Envoyé spécial « Pommes » : la contre-enquête

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Le dernier reportage d’Envoyé Spécial « Peut-on encore manger des pommes en toute sécurité ? » diffusé le 5 mars dernier a fait hurler dans les chaumières pour son caractère outrancier. C’est le moins qu’on puisse dire! Nous vous invitons à suivre la véritable histoire de ce reportage. C’est signé Daniel Sauvaitre, arboriculteur en Charente. Il connaît visiblement  parfaitement l’envers du décors et le décrit dans un style enjoué et fleuri. Un  envers sur lequel aurait dû enquêter la journaliste Valérie Rouvière si elle avait un tant soit peu creusé et surtout vérifié les informations comme l’exige la conscience professionnelle d’une journaliste (oui pardon, Valérie Rouvière fait partie d’une « société de production audiovisuelle »). Bonne lecture et éteignez la télévision!

8 commentaires sur “Envoyé spécial « Pommes » : la contre-enquête

  1. L’intelligentsia des journaleux qui foulent au pied chaque jour leur code de déontologie journalistique appris par cœur à l’école de journalisme (quand ils l’ont suivie)ont décidé de tuer le modèle agricole le plus sûr au monde , le plus contrôlé, le plus respectueux de l’environnement, celui qui met à dispositions des consommateurs chaque jour les produits les plus gouteux et les plus variés du monde. Vous n’y ferez rien , ils veulent notre peau. Les poissons de nos rivières qui ingurgitent à longueur d’année des PE (pilule anticonceptionnelle)et des médicaments de toutes sortes relargués dans les WC plus tous les gentils produits vaisselle et autres détartrants ménagers … c’est pas grave …silence radio , zéro image télé . Les nitrates prescrits en ordonnance aux sportifs et sujets aux maladies cardio, ingurgités jusqu’à l’overdose par les végétariens ou par les omnivores incités à manger 5 F&L / jour c’est un bienfait de la nature idéale; par contre depuis 20 ans l’agriculture Française se ruine à luter contre la fuite dans le milieu du poison institutionnel baptisé « nitrates » dont elle serait supposé être responsable par ses pratiques ! ON EST CHEZ LES FOUS
    Et je ne vous parle pas du bien être animal dont se soucient nos gouvernants et parlementaires ignorant la détresse morale et économique du monde paysan qui enregistre un suicide tous les deux jours (record toutes catégories socio-prof..), du gaz entérique des vaches qui réchauffe le climat … parce que les 7 milliards d’humains ils ne pètent pas eux ? DES FOUS JE VOUS DIS , DES NAZES !

    1. @doryphore
      Si les gouvernants se souciaient un minimum du bien être animal ils commenceraient à interdire d’égorger à vif des animaux conscients et terrorisés ( sous le prétexte d’avoir de la viande halal) et en particulier pour les bovins dont l’agonie peut durer de très longues minutes ( ils sont donc parfois tronçonnés encore vivants). De nombreux pays ( Suisse…) ont interdits ces pratiques barbares ( l’animal doit être  » étourdi » avant l’égorgement).le bon sens et la capacité à prioriser les problèmes ne fait pas partie des qualités des gouvernants.

      1. tout a fait, c’est une honte dans nos temps de civilisation avancée de faire agoniser et se débattre dans de longues minutes de souffrance de pauvres vaches au nom de pratiques religieuses moyenageuses mises en avant par deux religions !
        inadmissible ! recul sociétal

  2. Le problème c’est qu’en Syrie ce ne sont pas des bovins mais des humains qu’on égorge !

  3. En Syrie, des femmes et des enfants principalement, face à un occident totalement indifférent, ou presque.

    1. Quelle importance que ce soit des femmes plus que des hommes ?

      L’occident n’est pas indifférent :
      Que voulez vous faire ?
      Envoyer des troupes au sol ?
      Si vous avez une solution miracle , on vous écoute.

Les commentaires sont fermés.