« Les brebis et le pastoralisme participent davantage à la biodiversité que les loups »

Partager sur : TwitterFacebook

loup

Une population en hausse de 22% sur un an, une présence signalée dans 30 départements désormais, 10 000 brebis tuées en 2016 et un coût de prédation de 22 millions d’euros d’argent public, canis lupus refait parler de lui ! Dans son éditorial de La France Agricole du 7 juillet, Yvon Herry, le rédacteur en chef web de l’hebdomadaire, demande à l’Etat de « prendre ses responsabilités et faire en sorte que la prédation baisse réellement, en autorisant un nombre de prélèvements à la hauteur du problème ». Car, rappelle-t-il, « le loup n’est plus menacé d’extinction » et les éleveurs « veulent (…) ne plus voir leurs animaux égorgés par un animal dit ‘protégé' ». Or « les brebis et le pastoralisme participent davantage à la biodiversité que les loups » sans parler du fait que « l’élevage contribue fortement à la vie économique des territoires, à l’entretien des paysages et à l’attractivité touristique ». De quoi justifier que le ministre de l’Ecologie « (entende) la souffrance des éleveurs » et « (ne se contente pas) de l’avis des environnementalistes et des 32 ‘personnalités’ qui ont récemment lancé un appel pour mettre fin au ‘massacre’ des loups, sans se soucier de celui des brebis », bref, qu’elle tranche clairement en faveur des hommes et des brebis. Affaire à suivre !

20 commentaires sur “« Les brebis et le pastoralisme participent davantage à la biodiversité que les loups »

  1. Cet appel mérite le détour. On y lit :
     » Au-delà de l’approche scientifique et des intérêts biologiques liés au retour du loup, sa présence constitue un formidable enrichissement culturel et spirituel. Que serait l’homme sans les autres espèces? Le loup, plus encore que d’autres animaux, vient nourrir notre imaginaire et nos représentations des espaces sauvages. Les émotions que suscite la marche dans une forêt habitée par le loup sont inexistantes dans une forêt aseptisée et contrôlée par l’homme. « 

    1. C’est un de mes animaux préférés mais dans cette situation il est évident que l’homme et l’economie pastorale passe avant. Faut pas deconner qd même.A la Réunion , je situe les droits des requins en premier surtout que les surfeurs se revendiquent en communion avec la ‘nature’….

  2. @ visor
    « 10 000 brebis pour 22 millions: cela fait 2200 € la brebis . Le retour sur investissement est excellent! »
    ce « rapport » que vous faite a t il une réel signification? L’idéale ne serait il pas que pour 22 millions de coût, ont soit au moins a zéro brebis de tuées? Les 22 millions ne comprennent ils pas les cout de protections mis en place ????L’indemnisation des avortées?
    Dans ce cas là, il faudrait tenir compte de la part de ses 22 millions en rapport avec le nombre d’animaux sauvés pour une comparaison « un peu moins » alambiqué!
    Il reste une certitude: 22 millions c’est beaucoup trop pour une situation qui ne convient à personne! les pro loup hurle a la mort avec les cotas de tir et les bergers n’en peuvent plus de devoir voir leurs animaux se faire tuer/massacrer (plus toutes les pertes par avortements de celles (les brebis) qui ne se sont pas faites bouffées, mais qui ont perdu leurs agx du fait du stress et de la panique lors des attaques) .
    Deux types de personnes (les pro loup et les anti loup) qui vivent sur la même planète mais PAS DANS LE MEME MONDE !
    Pour les pro loup on a (merci au physicien) :-« sa présence constitue un formidable enrichissement culturel et spirituel »;-« Le loup, plus encore que d’autres animaux, vient nourrir notre imaginaire et nos représentations des espaces sauvages »==>là on est bien dans l’imaginaire, le spirituel , nos représentation (imaginaires donc) et surtout le « culturel » !!(oui mais lequel « culturel »? celui de nos traditions ou celui des galeries parisienne qui tombe souvent dans la masturbation artisticophilosphique sous stupéfiant ??) Dans tous les cas ,On est dans l’irréelles!!!!
    Et on a les antis loup (dont les éleveurs surtout): Eux ils sont dans la réalité aux niveau de leur argumentation me semble t’il??
    des agneaux avorté (si patou repousse une attaque, combien de brebis « pleines » auront perdues leurs agx dans la panique (cas fréquent même avec une attaque de chien ).Des animaux blessés a soigner; des animaux tuer (des carcasse a gérer, des papiers a faires) .==> des vrais problèmes a gérer bien réels, qui n’existeraient pas si « certaines personnes » (qui n’auront jamais leurs pb d’éleveur et habitant des zones a loups a gérer) n’avaient pas besoin de « travailler leur imaginaire spiritualité au nom du « culturel ».
    C’est un peu caricatural mais bon….!!!!

  3. Les bergers veulent des moutons alos, qu’ils fassent le nécessaire pour les surveiller. C’est un peu facile de vouloir dégommer les loups pour laisser leurs moutons en liberté et / ou à peine parquer et /ou non surveillés la nuit ou la journée. Si on ne veut pas assumer les contraintes du job, on change de job.
    Les loups font partis de la biodiversité alors au lieu de tuer ce qui dérange les « pauvres éleveurs », qu’ils apprennent à vivre avec: patous et lampes flash.

    1. J-lou : vous dites: » C’est un peu facile de vouloir dégommer les loups pour laisser leurs moutons en liberté et / ou à peine parquer et /ou non surveillés la nuit ou la journée. »
      Parce que ce n’est pas un peu facile de critiquer une profession dont on ne connait pas « la pratique ».(de toutes évidence pour faire des remarques aussi a « coté de la plaque ».
      On va clôturer (électrifié) toutes les zones de montagne ou les mouton entretiennent l’espace en se nourrissant de la bonne herbe naturelle.
      On va y mettre des gros groupe électrogène pour sécurisé tous cela! (cloture éléctrique »
      Comme cela ne suffit pas on va mettre plein de patou autour.
      La nuit (même sans lune) en cas d’attaque, il faut y aller quand même (se coltiner le ou les loup dans le noir)==> pas de pb pour le Jlou trops simple même .
      Bien sur comme le J lou tous les berger son former « commando » pour pouvoir « gérer » de nuit des attaques sur plusieur front de loup (qui sont vraiment trop malin et s’adapte) dans une ambiance super (des patous qui se batte avec des loup et qui font une jolie ambiance joyeuse dans l’obscurité super rassurante).
      Ne pas oublier , il ne faut pas prendre son fusil pour se défendre(interdi de tirer les loups) , juste un couteau entre les dents dès foi que…!
      Trop facile la gestion des loups avec des J lou!!!
      Et se sont les berger que J lou dénigre ou du moins qu’il trouve « incompétent » dans leurs travails.
      Encore un des de leçons/conseils donner par des incompétent total (pas capable de le savoir) qui explique apuyer au radiateur de sa

      1. parti trop vite
        Encore des leçons/conseils donner par un incompétent total (pas capable de s’en rendre compte) qui parce qu’il a internet peu se permettre d’expliquer leurs métier au autre et de leur faire la morale.(toujours confusion entre accès aux connaissance grâce au net qui ne signifie pas accès aux compétences)
        C’est ce genre d’attitude/personnage qui de plus en plus nous emmène vers la décadence de notre société.

  4. En parlant de biodiversité, on apprend dans le Bien Public, qu’à Dijon, au parc de la Colombière « « On ne fauche plus les sous-bois de façon systématique », explique Jacques Milder, directeur du service des espaces verts, face à des bosquets d’orties et de ronces d’un mètre de hauteur. « Il y a quelques années, tout était rasé. La flore qui s’installe est propice au retour de la biodiversité, et cela, c’est nouveau. Nous fauchons seulement les bordures d’allées. C’est une autre manière d’entretenir le parc. » »
    http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2017/07/25/le-parc-de-la-colombiere-havre-de-fraicheur-et-de-biodiversite

    Dans le même temps, sur Psychomédia, on découvre ça : « Maladie de Lyme : aménager son jardin pour se protéger des piqûres de tiques
    En Europe de l’Ouest, 30 % à 50 % des piqûres de tiques ont lieu dans les jardins privés et les parcs municipaux, rapporte Jean-François Cosson, spécialiste de l’écologie des maladies infectieuses de l’Institut national français de la recherche agronomique (INRA), sur le site The Conversation (en français).
    Des équipes formées de scientifiques et de citoyens commencent à réfléchir et à mener des expérimentations sur comment aménager les parcs et les jardins de façon à limiter ces piqûres.
    « « Les tiques ayant besoin d’ombre et d’humidité, on peut réduire leur présence en créant des aires dégagées et ensoleillées : coupez la végétation, élaguez la base des arbres, enlevez les tas de feuilles et scellez les murs de pierre et les allées empierrées ; placer les haies et les massifs loin des zones fréquentées ; laissez sécher complètement la pelouse entre deux arrosages et compostez – ou brûlez – la végétation coupée. » »
    http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2017-08-06/maldie-de-lyme-prevention-amenagement-jardin

    Amusant, non ?

    1. @Alex
      Ils recommandent de brûler la végétation brûlée mais c’est interdit presque partout.

  5. On peut faire le parallèle avec les moustiques tigres qui pullulent cet été dans le sud de la France.
    Des amis toulousains habitant divers quartiers de la ville, qui n’est plus rose cet été, et des communes environnantes, me confiaient que l’été était totalement pourri à cause de ces insectes.
    Impossible de sortir dehors sans supporter une dizaine de piqures si l’on est en short et non couvert de pied en cap.
    Même dans ce cas ils s’attaquent au visage.
    Les répulsifs à base d’huiles essentielles et extraits de citronnelle ne marchent que très modérément, diminuent le nombre de piqures et fonctionnent peu de temps.
    Les huiles essentielles ne sont pas d’ailleurs sans danger.
    Bref cette protection illusoire pour partie est surtout un business pour les pharmacies et les labos.
    Les autorités sont silencieuses comme en relatif la presse qui signale de temps à autre les nuisances de ces insectes mais avec toujours le même refrain: « videz vos soucoupes de fleurs », point à la ligne et « on surveille » sous entendu supportez les piqures de moustiques et attendez l’hiver. Il parait que nous les avons élus pour qu’ils soient responsables.
    Le risque zika, dengue et chikungunya n’est pas abordé alors que le sud de la France a déjà connu des cas de transmission et les flux depuis les pays contaminés, pour le tourisme ou autre, ramène des porteurs des virus dont des porteurs en apparence sain.
    Visiblement le principe de précaution ne s’applique pas à ce moustiques ou aux maladies qu’il transmet…
    On fera le parallèle avec le loup qui est en train de chasser l’élevage du mouton de zones où il était implanté depuis des siècles.
    Pour vivre de l’élevage malgré le loup à ces époques, on le piégeait avec des pièges à mâchoires, on l’empoisonnait, avec de la strychnine dans les époques modernes (fin XIXème siècle ), on le tirait au fusil dés qu’on l’apercevait avec une prime à la clé… L’équilibre a existé mais le loup craignait alors l’homme, son pire ennemi.
    Même chose dans les pays qui supportent le loup: il existe un accord tacite entre autorités et éleveurs, le loup doit rester dans les forêts ou les zones sans moutons. S’il se rapproche des troupeaux, les bergers prennent en autonomie ( implicite) toutes dispositions pour l’éliminer.
    Le loup n’est pas fou et se tient à distance des troupeaux après avoir vu des congénères disparaitre. Impossible d’envisager une telle tolérance avec les fadas pro loup en France.
    Pour les mêmes raisons il est impossible d’éviter les nuisances des moustiques tigres et bientôt les arboviroses transmises à cause des pro moustiques tigres, qui se drapent derrière une approche anti insecticides mais veulent voir une belle épidémie ravager la population.
    Des sadiques ces pro moustiques tigres?
    En fait on peut réellement s’interroger sur les motivations de ces anti insecticides, de simples idiots ou des individus qui ont la haine des autres, les Hommes, leur voisins et comptent sur les moustiques et les maladies qu’ils transmettent pour assumer ces mauvais penchants?

    1. un des fondateurs du WWF avait dit qu’il voudrait se réincarner en moustique pour détruire une bonne partie de l’humanité ( sympa, non?)
      je confirme l’inefficacité des répulsifs ( pourtant chers ) contre le moustique tigre, à moins peut être de s’en imprégner 24h/24.
      Les soucoupes des pots de fleurs c’est pour culpabiliser les citoyens et déresponsabiliser les services de l’état.

  6. Question aux spécialistes du site, la strychnine est un produit bien naturel, extrait simple ou à peine élaboré de la noix vomique de l’arbre Strychnos nux-vomica.
    Cet alcaloïde serait-il, s’il était ré autorisé (très très peu probable) potentiellement classé biocontrole pour la régulation du loup.
    Quid d’extraits d’autres plantes à alcaloïdes?
    Le fusil reste bien plus propre que la strychnine ou le piège à mâchoires.

  7. Parmi ces pro moustiques tigres on trouve beaucoup d’illuminés qui consomment ou ont consommé divers alcaloïdes qui font halluciner mais à partir d’autres plantes plus connues: pavot, coca ( pour les snobs, les écolos bobos snobs) voire pour les plus paumés et fauchés simples décoctions de datura.

    Nombre de défenseurs des dommages du loup pratiquent également des divertissements coté extraits naturels de ces plantes … ou ont pratiqué, d’où leurs raisonnements souvent hallucinants.

  8. Non mais qui pond ces âneries? ça coûte combien les dégâts des chiens errants? là c’est l’omerta on dirait, personne n’en parle. Faut croire que ça paye moins qu’un animal qui régule la pullulation du grand gibier. Et oui ça aussi motus et bouche cousue, et les dégâts aux cultures aussi sont réels!

    1. La régulation du grand gibier par le loup est un mythe, lorsque le loup a des animaux d’élevage, en milieu fermé et sans élevage peut être vrai mais pas dans nos conditions. Les moutons sont principalement la cible mais aussi à l’occasion jeunes bovins voire des chevaux, le loup ne va pas chercher la difficulté à courir après des chevreuils, plus encore des sangliers vu les risques pour le loup, le sanglier aurait justement été introduit dans certaines régions pour réguler les loups. Une meute de loup s’attaquant à une laie suitée par des marcassins laissait au bas mot plusieurs individus au sol, vu la puissance de la laie qui d’une morsure broyait une patte de loup. Le loup pas fou préfère les proies faciles et finira par s’en prendre à l’Homme. Quid de la responsabilité des associations pro loup dans ce cas.
      Loups et chevaux:
      http://www.francetvinfo.fr/animaux/video-un-troupeau-de-chevaux-attaque-par-des-loups-dans-les-alpes-maritimes_443792.html
      Une petite mise au point très juste :
      http://ecologie.blog.lemonde.fr/2014/03/05/dix-verites-et-contre-verites-sur-le-loup/

  9. Un peu d’infos actuelles sur les arboviroses transmises par le moustique tigre:
    1- plus des 2/3 des cas de dengue sont asymptomatiques , 50 à 90 % des cas -source INVS http://invs.santepubliquefrance.fr//Dossiers-thematiques/Maladies-infectieuses/Maladies-a-transmission-vectorielle/Dengue/Points-sur-les-connaissances/(pdf)/1/?pdf=1
    2- les moustiques tigres peuvent la transmettre en France, cas à Nîmes en 2015.
    3- suite à la pullulation de moustiques tigres en région Toulousaine, et à l’observation de cas de dengue que l’on nous dit importés, au moins deux mais vraisemblablement 3 et plus, à l’est, au centre et à l’ouest de Toulouse http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/cas-dengue-signale-blagnac-operation-demoustication-vendredi-1309649.html, une opération de traitement des moustiques est entreprise.
    4- observer 3 cas de dengue importés (au moins ) simultanément après une pullulation forte de moustiques tigre sur zone est surprenant, la simultanéité est surprenante pour des cas importés , la logique serait une apparition échelonnée. En outre s’appuyer sur la détection des symptômes pour identifier un foyer sachant dans 2/3 des cas, il n’y a pas de symptômes mais il y a source de virus est assez paradoxal, nécessaire d’intervenir dans ce cas mais notoirement insuffisant.
    5- n’assiste t-on pas à un tout petit début d’épidémie de dengue sur la région toulousaine suite à une pullulation exceptionnelle de moustiques tigres en juillet 2017? sachant que le flux de personnes touchées par la dengue lors de séjours exotiques est permanent (plus actif durant les congés certes) sur une agglomération qui dépasse largement le million d’habitants.
    Certes il ne faut pas affoler le public, mais il faut aussi l’informer pour qu’il se protège,individuellement, diffuseurs d’insecticides de synthèse ( efficaces) voire plus pour les femmes enceintes, vêtements longs, clairs, imprégnés de permethrine.
    Signaler quelques cas autochtones avec une situation sous contrôle n’a rien d’alarmiste, certes cela ne fera pas plaisir aux écolobobos et autres ONG qui en veulent à notre santé en interdisant les pratiques qui la protègent des risques naturels.
    6- pourquoi la presse fait tout un plat de l’affaire du fipronil dans les oeufs ( pour une partie provenant d’élevage bio semble t-il, puisque l’insecticide théoriquement naturel utilisé était principalement destiné à ces élevages mais information discrètement mise sous le tapis) ne s’intéresse pas à ce qui se passe du coté de Toulouse, la dengue et ses conséquences est infiniment plus sérieuse en terme de risques et conséquences sanitaires.
    Les arboviroses dans les zones de pullulation du moustique tigre, c’est du sérieux, pas de la daube.

  10. et un article de la dépêche qui interroge, ou le journaliste s’est planté dans la formulation, ou bien….

    5 communes en Lot-et-Garonne sont colonisées par le moustique tigre coupable en 2016 de 62 cas de Zika, et 27 cas de dengue. Neuf cas recensés en Lot-et-Garonne.
    http://www.ladepeche.fr/article/2017/05/19/2577643-six-cas-zika-trois-cas-dengue-departement.html
    Si le moustique tigre est coupable c’est qu’il a transmis.

    Ou bien les cas déclarés importés sont en fait, en grande partie, autochtones. Quelques médecins de Sète et Montpellier ont plus que des doutes sur la gestion médiatique du dossier.

  11. On lira http://www.20minutes.fr/toulouse/2116263-20170811-cas-dengue-toulouse-rien-inquietant-plan-lutte-correspond-problematique
    message qui se veut rassurant mais si on lit entre les lignes… il arrive que l’intervention concerne des tout début d’épidémie, un cas de dengue asymptomatique importé nécessitant statistiquement 3 transmissions autochtones pour être détecté. Ce n’est pas très grave en soi mais différent du discours.

    Pour le moustique tigre comme pour le loup gestion minimaliste vu l’explosion de moustiques tigres dans le sud ouest et plus largement le sud cet été.

  12. Ici un cas de chik autochtone, mais connaissant le taux d’expression de la maladie, comme pour la dengue et le zika, cela veut dire bien plus de porteurs sains ou de malades atteints par des formes bénignes qui ne consultent pas.
    http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-moustique-tigre-dengue-chikungunya-presents-france-metropolitaine-43467/
    Les ARS ne savent plus communiquer ou plutôt ne savent plus comment travestir les faits face à ce risque. La position de la non intervention contre les moustiques n’est plus tenable dans le sud de la France, mais pour cela il faudra violer l’inconscience des ONG écolos.

Les commentaires sont fermés.