Les occupants de Sivens contre l’agriculture bio ?

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Lu sur cet article de la Croix consacré aux agriculteurs concernés par la retenue d’eau de Sivens : À trois kilomètres à peine des lieux occupés par les anti-barrage, Bernard Durrieu affiche lui aussi son « ras-le-bol ». Installé depuis 2007 sur une petite exploitation de moins de 11 hectares, il tire l’essentiel de son revenu du maraîchage et de 5 hectares de céréales vendues à une coopérative. Il arrose aujourd’hui grâce à deux puits, insuffisants pour ses besoins, et s’était donc inscrit pour une autorisation de pompage dans la retenue de Sivens. Il souhaite à l’avenir se diversifier dans la culture de semences de carottes, d’oignons, de persil, exigeantes en eau.
« Les opposants disent aux agriculteurs locaux : passez au bio, moins consommateur d’eau, et mettez en place des circuits courts de distribution, explique-t-il. Ça tombe bien : c’est exactement ce que je fais depuis 2010. Mais le bio aussi, sur des terres qui ici sont excellentes mais très sèches, demande beaucoup d’irrigation ! Comme exploitant bio et favorable au barrage, je les agace au plus haut point. Et ils me le font savoir ! »
[…] « Ce projet, la plupart des élus ici et une majorité de la population le soutiennent. Où est la démocratie si des gens débarqués de l’extérieur pour faire de la politique sous un faux nez vert obtiennent satisfaction ? »

45 commentaires sur “Les occupants de Sivens contre l’agriculture bio ?

  1. Passer à des circuits courts de distribution permettrait d’économiser de l’eau.
    Va falloir décerner un prix Nobel (de quoi, d’agronomie, d’économie ?) pour celui qui a pondu cette perle

    1. @ Astre Noir

      Passer à des circuits courts de distribution ( + le bio!)permettrait d’économiser de l’eau

      >>>> On est décidément de plus en plus cerné par les cons!

      1. Il n’est pas dit « Passer à des circuits courts de distribution permettrait d’économiser de l’eau ». Il faut regarder la ponctuation.
        Il est dit :
        « Les opposants disent aux agriculteurs locaux : passez au bio, moins consommateur d’eau, et mettez en place des circuits courts de distribution,… » Il y a une virgule et le ET qui dissocient 2 idées.

        1. Il s’agit là de propose prêtés par M. Durrieu aux « opposants » (lesquels du reste…).

          En admettant que les propos de M. Durrieu reflètent bien ces des « opposants », ça reste une ânerie.

          En plus, de quelle autorité se prévalent ces « opposants » pour donner de tels conseils ?

    2. circuits courts = tuyaux moins longs = moins de chance d’avoir des trous ds le tuyau = moins de pertes .

      Mettez vous dans la tête de Y.Jadot de tant en temps , vous comprendrez la profondeur de la pensée écolo.

      1. Purée, Y.Jadot encore invité aux Matins de France Culture, ce matin.
        France Culture devient lourd: dès qu’il y a un sujet sur l’énergie, c’est forcément un écolo qui est invité et ce, sans contradicteurs, alors que je ne vois pas en quoi ils seraient plus habilités que d’autres à discuter.

        1. @ douar  »

          alors que je ne vois pas en quoi ils seraient plus habilités que d’autres à discuter. »

          >>> Mais précisément parce qu’ils sont écolo et par définition spécialistes dans tout ce qui touche au domaine du sauvetage de la planète! Tous les autres, c’est à dire tous ceux qui ont fait des études pertinentes et dont l’environnement est « le métier », sont automatiquement disqualifiés parce que pas fiables du fait de leurs implications, de leurs accointances, avec l’industrie, les lobbies, etc…

        2. j’ai écouté ce con (YJ)ce matin :Explication des violences de certains opposants , selon lui c’est parce que les agriculteurs sont violents avec la nature . C est eux kon commencés , na !

          Y.Jadot aurait parlé de milices qui auraient attaqués des ZaDistes ??!!

      2. @roger

        « Mettez vous dans la tête de Y.Jadot de tant en temps  »

        >>> Impossible! Trop petit! Pas assez de place et puis c’est plein de courants d’air

    3. « Passer à des circuits courts de distribution permettrait d’économiser de l’eau » C’est pas tout a fait ce qui est écrit ou dit !!!

  2. Un sondage bizarrement non-relayé par la presse

    « Mort de Rémi Fraisse : les Français désavouent totalement la posture des écologistes »
    « Sept Français sur dix considèrent que la mort de Rémi Fraisse n’est pas une « affaire d’Etat » et trois Français sur quatre estiment que les Verts ont tort d’attaquer le gouvernement à ce sujet … Il est suffisamment rare par les temps qui courent que les Français soient une majorité à défendre le gouvernement pour que cette forte majorité de soutien ne soit relevée. »

    Tu m’étonnes.

    1. Les députés écologistes ont observé mardi une minute de silence dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, contre la volonté du président Claude Bartolone (PS), à la mémoire de Rémi Fraisse, mort le 26 octobre lors d’une manifestation contre le barrage de Sivens (Tarn). L’ancienne ministre Cécile Duflot a commencé une question au gouvernement sur cette mort, avant d’annoncer qu’elle et ses collègues allaient observer une minute de silence.

      Le président de l’Assemblée nationale,

      <<<>>>

      « Chacun a compris votre émotion, mais maintenant il faut poser votre question », a-t-il lancé à Cécile Duflot, qui a obstinément gardé le silence pendant une minute, debout ainsi que les autres députés écologistes. Elle a repris la parole au moment où Claude Bartolone allait la lui retirer.

      1. Un paragraphe (important!!!) a sauté! Le voici:

        Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone a alors rappelé que les minutes de silence à l’Assemblée étaient observées pour les décès « dans nos forces armées ou nos otages ».

        1. Cette tradition, sur laquelle Claude Bartolone veille si scrupuleusement depuis hier après-midi, ne devait pas exister le 6 juin 2013, lorsqu’il demandait à la Représentation nationale d’observer une minute de silence en hommage à Clément Méric. À moins que ce jeune militant d’extrême gauche tué lors d’une rixe à Paris comptât
          « parmi nos forces armées ou parmi les otages » – on ne sait peut-être pas tout.

          http://www.tak.fr/silence-cecile-duflot/

      2. Pourtant, une minute de silence de Duflot, c’est tellement bon…
        Mais c’est beaucoup trop court…C’est un an de silence qu’elle devrait respecter

        1. @ Astre Noir,
          Nous sommes en parfait accord ! 😉

          Voici mon post édité sur http://www.skyfall.fr/?p=1314#comment-120863

          605. JG2433 | 4/11/2014 @ 23:17

          [Citation ] « Duflot retoquée par Bartolone à l’assemblée. »

          Mon commentaire :
          Dommage que son silence n’ait duré que si peu de temps.
          Ça nous aurait plutôt fait du bien de moins l’entendre et le monde n’e s’en serait pas plus mal porté pour autant… 🙄

          1. Quand on pense qu’il y a une majorité de cons qui se sont fourvoyés et l’ont élue député (sans « e » j’y tiens ) dans sa circonscription. Faut pas venir se plaindre maintenant.

  3. @ douar

    « D’ailleurs certains scientifiques se révoltent: »

    >>> La lettre du Pr Artus est excellente! Mais je crains hélas que ces « scientifiques [qui] se révoltent », s’égosillent dans un désert d’indifférence et c’est pour cette raison qu’il faut que nous leur apportions notre soutien. Une large diffusion de la lettre d’Artus pourrait déjà peut-être mettre en route le processus! Espérons-le en tout cas!

    1. Zygomar a écrit :
      « La lettre du Pr Artus est excellente! Mais je crains hélas que ces « scientifiques [qui] se révoltent », s’égosillent dans un désert d’indifférence et c’est pour cette raison qu’il faut que nous leur apportions notre soutien. »

      Me voici par hasard sur ce site sur lequel je lis des choses intéressantes et d’autres qui me semblent totalement incongrues. Pour éviter que des personnes qui pourraient être mal ou dés-informées apportent leurs soutiens aveugles à tel ou tel, je me permets donc de contribuer aux échanges avec les quelques modestes lignes qui suivent et que j’intitulerais : « LA PRETENDUE NEUTRALITE DE LA SCIENCE ET SA RESPONSABILITE »

      La communauté scientifique se retrouve prisonnière du double langage qu’elle a souvent pratiqué dans le passé. Lorsqu’il s’agit de vendre son produit, les perspectives les plus grandioses sont agitées à la barbe des décideurs. Lorsque les critiques, alertés par tant de bruit, soulèvent la question des risques, on se rétracte: la science que nous faisons est modeste. Le génome contient l’essence de l’être vivant mais l’ADN n’est qu’une molécule comme une autre – et elle n’est même pas vivante! Grâce aux OGM, on va résoudre une fois pour toutes le problème de la faim dans le monde, mais l’homme a pratiqué le génie génétique depuis le Néolithique. Les nanobiotechnologies permettront de guérir le cancer et le Sida, mais c’est simplement la science qui continue son bonhomme de chemin. Par cette pratique du double langage, la science ne se montre pas à la hauteur de sa responsabilité.

      ​Le lobby nanotechnologique a actuellement peur. Il a peur que son opération de relations publiques aboutisse à un ratage encore plus lamentable que celui qu’a connu le génie génétique. Avec la conférence d’Asilomar en 1975, les choses avaient pourtant bien commencé pour la communauté scientifique, du moins le croyait-elle. Elle avait réussi à se donner le monopole de la régulation du domaine. 40 ans plus tard, le désastre est accompli. La moindre réalisation biotechnologique fait figure de monstruosité aux yeux du grand public. Conscients du danger, les nanotechnologues cherchent une issue du côté de la « communication »: calmer le jeu, rassurer, ASSURER L' »ACCEPTABILITE ». Ce vocabulaire de la pub a quelque chose d’indécent dans la bouche des scientifiques.

      Que faire? Il serait naïf de croire que l’on pourrait envisager un moratoire des recherches, ou même, à court terme, un encadrement législatif ou réglementaire, lequel, en tout état de cause, ne pourrait être que mondial. Les forces et les dynamiques à l’œuvre n’en feraient qu’une bouchée. Le mieux que l’on puisse espérer est d’accompagner, à la même vitesse que leur développement et, si possible, en l’anticipant, la marche en avant des nanotechnologies, par des études d’impact et un suivi permanent, non moins interdisciplinaires que les nanosciences elles-mêmes. Une sorte de mise en réflexivité en temps réel du changement scientifique et technique serait une première dans l’histoire de l’humanité. Elle est sans doute rendue inévitable par l’accélération des phénomènes.

      La science, en tout cas, ne peut plus échapper à sa responsabilité. Cela ne veut évidemment pas dire qu’il faut lui donner le monopole du pouvoir de décision. Aucun scientifique ne le souhaite. Cela veut dire qu’il faut obliger la science à sortir de son splendide isolement par rapport aux affaires de la Cité. La responsabilité de décider ne peut se concevoir que partagée. Or c’est de cela que les scientifiques, tels qu’ils sont formés et tels qu’ils s’organisent à présent, ne veulent absolument pas. Ils préfèrent de beaucoup s’abriter derrière le mythe de la neutralité de la science. Qu’on les laisse accroître les connaissances en paix et que la société, sur cette base, décide de là où elle veut aller. Si tant est que ce discours ait jamais eu une quelconque pertinence, il est aujourd’hui irrecevable.

      Les conditions de possibilité d’un partage et d’une articulation des responsabilités entre la science et la société ne sont aujourd’hui nulle part réunies. L’une de ces conditions, la principale peut-être, exige de l’un et l’autre partenaire une révolution mentale. Ils doivent ensemble viser, selon la belle expression du physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, à mettre la science en culture. Connaître la science, c’est tout autre chose que s’informer à son sujet. La débilité des programmes scientifiques mis en place par les médias à l’adresse du grand public résulte, soit dit en passant, de la confusion entre information et culture scientifiques. C’est évidemment la manière dont on enseigne la science dans l’enseignement secondaire mais aussi supérieur qui est complètement à revoir. Introduire dans le cursus l’histoire et la philosophie des sciences est une nécessité, mais qui est loin d’être suffisante: la réflexion sur la science doit faire partie intégrante de l’apprentissage de la science.

      De ce point de vue, hélas, la plupart des scientifiques ne sont pas plus cultivés que l’homme de la rue. La raison en est la spécialisation du métier de scientifique, en caricaturant un peu, ils savent presque tout sur presque rien.

      Des savants avec des œillères, c’est précisément ce que nos sociétés ne peuvent plus se permettre de former, d’entretenir et de protéger. Il y va de notre survie. Nous avons besoin de scientifiques « réflexifs » : moins naïfs par rapport à la gangue idéologique dans laquelle se trouvent souvent pris leurs programmes de recherche; mais aussi plus conscients que leur science repose irréductiblement sur une série de décisions métaphysiques.

      1. Vous vouliez en venir où, au juste ?* En trois ligne ce sera sûrement plus clair qu’en trois cents.

        *Je crois avoir compris, mais n’en suis pas sûr et qu’est-ce que je me suis gratté la tête !

        1. @ Laurent Berthod : « Vous vouliez en venir où, au juste ?* En trois ligne ce sera sûrement plus clair qu’en trois cents. »

          Pardonnez-moi si j’ai été un peu confus mais je voulais exprimer mon désaccord avec la lettre de Jean-Claude Artus. Si vous retenez que les scientifiques préfèrent s’abriter derrière le mythe de la neutralité de la science, et que le pouvoir travaille beaucoup à l’acceptabilité sociale de telle ou telle technologie, ç’est un bon début.

      2. Hub,
        Allez-y mollo quand même, Zygomar, Berthod et JG2433 ne sont pas bien habitués à des raisonnements aussi étayés !
        La preuve, l’un d’eux se provoque une calvitie !!!

      1. Ils ne sont pas spécialement pour le bio, ils sont contre tout ce qui rime avec la notion de progrès. En fait il faut que les agriculteurs vivent en pure autarcie et de cueillette.

        1. J’ai rarement vu un site receler autant de commentaires idéologiques qui servent de défouloir. Sans parler de la haine de l’écologie qui transpire, à de rares exceptions près, dès qu’un des intervenants tous plus réac les uns que les autres, déblatère son fiel.
          Je vous laisse donc macérer dans votre consanguinité mentale et pour me préserver, je vous fuis à grandes enjambées. Adieu

    1. S’il vous plait, n’attribuez pas à la vieillesse une dérive intellectuelle et morale qui est la marque de fabrique d’une certaine « intelligentsia » (particulièrement) française.

  4. Rémi est mort samedi 25 octobre 2014 après avoir reçu dans le dos une grenade tirée à tir tendu par un gendarme qui protégeait le chantier du barrage du Sivens dans le Tarn. Les forces de l’ordre tuent. Nous le savons. Mais ça ne finit pas de nous révolter… ! Depuis deux mois elles blessent et mutilent les opposants au barrage résistant sur place, les opérations d’expulsion étant de plus en plus violentes… La réalisation du projet s’est brusquement accéléré et de manière autoritaire. En réaction, samedi 25 au soir, une action de sabotage du chantier était prévue par le mouvement pour ralentir les travaux. S’opposer physiquement aux machines de destruction et aux forces de l’ordre qui protègent les intérêts du capital est une pratique politique utilisée partout dans le monde et depuis de nombreuses années. C’est parce que le seul recours aux voies légales et démocratiques n’aboutit jamais à une victoire que les barricades sont dressées et les chantiers attaqués. Ces pratiques multiples se complétent et doivent exister ensemble pour permettre aux mouvements de lutte de ne pas sombrer dans l’oubli et avoir un réel impact sur les territoires convoités par les investisseurs publics comme privés. Comme nous le montre l’histoire : à Notre dame des Landes contre un projet d’aéroport, à Plogoff contre une centrale à gaz , dans le Val de Susa en Italie contre le TGV Lyon-Turin etc… Voilà pourquoi les états et les médias ont tant d’enjeux à diviser et mettre en opposition nos méthodes, voilà pourquoi ils font encore exister, malgré son absurdité , la division entre les « gentils écologistes » et les « méchants anarchistes »… Ce jeu de division est un moyen depuis toujours utilisé pour affaiblir les mouvements de contestation qui grondent… La dernière fois qu’un manifestant est mort dans une occupation de chantier ( 1977, creys malville, mouvement anti nucléaire ) le mouvement est mort avec lui. C’est la peur, la tristesse et le jeu médiatico-politique que manient si bien les dirigeants qui ont eu raison du mouvement de protestation… Aujourd’hui le mouvement s’élargit… Pourquoi un assassinat devient affaire d’état…

    La police tue. Ce n’est pas une surprise. En France c’est plus d’une dizaine de personnes par an qui décèdent des crimes policiers et nombreux.e.s sont les blessé.e.s. Nos cris restent muets car il n’y à aucune manière d’attaquer cette institution et la justice ne fait que défendre les intérêts de l’état et des puissants. Jamais un flic n’est destitué pour ses violences alors que de lourdes peines tombent sur les soits disants « hors la loi » ; pour quelques pierres , une course poursuite, un jet de bouteilles, une barette de shit…

    Aujourd’hui il s’agit d’un meurtre policier, un parmi tant d’autres, tant d’autres étouffés. Ce sont pour la plupart des crimes racistes. Cette fois ce qui fait tache c’est que Rémi était blanc bénévole et étudiant. Il ne correspond donc à aucun stigmate que médias et états ont créés pour légitimer les violences policières. Ni « jeune de quartier délinquant », ni « casseur », ni « anarchiste violent dont les méthodes sont indignes d’un pays civilisés »(citation du directeur du journal libération), il était juste opposant au projet. Il aurait pu être moi ou toi peut être ? Quiconque est sortit des chemins pré-traçés, quiconque a du utiliser le système D, quiconque s’est révolté ! Parce qu’ils détiennent le pouvoir de déterminer ce qui est violent ou non, ils détiennent également le pouvoir d’exercer la violence dans l’impunité. Voilà pourquoi tant de colère est exprimée dans la rue ! Tant qu’il n’y aura pas d’arrêt des violences d’état, le retour au calme ne sera pas de notre fait ! Expulsions des sans papiers et morts aux frontières, morts suspectes dans les prisons et violences des matons, expulsions des logements et descentes musclées dans les quartiers, étouffements des révoltes en France et ailleurs, protection des meetings fascistes et délit de fascièce… ; la liste est longue mais les luttes inépuisables ! Aujourd’hui, aux quatre coins de la France et même ailleurs en Europe, les protestations se multiplient, et la repression s’abat déjà. Les médias dominants nous accablent de la politique de la peur et de la violence… Echangeons nous mêmes sur nos réalités ! Utilisons les médias autonomes*, rejoignons nous dans la rue !!!

    1. Ton copain est mort en voulant jouer les justiciers à 2h du mat’ avec un pétard et quelques gorgeons de pinard dans l’pif, pour faire la révolution c’est un peu mal barré… Tu t’es vu quand t’as fumé?… Y a pas que la vieillesse qui est un naufrage!

    2. @GV le bisounours
      La police tue : et alors? cela fait partie de son boulot. On ne fait pas d’omelettes sans casser d’œufs. Quand on fait la guerilla avec des coktails molotov et autres contre les forces de l’ordre il faut être bien naif pour s’étonner qu’il y ait une réaction ( évidemment c’est facile mais lâche d’attaquer des policiers qui ont ordre de ne pas bouger).Il y a aussi des policiers qui meurent chaque année. Dans un état bien géré il faut ne police efficace pour faire respecter les droits des citoyens ( protection des biens, respect propriété privée..). Ce qui n’est pas acceptable avec ce gouvernement c’est le laxisme et l’inefficacité grandissante de la police.

  5. Et en plus, il ne sait pas de quoi il parle…
    Plogoff, c’était un projet de centrale nucléaire, et non à gaz…
    La grenade offensive n’est pas tiré avec un fusil lance grenade, mais lancée à la main => donc pas possibilité de tri tendu

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