Après la nouvelle sortie médiatique de Générations futures sur les «victimes des pesticides », la Coordination rurale publie la réaction d’un agriculteur « en colère ». Il faut dire que la nouvelle opération de com’ de Générations Futures associe tout et n’importe quoi : de la maladie grave reconnue comme maladie professionnelle ….à la mort de chats en passant par tout un tas de pathologies dont personne peut nous dire les causes réelles. Bref une compilation de témoignages qui ressemble plus à de la propagande !
Et l’agriculteur « en colère », Éric Lavoine, de rappeler quelques vérités :
-« Le retrait de certains produits phytosanitaires efficaces n’est pas toujours très judicieux dès lors que les solutions de substitution moins efficaces obligent à effectuer davantage de passages ou à augmenter les doses pour un résultat similaire. Les avis d’experts compétents ont toujours eu ma faveur sur l’avis de responsables associatifs et/ou politiques qui cherchent à se refaire une place là où les électeurs les ont évincés.
-« Les agriculteurs du haut de leurs gros tracteurs nous considèrent comme des cloportes. » Tel est le type de message que véhiculent les témoignages des « victimes des pesticides » compilés par l’association. « Si je ne peux qu’être compatissant envers ces personnes, je suis outré par la généralisation qu’ils font, explique Éric Lavoine. « Nous savons pertinemment que l’usage de ces produits n’est pas neutre et nous sommes toujours très attentifs. D’abord parce qu’ils sont très coûteux, et surtout parce que nous sommes des citoyens responsables avant même d’être agriculteur, et donc soucieux de préserver la terre, notre outil de travail, et la santé de nos voisins. »
-Lors de son interview au micro de France Bleu Picardie, M. Veillerette demandait une interdiction d’épandage des produits phytosanitaires à moins de 100 m des habitations. Si l’annonce est bien calibrée pour de la communication, elle paraît pour le moins irréfléchie selon l’agriculteur :« Avec l’urbanisation croissante et la perte considérable de surfaces cultivées, de nombreuses terres agricoles se trouvent à moins de 100 m des habitations. Quand nos champs seront remplacés par des zones industrielles, les néo-ruraux plaintifs vivront avec biens des regrets du bon temps où l’agriculteur venait trois fois par an s’occuper de ses cultures. »
Et de conclure : «Veillerette, comme une majorité de ses camarades « écolo-bobos»,se trompe de combat, regrette Éric Lavoine. « Ils croient faire progresser la protection de l’environnement par des propos diffamants aux agriculteurs et par leur mise en accusation. Mais ce sont les agriculteurs qui vivent dans les espaces ruraux, qui entretiennent les territoires et qui participent au maintien d’un environnement écologiquement viable. Au lieu de passer son temps à cracher son venin sur notre profession, il ferait bien d’utiliser son énergie au maintien de l’agriculture française ! »
Le guignol Veillerette n’en a rien à faire de la réalité des faits, que les agriculteurs aient moins de cancers que le reste de la population et les coiffeurs bien plus, signe que les produits utilisés dans les salons de coiffure sont infiniment plus cancérigènes que les pesticides utilisés dans les champs , ne le déride pas.
http://www.informationhospitaliere.com/actualite-17030-risque-cancer-parmi-coiffeurs-metiers-lies-coiffure-meta-analyse.html
« Le RR groupé lié à l’exposition professionnelle pour un coiffeur était de
1.27 (intervalle de confiance (IC) 95% : 1.15 à1.41) pour le cancer du poumon,
1.52 (IC 95% : 1.11 à 2.08) pour le cancer du larynx,
1.30 (IC 95% : 1.20 à 1.42) pour le cancer de la vessie
1.62 (IC 95% : 1.22-2.14) pour le myélome multiple.
Les données relatives aux autres types de cancer en fonction de leur localisation ont montré une faible augmentation de l’incidence. Les résultats portant uniquement sur les études réalisées avant l’interdiction de deux carcinogènes importants, présents dans les colorations pour cheveux, ont donné des résultats similaires à l’analyse générale.
CONCLUSIONS : Les coiffeurs ont un risque plus important de cancer que l’ensemble de la population. L’amélioration des systèmes de ventilation dans les salons de coiffure et la mise en place de mesures sanitaires et d’hygiène permettant de réduire l’exposition à des carcinogènes potentiels lors du travail sont essentiels afin de réduire les risques de cancer. »
Fin de citation
Évidemment après une crise d’urticaire de la presse en 2008 suite à ce constat, grand silence sur ce sujet dans la presse bobo.
Faut-il pour autant éloigner de 100 mètres les salons de coiffure du reste des habitations ?
Cancer du poumon et cancer du Larynx veulent dire que les émanations des produits de la coiffure sont aussi dangereuses alors que pour les agriculteurs c’est essentiellement le contact qui est en cause notamment avec les LNH …principalement dus aux solvants, absorption par les mains, principale voie d’absorption des pesticides … que l’on retrouve aussi dans la coiffure , les autres cancérigènes de la coiffure en moins pour les agriculteurs.
Faut -il aussi un délai de ré-entrée dans les salons de coiffure après une coloration des cheveux?
Deux questions à poser au guignol Veillerette, animateur de vie scolaire de sa véritable profession, bien formé sur ces sujets bien, évidemment.
La plupart des molécules utilisées dans la pratique capillaire (mise en plis et teintures) sont connues de longue date pour être toxiques, génotoxiques et certaines carcinogènes avérées. L’exposition des coiffeur à ces produits est loin d’être négligeable et comme c’est la dose qui fait le poison…..
Alzine , svp , c’est quoi le RR ?
Risque relatif, sauf erreur.
C’est bien cela, ce sont des valeurs de RR conformes pour des risques modérés, pas ceux des fumeurs de cigarettes par rapport au cancer du poumon avec des RR bien supérieurs, mais ces RR sont significatifs dans tous les cas avec des intervalles de confiance qui ne laisse pas planer de doute .
Il est surprenant d’avoir quelques études contradictoires, il suffit pour cela d’introduire des facteurs de confusion, ne pas séparer les fumeurs dans les groupes « coiffeurs » et « témoin » par exemple, ou choisir des populations exposées à d’autres facteurs de risque, moyen de ne plus rien voir.
Ce sont certainement ces études qui ont été produite par des intérêts cherchant à noyer le poisson, mais cette étude parue dans une revue prestigieuse » the lancet » est sans appel et conforme à ce que l’on sait des produits chimiques que manipulent les coiffeurs, moins dangereux que distribuer de l’essence à l’époque de la profession de pompiste, ou d’être en poste dans des péages urbains ou des péages de parkings souterrains, certes.
On se rappellera que dans l’industrie du pétrole des années 70 lorsqu’il fallait se nettoyer les mains pleines de cambouis la pratique était d’aller les tremper dans du benzène tiède pur, très très efficace. Le benzène était aussi un objet d’étude dans les classe de lycées, manipulé directement par les élèves.
En revanche nos études pour les coiffeurs datent des années 90 et les produits de la coiffure, notamment les teintures contiennent toujours des agents cancérigènes probables ou certains.
Pour visionner ce que signifient des RR élevés: http://www.arairlor.asso.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=769:travailleurs-de-lamiante-tabac-et-risque-de-cancer-du-poumon&catid=59:bibliographie-septembre-2011&Itemid=81
Nous avons ici des RR de plus de 20 soit 20 fois plus de risques et une bonne proportionnalité par rapport à la durée d’exposition et au début de l’exposition.
Ces statistiques sont valables pour des populations au sein desquelles on trouve toujours le contre exemple, l’individu dont la génétique lui permet de résister malgré une exposition maximale.
Article original du druide de la baie de Somme, le Pape de la réduction de dose et du bas volume, Eric Lavoine. 🙂
http://www.coordinationrurale.fr/pesticides-un-agriculteur-picard-en-colere-apres-les-propos-de-francois-veillerette.html
Générations Futures et les pesticides : ce n’est plus de la communication, c’est de la propagande ?
>>> Nous en sommes arrivés à un point tel que le terme de « Propagandastaffel » semble bien plus approprié à la situation…..
Merci à GF pour leur travail remarquable. grâce à eux, mon frère a obtenu une reconnaissance de maladie professionnelle. L’hécatombe doit cesser d’urgence.
http://www.actu-environnement.com/ae/news/generations-futures-carte-victimes-pesticides-recours-juridiques-maladies-26657.php4#xtor=EPR-1
@VANDAX
…. » L’hécatombe…. »
>>> N’employez pas à tort et à travers des mots dont le sens exact vous échappe, vos !
@Zygomar
Si votre frère était touché, ce mot serait pour vous un euphémisme.
VANDAX
@Zygomar Si votre frère était touché, ce mot serait pour vous un euphémisme
>>> Non, parce que pour moi les mots ont un sens et ne sont pas des instruments / girouettes malléables en fonction des humeurs!
[modéré]
sauf qu’il va falloir être très précis pour démontrer le lien de cause à effet entre une pathologie et l’exposition aux « pesticides »
Dès qu’on rentre dans les détails, c’est infiniment plus complexe
http://www.lafranceagricole.fr/actualites/phytos-toxicite-dominique-marchal-qui-attaquait-letat-est-deboute-1,0,1068877247.html
Que l’on veuille ou non, les études type AGRICAN vont influencer les jugements, du moins, je l’espère.
C’est pour ça que GF fait tout un tintamarre: répéter , répéter encore, ça en deviendra une vérité.
Peut on connaitre le type de maladie professionnelle qui touche votre frère ? et quel était son activité ?
Pour rire un peu:
Information anxiogène: http://www.air-rhonealpes.fr/fiche-etude/suivi-des-pesticides-dans-lair-ambiant-dans-lagglomeration-de-lyon-et-le-secteur
Information peut-être bientôt juste:
début de citation http://www.actu-environnement.com/ae/news/pesticides-estimation-exposition-methode-francaise-sig-26686.php4
« Nous sommes exposés à une multitude de facteurs, à de faibles doses chroniques, tout le long de la vie, a pointé Béatrice Fervers, du département cancer et environnement du Centre Léon Bérard à l’occasion d’une conférence de presse du Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône-Alpes (Clara), mardi 26 avril. Cette exposition multifacteurs est un enjeu pour investiguer les facteurs environnementaux en lien avec les cancers ». Si certains liens entre l’environnement et des risques de cancer ont pu être démontrés, le nombre de cancers attribuables à ces derniers ainsi que la causalité restent toujours délicats à déterminer.
« Le nombre de cancer a plus que doublé en 35 ans en France. Toutefois, il n’y a pas que l’environnement qui est responsable », souligne la scientifique. Selon elle, près de la moitié serait liée à l’augmentation et au vieillissement de la population ainsi qu’à une meilleure prise en charge des personnes. L’amélioration des méthodes de diagnostic, les facteurs génétiques, les infections, des facteurs de risque comme l’obésité ou le tabac, et enfin les facteurs environnement contribuent à la seconde moitié. Ce risque est toutefois modulé par des facteurs socio-économiques. « Dans le cas du cancer du poumon, sur le plan individuel, les facteurs comportementaux, par exemple de gros fumeurs, entraînent dix fois plus de risque que pour des non fumeurs. Dans le cas d’une exposition professionnelle, le risque sera multiplié par deux ou trois tandis que pour des facteurs environnementaux, comme la pollution atmosphérique, l’augmentation du risque ne sera que de 10% », détaille Béatrice Fervers.
Et d’un point de vue global, ces plus faibles risques sont difficiles à mettre en évidence. Délais entre l’exposition et l’apparition de la pathologie, effets synergiques des agents cancérogènes, possibles conséquences différentes pour une même substance, quantification difficile de la distribution des niveaux d’exposition dans une population : l’établissement de lien se heurte à de nombreux obstacles.
16% des pesticides retrouvés sont à usage agricole pur
Pour valider une méthode d’estimation de l’exposition basée sur l’utilisation d’un système d’information géographique (SIG), le Centre Léon Bérard en collaboration avec le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) ont travaillé en 2012 sur l’exposition des populations aux pesticides agricoles en région Rhône-Alpes. Ils ont prélevé dans 239 foyers situés à moins d’un kilomètre d’une surface agricole des échantillons de poussières. Cette étude s’est intéressée à trois cultures : la viticulture, les cultures céréalières et l’arboriculture dans trois zones agricoles (Rhône, Ain, Drôme). « L’approche avec un SIG permet de superposer la localisation des cultures, les reliefs et des barrières topographiques végétales pour étudier la répartition des pesticides, précise Béatrice Fervers. Nous avons aussi introduit des données sur la direction des vents ».
Au final, sur les 406 pesticides recherchés, 120 ont été retrouvés au moins une fois dans les poussières (en moyenne cinq à six pesticides par maison). Parmi ces derniers, 16% étaient à usage agricole pur, 28% à usage domestique, 24% à usage mixte et 32% interdits d’usage. « Sur la base de ces résultats, nous avons conçu le projet Sigexposome pour valider nos données et évaluer l’impact de ces expositions ainsi que la variabilité saisonnière », complète Béatrice Fervers.
Une prochaine étude dans le vignoble beaujolais
Les équipes souhaitent désormais caractériser l’exposition aux pesticides de la population dans un vignoble du beaujolais. Ils sont en cours de recrutement d’habitants de cette zone : environ 50 viticulteurs et 100 volontaires de la population générale. « Nous recherchons des hommes non fumeurs dans un souci d’homogénéité des données, explique Béatrice Fervers. Le tabac perturbe en effet des effets métabolomiques comme génomiques et chez les femmes nous retrouvons des signaux hormonaux », note Béatrice Fervers.
Trois campagnes de prélèvements seront réalisées pour recueillir le sang, les urines, les cheveux des volontaires (juillet, octobre 2016 et février 2017) ainsi que les poussières de leurs domiciles (juin, septembre 2016 et janvier 2017). Les participants devront également répondre à un questionnaire pour notamment déterminer leurs habitudes alimentaires.
« Nous avons établi une liste de pesticides attendus en fonction de la fréquence des traitements sur les vignes. S’y ajoutent les pesticides détectés dans les habitations de la précédente étude ainsi que les pesticides pour lesquels il y a une attention particulière. Au total, nous sommes arrivés à une soixantaine de substances », indique Augustin Scalbert, responsable du groupe biomarqueurs du Circ. »
Fin de citation
On retiendra: « Au final, sur les 406 pesticides recherchés, 120 ont été retrouvés au moins une fois dans les poussières (en moyenne cinq à six pesticides par maison). Parmi ces derniers, 16% étaient à usage agricole pur, 28% à usage domestique, 24% à usage mixte et 32% interdits d’usage. »
On comparera 16% agricole et 28% domestique, si l’on avait les quantité on s’apercevrait qu’en masse l’essentiel de l’exposition est domestique.
Un peu de pub :
Pour rire : « 4. Les insecticides Vous utilisez des insecticides, pesticides et autres herbicides et engrais lorsque vous jardinez ? Soyez très prudent, car vous pourriez empoisonner vos animaux en en répandant dans votre jardin. Lisez donc attentivement la notice des produits que vous achetez, et mieux encore, privilégiez des produits biologiques naturels ! »http://wamiz.com/chiens/conseil/5-dangers-du-printemps-pour-le-chien-4673.html »
mais la suite vaut son pesant d’arachide
« 1. Puces, tiques, ténias : les parasites Le retour des beaux jours rime avec celui des parasites, contre lesquels il faut impérativement protéger votre chien.
Sachez qu’il existe deux types principaux d’antiparasitaires : les insectifuges, qui ont pour but d’éloigner les tiques, les puces, moustiques et autres vilaines bestioles.
Mais si ces nuisibles se sont déjà installés dans le doux pelage de votre compagnon à 4 pattes, il faudra passer à l’étape insecticides, qui eux, en plus de les éloigner, les empêcheront de réapparaître. Attention, vous pourriez être tentés d’utiliser le même antiparasitaire pour votre chien, votre chat et votre lapin. Chose à ne surtout pas faire ! Vous risqueriez d’empoisonner votre animal. Les molécules contenues dans les produits ne sont en effet pas les mêmes en fonction de l’animal auquel ils sont destinés. A noter également que l’âge et le poids de votre compagnon entre en compte dans la façon dont il doit être traité. Lisez bien la notice de l’antiparasitaire, et en cas de doute, appelez votre vétérinaire ! Un vétérinaire vous explique en vidéo comment appliquer un anti-puces à son chien »
fin de citation.
Le plus rigolo dans l’histoire c’est que les insecticides que l’on va mettre sur le dos du chien, souvent à mains nues, sont des molécules ( fipronil ou permethrine) justement interdites en agriculture parce que considérées comme trop dangereuses pour l’applicateur. Alors pourquoi attirer l’attention sur le risque d’utilisation des pesticides au delà du simple appel à une élémentaire prudence, si les produits naturels
Ne cherchez pas l’erreur, soit le journaliste est idiot soit il ne connait pas les « produits biologiques naturels » sic …à appliquer sur le chien…et qui protègent suffisamment le chien.
Quelques précisions:
« Dans le cas d’une exposition professionnelle, le risque sera multiplié par deux ou trois »
-> C’est surtout vrai pour les ouvriers des industries chimiques( dont celles produisant des pesticides) ou pétrolières (on se souvient du témoignage d’un ouvrier d’une raffinerie qui allait se dégraisser les mains dans un lieu de stockage du benzène encore tiède ( très très efficace) au début des années 70 , mais le benzène était aussi manipulé dans les classes de lycées en sciences nat jusqu’au début des années 80).
-> C’est encore le cas pour les coiffeurs notamment avec les colorations,mais plus par le passé.
-> C’est le cas pour les travailleurs des blanchisseries, qui travaillaient dans les usines de chaussures et manipulent colles et solvants, plus vrai dans le passé qu’aujourd’hui avec l’amélioration des conditions de ventilation.
« Tandis que pour des facteurs environnementaux, comme la pollution atmosphérique, l’augmentation du risque ne sera que de 10% » :
Cette valeur de 10% est une valeur moyenne, elle est proportionnelle à la densité et à la pollution de la ville, à la proximité avec les axes de communication et la proximité des aéroports, voir les cartes d’air parif pour mesurer l’exposition des populations, les axes de circulation… donc bien plus dans les zones urbaines les plus exposées ou le long des routes passantes si la route est enclavée comme dans les vallées alpines.
A Paris en particulier ou se concentrent les bobos, le long des boulevards.
Pas très beau beau l’état de leurs poumons et leur formule sanguine dans ces conditions… mais la presse très discrète sur ce phénomène, la densité urbaine c’est le must, concentrez vous bandes de bobos.
Liste plus complète des professions exposées:
http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=69&dossid=373
On va faire court: carte de la pollution de l’air au dessus de Roissy et de la ville de Paris!
Hallucinant …et dans les émissions de TV à la con ou les mauvais papiers des journaux on accuse les agriculteurs et on craint lorsque l’on vit en campagne.
http://survol.airparif.fr/aeroport/cdg-bourget
[modéré]
Primo je ne suis pas écolo, deuxio encore moins radicalisé.
Vos fantasmes paranoïaques n’ont d’égal que votre outrecuidance et votre petitesse. De mon côté je vais perdre encore moins de temps et de lignes d’écriture que vous à répondre à votre puérile recherche de conflits et votre insignifiance.
Pourquoi ne répondez vous pas à ma question ?
Il n’y a pourtant aucun signe d’agression de ma part !!!
Peut on connaitre le type de maladie professionnelle qui touche votre frère ? et quel était son activité ?
– See more at: http://www.alerte-environnement.fr/2016/04/22/generations-futures-et-les-pesticides-ce-nest-plus-de-la-communication-cest-de-la-propagande/#comment-190141
@ Marco
Je n’avais pas vu votre question, il faut dire qu’elle s’est retrouvée enfouie au milieu d’autres commentaires.
Il cultivait des céréales et soufre d’un œdème broncho-alvéolaire.
Merci pour votre réponse.
Autre question, es ce que votre frère élevait du bétail , volaille ou autre ?
Concernant les phytos, beaucoup d’agris ne prenaient pas du tout de précaution, c’était nouveau et on ne savait pas que cela pouvait nous rendre très malade.
J’en ai moi même respirer beaucoup et surtout du malathion lorsque l’on stockait le blé ( poudre insecticide ) mais aussi lorsque l’on mélangeait la semence de blé au produit de traitement avec un simple mouchoir sur le nez avec mon père et mon oncle.
Aujourd’hui celui qui ne fait pas attention est un idiot et j’en vois encore sans protection .
Mais bon, honnêtement , mon père et mon oncle , ont plus de 80 ans et se portent bien , moi je n’en ai que 54 et on verra bien plus tard.
@vandax , faut apprendre à l’apprivoiser notre ran tan plan (zygomar) !
il est méchant mais il ne mord pas.
Il peut arriver que l’oedème du poumon soit lié au poumon du fermier.
Comme quoi il n’y a pas que les pesticides à pouvoir nuire mais aussi des moisissures et des bactéries parfaitement naturelles.
Oui effectivement, je connais un agriculteur-éleveur qui a cette maladie. Elle proviendrait de poussières et moisissures des fourrages donner aux bovins.
Mais il peut aussi s’agir d’émanation de gaz d’échappement de tracteur ( plutôt ceux d’avant) .
Pour biner les betteraves et ceci durant plus de 30 ans , j’ai respiré le gaz d’échappement du Fordson Dexta qui tirait la bineuse et aujourd’hui je fais facilement de la bronchite .
Propaganda !
Bon, passons aux travaux pratiques!
La presse de ce jour nous apprend que les athlètes Sud Coréens, très officiellement, d’autres certainement plus officieusement, vont se doter de combinaison antimoustiques vecteur du Zika.
1-http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/15371-Jeux-de-Rio-les-Sud-Coreens-ne-prendront-aucun-risque-avec-Zika
2-http://www.20minutes.fr/sport/1836647-20160429-jo-2016-redoutant-virus-zika-athletes-sud-coreens-tenues-anti-moustiques
3-http://sport24.lefigaro.fr/le-scan-sport/2016/04/28/27001-20160428ARTFIG00172-des-combinaisons-anti-zika-pour-les-athletes-sud-coreens-aux-jo.php
4-http://www.lepoint.fr/sante/virus-zika-des-tenues-anti-moustiques-pour-les-athletes-sud-coreens-aux-jo-28-04-2016-2035492_40.php
Quel est ce mystérieux répulsif intégré aux vêtements des athlètes sud Coréens?
Officiellement pour eux et officieusement pour de nombreuses autres délégations!