Dans son courrier des lecteurs, La France Agricole publie le courrier d’Alain Dubarry qui s’étonne qu’une ferme suédoise bio… de 1 050 hectares (!) ait le droit de modifier une ensileuse pour incorporer un conservateur. Lui-même utilise l’ensilage d’un mélange ray-grass-triticale-trèfle sans conservateur et aucun traitement chimique du sol pour cette culture, afin de nourrir ses 60 vaches limousines. Et pourtant, son exploitation, explique-t-il, est « sans label, ni autre thème tant à la mode aujourd’hui », bref, elle n’est « pas bio ». Le sérieux du label bio a de quoi, une fois de plus, interroger.
Le bio suèdois permet l’ajout de conservateurs
20 novembre 2017 Un commentaire sur Le bio suèdois permet l’ajout de conservateurs
Publié en L'œil agricole, Lobbying, Pesticides, Politique, Société 0 « J’aime » 5119 vues
Si les ONG diverses et avariées qui osent s’esprimer sur les problèmes d’environnement, d’agriculture et d’alimentation avaient un minimum de connaissances des concepts fondamentaux de la biologie, elles comprendraient aisément qu’il vaut mieux manger des pesticides (naturels ou de synthèse) que des pestes !
Mais elles sont tellement formatées par le discours des gurus obscurantistes qui les dirigent qu’il coulera encore longtemps de l’eau sous les ponts avant qu’elles ne comprennent ces fondements importants pour la sécurité sanitaire de tout un chacun et d’eux mêmes d’ailleurs !