La révolte Bretonne vue par Natacha Polony d’Europe 1

 4 novembre 2013  45 commentaires sur La révolte Bretonne vue par Natacha Polony d’Europe 1  Publié en Médias 0 « J’aime » 4672 vues
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Le décryptage de la révolte bretonne vue de Paris ? Ça donne ça. Natacha Polony, en charge de la revue de presse sur Europe 1 ce matin :
 “Dans le Parisien, on comprend mieux où se situe le paradoxe. Le journal donne la parole à un agriculteur bio favorable aux portiques Ecotaxes et qui regrette que les salariés de l’agroalimentaire soient contraints à défendre un modèle qui les envoie dans le mur. Toute la société est responsable. On a habitué à manger de la viande pas chère. Quand on manifeste sur le port de Brest contre le soja OGM en provenance du Brésil qui nourrit les porcs bretons, on est 30. On passe pour des hippies. C’est ça le problème. C’est la cohérence qui est la chose du monde la moins bien partagée”. En clair soyons bio, anti OGM et décroissants, c’est ce qui sauvera la Bretagne.

C’est pas un peu court ?

45 commentaires sur “La révolte Bretonne vue par Natacha Polony d’Europe 1”

  1. Après en avoir fait des caisses sur l’élevage de porc breton et obligation aux éleveurs à se mettre aux normes, tombe l’arrêt des aides à l’export, le parisien, toujours un train de retard dans l’analyse, s’imagine peut-être que le bio va sortir ne serait-ce que les mêmes tonnages?
    Ras-le-bol des éleveurs visés depuis comme des pollueurs, baisse des tonnage en local, ça rentre d’Allemagne, du Danemark pour sauver les meubles en apparence… L’ecotaxe c’est la goutte d’eau.
    Chronique d’une mort annoncée:
    http://nantessecteurouest.wordpress.com/2013/11/03/le-contrat-insense-de-lecotaxe31-octobre-2013-par-martine-orange-mediapart/

    1. C’est la faute à l’ecotax tous les licenciements ??
      Je croyais qu’elle ne s’appliquait que l’année prochaine……?

      Vous avez fait l’éloge de l’agro alimentaire qui LUI exporte …………mais sans les perfusions de l’Europe et de nos impôts ….y a plus personne !

      Airbus industries a des aides mais doit les rembourser……et il embauche en masse….

      1. Normal qu’Airbus embauche, les états soutiennent l’activité et ont renoncé à taxer le kérosène qui ne supporte absolument aucune taxe contrairement aux carburants automobile, pas plus qu’une quelconque taxe carbone.

        Pourtant cela snife dur autour des aéroports et pas seulement sur le tarmac, plus les imbrulés sur les linges plus très blancs étendus à proximité des aéroports et les polluants divers sur les populations riveraines tous plus cancérigènes les uns que les autres.

        1 avion qui décolle = 10 000 voitures sur un Km du périf parisien.

        Cela a conduit les compagnies aériennes à tester et revendiquer l’accès aux esters méthyliques d’huiles végétales normalement prévus pour les véhicules automobiles et dans ce cas, pour les automobiles, bien taxés. Pour réduire justement fortement l’impact sanitaire de leur pollution.

        La même logique que s’elle s’appliquant à l’agriculture s’appliquerait à Airbus industries ou aux compagnies aériennes et seuls des ballons dirigeables seraient autorisés à la construction ou à l’utilisation dans le ciel français. C’est la triste réalité et m^me pas un métaphore.

        La terre et l’air bien qu’éléments de base au sens des philosophes grecs sont traités bien différemment par les médias et les politiques.

        Normal les écolobobos n’ont pas les pieds sur terre mais bien la tête dans les nuages…au sens propre d’ailleurs pour assister, entre autres, aux conférences du GIEC ou sur la biodiversité.

  2. Il n’y a pas que le Soja OGM brésilien, il y a aussi le Maïs OGM espagnol qui croît d’année en année ( cela ne me dérange pas mais il faudrait déjà faire le ménage chez nous avant de le faire chez les autres) et il y a surtout les allemands qui chacun sait, font travailler de la main d’œuvre voisine à des prix défiant toute concurrence.

    Lorsque l’ensemble de l’élevage Français aura disparu, les cultivateurs bio n’auront plus beaucoup d’avenir non plus ,puisqu’il n’auront plus de fumier et autres fertilisants organiques à mettre dans leur champs.

  3. Quand le producteur bio se rendra compte que le portique le rend moins compétitif que son concurrent polonais ou allemand il changera d’avis. Si on regarde ce qui se vend sur le marché mondial, c’est du standard. Le problème de la Bretagne c’est le dumping social des allemands, la législation française et le manque d’innovation produit de certaines grosses entreprises agro-alimentaires qui comprennent pas qu’un poulet entier congelé ou des tours de séchage de lait de 40 ans c’est pas forcément ce que recherche le client. La viande label, le consommateur s’en cogne.

    1. Sauf que 90% des consommateurs n’aiment pas cette viande: trop dure, trop goutteuse et surtout trop chère. 7 euro chez le producteur, c’est revendu au moins 10 en magasin. En direct ça doit être autour de 8-9, sachant que perso je trouve de la volaille à 7 euro (pas bio mais jaune merci le maïs) mais du même niveau de qualité. Un poulet standard c’est 3 euro du kg, le double en label rouge, et le triple en véritable poulet fermier. Je vous laisse imaginer ce que le client lambda achète.

      C’est très bien de fournir les micro marchés locaux, mais c’est pas ça qui va donner du travail à des dizaines de millier de personne.

  6. Avec un poulet bio français nourrit par du mais ukrainien, bio mais Tchernobyle en sus, comme le soja bio chinois était mélamine, et les oeufs bio avec.

    Le producteur bio interrogé était il aussi de cette affaire la?

    Les données du credoc sont sans appel quant au facteur prix!

    Miss Poloni est conforme a son image: bobo jusqu’au bout des ongles, qu’elle a fort bobo.

  7. roger

    C’est la faute à l’ecotax tous les licenciements ??
    Je croyais qu’elle ne s’appliquait que l’année prochaine……?

    === Gouverner , c’est prévoir…. Alors?

    1. gouverner c’est prévoir , vous avez raison , pourquoi n’ont ils pas réagis en 2011 avant la construction des portiques

  8. Le plus marrant c’est la bafouille de son mec
    avoir sur le site marianne
    « Lettre ouverte à Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture bretonne »
    http://www.marianne.net/Lettre-ouverte-a-Stephane-Le-Foll-ministre-de-l-agriculture-bretonne_a233605.html
    —– un passage := du charabia qui ne veut rien dire mais dans le droit fil de la pensée de Natachy Polona —-
    L’agroécologie, un thème qui vous est cher, partagé par ceux qui savent que plus rien d’autre ne pourra sauver une ruralité vitale pour notre survie. Contre toute attente, tout indique que la péninsule armoricaine, dans sa géographie et son histoire, sa sociologie et son patrimoine, réunit les conditions d’une agriculture productive et non productiviste, rentable et non rentière, nourricière et non financière, dans une logique économique respectueuse de la terre et des hommes.

    1. La manif de Quimper , j’ai cru que c’était une Gay-Pride de Nains de Jardins !

    2. J’aime bien ce paragraphe aussi :

      « Le moment n’est-il pas venu d’initier un nouveau Celib sous la forme d’un programme que l’on intitulerait TAP : Territoire Agroécologique Prioritaire et qui verrait l’application des principes et des méthodes de transformation d’une zone sinistrée en terre d’avenir avec des subsides ne servant plus à colmater des brèches mais à construire des bastions. »

      Il aurait aussi pu s’inspirer de Pierre Dac sa méthode du discours :
      http://pierredac.free.fr/discours.htm

      ou encore des discours du Maire de Champignac
      http://fr.spirou.wikia.com/wiki/Discours_du_Maire

  9. Avec le bonnet rouge, y a de ça, le cidre cela rend gai et les breton sont fiers, donc ok pour la description. Une gai pride à bonnet rouge.

    Allez les nains de jardins aux bonnets rouges, s’agissant de bretons , un beau nez rouge marche aussi, mais conservez les portiques débarrassés de leurs machines debout , comme José Bové l’a montré à Millau, on démonte, on ne casse pas! les portiques cela pourra servir ultérieurement une fois la carambouille du contrat passé à écomouv éclairci! pour y accrocher avec du chanvre bio tressé ceux qui ont trempé dedans et protestent contre la suspension de la Gabelle .

    Une fois que la commission d’enquête aura éclaici l’affaire et les tribunaux identifié les coupables comme pour l’affaire tapie.

    1. Justice stalinienne :
      Les coupables existent déjà avant le jugement et même la mise en examen !

      Je pense que c’est une torpille des énemis de NKM , dans les rangs de l’UMP de Paris , il y en a certain qui n’ont pas accepter sa candidature ( elle trop écolo ou/et trop à gauche )

      Son bisou à Bové a été un baiser de trop .

      1. Au début des années 1930, au temps de la collectivisation forcée de l’agriculture en URSS – en Ukraine notamment – les agents du NKVD devaient assurer des quotas d’arrestations…

        En général, dans tout régime communiste, vous étiez « coupable parce que arrêté »,
        et non         « arrêté parce que coupable ».

        Votre allusion à la justice stalinienne est inappropriée, AMHA.

        1. « Votre allusion à la justice stalinienne est inappropriée »

          Enfin selon la personne qui l’utilise et vers qui elle en use …….non ?

          Les remarques sont à la gueule du client …………. ce qui ne m’étonne pas , vu le manichéisme de certain .

  10. Ce n’est pas modéré !!!???

    ***** comme José Bové l’a montré à Millau, on démonte, on ne casse pas! les portiques cela pourra servir ultérieurement une fois la carambouille du contrat passé à écomouv éclairci! pour y accrocher avec du chanvre bio tressé ceux qui ont trempé dedans et protestent contre la suspension de la Gabelle . ***

    1. oui mais « Une fois que la commission d’enquête aura éclairci l’affaire et les tribunaux identifié les coupables comme pour l’affaire tapie. – »

      Il n’est pas dit que l’on va les pendre, mais seulement les exposer à la vindicte populaire et après commission d’enquête et action du tribunal dont il n’est pas dit qu’il est populaire.

      S’agissant de pendu, José Bové a au moins une mort par pendaison sur la conscience.

      1. Alzine

        S’agissant de pendu, José Bové a au moins une mort par pendaison sur la conscience.

        ===> Si cet infâme individu en avait seulement une de conscience, çà se saurait!

          2. c ‘est d’une tristesse incroyable un agri qui meurt mais cette situation du suicide de M lagorce c’est surtout le terrible combat que la firme internationnale Monsanto a gagné . Il n y a pas mieux de dresser et d’opposer 2  » freres  » ( les agris) l’un contre l’autre ce qui lui évité de combattre directement ; Parce que même si c’est un mort de trop combien de mort a sur la conscience Monsanto fabricant de l’agent orange , des pcb , des ogm ? Combien de paysans indien se suicident à cause des fausses promesses de cette boite en buvant du round up ? Quelles conséquences de balancer des tonnes et des tonnes de pesticides sur les ogm pour la nature ? Et pour la santé humaine ?

          4. J’essaie, dans la limite de mon tempérament, de ne pas faire de l’ad hominem.

            Dans le cas présent, M. Pottier, j’ai le plus grand mal à me retenir.

            D’abord, il s’appelait Lagorse, avec un « l » majuscule, et un « s ». La moindre des choses, pour honorer sa mémoire, ce serait d’écrire son nom correctement.

            Ensuite, la tristesse incroyable, c’est qu’un individu qui ne connaît rien au dossier, qui prend connaissance d’un épisode vraiment triste par le biais d’un fil de commentaires – enfin, un individu qui apprend qu’il y a eu un suicide de producteur de maïs GM – s’empresse de mettre en cause une entreprise – dont il ne connaît du reste rien à part la désinformation ambiante – pour mettre le suicide sur son dos et, de plus, en l’accusant de se livrer à un « terrible combat ».

            Je ne vais pas vous qualifier, vous, mais le commentaire, d’une terrible imbécillité.

            C’est probablement trop vous demander que d’essayer de comprendre que Monsanto – comme Pioneer, Syngenta, Limagrain (une coopérative), RAGT (une ex-coopérative), Florimont Desprez (une PME), etc. – met des variétés et des semences à la disposition des agriculteurs pour qu’ils (les agriculteurs) puissent en tirer un profit et qu’il (Monsanto – mais les autres aussi) en tire un profit. Ce dernier profit étant en partie réinvesti pour produire de nouvelles variétés et semences mieux à même de répondre aux besoins de la filière agro-alimentaire ; y compris de vous-même puisque vous ne vous alimentez pas seulement d’idéologie.

            M. Lagorse n’a rien demandé à ces hurluberlus qui se sont arrogé le droit d’imposer par la force – et grâce à la lâcheté d’un gouvernement veule – leur propre opinion de ce que lui, M. Lagorse avait le droit de cultiver. Et vous osez appeler « frères », ces hurluberlus qui n’hésitent pas à détruire le fruit du labeur de leurs « frères » ?

            Combien de morts sur la conscience de Monsanto ? C’est aussi trop vous demander que d’essayer de comprendre que ce n’est pas Monsanto qui a balancé le mélange herbicide sur les forêts du Vietnam, qu’il n’a pas été le seul à le fabriquer, et que rien ne prouve que l’herbicide dioxiné (issu d’un process de fabrication défectueux) provient de Monsanto. Ah oui ! Il faut s’informer sur l’ensemble du dossier ? Mais c’est bien trop compliqué et fatiguant… Et ça remet en cause de si belle certitudes de militant de salon, confortablement assis sur son canapé et vautré dans son idéologie.

            Les PCB ? À peu près le même scénario. Mais votre idéologie vous incitera peut-être, enfin si vous ne vous contentez pas de suivre les leaders d’opinion qui se font leur beurre sur l’anti-monsantisme, à incriminer toutes les autres entreprises qui ont fabriqué et utilisé des PCB. La liste est longue…

            Les OGM ? Dites-nous combien de morts ?

            Les Indiens qui se suicident ? Problème terrible qu’on ne peut qu’aborder qu’avec réticence, enfin sauf si on s’appelle Marie-Monique Robin, Vandana Shiva, etc. et qu’on n’ait aucune réticence à empiler les cadavres pour se faire une tribune. Les agriculteurs indiens se sont suicidé bien avant l’arrivée du cotonnier OGM qui, je vous l’apprendrai, ne provient pas exclusivement de Monsanto, de ses filiales et de ses partenaires.

            Les Indiens qui se suicident au Roundup ? Quasi impossible !

            Les tonnes de pesticides ? Vous prenez vraiment les agriculteurs pour ce que vous êtes…

          5. @laurent berthod et wackes seppi à propos de M. Pottier

            + 10000, vous m’avez coupé l’herbe sous les pieds, rien ne m’irrite plus que ces perroquets qui se croient malins de réciter les âneries qu’ils ont lues ou entendues et qui les prennent pour argent comptant, il faut dire qu’il est bien plus confortable de faire de l’anti-monsantisme primaire et de recracher de la bouillie prémachée que de chercher à s’informer convenablement !

  11. La manifestation du 2 novembre à Quimper, c’était des salariés aux côtés des patrons, des paysans et des distributeurs, des élus de droite et des responsables du NPA, ensemble…
    Un seul point commun : la Bretagne en danger ! Et ça, ça passe avant tout le reste.
    Bien sûr, quelques nuls de EELV, Sud ou FSU, des mecs inféodés au Parti, sont allés faire les mariolles à Carhaix.
    300 à Carhaix contre 30 000 à Quimper, sans commentaire…
    Les chroniqueurs parisiens ont mis en avant la marée de bonnets rouges, mais il y avait presqu’autant de ‘Gwen hag du’, le drapeau breton.

    Nous ne demandons pas la lune, mais le droit de travailler, avec quatre revendications très précises :
    A découvrir ci-après :

    Les 30 000 personnes rassemblées samedi dernier à Quimper ont confirmé l’existence
    d’une véritable union sacrée pour vivre, décider et travailler en Bretagne. A la suite de ce
    rassemblement, le Premier ministre et le ministre de l’agriculture ont annoncé une série
    de réunions portant notamment sur un pacte d’avenir pour la Bretagne.
    Les responsables des organisations agricoles bretonnes estiment que ce énième plan
    administratif élaboré par les services de l’Etat est voué à l’échec s’il n’y a pas au
    préalable des décisions politiques fortes. Par conséquent ils ne participeront à aucune de
    ces réunions tant que des réponses claires n’auront pas été actées par les ministres sur
    quatre points essentiels pour la relance des filières agricoles et agroalimentaires.
    1/ L’Ecotaxe doit être supprimée car c’est un impôt injuste qui serait un handicap
    supplémentaire pour l’économie bretonne. Mais c’est surtout le révélateur de la non prise
    en compte d’une réalité géographique où l’éloignement, le fait d’être une péninsule,
    pénalise les activités de notre territoire.
    2/ Au-delà de l’Ecotaxe, la profession agricole attend de toute urgence pour l’ensemble
    de l’économie bretonne, le choc de simplification promis par le Président de la
    République : moins de promesses, des actes ! A commencer par la mise en application
    des mesures annoncées par Le Premier ministre le 12 septembre dernier au SPACE à
    Rennes : simplification des procédures et réduction des délais d’instruction des projets,
    passage d’une obligation de moyens à une obligation de résultats.
    3/ L’agroalimentaire et les emplois bretons ne peuvent plus être exposés au dumping
    social pratiqué par nos concurrents européens. Dans l’attente de décisions politiques
    fortes pour y mettre fin, l’Etat doit compenser les écarts de coût par l’allègement des
    charges sociales dans les entreprises des filières alimentaires.
    4/ L’obligation d’étiquetage d’origine des viandes pour valoriser nos produits, nos emplois
    et nos élevages. Cette mesure est réclamée par les consommateurs et les producteurs.
    Le MADE IN FRANCE doit devenir une réalité concrète.
    Nos demandes sont simples et claires. La réponse à ces questions appartient aux
    politiques. Nous refusons de poursuivre notre participation aux groupes de travail et
    commissions avec les multiples services de l’Etat qui complexifient à l’envie et vont trop
    souvent à l’encontre des arbitrages rendus par le gouvernement. Les organisations
    agricoles bretonnes ne se déplaceront que pour des réunions qui se tiendront avec les
    Ministres qui doivent s’engager personnellement sur les décisions et leur bonne
    application.
    C’est le message qui sera porté mercredi 6 novembre à la Préfecture de région par la
    profession agricole bretonne.
    (*) FRSEA : Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles – JAB : Jeunes agriculteurs de Bretagne –
    Coop de France Ouest : syndicat des coopératives agricoles et agroalimentaires de l’Ouest de la France
    UGPVB : Union des groupements de producteurs de viande de Bretagne
    Pacte d’avenir :
    des réponses concrètes avant toute réunion
    Communiqué de Presse
    05 novembre 2013

    1. il avait aussi des gens du Front national , vous les avez oublié , ainsi que des séparatistes bretons.

      Combien ça a couté la double signalisation bilingue ?
      Tout cet argent foutu en l’air et après ça vient pleurer pour demander du pognon.

      Si les bretons veulent l’indépendance ……… la France retirera ses bases miltaires et tout les fonctionnaires de l’état …….on verra comment ils se débrouillent.

      1. la double signalisation en Bretagne est un hochet que la majorité régionale a donné à l’UDB (union démocratique bretonne) et EELV, Ils sont tout contents avec ça…
        Effectivement, ça a coûté un bras, mais qu’est ce qu’on ne ferait pas pour avoir la paix.

        1. le temps qu’on met au rond-point pour savoir où on doit aller !!!

          En plus ces connards créent de toute pièces des noms de communes en breton…
          faut voir la tronche des noms………débile.
          De plus la Région édite des brochures dans les deux langues…..

          La mairie où officie christian Troadec (maire de Carhaix …mencon ) :Carhaix (Finistère) sur l’initiative du maire Christian Troadec (2001-2014), délivrent des livrets de famille bilingues français-breton en contravention de la législation française qui stipule que seule la langue française, langue de la République, doit être utilisée dans les actes publics.
          Une personne a porter plainte mais j’ignore où cela en est ………

          1. Serge LD dit :

            moins de promesses, des actes !

            => des hommes politiques qui feraient des actes au lieu de promesses …

            …
            l’Etat doit compenser les écarts de coût par l’allègement des charges sociales dans les entreprises des filières alimentaires.
            ..
            => il faudra un jour que nos entreprises redeviennent compétitives, l’allègement des charges sociales peut-il être une solution à long terme?
            Il faut aussi financer nos infrastructures,
            Le futur ne risque t’il pas d’être une baisse des salaires des ouvriéres et une augmentation des impots (direct et indirects)?

        2. La double signalisation est un message fort de respect de la langue et de l’identité bretonnes. Ça a coûté le prix qu’il a fallu y mettre.

          1. Entièrement d’accord avec Roger.
            Et le respect de la langue et de l’identité des autres régions de France ? Si on devait foutre la double signalisation sur TOUS les panneaux de TOUTES les régions de France, putain quel bordel… La France est (en théorie) une RÉPUBLIQUE UNE ET INDIVISIBLE, on s’en branle de toutes ses revendications à la con pour que des identitaires/séparatistes puissent se branler devant leur identité. Bordel, quelle connerie le régionalisme : les mêmes conneries que le nationalisme (les costumes traditionnels, les drapeaux, les VRAIS bretons les FAUX bretons comme les VRAIS français et les FAUX français jadis, etc) mais cette fois à une échelle régionale. Çà et le communautarisme me donnent envie de dégueuler. C’est juste complément con à notre époque.

          2. Wackes Seppi dit :

            6 novembre 2013 à 18:01

            La double signalisation est un message fort de respect de la langue et de l’identité bretonnes. Ça a coûté le prix qu’il a fallu y mettre.

            =>ce message de respect n’est il pas plus acceptable les decisions aberrantes de nos politiques suite aux dictacts des marchands de peurs?

          3. Depuis l’ordonnance de Villers-Cotterêts, de 1539 , postérieur au rattachement de la Bretagne à la France, la seule langue officielle en France est le français.

          4. Pour une fois on est d’accord avec moi !

            Pour moi le régionalisme tel que pratiqué par certain me fait peur .

            C’est une réaction irrationnelle (que je comprends mais n’accepte pas ) au défi de la « mondialisation » (quoique que ce mot recouvre des concepts assez flou …).
            Le repli sur soi n’a jamais une solution , comme le protectionisme à outrance.

            Que des gens veulent conserver la langue bretonne ou corse ou autre , c’est bien car c’est notre patrimoine culturel mais pas que ce soit imposé et utilisé comme outil d’une politique séparatiste et/ou raciste.
            Si une Langue officielle existe pour un état c’est pour facilité les échanges ….c’est vrai que violence a été utiliser pour rassembler les régions mais ça appartient au passé et les avantages actuelles sont supérieurs aux coûts (humains et financiers ) qu’un retour en arrière imposerait.

  12. cette journaliste bobo nous raconte des salades en permanence elle ne voit que ce qui va dans les ens de ses lubies écolos

    au fait gros problème en Italie ou le maîs traditionnel trop chargé en mycotoxines doit être remplacé par du maîs OGM (importé) que les agriculteurs n’ont pas le droit de planter ….

    1. parce que l’ensilage c’est naturel comme méthode ! et le lien entre mycotoxines et OGM  » bienfaiteurs » je ne vois pas ! apres quand les pratiques agricoles sont mauvaises , il est effectivement possible de faire pire avec les ogm …..

      2. L’ensilage est une méthode de conservation du fourrage tout aussi naturelle que le fanage. L’ensilage n’est rien d’autre que la choucroute des ruminants. La fermentation lactique anaérobie assure la conservation du fourrage. Bien fait, l’ensilage conserve mieux la valeur nutritionnelle de la plante, notamment, mais pas seulement, du fait que dans le fanage l’éleveur ne peut contrôler complètement les conditions météorologiques dans lesquelles il se déroule.

        Il peut aussi présenter des avantages sur le plan de la main d’œuvre nécessaire pour la distribution des aliments aux animaux, plus facilement mécanisable.

        Des peintures témoignent que l’ensilage de maïs était déjà utilisé dans la vallée du Nil de 1000 à 1500 ans av. J.-C.

      3. Pottier Franck

        – parce que l’ensilage c’est naturel comme méthode !

        – et le lien entre mycotoxines et OGM » bienfaiteurs » je ne vois pas !

        Encore un qui m’a l’air de savoir de quoi il parle! Bouffon!

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