La Saga Glyphosate

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Hier matin, à Bruxelles, la réunion des experts devait décider de la ré-homologation du Glyphosate pour 18 mois (sur la base de la proposition de la commission).
A la différence des annonces de Ségolène Royal le 1 juin 2016 ( tweet suivant), le représentant de la France s’est abstenue 6 juin.

Pourtant la semaine dernière, S Royal s’était fortement engagée via un tweet expéditif.

TWEET1

 

Moins de deux heures après ce vote, Jean-Luc Melanchon n’hésite pas d’accuser la France de mentir, ce qui est vrai.

La position devient de plus en plus critique et la perte de crédibilité de la France est évidente, selon ce tweet d’une journaliste à Bruxelles (Europe 1).

Tweet2

 

 

 

 

Compliqué pour Ségolène Royal !? Non, on peut lui faire confiance pour nous expliquer que ce changement s’est opéré sous la pression des lobbys.

6 commentaires sur “La Saga Glyphosate

  1. la France aurait elle enfin honte de défendre les « idée de la Royale ».
    La Royale qui pour rappel nous à déjà démontrée toutes ses compétences en Poitou Charente ou maintenant on parle beaucoup d’un trou caché dans les compte de la région de 400 million d’euros. Bizarrement la madame Royale ne parle plus d’attaque en diffamation!!!!!!
    Un petit article de la part d’un vrai journaliste pour faire le point de cette histoire serait intéressant pour que l’on puisse enfin « la classifié » comme elle le mérite.

    Ne pas oublier de faire le compte de ses procès perdus aux prudhomme (avec du personnel privé et du personnel la de la région ).
    C’est dément pour une « socialiste » affiché !!!!!!

        1. Dans la liste incroyable de cette catastrophe pour la France que représente cette personne , il ne faut pas oublier que de toute l’histoire des élections présidentiels , elle est la seul qui est vue son 1 er responsable en communication laché l’éponge et partir pour le camp adverse tellement dégouté du numéros. C’était Mr besson.

  2. Mon attention a été portée sur une énorme baliverne à propos de l’origine des inondations, la pluie mais pas seulement:
    https://reporterre.net/L-ampleur-des-inondations-est-accentuee-par-les-mauvaises-pratiques-agricoles
    « Gérard Michaut, agriculteur bio dans le nord de l’Yonne, l’a constaté chez d’autres : « Ça coule, ça ravine, il y a parfois des ornières de 50 centimètres de profondeur. »

    
Et sur ces terres agricoles abîmées, aux inondations succède la sécheresse. Le sol n’a pas retenu d’eau. « Et si dans un mois, il y a un peu de chaleur, vous allez voir que le agriculteurs vous diront qu’ils ont des sols secs », prévoit Lydia Bourguignon. Au risque, même, de devoir irriguer…

    Une situation à laquelle n’aura pas à faire face Gérard Michaut : cela fait 20 ans qu’il a adopté des pratiques de culture destinées à préserver ses sols. « Je ne laboure pas et je ne laisse jamais mes sols nus. Il faut un mélange de paille et de racines en surface pour retenir la terre, explique-t-il. Je travaille aussi perpendiculairement à la pente, et en buttes, pour faire barrage et éviter l’érosion. » Autre mesure, il met jusqu’à huit cultures différentes, successivement sur une même parcelle. « A chaque changement, cela permet d’avoir des racines et des débris différents qui favorisent la retenue d’eau et la porosité des sols ».

    Résultat, sur ses champs en pente, « quand il y a un début de glissement de terrain, il ne part que sur deux ou trois centimètres et s’arrête tout de suite. » Il suffit d’un brin de paille pour retenir la terre. Tous ces micro-barrages additionnés permettent à grande échelle d’éviter un désastre.

    Et ces techniques, peu à peu, tracent leur sillon dans les champs. « Quand j’ai commencé, on était 1 % des agriculteurs à les pratiquer, se souvient le paysan. Aujourd’hui nous sommes 30 % à les avoir adoptées à des degrés divers. » »

    Et de dénoncer le glyphosate, ce qui est fort de café… le rôle du labour dans ce résultat est certain mais comment les bios, sérieux peuvent maitriser les mauvaises herbes et enfouir les engrais organiques, enfouissement que leur impose la règlementation en situation de temps sec et anticyclonique au mois de mars pour éviter de dégager du NH3? ce communiquant qui se dit bio ignore certainement que le labour est bien plus pratiqué par les bio que par les non bio, parce que le recours au glyphosate est possible.

    Mais le plus passionnant et article solide cette fois:

    http://www.lepoint.fr/environnement/inondations-les-barrages-protegeant-paris-pleins-a-90-01-06-2016-2043493_1927.php

    Depuis une vingtaine d’années, il existe un projet d’un cinquième lac-réservoir. Où en est-on ?
    Nous nous apprêtons, enfin, à lancer la phase d’étude pour un premier casier-pilote représentant un stockage de 10 Mm3 sur la centaine au total. Celle-ci prendra trois ans. Donc, en 2019, les travaux devraient démarrer. Quand ce premier casier sera en service, il devrait permettre un effet notable d’abaissement de la ligne d’eau en cas de crue majeure avec un gain d’environ 5 centimètres à Paris. Le principe de fonctionnement est de stocker l’eau de la Seine durant les crues de l’Yonne. L’avantage sur les autres barrages, c’est que celui de La Bassée n’est pas prévu pour le soutien d’étiage, donc on n’aura pas à le remplir totalement pour l’été. »

    Bref il est question de construire un cinquième barrage pour protéger l’agglomération parisienne, il faut appeler les zadistes pour empêcher cela et vider les lacs existants qui traduisent la folie technologique des Hommes dans les années 60-70… histoire de noyer la ville où l’ensemble de ces boniments sont produits, un journaleux qui a les fesses mouillées devient plus raisonnable et si on le noie totalement, il atteint la rationalité absolue.

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