Comme elle l’affirme, l’association Générations Cobayes a un « projet très simple : stopper l’épidémie des maladies chroniques en proposant des solutions concrètes aux jeunes de notre génération ». Rien que ça ! Elle affirme que « LA SOLUTION » consiste à « se faire PLAISIR … autrement ! » Et donc, à l’occasion de la Saint-Valentin, Générations Cobayes a décidé d’organiser une collecte de fonds en vendant des « BOX ECO-ORGASME », de 5 à 200 euros, comprenant des produits des « start-up préférées de Générations Cobayes ». Ainsi, les militants de Générations Cobayes se transforment en véritables VRP des marques Gobilab, oOlution, My Boobs buddy ou encore du sex-shop en ligne l’Arbre des Plaisirs. Il est vrai que pour ces marques, c’est idéal d’avoir à leur disposition des militants bénévoles pour faire leur pub ! Le comble, c’est que dans leur appel de fonds, Générations Cobayes prétend faire « partie de cette génération qui en a marre d’être prise pour une cible marketing ».
> Comme elle l’affirme, l’association Générations Cobayes a un « projet très simple : stopper l’épidémie des maladies chroniques en proposant des solutions concrètes aux jeunes de notre génération ».
Simple:
– manger équilibré (« Un peu de toute, et de tout, un peu »)
– ne pas fumer
– consommer de l’alcool avec une grande modération
– avoir une activité physique quotidienne (hint : se déplacer à pied/vélo plutôt qu’affalé dans sa bagnole à écouter des conn3ries à la radio)
Avoir une activité intellectuelle quotidienne
Avoir une activité émotionnelle positive
Faire sa BA ?
Oui mais là ça implique de faire des efforts et de ne pas consommer, hors il faut prendre son pied H24 et consommer sans entrave. Très loin de la décroissance mais avec le supplément d’âme écologiste en prime.
@ Vincent,
Oui mais tout cela tout le monde peut le faire, c’est l’essentiel, et cela ne rapporte pas de flouze aux sociétés des service et de conseil en marketing.
On peut ajouter:
– consommer autant que possible local ( aller sur les marchés ou à la ferme si on passe à proximité) et surtout, surtout, sans intermédiaire,
– fuir les « biocoops » qui n’ont de coop que dans le nom.
le local n’est pas forcement meilleur pour la santé ( sauf s’il s’agit de produits alimentaires chinois ou des pays du sud de la méditerranée ou d’Europe de l’Est ).
Le racolage marketing le plus total… Finalement ils ont vite atteint le fond… de la société de consommation !!!