En 2011, la Cour de justice de l’Union européenne mettait la France en demeure, sous peine d’une lourde amende, de prendre dans les meilleurs délais des mesures suffisantes pour protéger le grand hamster au bord de l’extinction en Alsace.
Pour se conformer à ces exigences, les ministères de l’Écologie et de l’Agriculture ont fixé, dans deux arrêtés pris en 2012 des zones de protection dans un périmètre de 600 m autour de chaque terrier connu. Toute destruction ou dégradation des sols favorables à l’espèce y était interdite sauf dérogation dans des conditions bien définies.
C’en était trop pour les communes concernées qui ont attaqué les deux arrêtés devant le Conseil d’état qui vient de les annuler pour abus de pouvoir en raison de leur nature « disproportionnée ». Après les diktats des ministères, place maintenant à la concertation !
Un commentaire sur “Tout n’est pas permis pour le Hamster d’Alsace”
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Le Hamster d’Alsace est l’exemple typique de la dérive de l’UE, voir la Cour de justice de l’Union européenne s’exprimer avec enthousiasme sur le sort de cette sympathique bestiole et manquer de voix sur des sujets bien plus préoccupants dans la partie est de l’union, la sécurité des bien et des personnes, des pollutions dans les grandes villes trop denses ou celles industrielles de l’est de l’UE, est le symptôme d’un mal profond, gravissime, qui pourrait être fatal et à la cour et à l’union.
A Byzance aussi le sexe des anges préoccupait fortement lorsque les troupes de Mehmet II campait au pied de la ville.
Dommage !
Réversible?
Curable ?