Pulvérisation de phytos : Quand Générations Futures prend un cas particulier pour un généralité

Partager sur : TwitterFacebook

« Victoire ! » viennent de crier Générations futures et sa succursale limousine ALLASSAC ONGF. Depuis quelques années, ces « ONG » sont en conflit avec des producteurs de châtaigniers accusés de pulvériser en ne respectant pas les règles. L’affaire est ainsi présentée devant le tribunal correctionnel de Brive. Celui-ci, « après moult péripéties judiciaires, vient de condamner le donneur d’ordre à 5 000 € d’amende assorti de sursis, mais surtout déclare recevable la constitution de partie civile de l’ensemble des plaignants, reconnaissant ainsi leur préjudice lié à leur qualité de victime. »

Et François Veillerette, porte-parole de Générations futures de commenter :

Au-delà de la question des épandages aériens, c’est la question des riverains victimes des pesticides qui est une nouvelle fois soulevée. Il n’est pas cohérent d’annoncer la mise en place, certes nécessaire, de mesures de protection aux abords des écoles  et de laisser ces mêmes personnes, considérées comme vulnérables, exposées sans aucune protection lorsqu’elles se trouvent à leur domicile. De plus en plus de riverains se plaignent de troubles, voire d’intoxications aigues, susceptibles d’être en lien avec leur exposition aux pesticides utilisés à proximité de leur domicile. Il est temps de les entendre sous peine de voir ce genre de procédures se multiplier. »

En oubliant évidemment que la pulvérisation aérienne pour protéger les châtaigniers n’a rien à voir avec les pulvérisations de 99,999% des pesticides en France. Il n’y a pas besoin d’être scientifique pour le comprendre ! Sauf que les journalistes qui vont reprendre l’info ont également oublié leur bon sens !

3 commentaires sur “Pulvérisation de phytos : Quand Générations Futures prend un cas particulier pour un généralité

  1. On devrait dissoudre les écoles de journamisme. Dès qu’on approfondit un peu une question, scientifique, technique, économique, juridique, et même politique, on se rend compte que la très grande majorité des journalistes perdent leurs bon sens. On leur apprend quoui à l’école. Je crois qu’on les décèbre. Avc d’un côté les théories de la communication et de l’autre côté l’orgueil corporatiste au nom du droit absolu à savoir, contre toute autre considération, du public. S’ils pouvaient ils publieraient les données des services secrets. D’ailleurs, à l’occasion, quand ils le peuvent, ils le font.

  2. Mr Laurent Berthod :
     » eur apprend quoui à l’école.  »
    « écoles de journamisme  »
    « ’on les décèbre. Avc d’ »

    1*Soit vous avez un clavier merdique.
    2*Soit la sclérose en plaque gagne du terrain.

    Malgré nos dissensions parfois violents , je ne peux vous souhaiter que la première solution.

    Cordialement

  3. Et Veillerette oublie de dire que 90 % de la pollution provient de l’intérieur même des maisons : tabac, produits de nettoyage divers, huiles essentielles, parfums divers, solvants en tout genre…
    Mais de cela chut !!!

Les commentaires sont fermés.