Régression. Bien que n’apportant pas une certification bio officielle, la mention Nature & Progrès offre une garantie supplémentaire de retour à un passé pourtant révolu, explique ce reportage de France 3 Occitanie. On y apprend que les adhérents à ce label s’opposent à la mécanisation ou encore à l’utilisation du plastique pour « diminuer leur empreinte carbone » (sic). Il n’est par contre pas précisé s’ils limitent l’utilisation de pesticides pour leurs cultures :
Nature et Progrès : du bio plus bio que bio ?
12 mars 2017 Un commentaire sur Nature et Progrès : du bio plus bio que bio ?
Publié en L'œil agricole, Médias, Pesticides, Société 0 « J’aime » 4687 vues
Au moins avec eux c’est clair: le modèle idéal est celui de nos ancêtres.
Après chacun choisit. La conséquence est qu’il faudrait à nouveau utiliser 40 % du revenu pour se nourrir . Adieu smartphone ou autre écran plat ou vacances dans les tropiques.C’est moins tordu qu’avec les bios .