Lors d’une conférence de presse prévue demain au Parlement européen à Strasbourg, le CRIIGEN avait prévu de déposer « très solennellement » auprès d’un huissier de justice les données brutes concernant leur étude sur l’OGM NK603. L’association anti-OGM explique qu’elle les rendra publiques « dès que les agences ou Monsanto auront fait de même pour les leurs, et que les gouvernements y auront consenti ». Et d’ajouter : « Ceci permettra vraiment à l’ensemble de la communauté scientifique de disposer de toutes les données toxicologiques existantes sur ces produits industriels, afin que s’opère une véritable expertise contradictoire et transparente, et non plus une pseudo-expertise biaisée par des groupes de pressions plus soucieux de leurs intérêts que de la santé publique. »
Eh bien, M. Séralini peut décommander l’huissier car, dans un communiqué de ce jour, l’EFSA « annonce aujourd’hui le lancement d’une initiative majeure destinée à faciliter l’accès aux données pour renforcer la transparence dans l’évaluation des risques ». Il s’agit, par ce programme développé en coopération avec les partenaires et les parties intéressées de l’Autorité, de pouvoir mettre à la disposition de la communauté scientifique et d’autres « les données techniques utilisées dans les évaluations des risques ». Et « compte tenu du niveau d’intérêt public », comme le souligne l’EFSA, elle met dès aujourd’hui toutes les données sur le maïs NK603 à disposition du public sur son site internet. L’EFSA précise qu’elle « a déjà mis ces données à disposition sur demande spécifique à plusieurs reprises ». En effet, les données concernant le NK603 ont déjà été communiquées au CRIIGEN l’année passée.
Nous attendons maintenant que M. Séralini tienne parole et rende publique ses données.
Sources
http://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/130114.htm
http://www.efsa.europa.eu/efsa_rep/repository/static/EFSA-GMO-UK-2005-22.zip
Monsato : « The few differences that were observed were generally of small magnitude, were either not dose related (observed in the low dose but not the high dose), or were not consistently observed when compared to both control groups, e.g.different from the parent control group but not the reference control population »
à propos de l’étude de Seralini : « Le Los Angeles Times, comme d’autres titres, s’étonne que la gravité des symptômes observés n’augmente pas avec la dose d’OGM et d’herbicides donnés aux rats. Les rongeurs mâles nourris avec 33 % d’OGM vivent ainsi plus longtemps que ceux qui n’en avaient que 11 % dans leur alimentation et même que ceux qui n’en mangent pas du tout. »
comme quoi c’est reproductible !
Bonjour!
Petite question bête: comment les scientifiques de Monsanto peuvent-ils se prononcer sur une relation dose-effet s’ils n’ont que deux groupes tests, l’un à 11% et l’autre à 33%?
Je ne suis pas scientifique, mais le minimum de logique n’impose-t-il pas d’avoir trois échantillons?
En effet, si des effets liés à la dose croissent selon une courbe exponentielle, peut-être qu à 11% ce sera négligeable et qu’un effet bien tangible à 33% sera donc jugé comme non pertinent. J’espère être assez clair, et je n’évoque même pas la question d’effets toxicologiques qui suivent d’autres courbes (en u, en n, non-linéaires, etc..).
Rebonjour!
Votre première citation tirée des données publiées par l’EFSA ne concerne que l’analyse sanguine (page 46). D’ailleurs, s’il l’on va dans le détail, on peut constater que cette affirmation n’est pas vraiment soutenue par les données présentées (par ex. les plaquettes dans le groupe mâle, etc…).
Quant à la citation du L.A. Times, les « symptômes observés » ne sont pas définis. Le seul paramètre qui ressort de la citation est la longévité.
Les deux citations n’ont donc aucun rapport, mais bon, c’est bien de cracher sur Séralini sur alerte-environnement; bravo, allez-y lâchez-vous, n’hésitez pas!
Les journaleux escrolos présentent ça comme une nouvelle victoire de Séléralini et Al. Capone. Ils n’ont pas froid aux yeux !
http://www.actu-environnement.com/ae/news/evaluation-risques-ogm-pesticides-roundup-seralini-17512.php4?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
Ils ont refusé de publier ma réaction à l’article !!!!
Bizarrement je ne suis même pas surpris.
Je disais simplement que l’auteur devait être idiote ou carrément militante pour écrire un tel mensonge. Car les données étaient accessibles avec les avis de l’EFSA ou sur simple demande par mail.
Et d’ailleurs que c’était comme cela que Séralini les avaient obtenus.
Et donc que ce n’était pas un victoire de Séralini mais bien un enfumage médiatique. Une manipulation honteuse à laquelle la journaliste c’est prêté soit volontairement (ce qui est très grave) soit involontairement (ce qui est de l’incompétence).
Je vais même un peu plus loin : en disant que « l’étude » de Séralini a été démontée par toute la communauté scientifique mondiale. Et même notre récent médaillé Fields (Cédric Villani) pourtant opposé aux OGM dit que l’étude « comporte de graves brèches à la déontologie scientifique ». Ce qui est un doux euphémisme pour ne pas parler de Fraude !!!
Habiles les études de monsanto (aux noms d’auteurs grisés) : 20 males + 20 femelles à 11% de mais + idem à 11% maïs OGM ; idem pour celui à 33 % avec 2*20 à pour l’OGM et le controle. Le tableau des résultats « APPLICATION TO PLACE ON THE MARKET GENETICALLY MODIFIED HIGHER PLANTS Pursuant to Council Directive 2001/18/EC » sont données les moyennes mâles + femelles. Ensuite pour montrer des variations statistiquement non significatives ils incluent encore 6 groupes contrôles qui ingèrent d’autres maïs. Plus de contrôles + moyennes mâles femellles = plus de variabilités = noyer les différences. C’est beau la science partisane bricoleuse
Retournez à l’école apprendre les statistiques !!!!
Vaut mieux y retourner que d’y aller pour la première fois !!!!
Ben là vous êtes mal tombé !
@ Kriptan
A lire votre commentaire on voit bien que vous, vous n’y êtes même jamais allé!! Parce que côté toxicologie expérimentale et statistiques qui vont avec vous êtes bien loin du compte et votre laïus fait plutôt bouillie pour les chats…
Un de mes vieux profs avait l’habitude dire: » n’importe qui peut devenir toxicologue en trois leçons….. »
« … de cinq ans chacune! »
Vos incantations sont succulentes, je me régale.
Ce ne sont pas des incantations. Zygomar et hautement compétent en toxicologie. A côté de lui, Kryptan est un gnome intellectuel.
Donc votre approche de la statistique c’est :
1 groupe d’essai et pas de lots témoins ???
C’est sur qu’avec ce genre de tests on peut prouver tout les danger du monde….
On a récemment appris que » People everywhere are increasingly vulnerable to the use of what Nobel Prize-winning chemist Irving Langmuir dubbed “pathological science” – the “science of things that aren’t so” – to justify government regulation or other policies. »
“pathological science” voila une belle définition pour les travaux de GES.
Le roi GES est nu, ses partisans l’on dans le C.
pardon lire: Le roi GES est nu, ses partisans l’ont dans le C.
1. Il n’est pas nécessaire de fixer des limites maximales (LM) pour toutes les denrées alimentaires qui contiennent un contaminant ou une toxine. Le préambule de la Norme générale du Codex pour les contaminants et les toxines présents dans les aliments énonce à la section 1.3.2 que «on ne fixera de limites maximales que pour les denrées alimentaires dans lesquelles le contaminant considéré risque d’être présent dans des proportions suffisantes pour constituer un risque, compte tenu de l’exposition totale du consommateur. Ces limites seront fixées de manière que le consommateur soit correctement protégé.» Établir des normes pour des aliments qui sont rarement consommés nécessiterait des activités de mise en œuvre effective qui n’auraient pas de résultats notables pour la santé.
On a des news de cette conf de presse ? ce serait ontéressant !
http://www.dailymotion.com/video/xwsnam_conference-de-presse-ogm-le-15-01-a-bruxelles_news#.UPa-5x2zKSq
« Gilles-Eric Séralini peut décommander l’huissier » ?
Désolé, vous avez tout faux.
D’une part, l’EFSA n’a encore mis en ligne que le dossier NK 603, pas celui du glyphosate. Je n’ai pas encore réussi le téléchargement… c’est un gros demi-giga, trop gros pour ma ligne.
D’autre part, ce qui est mis en ligne semble être le dossier soumis par Monsanto, pas les milliers de données individuelles (brutes).
Et, enfin et surtout, « L’équipe du Professeur Séralini et le CRIIGEN, promettent de les rendre publiques « dès que les agences ou Monsanto auront fait de même pour les leurs, et que les gouvernements y auront consenti. » »* Vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais il y a une nouvelle condition…
Les premiers articles sur sa conférence de presse sont en train de tomber. Verra-t-on les journaux enfin avoir le courage de dénoncer toutes les manipulations de ces gens ?
Vous noterez aussi que la fine équipe a « déposé fin 2012 des plaintes en diffamation contre les assertions de « fraude » et « données falsifiées » publiées respectivement dans Marianne et La Provence par Jean-Claude Jaillette et Claude Allègre. Nous rappelons que C. Allègre fait partie de l’association de défense des biotechnologies végétales (AFBV) qui a déjà été condamnée avec son président M. Fellous pour diffamation à notre encontre en 2011. D’autres plaintes sont en cours pour propos diffamatoires ridicules et mensongers, alors que toutes les critiques scientifiques s’essoufflent. » (source : CRIIGEN)
Voici ce qu’avait dit M. Allègre :
« – L’étude de Gilles-Éric Séralini sur les OGM semble prouver leur danger pour la population…
C.A. : On nous bassine aujourd’hui avec cet immonde article sur les OGM, un travail falsifié. En attaquant les OGM, il faut se souvenir que le poste nº2 de notre commerce extérieur est l’agro-alimentaire. Veut-on tuer ce secteur et fabriquer encore des chômeurs ? »
http://www.laprovence.com/article/actualites/les-ecologistes-nous-nuisent
Toujours aussi forts ces gens… Incapables de copier « travail falsifié ».
Quant aux « critiques scientifiques [qui] s’essoufflent », rien n’empêche les scientifiques de remettre une couche.
Il y a de par le monde des petites frappes intellectuelles, des voyous de la fausse science,des truqueurs, des faussaires…
Bonjour!
Oui, par exemple alerte-environnement, qui conclut:
« Nous attendons maintenant que M. Séralini tienne parole et rende publiques ses données. »
Or, le minimum de rigueur intellectuelle impose de prendre en considération l’entièreté des demandes de Séralini et son équipe; dès la publication de leur étude, ils ont demandé que l’EFSA publie les dossiers d’autorisation du NK603 ET DU ROUNDUP, puisque ce sont les produits centraux de leur recherche. Ceci afin de pouvoir comparer avec leurs données brutes, qu’ils se sont engagés à rendre publiques, d’où la procédure auprès d’un huissier.
On peut regretter – pour de bonnes ou de mauvaises raisons – cette façon peu orthodoxe de faire du « chantage aux données », mais ce n’est pas une raison valable pour déformer la réalité et répandre des informations manifestement mensongères.
C’est donc bien vous les « petites frappes intellectuelles », les « voyous de la fausse science », les « truqueurs » et les « faussaires ».
Pitoyable!
Le site de Greenpeace sur les OGM est devenu trop terne… il n’y a plus (au moins momentanément) de quoi déverser son fiel… alors on se rabat sur Alerte-Environnement…
« …le minimum de rigueur intellectuelle impose de prendre en considération l’entièreté des demandes de Séralini et son équipe » ?
Le minimum de rigueur intellectuelle impose de tenir compte de la réalité et du sens commun.
Ce Monsieur Séralini a mis dans le public – à grand renfort de tapage et de manipulations médiatiques – une « étude » qui a eu le bonheur d’être publiée dans Food & Chem. Toxicol. grâce, manifestement, à une complicité éditoriale et une indigence caractérisée de la peer review. Un article qualifié, à juste titre, d’immonde par M. Claude Allègre, d’autres ayant titré dans Forbes : « Scientists Smell A Rat In Fraudulent Genetic Engineering Study ».
Qui est ce Monsieur Séralini qui croit pouvoir imposer des conditions à la publication des données nécessaires à une meilleure compréhension de son article – ou plutôt à la confirmation de tout le mal qu’on a pu conclure de son analyse à ce stade ?
Qui est ce Monsieur Séralini qui croit pouvoir modifier ses conditions au fur et à mesure que les précédentes se réalisent ?
Qui est ce Monsieur Séralini qui annonce urbi et orbi avoir trouvé un problème de sécurité sanitaire extrêmement grave – ce, après avoir retenu l’information jusqu’à la publication de son article pseud-scientifique, de son bouquin, du bouquin de Mme Lepage, de la sortie d’un « documentaire » cinématographique et de la finalisation d’un autre télévisuel – et qui se permet de retenir les informations qui auraient permis aux agences telles que l’EFSA de mieux évaluer le risqu qu’il prétend avoir mis en évidence ?
Et qui êtes-vous, Monsieur Raloul pour croire que les exigences d’une sorte de preneur d’otages médiatique doivent s’imposer à la société toute entière ?
Qui êtes-vous, Monsieur Raloul, pour promouvoir ainsi la dictature de la volonté idéologique au mépris de la déontologie scientifique et, pire, de l’intérêt public ?
Je viens de retrouver le texte de Jaillette, qui était une introduction à une tribune d’une brochette de chercheurs*. Il avait écrit :
« … Ils expriment leur scepticisme à propos de la démarche scientifique et leur colère envers l’utilisation que les mécènes font de l’étude. Les mots sont durs : « opération de communication », « fraude scientifique où la méthodologie sert à conforter des résultats écrits d’avance », etc.
L’ami Séralini semble faire une fixation sur le mot « fraude ». Il a de la chance : « Séralini + fraude » produit près de 765.000 résultats…
Le texte de M. Jaillette n’était peut-être pas parfait (en tout cas, on ne trouve pas sa citation sur le net), mais son propos est corroboré par « Scientists Smell A Rat In Fraudulent Genetic Engineering Study » du 25 septembre 2012.**
Et voici ce qu’écrivait M. Alain de Weck le 13 novembre 2012 (après la publication du texte de M. Jaillette) :
« La sélection arbitraire et volontaire de données expérimentales pour étayer une thèse préconçue est un péché capital contre la science et l’esprit scientifique, et c’est en fait cela, et pas tous les défauts de détail, qui invalide l’étude Séralini. Le chercheur de Caen n’est du reste pas le seul à pratiquer ce genre de manipulation. Près de 6 % des manipulations enregistrées comme fraude scientifique appartiennent à cette catégorie, selon une analyse récente des dérives scientifiques (3). C’est ce même reproche essentiel que l’on peut faire à Séralini. Le caractère délibéré de cette fraude est manifeste par les propos de l’auteur, lorsque confronté à ses propres incohérences (4,5). »
Au fait ! Déclarer une absence de conflits d’intétêts alors que l’on contribue à promouvoir des pilules de détoxification – et que l’on produit une étude financée par une grande distribution qui a tout intérêt à vendre du « sans OGM » – qui-t-est-ce ?
* http://www.marianne.net/OGM-l-Allemagne-recale-l-etude-Seralini_a223146.html
** http://www.forbes.com/sites/henrymiller/2012/09/25/scientists-smell-a-rat-in-fraudulent-genetic-engineering-study/
*** http://alaindeweck.blog.lemonde.fr/2012/11/13/le-peche-de-seralini-et-al-contre-la-science/
Superbe commentaire de M. Alain de Weck :
http://alaindeweck.blog.lemonde.fr/2013/01/15/corinne-lepage-la-fuite-en-avant/
Il a mérité une plainte en diffamation : « Il ne fait aucun doute que, dans ce cadre, l’affaire Séralini et le comportement de ses protagonistes ressort de la fraude scientifique.(7). »
La note 7 dit :
« Procédure pour atteinte à l’intégrité scientifique contre le Prof. GE Séralini et al. basée sur la Convention intrenationele de Bologne et règlements universitaires en découlant (en préparation) 2013 »
M. de Weck, le suspense est intolérable !
Pour mieux exploiter ces FDS, l’INRS a édité une brochure (ED954) ; Le service prévention de la Carsat peut également vous aider à valider les informations fournies, en cas de problème. La qualité des informations transmises dans les FDS est toujours perfectible. L’exigence de documents complets et bien rédigés contribue à l’amélioration continue de l’information des utilisateurs de produits chimiques. Cette réglementation sur les FDS a été mise en place pour mettre à disposition des entreprises des informations pertinentes, celles-ci doivent être utilisées au mieux.
L’Agence a développé une base de données d’outils d’évaluation des risques regroupant des outils de toute l’Europe et régulièrement mise à jour.
@ Kriptan
15 janvier 2013 à 13:35
« Vos incantations sont succulentes, je me régale. »
=== Quand on veut avoir l’air plus malin que les autres, on commence par se renseigner sur le sens des mots que l’on emploie… Faites vous offrir un dictionnaire ou bien allez sur Google chercher le sens du mot « incantation » d’une part. D’autre part, essayez de vous limiter à discuter de sujets dont vous avez la maîtrise. Vous aurez l’air un peu moins con. Je maintiens mon commentaire au sujet de votre ignorance totale en matière de toxicologie expérimentale et de statistiques.
Merci à Laurent Berthod pour son avis!!
Quelle vulgarité, sûrement parce que vous ne pouvez pas vous exprimer. Votre égo vous empêche même de voir que vos phrases sont des incantations tout en donnant des leçons, vous portez bien votre nom. C’est bien désolant Mr le professeur, je vous laisse nager dans votre océan de médiocrité avec votre maillot de bain de l’anonymat ; qui ne doit pas cacher grand chose.
Ben, l’océan de médiocrité, à part Kryptan, tout le monde vois bien où il est ! Plus qu’un océan ! Une galaxie !
Nous vous aidons à gérer le risque de crédit, prévenir la fraude, cibler les offres marketing et automatiser la prise de décision. Experian aide aussi les particuliers à vérifier leurs rapports de crédit et leur score, et à se protéger contre le vol d’identité. En France, nos équipes vous aident à optimiser votre développement commercial et à pérenniser votre relation client dans les domaines du risque et du marketing.
Un robot spameur qui a repéré le mot « huissier » ! Mal réglé il met un lien vers un site n’importe quoi !
• la protection du consommateur (risques pour la santé et risques de pratiques commerciales déloyales); • le mandat du CCFAC; • le mandat du JECFA; • le Plan de travail à moyen terme de la Commission du Codex Alimentarius; • la qualité, la quantité, l’adéquation et la disponibilité des données nécessaires pour procéder à une évaluation des risques; • la possibilité de terminer les travaux dans des délais raisonnables; • la diversité des législations nationales et les obstacles au commerce international qui semblent en découler; • l’impact sur le commerce international (l’importance du problème, par exemple, à l’échelon international); et • les travaux déjà entrepris dans ce domaine par d’autres organisations internationales.
«L’EFSA annonce aujourd’hui le lancement d’une initiative majeure destinée à faciliter l’accès aux données pour renforcer la transparence dans l’évaluation des risques. Ce programme, qui sera développé en coopération avec les partenaires et les parties intéressées de l’Autorité, se penchera sur la façon et la mesure dans laquelle les données techniques utilisées dans les évaluations des risques pourraient être mises plus largement à la disposition de la communauté scientifique et des parties intéressées au sens large.
C’est une nouvelle victoire pour le professeur Séralini et son équipe. Bien que leur étude sur la toxicité du maïs NK 603 et du Round up a été décriée depuis sa publication en septembre dernier, celle-ci a déjà permis d’acter, à l’échelle française comme européenne , la nécessité de réaliser des études à long terme sur les risques liés aux OGM. Aujourd’hui, l’Efsa annonce dans un communiqué « le lancement d’une initiative majeure destinée à faciliter l’accès aux données pour renforcer la transparence dans l’évaluation des risques ». Elle publie, le même jour, toutes les données utilisées pour l’évaluation des risques du maïs NK 603. « Alors que l’Autorité a déjà mis ces données à disposition sur demande spécifique à plusieurs reprises, tout membre de la communauté scientifique ou du public sera désormais en mesure d’examiner et d’utiliser l’ensemble complet des données utilisées dans cette évaluation des risques », précise l’Efsa.
Qu’est-ce que cherchent tous ces gens qui renvoient à un site dans une langue bizarre, qu’aucun autre lecteur de Alerte environnement de comprend, et qui font des copiés collés de propagande ?