L’ère des bio-mafias

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La fraude pullule dans le bio. Pas très étonnant pour un marché ultra-lucratif où il est possible de faire des marges très importantes en trafiquant quelques étiquettes. C’est ce que nous rappelle cet article du site presseurop.eu.

On en revient toujours à ce besoin du consommateur d’être rassuré. Il est incapable de distinguer du bio du non-bio mais peu importe le bio est toujours meilleur !

8 commentaires sur “L’ère des bio-mafias

  1. Avec le bio tout est dans l’étiquette ….du produit ….et dans la tête …du bobo consommateur.
    Aussi dans le tiroir caisse de la GSM qui en fait la promotion.

  2. « Avec le bio tout est dans l’étiquette ….du produit ….et dans la tête …du bobo consommateur. »
    C’est vrai et c’est valable pour tout les consommateurs et tous les produits proposés .
    Le comportement des individus est irrationnel , c’est bien pour ça que lorsqu’un industriel lance un produit destiné à un large public il réalise des études de marchés , c’est le client qui décide de ce qu’il achète et au prix qu’il estime correct (sauf les cas de monopoles , bien sur !)
    Plaire au client est un art difficile , le fidéliser l’est encore plus !
    Les biocoop ne font qu’exploiter des ressorts connus et éprouvés , c’est du marketing et pas autre chose .Un client doit être rassuré dans son achat , si en plus il aime à croire que c’est bon pour sa santé , alors il accepte de payer plus cher , pour lui ça justifie le surcoût

  3. « Le comportement des individus est irrationnel  »

    Sauf les Français qui sont, c’est bien connu ,surtout d’eux-mêmes, le peuple le plus rationnel de la terre……..

  4. oui et je crois qu’ils disent qu’ils sont « cartésiens » !! , hi hi je pouffe !!

  5. Jeudi soir, sur envoyé Spécial de F2, il y avait un sujet sur les liquidateurs judiciaires. http://www.france2.fr/emissions/envoye-special/administrateurs-liquidateurs-sauveurs-ou-fossoyeurs_54987

    Et parmi les « liquidés » un couple d’associés qui tenaient une épicerie BIO dans une grande ville. Étonnant que les Lyssenko du BIO ne réagissent pas ?
    Pourtant France 2 n’est jamais en reste pour claironner les progressions fulgurantes du marché du BIO ?
    Comment peut-on faire faillite dans le business du Saint-BIO ?
    Nous aurait-on menti sur le prétendu engouement des Français pour le BIO ?

  6. Vu que je ne reconnais pas une tomate espagnole à 90ct/kg à la tomate française à 2 €/kg, j’achète en général des produits non français. J’ai voulu aller dans une AMAP, mais cet imbécile de bouzlouc voulait se convertir au bio. Un truc à y passer, donc retour au supermarché, là au moins je suis certain de la sécurité de mes aliments.

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