’y avoir bien plus de jeunes « largués » avec la dépénalisation du cannabis que d’abeilles désorientées par le cruiser!

  7. @ Rageous,
    Très bonne remarque, la même expérience avec le cannabis et les jeunes que celle avec les abeilles et le cruiser montrerait qu’alors que les manips qu’a évalué l’ANSES ne montre rien de concluant, un doute, scientifique, subsiste, mais bien léger, pour le cannabis et les jeunes c’est tout autre chose.

    Avec la même expérience 50 % des jeunes dès le premier pétard de cannabis et un engin motorisé vont s’emplafonner un platane ( ceux qui restent), ou un mur. 25% vont emplafonner un gamin qui sort de l’école sur le passage clouté ou une vieille qui traverse la route au feu rouge. Le reste assurera la survie de l’engeance.

    Ms Duflot est donc antijeune ( et antivieux à 12.5%) dont elle veut progressivement l’extinction en distribuant du cannabis.

    Sa comparaison avec le tabac est stupide, le risque pour autrui avec le tabac met en danger les proches voisins lors de l’acte du fumeur et les enfants à naitre. Au-delà du fait que le tabac constitue la seconde cause de mortalité dans le monde, et le première en France. Ce n’est pas rien quand même: la première cigarette tue, mais le fumeur au premier chef et les enfants de celles qui fument avec.
    Pour l’alcool, c’est l’excès qui pose pb, au delà de 3 verres de vin (high consumption of alcohol), presqu’un médicament naturel à utiliser avec modération comme les données les plus récentes le mettent en évidence.
    “In conclusion, in this contemporary population of the United Kingdom, cigarette smoking, high consumption of alcohol, low consumption of fruits and vegetables, and low levels of physical activity are associated, both independently and when combined, with increased risk of premature mortality. Modest but achievable adjustments to lifestyle behaviors are likely to have a considerable impact at both the individual and population level. Developing more efficacious methods by which to promote healthy diets and lifestyles across the population should be an important priority of public health policy.http://archinte.jamanetwork.com/article.aspx?volume=170&issue=8&page=711
    « L’alcool, à des niveaux faibles, protège contre les maladies ischémiques et le diabète. Toutefois, la consommation d’alcool cause plus de problèmes sociaux et de santé qu’elle n’en prévient. Elle est associée à une soixantaine de maladies ainsi qu’à des blessures, des décès et des problèmes psychologiques et sociaux (…). Prévenir les problèmes liés à la consommation d’alcool ne signifie pas de promouvoir l’abstinence. Il s’agit plutôt de créer un environnement social où on ne considère pas l’alcool comme un « produit de consommation ordinaire », pour reprendre l’expression des experts internationaux » (April, Bégin et Morin, 2010,http://www.agencelanaudiere.qc.ca/ASSS/Publications/Fascicule%20-%20Les%20facteurs%20de%20risque-VERSION%20FINALE.pdf
    p. 71 et 73). »

    Ms Duflot n’a en charge ni la santé, ni la circulation automobile, sage décision du gouvernement Hollande.

    1. @ Alzine :

      « …. le risque pour autrui avec le tabac met en danger les proches voisins lors de l’acte du fumeur et les enfants à naitre.

      °°°°° Parce qu’il n’y aurait pas de risque de cannabisme passif?? Curieux, non?

      1. http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/tabac/03_le-narguile-la-chicha-attention-tres-tendance-chez-les-jeunes.php3

        La chicha

        La chicha est composée de 25% de tabac mélangée à de la mélasse et un arôme de fruits qui lui donne ce côté acidulé et parfumé qui trompe les fumeurs et qui leur paraît anodin pensant que cette agréable sensation ne peut pas être provoquée par des produits toxiques.
        • Les risques de la chicha sur la santé, comme l’augmentation de cancers, de bronchites chroniques, ou de problèmes cardiovasculaires ont été mis en évidence.
        • Des mesures révèlent que l’augmentation du monoxyde de carbone expiré à la fin d’une chicha équivaut à celle observée lors de la consommation de 2 paquets de cigarettes.
        • Un millilitre de fumée de narguilé contient plus d’un million de microparticules.
        • 30 à 50 bouffées de chicha inhalées sur une durée moyenne de 1 heure, équivaut à 2 paquets de cigarettes
        • Le taux de monoxyde de carbone inhalé dans le narguilé est 7 fois supérieur que dans la fumée d’une cigarette
        • Fumer le narguilé expose à des risques de transmission microbienne, comme la tuberculose, car les fumeurs utilisent le même embout.
        • La fumée d’une chicha délivre autant de pollution au monoxyde de carbone (CO) que 15 à 52 cigarettes.
        • La fumée dégagée par la chicha est une source de pollution passive dans les lieux clos.
        • Il est désormais interdit, depuis le 1 er Janvier 2008, de fumer de la chicha dans les bars : les lieux ouverts spécialement destinés au narguilé seront interdits.

        Le cannabis

        Le cannabis a longtemps été considéré comme moins toxique que le tabac et l’alcool.
        • Entre 2000 et 2005, le nombre de fumeurs réguliers de cannabis a fortement augmenté, passant de 3,8% à 5,9%.
        • La baisse du prix du cannabis au cours de ces dernières années a contribuer à augmenter sa consommation
        • 12,4 millions de Français âgés de 12 à 75 ans ont déjà consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie.
        • L’âge moyen du premier joint est de 15 ans.
        • 1,2 millions de personnes en fument régulièrement, au moins dix fois par mois et 26,9% des adultes en ont déjà consommé, d’après les données 2005 de l’Ofdt (Observatoire français des drogues et des toxicomanies). Une proportion qui est nettement plus élevée chez les moins de 17 ans, les jeunes Français étant parmi les plus gros consommateurs de cannabis en Europe.
        • Près d’un jeune sur deux a déjà fumé du cannabis et 10,8% en fument régulièrement (chiffres 2005, OFDT, Observatoire français des drogues et des toxicomanies)
        • La moitié des jeunes âgés de 17 ans fumant du cannabis présentent des problèmes sociaux.
        • Souvent banalisée et considérée comme peu nocif, la consommation de cannabis a de graves effets sur la santé.
        • Le cannabis brûle moins que le tabac et produit davantage de gaz carbonique.
        • Fumer un joint équivaut à fumer entre 2,5 et 5 cigarettes de suite.
        • L’effet néfaste sur les poumons (sifflements, toux..) serait directement proportionnel au nombre de joints fumés.
        • Les fumeurs de tabac consommant également du cannabis aggravent les effets néfastes sur les poumons et multiplie par 3,5 les risques de bronchite chronique.
        • Des stages payants seront proposés aux consommateurs de produits stupéfiants pris en flagrant délit: ces satges, particulièrement destinés aux jeunes consommateurs de cannabis, devront leur permettre de les sensibiliser aux dangers de ces produits.
        • D’autre part, les résultats d’une analyse de 35 études scientifiques publiées dans la revue Lancet en Juillet 2007 au sujet du cannabis ont montré que la consommation de cannabis augmenterait de 40% les risques de développer une maladie mentale et de troubles psychologiques proportionnels à la quantité de cannabis consommée : le risque de souffrir de schizophrénie, d’hallucinations ou de toute autre psychose augmenterait de 50 à 200% chez les très gros fumeurs de cannabis
        o Une étude parue en 2006 dans la revue Neurology et effectuée par une équipe de chercheurs a mis en évidence les effets du cannabis sur la mémoire avec une perte de 50% de la mémoire immédiate chez les grands consommateurs, les aptitudes intellectuelles, l’activité verbale et l’attention.
        • Les usagers de cannabis arrêtés en flagrant délit devront participer à un stage de prévention dont le coût pourrait atteindre 450E.

        Paris – Relax news/Santé-Médecine.net) –
        • Fumer du cannabis serait 20 fois plus dangereux pour la santé, à dose égale, que fumer du tabac, selon une étude néo-zélandaise publiée en Janvier 2008 par le Journal Européen de Pneumologie (ERJ). D’après les auteurs de ces travaux réalisés auprès de 79 patients atteints d’un cancer des poumons, la fumée du cannabis serait deux fois plus concentrée en carcinogènes que celle du tabac. La « façon de fumer » serait également en cause: les joints sont généralement fumés sans filtre correct, et jusqu’au bout, ce qui augmente la quantité de fumée avalée.
        Les chercheurs évoquent désormais une « épidémie » de cancers des poumons directement liés à la consommation de cannabis.
        Dans le groupe étudié, le risque de cancer des poumons était multiplié par 5,7 chez ceux qui avaient fumé plus d’un joint par jour pendant dix ans, ou deux joints par jour pendant cinq ans. Les auteurs de l’étude estiment qu’un cancer des poumons sur vingt en Nouvelle-Zélande pourrait être directement lié au cannabis.( sources Relax News Janvier 2008)
        Réalisé en collaboration avec des professionnels de la santé et de la médecine, sous la direction du docteur Pierrick HORDE
        Dernière modification le vendredi 16 mars 2012 à 09:14:15 par Jeff

        1. Le cannabis
          La consommation de cannabis constitue un facteur de risque
          • la fumée de cannabis contient quatre fois plus de goudrons que celle du tabac et plus de substances cancérigènes
          • Le principe actif du cannabis, le THC, dilate les bronches facilitant ainsi la pénétration de la fumée et de ses toxiques.

          La consommation de cannabis fumé
          favorise-t-il le cancer du poumon ?
          Bien que les données soient encore limitées, différentes études
          ont suggéré que le cannabis fumé peut être un facteur de
          risque pour le cancer du poumon (Sasco 2007). Une métaanalyse
          américaine de 2006, portant sur 19 études, indique
          que le goudron et la façon de consommer du cannabis (profondeur
          de l’inhalation et rétention de la fumée plus prolongée)
          favorise les risques carcinogènes (Mehra 2006).
          Une étude parue en 20083 montre que la consommation de
          cannabis multiplie par 5,7 le risque de cancer du poumon
          chez les forts utilisateurs (plus de 10 joints année, soit un
          joint par jour pendant 10 ans) par rapport à des personnes
          qui n’en ont pas usage. L’étude ne trouve pas d’augmentation
          du risque chez les faibles consommateurs (Aldington 2008).
          D’après une étude du groupe de travail duCIRCmenée en Tunisie,
          on ne peut pas conclure sur la relation entre la consommation
          de cannabis et le risque de cancer du poumon. L’Odds
          Ratio (ajusté sur l’âge, la consommation de tabac et les expositions
          professionnelles) est de 4,1 pour les personnes ayant
          consommé du cannabis.Cependant, il n’y a pas de dose-réponse
          observée entre le risque du cancer de poumon et l’intensité et
          la durée de consommation du cannabis (Voirin 2006).
          Deplus, laphase goudronneusede la fuméede cannabis contient
          la plupart des carcinogènes de la fumée de tabac (nitrosamines,
          phénols, aldéhydes) et 50 % en plus d’hydrocarbures polycycliques
          aromatiques que la fumée de cigarette (Sasco 2003).

          1. http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/cannabis/thc2.htm

            Cette expérience montre que le THC augmente la tumoréginicité chez les souris immunocompétentes : ces tumeurs se développent de manière bien plus importante en présence de THC.
            Cet effet n’est pas présent chez des souris déficientes au niveau du système immunitaire : Ceci suggère que le THC pourrait agir comme un immunosuppresseur, c’est à dire qu’il réduirait la réponse immunitaire présentée normalement par une souris face au développement d’une tumeur. Les souris SCID ne possédant pas une telle immunité antitumorale, le THC n’aurait alors pas d’effet sur elles…
            Cette expérience confirme que le THC a pour action de diminuer la réactivité des lymphocytes T. Ceci est confirmé par une expérience complémentaire : si l’on prélève des lymphocytes T, puis qu’on les injecte dans une souris ayant reçu des cellules cancéreuses, on observe un développement important des tumeurs (semblable à ce que l’on observait chez les souris traitées par le THC).
            V- Conclusion
            Les expériences présentées ici montrent un effet du THC, composé actif du Cannabis, sur les lymphocytes T. En modifiant les secrétions de cytokines, dans le sens d’une inactivation de ces cellules, le THC a pour effet de diminuer la réaction anti-tumorale, intervenant lors de la réponse immunitaire face au développement d’un cancer. Ces résultats confirment d’autres résultats, qui donnent au THC un effet immunosuppresseur. Il est intéressant de noter que le THC produit cet effet immunosuppresseur par le biais des lymphocytes T. Ceci démontre, une fois encore, le rôle fondamental de ces cellules lors d’une réponse immunitaire.
            Le THC agit ici probalement grâce au récepteur CB2 (le récepteur intervenant dans le cerveau est le récepteur CB1). On peut discuter sur les méthodes employées ici (injection de THC, et non respiration de fumées, etc.), mais les doses employées (5 mg/kg) présentent la caractéristique intéressante d’être cohérentes avec les doses que s’administre un fumeur régulier.
            Ce résultat est particulièrement intérressant lorsque l’on se rappelle que la fumée de marijuana présente 4 fois plus de goudrons que la fumée du tabac (environ 50 mg de goudrons dans un joint, contre 12 mg pour une cigarette de tabac). Le Cannabis semble ainsi plus cancérigène que le tabac, pouvant être à l’origine de cancer des voies respiratoires (en particulier des poumons). En effet, en plus de cette teneur en goudrons, la concentration en produits cancérigènes est plus élevée dans une cigarette de Cannabis que dans une cigarette de tabac. Enfin, les effets bronchodilatateurs du THC pourraient favoriser la rétention des goudrons au niveau des voies aériennes supérieures… L’intérêt particulier de l’étude présentée ici est, dans cette optique, que ces travaux ont été menées avec des cellules tumorales de lignées de cancer du poumon…

  8. Bonsoir à tous,

    Pour tout ceux que cela intéressent voici un mail que Syngenta a envoyé à de nombreux agriculteurs francais dont je fais parti.

    Trop c’est trop ! Plus de 100 millions d’euros de pertes pour l’agriculture sans amélioration de la santé des abeilles

    Alors que le ministère de l’agriculture vient de faire part de son intention de retirer l’autorisation de Cruiser OSR, produit de protection des semences de colza à base de thiaméthoxam, Syngenta dénonce une décision illogique, motivée par une seule expérience non validée et très éloignée de la pratique, en totale contradiction avec des années d’observations terrain en France et en Europe.
    Refus récurrent du progrès et des technologies, perte de compétitivité de la ferme France, est-ce ainsi que le consommateur français pourra continuer à bénéficier d’une alimentation de qualité, en quantité et à prix abordable ?

    Une décision illogique prise sur la base d’une dose non réaliste
    L’étude publiée dans Science, sur laquelle s’appuie le ministère pour remettre en cause l’autorisation de Cruiser OSR, se base sur une unique dose administrée aux abeilles largement plus élevée que celle qu’elles pourraient ingérer en butinant du nectar de colza protégé Cruiser OSR.

    L’Agence de Sécurité (ANSES) confirme son évaluation du Cruiser OSR
    L‘avis de l’ANSES, remis au ministre le 31 mai dernier, souligne que « Les résultats présentés dans l’étude ne sont pas considérés comme remettant en cause les conclusions de l’évaluation des risques menée selon les critères réglementaires actuels dans le cadre du dossier de demande d’autorisation de mise sur le marché de la préparation Cruiser OSR ». L’avis de l’ANSES confirme que la dose utilisée dans l’expérience est très largement supérieure à celle mesurée en pratique, de quatre à dix fois plus élevée que celle constatée sur le terrain dans les conditions habituelles.

    Il est bien certain qu’on risque d’être beaucoup plus désorienté quand on a bu vingt verres de vin en deux minutes que lorsqu’on en a bu deux en un après-midi !

    Cet avis confirme également les éléments du dossier d’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui incluent les résultats du suivi sur quatre années de colonies d’abeilles butinant du colza en conditions réelles, soit 20 générations successives d’abeilles. Aucune baisse du poids des colonies (avis ANSES du 15/10/2010) n’a été notée, confirmant bien un retour normal à la ruche des butineuses.

    La preuve sur 650 000 hectares, soit l’équivalent de onze départements français
    En 2011-2012, 650 000 hectares de colza, soit près d’un hectare sur deux, ont été semés en France avec des semences protégées Cruiser OSR. Aucun incident n’a été relevé en lien avec son utilisation. En Europe, ce sont 2,7 millions d’hectares qui ont été cultivés sans problème. A titre d’exemple, le produit est homologué et utilisé en Allemagne à grande échelle sur colza depuis 2004 et donne entière satisfaction en totale sécurité.

    Les alternatives : les traitements en végétation ! Est-ce vraiment aussi efficace et plus sûr ?
    Cruiser OSR est une unique solution pour protéger la semence et la jeune plantule contre le mildiou, le pythium et les fontes de semis mais également contre les insectes ravageurs de l’automne : pucerons vecteurs de viroses, tenthrède de la rave, altises. Cette technologie réduit le nombre de passages insecticides réalisés par l’agriculteur au champ, et n’est parfois pas remplaçable par des technologies existantes (certains ravageurs, pythium, fonte de semis).
    Par ailleurs, cette décision de retrait conduirait à l’utilisation d’insecticide moins performant en protection des semences et à l’utilisation plus intensive d’insecticides foliaires qui accélèrerait le risque de développement de résistances, sans pour autant compenser la plupart des avantages apportés par Cruiser OSR. Cruiser OSR, c’est au final un meilleur respect de l’environnement, une application de produits phytosanitaires plus précise, moins de consommation d’énergie et moins de temps de travail, autant d’arguments qui correspondent parfaitement aux objectifs des agriculteurs et de la société.

    Redressement productif de la France, compétitivité et croissance sont à l‘ordre du jour : gain ou perte de 100 millions d’euros pour l’agriculture, le secteur agro-alimentaire et au final les consommateurs, voire les contribuables. A vous de choisir !
    Cruiser OSR sécurise le rendement. Sur la base de 27 essais, il apporte un bénéfice moyen de rendement de plus de deux quintaux par hectare par rapport aux stratégies alternatives existantes. Pour chaque producteur de colza, un retrait se traduirait donc par une perte estimée à 100 euros à l’hectare, soit, en moyenne, plus de 3 000 euros. Pour l’ensemble de la filière, cela représente une perte estimée à 100 millions d’euros.

    Où se cache le vrai problème de la mortalité des abeilles ?
    Pour une large communauté scientifique, et pour de nombreux apiculteurs, il est désormais admis que le déclin constaté des populations d’abeilles relève de causes multiples : déficit d’alimentation, parasitisme mal maîtrisé dont le varroa ou la nosémose, expansion dramatique du frelon asiatique… Une chasse aux sorcières focalisée sur la seule technologie de protection des semences de colza s’apparente à une recherche de bouc-émissaire médiatique et ne résoudra rien !
    Il faut au contraire continuer à travailler ensemble efficacement sur cet aspect multifactoriel et à unir nos forces sur ce dossier pour trouver des solutions réellement efficaces aux véritables causes de mortalité des abeilles.

    Syngenta, un acteur engagé pour la biodiversité
    Attentif aux enjeux de la pollinisation pour l’agriculture, le groupe Syngenta est également très fortement engagé dans des recherches pour trouver les solutions nécessaires à la lutte contre le varroa et la nosémose, pathogènes intervenant dans la surmortalité des abeilles.
    Plus largement, convaincu de l’importance extrême de la préservation de la biodiversité pour l’agriculture dans le monde, et pour la ferme France en particulier, Syngenta consacre tous les ans 10% de son chiffre d’affaires à la recherche pour apporter en permanence aux agriculteurs les technologies toujours plus performantes et respectueuses de l’environnement dont ils ont besoin pour améliorer leur compétitivité.

    Découvrir les actions de Syngenta

    Syngenta Agro S.A.S. 1, avenue des Prés – CS 10537 – 78286 Guyancourt Cedex. Tél. : 01 39 42 20 00; Fax : 01 39 42 20 10. Capital social : 22 543 902,80 Euros ; Siren B 433 886 934 RCS Versailles ; TVA FR63433886934.
    Syngenta Seeds S.A.S. 12, chemin de l’Hobit – 31790 SAINT SAUVEUR. Tél. : 05 62 79 98 00; Fax : 05 62 79 99 90.Capital social : 50 745 240 Euros ; Siren 443 716 832 RCS Toulouse – TVA FR11443716832
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    1. « …une unique dose administrée aux abeilles largement plus élevée que celle qu’elles pourraient ingérer en butinant du nectar de colza protégé Cruiser OSR. »

      ==>Syngenta raconte n’importe quoi dans le but d’exploiter honteusement les agriculteurs !!!

      Les scenarii d’exposition réalisés à partir d’une méthode validée établissent, pour un colza d’hiver traité par Cruiser OSR®, des doses de résidus de thiaméthoxam comprises entre à 0,20 et 2,38 ng/abeille/jour pour une butineuse de nectar. ( Rortais A., Arnold G., Halm M. P., Touffet-Briens F. (2005). Modes of honeybees exposure to systemic insecticides: estimated amounts of contaminated pollen and nectar consumed by different categories of bees, Apidologie 36:71–83).

      La dose étudiée ici (INRA-CNRS, ACTA, ITSAP-ADAPI), de 1,34 ng/abeille de thiaméthoxam, est comprise dans cette gamme et montre des effets négatifs sur le succès de retour des butineuses à leur ruche.

        1. « la publication en question c’est l’imidaclopride sur le maïs »

          ==>Karg toujours aussi nul n’a rien compris !!!

          « Le but de notre étude était de proposer des modes possibles d’exposition des abeilles aux insecticides systémiques. Basées sur les données disponibles dans la bibliographie, ces expositions sont déterminées en estimant les quantités de nectar et de pollen consommées par les abeilles » ( Rortais A., Arnold G., Halm M. P., Touffet-Briens F)

          1. T’es vraiment un enfoiré et un abruti totale, les scientifiques qui ont publiés ça n’ont absolument pas proposé un modèle prédictif applicable sur tous les néonics et sur toute les cultures. Ils n’ont fait que débroussailler le travail sur le maïs pour le gaucho. Extrapoler sur une autre molécule et une autre culture, ce n’est qu’un délire de ton esprit malade et de « scientifiques » ultra partisans d’un certain labo de l’INRA.

          2. Chez karg la culture de l’injure et de l’ignorance l’emporte sur le besoin de s’informer !!!

            « Les scenarii d’exposition réalisés à partir d’une méthode validée… » (ITSAP)

          3. Validé? pour un autre produit, sur une autre culture, et encore, il n’y pas eu d’autre expertise, c’est qu’un avis. Où dans leur rêve, l’ANSES et l’EFSA ne partage pas leur opinion.

          4. «… l’ANSES et l’EFSA ne partage pas leur opinion »

            ==>Encore de l’intox !!! Chez karg c’est une habitude !!!

          5. T’a qu’a lire l’avis pauvre con. A oui j’oublié, tu ne sais pas vraiment lire en fait.

          6. Dans l’avis de l’ANSES et de l’EFSA il n’y a pas d’injures montrant qu’ils ont une opinion différente !!!

  9. @ Zygomar,
    Certes, certes, mais l’auto-emplafonnement des jeunes, l’emplafonnement des écoliers et des vieilles grand-mères, c’est en plus par rapport aux méfaits, nombreux comme vous le démontrez avec autant de détails tous plus croustillants: cancer du poumons, baisse de l’immunité, maladies mentales, schizophrénie, etc, etc…du cannabis sur le fumeur.
    En fait ces méfaits là, sur la santé des fumeurs de joins, on en a rien à foutre, le cannabis est interdit, un point c’est tout. Seul inconvénient, comme pour les idées chères à Brassens, c’est de mort lente.
    En revanche, les écoliers à la sortie de l’école et les mémés au feu rouge, c’est pas bien du tout, faudra le dire à Ms Duflot.

    @ ME51
    http://www.club-ceres.fr/home/www/www.club-ceres.eu/web/Applications/MAMP/htdocs/wordpress/wp-content/uploads/2009)/2012/01/C%C3%A9r%C3%A8s-FT14-La-sant%C3%A9-des-abeilles.pdf

    Tout y est dit et bien dit.

    1. Le virus « deformed wing virus » (DWV) était déjà bien présent et connu avant le « colony collapse disorder ou CCD, observé depuis 2005, marqué par la disparition soudaine dans les ruches de millions d’abeilles adultes. »

      1. Si tu avais lu la publication (ce que tu ne fais jamais, vu les conneries que raconte sur celle que tu balance), tu saurais que c’est justement une modification des équilibres intra et extra spécifique entre les virus qui provoquent une explosion de la charge virale en DWV puis les mortalités, et que varroa est le déclencheur de cette perturbation. Bien évidement tous ceci dépasse largement tes capacités intellectuelles faible, de toute façon bridé par ton esprit endoctriné et névrosé.

        1. karg persiste à montrer son ignorance sur un sujet qui le dépasse !!!
          Le virus « deformed wing virus » (DWV) ne cause aucun dommage aux abeilles nées avec les ailes parfaitement formées.
          Il ne peut donc pas causer la disparition des abeilles capables de voler que l’on constate dans le CCD!!!

          1. T’es vraiment débile inculte et suffisant, les mortalités sont asymptomatiques, quand la charge virale dépasse le seuil critique le virus tue bien avant de provoquer des malformations, qui sont plutôt le signe d’une contamination chronique classique. Les CCD c’est des abeilles capables de voler? Faut arrêter les sels de bains mon pauvre, l’essentiel des CCD c’est des mortalités hivernales anormales (30 à 90% contre moins de 10% normalement). Les ruches qui se vident en pleine saison, c’est du fantasme d’illuminé comme toi.

          2. « le virus tue bien avant de provoquer des malformations qui sont plutôt le signe d’une contamination chronique classique »

            ==>Karg a vu cela dans quelle publication scientifique ???

            « Les CCD c’est des abeilles capables de voler? »

            ==>karg est un grand ignorant !!!

            « l’essentiel des CCD c’est des mortalités hivernales anormales »

            ==>Avec des abeilles parfaitement capables de voler !!!

            « Les ruches qui se vident en pleine saison, c’est du fantasme »

            ==>Pas du tout, les apiculteurs américains ont été les premiers à le constater !!!

          3. => C’est justement expliqué dans cette publication, cité dans l’étude à Hawaï:
            J. R. de Miranda, E. Genersch, J. Invertebr. Pathol. 103 (suppl. 1), S48 (2010).
            http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19909976
            Les mortalités par DWV ne sont pas forcément symptomatiques, évidement pour un crétin comme toi c’est hors de portée.

            => Des ruches qui se vident en cours de saisons, c’est du pipo pour attirer le gogo écogiste, la réalité de l’apiculture c’est des mortalités hivernales hors de contrôle. T’a qu’a regarder les chiffres diffusés par les syndicats, 60% de mortalité hivernales dans certaines régions, c’est ça le problème.
            http://www.rts.ch/info/sciences-tech/4011954-hiver-fatal-pour-la-moitie-des-colonies-d-abeilles-en-suisse.html
            50% de mortalité hivernale cette année en Suisse, c’est des abeilles qui partent de la ruche en plein hiver? T’a déjà vu une abeille voler entre 10°C et -20°C? Sans doute dans ton cerveau dérangé.

          4. « C’est justement expliqué dans cette publication, cité dans l’étude à Hawaï »

            ==>Les auteurs ne parlent pas de « malformations qui sont plutôt le signe d’une contamination chronique classique » !!!
            Karg est encore victime d’hallucinations !!!

            « Des ruches qui se vident en cours de saisons, c’est du pipo »

            ==>Ignorance persistante chez karg !!! http://www.youtube.com/watch?v=vdWUohunK1c

            « la réalité de l’apiculture c’est des mortalités hivernales hors de contrôle »

            ==>Comment fait-on pour contrôler les mortalités hivernales ???

            « T’a déjà vu une abeille voler entre 10°C et -20°C? »

            ==>Encore un aveu de totale ignorance du comportement des abeilles !!!

  10. « Le gouvernement n’entend pas interdire pour l’heure le pesticide Cruiser, suspecté de contribuer à la mortalité des abeilles. Des recherches doivent être d’abord menées à terme en Suisse avant toute décision, a dit hier le conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann. Selon lui, les méfaits du thiaméthoxame sont sans commune mesure avec les 100 000 colonies perdues en raison du parasite varroa. »

    La Tribune de Genève, 12 juin 2012

    1. Personne n’a encore démontré que varroa est réellement responsable de la mort de 100 000 colonies en Suisse.

        1. Jean-Daniel Charrière oublie les effets néfastes des traitements tardifs contre Varroa avant l’hivers a base d’acide oxalique
          Cet acide provoque des lésions irrémédiables dans les tissus des abeilles qui doivent résister a la longue période hivernale et redémarrer la colonie au printemps suivant
          Le parasite N.cerana est également présent en Suisse et cela explique probablement aussi les pertes importantes de ruches dans ce pays

        2. Jean-Daniel Charrière a notamment pour fonction la délivrance des AMM pour les phytos en Suisse, il a donc intérêt à mettre en avant le varroa comme cause de mortalité des abeilles s’il veut conserver son job !!!

          1. Les escrologistes ont pour fonction de dénigrer tous les produits « chimiques », ils ont donc intérêt à mettre en avant les pesticides comme cause de la mortalité des abeilles s’ils veulent garder leur job, leur religion, leur fond de commerce et l’argent que les gogos leur donnent à chacune de leur campagne de racket.

          2. Dans ton esprit malade t’a même pas eu idée qu’interdire à tout va est aussi un bon moyen de conserver ce genre de job compte tenu de la dictature biobio imposé par les médias.

          3. L’Anses Sophia Antipolis, Laboratoire de Référence de l’Union Européenne sur la santé de l’abeille (LRUE Bee health), Laboratoire National de Référence (LNR) et laboratoire OIE (Office Internationale des Epizooties) pour les maladies des abeilles a inscrit les pesticides dans la liste des causes de mortalités des abeilles !!!

          4. Tien maintenant ce que raconte des organismes officiels ça te plait? T’es vraiment culotté, d’autant plus qu’ils n’attribuent pas forcément ça aux néonics, mais aussi aux produits anti varroa très mal utilisé par beaucoup d’apiculteurs.

          5. miniTAX a écrit le 15 juin 2012 à 9:10 :

            « Les escrologistes ont pour fonction de dénigrer tous les produits « chimiques »…

            Et quand ils sont à court d’arguments et particulièrement malhonnêtes comme ce Monsieur auquel miniTAX a répondu, les hommes.

            En Suisse, les AMM sont délivrées par l’OFAG.

          6. Mr Charrière est collaborateur dans le projet « Recherches apicoles » au sein de l’unité « Sécurité et qualité » rattaché à la station de recherche ALP-Harras / Agroscope Liebefeld-Posieux ALP. De 2008 à 2011 il faisait partie du groupe « Centre de recherches apicoles » et pour 2012-2013 du groupe « Abeilles ».

            Il n’est ni évaluateur ni signataire des décisions d’AMM délivrées par l’OFAG.

          7. karg se dit :« qu’ils n’attribuent pas forcément ça aux néonics »

            ==>Et inversement!!!

            NOAEL dit :« Il n’est ni évaluateur ni signataire des décisions d’AMM délivrées par l’OFAG. »

            ==>Et comment fonctionne l’OFAG ???

      1. @ José.B
        14 juin 2012 à 8:21
        « Personne n’a encore démontré que varroa est réellement responsable de la mort de 100 000 colonies en Suisse »

        +++>> Encore une preuve que vous ne faites qu’éructer des idioties sans même chercher à cous renseigner au préalable:

        http://www.terrenature.ch/nature/24052012-0000-interview-de-jean-daniel-charriere

        Interview de Jean-Daniel Charrière

        Quel est le bilan des pertes de colonies d’abeilles à la sortie de l’hiver 2011-2012?

        Sur l’ensemble du territoire suisse, près de 50% des colonies ont été décimées. L’enquête a été effectuée auprès de 1000 ruchers de tous les cantons suisses, situés à une altitude comprise entre 200 et 1700 m.====>> Environ 100 000 colonies ont été détruites en Suisse, ce sont les plus graves pertes enregistrées depuis cinq ans.

        Du point de vue financier, cela équivaut à un préjudice de près de 25 millions de francs, que les apiculteurs doivent supporter eux-mêmes. En Suisse romande, le canton de Fribourg a particulièrement souffert, avec 65% de pertes.

        Le climat a-t-il joué un rôle plus important pour cette période?

        ====> Oui, il a facilité le développement des varroas,====>> qui restent la cause principale des pertes enregistrées. La précocité et la douceur du printemps 2011 ont incité les colonies à un élevage intensif de couvains très tôt dans la saison, ====>> ce qui a permis au varroa de se multiplier rapidement. On estime que====>> la population de ces acariens a pu doubler par rapport aux autres années. Avec un automne 2011 particulièrement clément, il y a eu de très bonnes conditions de vol jusque tard dans la saison, ====>> ce qui a favorisé le transfert de varroas d’une colonie à une autre. Des ruchers correctement traités ont ainsi à nouveau été infestés.

        Quelles sont les recommandations que vous adressez aux apiculteurs pour la saison à venir?
        D’adopter une stratégie de lutte globale et cohérente avec des traitements pointus et une surveillance active, mais aussi de coordonner cette lutte à l’échelle d’une région. Les traitements sont inefficaces s’ils ne sont effectués que partiellement! Nous préconisons également la coopération et l’entraide entre apiculteurs. Nous incitons les producteurs qui possèdent encore des jeunes colonies à les mettre à disposition de ceux qui ont tout perdu. Du côté de la recherche, nous allons tester l’efficacité de traitements coordonnés dans le Seeland bernois. Parallèlement, nous continuons à développer la lutte biologique au moyen de champignons et à étudier les mécanismes qui pilotent la reproduction de l’acarien de manière à la bloquer.
        Propos recueillis par Claire Muller
        Terre&Nature, le 24 mai 2012

        1. Trop facile d’accuser le varroa !!!
          Jean-Daniel Charrière ne peut pas être crédible dans cette affaire car :

          1) Il s’appuie sur une simple enquête de mortalité auprès de 1000 ruchers, donc sans aucune investigation scientifique précise sur chacune des 100 000 colonies qui ont été détruites en Suisse !!!

          2) Il est incapable d’expliquer pourquoi dans les mêmes conditions la moitié survivante des colonies n’a pas été décimée par le varroa !!!

          1. 1) C’est toujours mieux qu’expliquer une phénomène mondial avec 50 abeilles dans un schéma expérimentaux amplifiant d’un facteur dix un élément, sachant que la mortalité est aussi présente dans des zones où ce paramètre est inexistant.

            2) Et? en biologie le 100% ça n’existe pas, y comprit en pathologie. Il y a toujours une interaction complexe entre le milieu interne, le ou les pathogènes et le milieu externe. C’est une base en médecine, mais comme toute les connaissances fondamentales, tu en est dépourvu.

  11. karg

    « Tien maintenant ce que raconte des organismes officiels ça te plait? T’es vraiment culotté…. »

    °+°+°+° Vous en êtes encore à perdre votre temps et votre bon sens à prêter attention aux propos d’ivrogne de ce pauvre type dont le seul intérêt est de tenter de se faire plaisir en semant la merde dans les disussions sur des sujets dont il n’a pas la moindre connaissance (il ne comprend à l’évidence même pas de qu »il glane sur Internet). Simplement pour emmerder le bazar.

    1. Revoilà zigomar, égal à lui-même et qui n’a toujours rien d’intéressant à dire sur le sujet !!!

      1. Avec tous ces arguments puisés dans le caniveau zigomar est le meilleur dans sa catégorie !!!

      2. Karg est un adepte des boissons les plus inattendues !!! Cela explique la cause de ses hallucinations !!!

  12. @ José.B

    « T’a déjà vu une abeille voler entre 10°C et -20°C? »

    ==>Encore un aveu de totale ignorance du comportement des abeilles !!!

    °+°+°+° Evidemmment vous avez un argument irréfutable pour soutenir vous affirmation insultante pour Karg? Merci de nous la fournir. On apprendra au moins enfin quelque chose de sérieux de votre part.

    1. Demandez donc à karg pourquoi il est incapable de citer une publication irréfutable confirmant ses propos !!!

    2. Karg fanfaron très érudit en matière d’injure n’a pas encore réussi à le démontrer !!!

      1. J-Bourré ne sait même pas que les abeilles ne sortent pas quand les températures sont trop basse, et il donne des leçons d’apiculture.

        1. La girouette karg orientée par le vent de l’ignorance est parti de « T’a déjà vu une abeille voler entre 10°C et -20°C? » pour arriver à « les abeilles ne sortent pas quand les températures sont trop basse » !!!

          1. José.B

            La girouette karg orientée par le vent de l’ignorance est parti de « T’a déjà vu une abeille voler entre 10°C et -20°C? » pour arriver à « les abeilles ne sortent pas quand les températures sont trop basse » !!!

            ===> Et alors? Qu’y at-il de faux dans ce que dit Karg?

            1. L’usage intensif de drogue dure l’empêche de comprendre quoique ce soit, de fait il ne comprend pas que ces deux phrases sont absolument compatibles.

              1. Et cette compatibilité de circonstance confirme l’ignorance affichée de karg !!!

            2. Qu’y a-t-il de vraiment conforme à la réalité dans ce que dit karg ???

  13. http://www.rustica.fr/articles-jardin/lecon-meteo/abeilles-sensibles-temps,2860.html

    Les abeilles sensibles au temps
    Un orage est imminent ? En rentrant en nombre à la ruche, les butineuses vous le font savoir.
    Abeilles – C. Hochet – Rustica

    }}}}<< Les abeilles sortent butiner quand la température extérieure dépasse 13 ou 14 °C

    et que le vent est limité. Il est vrai que ces insectes sont assez fragiles et peuvent parcourir jusqu’à 3 km pour chercher leur butin. La période estivale leur est plutôt favorable. Mais les butineuses n’apprécient pas pour autant les grosses chaleurs. Les abeilles doivent alors sortir de la ruche et s’accumuler autour de l’entrée : elles font la “barbe”, c’est-à-dire qu’elles restent en grappe à l’extérieur de la ruche et battent des ailes avec un bruissement caractéristique pour éviter que la température interne de la ruche ne s’élève trop. Si elles n’y parviennent pas, les insectes quittent la ruche. À l’inverse, un temps pluvieux empêche les butineuses de sortir. Mais une pluie n’est vraiment gênante pour la colonie que lorsqu’elle dure, car les animaux sont vite privés d’apport de pollen et de nectar. Entre avril et la mi-juillet, l’essaimage (la migration de la colonie en essaim) se produit pendant la journée, le plus souvent entre 10 h et 16 h, avec une plus grande fréquence en début d’après-midi si les conditions météorologiques sont très bonnes.

    Alain Delavie

    1. C’est qui Alain Delavie ? Un apiculteur reconnu compétent ? Un scientifique spécialiste des abeilles ?

      Extrait de son ignorance : « elles font la “barbe”, c’est-à-dire qu’elles restent en grappe à l’extérieur de la ruche et battent des ailes avec un bruissement caractéristique… »

      Les abeilles qui font la “barbe” ne battent pas des ailes, ce sont d’autres abeilles alignées généralement sur la planche de vol qui le font pour réguler la température intérieure de la ruche!!!
      Cet individu gagnerait beaucoup dans la connaissance des abeilles en s’installant avec un thermomètre devant une ruche et dans toutes les conditions météo!!!

      1. @ José.B

        Il faut probablement échappé que l’article dont j’ai donné copie ainsi que la référence électronique était tiré de Rustica qui est un magazine destiné aux jardiniers amateurs et non à des professionnels.

        Alain Delavie, ingénieur agronome en est le rédacteur en chef.

        L’artcile en question dont je vous ferais remarquer la brièveté (10 lignes) ne prétend pas entrer dans les détails. Il a donc mentionné qu’afin de lutter contre une trop forte élévation de la température, les abeilles « faisaient la barbe ». Ce qui est exact. L’auteur, a pour « faire court », je présume, et éviter d’entrer dans trop de détails superflus dans ce genre d’article compte tenude sa brièveté et de son lectorat, a attribué aux abeilles » faisant la barbe » le fait de battre des ailes avec un bruissement caractéristique. Cette « mission » étant en fait assurée par des abilles « spécialistes ». Quoiqu’il en soit, « la barbe « fait partie du système de contrôle de la température interne des ruches. Il n’y a donc pas dans l’article d’erreur grossière.

        Tout le monde ne peut pas être clair, précis,érudit et exhaustif comme vous lêtes vous-même. Il faut faire un effort quand on est soi-même incollable sur n’importe quel sujet pour être indulgent et compréhensif pour ceux qui ne vous arriove pas à la cheville. C’est se grandir soi-même que de se mettre à la portée des autres.,

        1. « magazine destiné aux jardiniers amateurs et non à des professionnels »

          ==>Pour zigomar les jardiniers amateurs sont des demeurés qui doivent se contenter d’informations erronées !!!
          Et pour zigomar « se mettre à la portée des autres.» c’est faire en sorte que les jardiniers amateurs restent des demeurés !!!

  14. http://lci.tf1.fr/science/sante/le-pesticide-cruiser-osr-definitivement-interdit-en-france-7393818.html
    Le pesticide Cruiser OSR définitivement interdit en France

    la difficulté pour le ministre c’est que cette décision semble illégal
    http://www.agriculture-environnement.fr/actualites,12/cruiser-toute-mesure-d-interdiction-prise-avant-le-12-juillet-pourrait-etre-illegale,800.html
    ….
    , les semences traitées – ….– n’entrent plus dans le cadre de la Directive 91/414, mais sont régis par le règlement 1107/2009. L’objectif de cette nouvelle réglementation est clairement indiqué en préambule : il s’agit de « supprimer autant que possible les obstacles au commerce des produits phytopharmaceutiques qui existent en raison de la disparité des niveaux de protection dans les États-membres »,

    Toute interdiction ne peut se prendre que si les semences traitées « sont susceptibles de présenter un risque grave pour la santé humaine ou animale ou l’environnement, et lorsqu’un tel risque ne peut pas être contenu de manière satisfaisante à l’aide des mesures prises par le (ou les) État(s)-membre(s) concerné(s) ». Aucune mortalité d’abeilles provoquée par le Cruiser OSR n’ayant été notifiée par l’Anses, il est donc difficile d’évoquer « un risque grave » !

    1. Dans l’état actuel de la situation telle qu’elle est décrite par Rivière-Wekstein, il semblerait bien que la décision ministérielle d’interdiction ressortisse plus de la gesticulation que de l’application de la réglementation;

      On va encore se faire ridiculiser et prendre une nouvelle baffe.

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