L’Institut Molinari publie cette mise au point sur l’huile de palme : « Selon Hiroko Shimizu, une analyste de politique publique, chercheuse à l’Institut économique Molinari et auteure de The Locavore’s Dilemma, les préoccupations écologiques concernant l’huile de palme rouge sont exagérées. Shimizu, qui a passé un an à enquêter sur la situation mondiale de l’huile de palme, nous explique que cette huile est en partie cultivée et traitée sur des plantations déjà existantes autrefois consacrées à la production d’autres cultures, comme les noix de coco et le caoutchouc naturel. »
4 commentaires sur “Huile de palme : des préoccupations exagérées”
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Effectivement, déjà remarqué par le spécialiste du sujet, Alain Rival… Hélas http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=3474#.Vhmg3Gu1N9M
La plupart des spécialistes, les vrais, de la nutrition et toxicologues alimentaires, pas les médiatiques mettent en avant les avantages de l’huile de palme par rapport aux huiles hydrogénées utilisées pour la remplacer. l’huile de palme est naturellement hydrogénée et stable à température élevée.
C’est en outre une activité de production dense peu mécanisable qui génère beaucoup d’emplois localement et dans les zones rurales.
Elle a également une productivité hectare en huile 10 fois supérieure à celle du soja. Si vous boycottez l’huile de palme, vous favorisez la déforestation de l’Amazonie.
Et les incendies allumés chaque année pour étendre ou remplacer les plantations d’huile de palme ne sont que de la fumée.