Ségolène Royal a-t-elle le sens des priorités ?

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A peine arrivée au ministère de l’écologie, Ségolène Royal enchaîne les grandes déclarations. Dernière en date : un appel aux collectivités locales pour que celles-ci cessent l’utilisation de phytos dans les espaces verts.
Le prix de l’énergie avec les grands sujets liés au nucléaire, gaz de schiste, énergie renouvelable, les transports… Ségolène Royal nous parle des pesticides en collectivités locales. Mais de qui se moque-t-on ? De mauvaise augure pour la suite…Les ministres changent, la com’continue !

42 commentaires sur “Ségolène Royal a-t-elle le sens des priorités ?

  1. Il y a une loi qui sera présentée au mois de juin sur la question de l’énergie, du nucléaire et des transports. ROYAL en a déjà beaucoup beaucoup parlé…. Cette loi a d’ailleurs été préparée en partie par M. Philippe Martin.

    Les questions que vous abordez seront donc traitées en temps voulu mais comment demander à une ministre en place depuis une semaine de décider de l’avenir du nucléaire et des énergies ?

    Bref, beaucoup de mauvaise foi dans votre petit article.
    Je veux bien qu’on reproche pleins de choses aux politiques mais là ….

    1. « ….mais comment demander à une ministre en place depuis une semaine de décider de l’avenir du nucléaire et des énergies ?  »

      Vous voulez vraiment nous faire accroire que l’omnisciente et omnipotente Ségolène, n’a commencé à se pencher sur la question que depuis la semaine dernière? Sinistre de l’écologie? Oh! Mais quelle surprise…..

    2. Vous avez en partie raison (mais en partie seulement).

      Dans la mesure où on ne peut pas s’attendre à ce qu’elle revienne sur les très mauvaises orientations du PS dans le domaine de l’énergie, peu importe qu’elle tchatche sur les pesticides ou sur les subventions aux escrologues.

      1. « …..sur les très mauvaises orientations du PS dans le domaine de l’énergie… »

        === Comme par exemple le blocage idéologique de la recherche sur l’amélioration des techniques d’exploitation des gaz de schiste ?

  2. CLEMS > Les questions que vous abordez seront donc traitées en temps voulu mais comment demander à une ministre en place depuis une semaine de décider de l’avenir du nucléaire et des énergies ?

    Elle pourrait ne rien dire et se contenter de bosser.

    Qui lui a imposé de faire des déclarations?

    Mais elle aime tellement les caméras…

    1. @Vincent,
      « Mais elle aime tellement les caméras… »

      En effet. Et, en général, avec pour intention première de servir à son avantage des médias ! 🙄

      Je ne résiste pas au plaisir – avec l’idée que celui-ci sera partagé – de citer ci-dessous quelques lignes assez savoureuses d’un auteur ayant bien compris les ressorts politico-psychologiques de Mme Royal.

      « Notre époque ne produit pas que des terreurs innombrables, prises d’otages à la chaîne, réchauffement de la planète, massacres de masse, enlèvements, épidémies inconnues, attentats géants, femmes battues, opérations suicide. Elle a aussi inventé le sourire à visage humain de Ségolène Royal. (page 7)
      […]
      C’est un sourire de salut public, comme il y a des gouvernements du même nom*.
      C’est évidemment le contraire d’un rire. Ce sourire-là n’a jamais ri et ne rira jamais, il n’est pas là pour ça. » (p. 13)

      Philippe Muray. – Le sourire à visage humain, Manitoba / Les Belles Lettres, 38 pages, janvier 2007.
      [Ces extraits eux-mêmes tirés de : « Moderne contre moderne. Exorcismes spirituels IV », septembre 2004]

      * Note personnelle : le gouvernement dont Mme Royal y est « ministre de l’écologie etc… » n’a-t-il pas été qualifié, dès sa formation, à l’aide d’une expression assez proche, de « gouvernement de combat » ? 😯

    2. déjà le Ministère de l’écologie n’a pas lieu d’être car il y a déjà un ministère qui s’en occupe : le ministère de la Recherche qui s’occupe des écologiste (les Vrais , ceux qui on un doctorat !)
      Quand une personne me dit qu’elle est écologiste ,je lui demande sur quelle thèse elle a travaillé !
      Réapproprions nous les mots , ces mots pris en otage par les idéologues de tout poil .
      Bio
      Ecologie
      Développement durable (pléonasme)
      Tri sélectif (pléonasme )
      Local …..;

      1. Tout à fait d’accord avec vous.

        C’est bien pour cela que nous nous nommons Ecologues, et pas écologiste. Pour bien marquer la différence entre une science et une idéologie politique qui n’est nullement fondée sur la science mais qui prêtant l’être !!!

    3. Elle pourrait ne rien dire et se contenter de bosser. Qui lui a imposé de faire des déclarations?

      === Le problème avec elle, c’est qu’elle est persuadée que « faire des déclarations », c’est « bosser »….

      1. Zygomar,
        Votre indulgence, si la phrase en anglais – que je cite de mémoire… – comporte quelqu’approximation…

        À propos de Mme S. R., et pour abonder dans votre sens :

        « One who does not, teaches » 🙄

        Ce que je traduirais par : « Quiconque n’agit pas, professe. » 😉

  3. Oui qu’elle casse le dos et les genoux des agents municipaux et qu’elle laisse tranquille les agriculteurs, merci.

    1. a Karg :

      Pelle Râteau
      C’est le chant des municipaux
      Pelle Râteau
      C’est bientôt l’heure de l’apéro…..;

    2. les employés municipaux utilisent les desherbeurs thermiques de nos jours

  4. Interdire les pesticides en ville est une sage décision, 2022 est trop tard, il faut commencer plus vite pour tester les conséquences rapidement. Comme le communisme, on expériemente de façon limitée avant de généraliser, ce que l’on aurait du faire, des petits pays dabord.

    Question cependant, et pour les biocides on fait quoi ?
    Punaises de lit, tiques, poux, gale ….

    Lu dans sur un site de l’ars PACA, c’est édifiant!

    « La nette amélioration de l’hygiène de notre habitat due à l’augmentation globale du niveau social et économique en est l’une des
    principales causes [3]. D’autre part, l’apparition du DDT après guerre, insecticide à forte rémanence, et les traitements systématiques contre tous les nuisibles (cafards, mites…) ont certainement bloqué l’expansion des punaises de lits. De nos jours, ces produits dangereux sont interdits et on leur préfère des pièges attractifs spécifiques sans effet sur les punaises de lits. »

    On repèrera les incohérences dans le texte:

    – Si la nette amélioration de l’hygiène de notre habitat due à l’augmentation globale du niveau social et économique en est l’une des
    principales causes de la disparition des punaises de lit, pourquoi elles réapparaissent aujourd’hui alors que le niveau de vie a encore augmenté?

    – prétendre que le DDT est dangereux donc interdit à cause de cela est fort de café, c’est son effet trophique qui a conduit à son interdiction, concentration chaine alimentaire et leur préfèrer des pièges attractifs spécifiques sans effet sur les punaises de lits ne résoud rien. Ces toubibs ont lu Rachel Carson dans le ventre de leur mère et en sont tout imprégnés, certainement aussi de tabac.

    Pour un site de l’ARS PACA, c’est effrayant, on peut craindre le pire en cas de maladie vectorielle avec des médecins de ce calibre.

    Bref il faut commencer tout de suite le sans insecticide en ville, dont le biocides, dont les produit à usage médical.
    A partir de 10 000 morts suite à des maladies transmissibles, on arrête l’expérience , on rétablit l’usage des produit insecticides efficaces et on exporte ce type de médecins, aller simple, dans les pays du sud pour solutionner le problème de la surpopulation.

    1. @ Alzine Interdire les pesticides en ville est une sage décision

      === Le bruit courre qu’ils ont déjà commencé à rechercher des volontaires écologistes verts partageant cette décision audacieuse afin de mettre en place un service national de désherbage/sarclage municipal à la binette sur les trottoirs des rues, allées, avenues boulevards, dans les parcs et cimetières, etc…. Rémunération: SMIC pour 35 heures. Aux dernières nouvelles, peu de volontaires se sont faits connaître pour le moment mais les autorités sont confiantes et optimistes. Il suffit disent-elles de donner du temps au temps…. Mais pendant ce temps, les adventices (non, non! il n’existe pas de mauvaises herbes, tout ce qui est naturel est bon…) poussent un peu partout. Si on ne supprime pas tout cela avant que çà monte en graine, ce sera magnifique l’année prochaine…….

    2. À propos de charmantes bestioles…
      Lu dans sud-ouest.fr :

      Gironde : le moustique tigre solidement implanté

      Le département est classé niveau 1 au plan national anti-dissémination du chikungunya. Pour autant, le moustique tigre qui prospère dans nos contrées n’est pas forcément porteur de maladies tropicales.

      http://www.sudouest.fr/2014/04/14/le-moustique-tigre-est-solidement-implante-en-gironde-1525312-2780.php

      La lutte contre la dissémination se fera-t-elle… sans usage d’insecticides ?

      1. Oh oui ! Il y aura des ravagés du Giboulot – euh ! du ciboulot – qui vous prétendront qu’il faut et il suffit de respecter les équilibres écologiques.

        1. « …..qu’il faut et il suffit de respecter les équilibres écologiques. »

          = Tout à fait d’accord mais la difficulté dans ce genre d’affaire, c’est avec les « bestioles » comme les appelle JG2433 sur un ton quelque peu péjoratif. Celles-ci ne sont que rarement prêtes à coopérer et qu’elles montrent peu de respect pour les équilibres écologiques. C’est con la vie… On serait si heureux si les « bestioles » faisaient un effort!

  5. http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/bio-stopper-chute-conversions-13-04-2014-141133?utm_source=rss&utm_medium=ofentreprise&utm_campaign=rss_info_toute
    Bio : stopper la chute des conversions

    article interressant
    une partie du message concerne cette article

    Enfin, les vignerons bio se dressent contre un projet de réglementation qui envisage de diminuer la dose limite de cuivre utilisée dans les traitements contre le mildiou. Selon la Cab, une telle décision entraînerait « une déconversion dans les vignobles bio de l’Ouest qui subissent de fortes pressions sanitaires trois années sur cinq ».

    => Mme Royal va lutter contre les pesticides bio?
    (je vous rassure, c’est une remarque humoristique)

    1. « une déconversion dans les vignobles bio de l’Ouest qui subissent de fortes pressions sanitaires trois années sur cinq ».

      === Comment çà se fait çà? On ne peut même plus compter sur les collègues qui traitent « chimique » leurs parcelles voisines pour bénéficier des effets de voisinage sans qu’on soit obligé de traiter nous-mêmes, nous autres « bios »???

  6. « De mauvaise augure pour la suite… » ?

    « Augure » est masculin. Et d’une.

    De l’autre, je pense qu’il faut se calmer.

    Mme R. a sans nul doute un ego hypertrophié qui l’amène à faire et, surtout, à dire bien des c…ies.

    Mais il faut aussi tenir compte des faits et du calendrier.

    « Héritière » d’un portefeuille qui ne lui était pas destinée au départ, elle doit donner des gages de « vertitude ».

    Dans la perspective des élections européennes, elle doit démontrer que le gouvernement est plus « écologiste » que les « écologistes ».

    Pour en savoir plus sur la politique « écologique » du gouvernement et la marge de manoeuvre (la capacité de nuisance pour dire les choses comme elles seront peut-être) dont elle jouit, il faut encore attendre un peu.

    C’est aussi l’occasion de faire le bilan de l’action – et de l’inaction, pas forcément critiquable – de M. Martin. On trouvera peut-être qu’il a été un bon ministre de l’environnement…

  7. Le Bio est, théoriquement, sans pesticides ni engrais… Puis les premières normes ont autorisé des pesticides et engrais naturels (sous la pression des Agri Bio)… Puis, toujours sous la pression des agri Bio, de nouvelles dérogations ont vu le jours : autorisation de produits et préparations phytopharmaceutiques de synthèses (soit issues de molécules naturelles, soit issues de synthèse artificielle).
    La législation future prône tout simplement de revenir à la base du Bio. Et cela fait grincer beaucoup de dents… parmi les escro du bio !!!

    1. Je pense qu’il faut être plus nuancé.

      Le « bio », il y a ceux qui la pratiquent (1)… et ceux qui en parlent (éventuellement en en profitant, style grands de la distribution) (2).

      Parmi ceux qui la pratiquent, il y ceux qui en vivent par leur travail (1A)… et ceux qui en vivent en partie grâce aux coups de pouce en tous genres (style mise à disposition de terres pour un prix symbolique, marché protégé des cantines, etc.) (1B).

      Il y a aussi ceux qui se payent sur la bête, notamment les agences de certification (3).

      Le « bio », c’est aussi des consommateurs (4). Ceux qui ne font que consommer (4A)… et ceux qui, en plus, militent (4B).

      Les grincements de dents, c’est plutôt dans la catégorie 1A.

      Et la Commission a surtout entendu les 1B, 2, 3, 4B. C’est en partie normal : ils sont les plus bruyants. Je pense aussi que, pour gérer ce genre de système, on finit toujours par recruter des convaincus. Et, pas la peine de taper sur la Commission : elle ne fait qu’anticiper les désirs des États membres et, probablement, d’une majorité d’un Parlement européen dans lequel il sera difficile de faire entendre la voix de la raison sur celle de l’émotion.

      1. réponse au commentaire de Wackes Seppi du 15 avril 9h41
        donc, les 1B, 2, 3, 4B risque d’imposer tellement de régle contraignante (pour lutter contre les fraudes) qu’il risque d’avoir une diminution des agriculteurs bio?
        Ou alors comme je le disais dans des pays où des « organismes certificateurs » de complaisance vont certifier des aliments qui n’ont rien de bio.
        Mais dans ce cas, si les 1B et les 2 sont contents, c’est une catastrophe pour les 3 et les 4B.
        Cela ne risque pas de provoquer une « guerre » entre les différents acteurs du bio ou les victimes seraient les agriculteurs bio?

        1. Les 1B, etc. imposent des règles plus contraignantes pour rendre le « bio » encore plus « bio ». Vu l’hystérie ambiante, vous pouvez considérer que les propositions de la Commission sont déjà à moitié adoptées.

          Ce n’est pas une question de lutte contre les fraudes (qui ne manqueront pas de se multiplier avec des règles plus strictes), mais d’intégrisme et, pour certains, de protectionnisme. La filière est dans l’escalade d’engagement. Avec un soupçon de cynisme, sinon plus : si la tendance à la conversion est à la baisse… ben on augmentera les subventions. L’objectif n’est-il pas 20 % de la SAU en « bio » ?

          Ces nouvelles contraintes ne seront pas une catastrophe pour les organismes certificateurs : ils se payent sur les bêtes et, les règles étant plus exigeantes, leur domaine d’activité ne peut qu’augmenter (et compenser la baisse du nombre d’agriculteurs « bio »).

          Pour les consommateurs militants, c’est en partie kif kif (sur le plan national) et en partie bénéfice puisqu’ils vont pouvoir militer contre les vilaines importations pas très « bio ». Leur fond de commerce est assuré…

          Une « guerre des bios » ? Quel agriculteur ou collectif « bio » sera en mesure de dire aux idéologues qu’ils sont devenus fous ?

          Je crains pour les vrais agriculteurs « bio ».

  8. Indépendamment des commentaires justifiés sur les limites de la ville sans pesticides, ce type d’expérience n’est pas en soi mauvaise.
    Les écolo bobos sont des citadins, il faut qu’il expérimentent par eux mêmes les concepts qu’ils soutiennent mais qui leur sont fortement suggérés par les ONG vertes et les médias. On peut regretter la date de 2022, trop loin, d’où l’intérêt de villes test.

    Une campagne d’information des écolo bobos citadins devrait cependant les informer qu’exposition et imprégnations au substances pesticides sont essentiellement le fait des biocides, insecticides vétérinaires ( contre les puces et tiques des chiens et chats) et des produits médicaux d’hygiène corporelle voire interne contre les poux, la gale, les différents mycoses que l’on attrape à la piscine et sur les plages, voire dans les transports en commun ( implicite pour un écolo bobo).

    Ces substances insecticides permethrine, deltamethrine, lindane; malathion, ivermectine et pour les mycoses et candidoses:parmi les fongicides azolés, dont de nombreux à classer perturbateurs endocriniens potentiels : butoconazole, éconazole, miconazole,fenticonazole, isoconazole,fluconazole, itraconazole,voriconazole et posaconazole et les échinocandines (caspofungine et micafungine).

    Pour ces produits, Génération futures et F Veillerette est aux abonnés absents. le bougre ne sait pas, la presse n’en parle pas, donc cela n’existe pas!

    Seulement quelques millions de patients qui se tartinent la peau avec ces produits, les ingèrent parfois …sur prescription médicale pour l’ingestion mais spontanément pour les traitements des mycoses que l’on ramène de la piscine , de la plage,…

    Et avec l’évolution actuelle comme pour la gale , les poux et les punaises de lit , le meilleur est devant nous, les générations futures vont en prendre plein la figure de tous ces déplaisirs très naturels.

  9. C’est une manœuvre de diversion qui fait partie du plan de comm. Pendant ce temps là on ne parle pas des vrais problèmes.Cela n’a aucun sens d’amalgamer tous les pesticides et surtout de ne pas parler des plus dangereux d’entre eux comme les raticides ( DL 50 de 1 mg / kg , c’est à dire que 0,1 g peut suffire à tuer un homme , alors que certains herbicides sont moins toxiques pour les humains que du sel de cuisine).Ce matin ils ont dératisé mon immeuble et il n’y a aucune mesure de précaution recommandée ( ouverture fenêtre, temps pour entrer à nouveau dans les caves …)

    1. « …..Ce matin ils ont dératisé mon immeuble….. »

      = Avec quoi?

          1. Je n’ai pas vu le produit mais c’est probablement un anti coagulant (aussi dangereux pour nous qui sommes aussi des mammifères). Mais je trouve que la logique serait d’informer de ce que c’est et surtout de donner quelques recommandations pour gérer les risques.( Le danger est acceptable si on sait prendre les bonnes mesures)

  10. un anti coagulant (aussi dangereux pour nous qui sommes aussi des mammifères).

    et surtout de donner quelques recommandations pour gérer les risques.(

    === Il suffit de ne pas le manger…..

  11. Pourquoi parlez le l Union soviétique , encore et hors propos.
    Certain n’en n ont pas encore fini avec ça ?
    La plupart des salariés de l’URSS travaillaient pour l’armée .La doctrine des dirigeants soviétiques était que l’empire soviétique était en état de guerre tant que le monde n’était pas communiste. Tout l’effort économique est passé dans la construction et l’entretien de la machine militaire , ce qui a conduit à l’effondrement du système.
    La Russie de Poutine est dans le même état : tout la richesse du pays est sur un seule source (le Pétrole ) et elle importe tout ce qu’elle pourrait produire.

    A part ça quel rapport avec Royal ….!!

    Pour le gaz de schiste , hélas la France n’est les US pour ce qui concerne l’accès et les réserves. Croire que le Gaz de Schiste va nous « sauver » c’est aussi idiot que d’interdire l’exploitation.
    La seule utilité de l’exploration du Gaz de schiste , c’est d’envoyer un « signal  » à nos fournisseurs et d’influer sur le prix d’achat dans les futurs contrats.Ce qui peut dégager des marges de manoeuvre budgétaire.

    Royal n’a pas le privilège du gaspillage des deniers de l’état :
    Financement du Rafale qui ne se vend pas au lieu de coopérer avecl’Eurofighter (qui se vend)
    Baisse de la TVA pour les cafetiers en contrepartie d’embauche qui n’ont pas eu lieu …..(on rembourse actuellement cette largesse électoraliste).

    Pour en revenir à la voiture électrique , Raoyal n’est pas écolo car c’est les centrales charbon qui vont entrer en action vers 20H pour charger les voitures des gens qui rentrent du boulot !!!

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