C’est une vidéo qui commence à faire son petit « buzz » sur les réseaux sociaux, celle de l’astrophysicien Aurélien Barrau pour « sauver la planète ». Rien de nouveau sous le soleil, cela fait plus de 50 ans que des personnalités politiques, des scientifiques, des « people » se prennent pour des « lanceurs d’alerte » et pensent qu’ils vont sauver la planète par leur aura médiatique.
Des mesures politiques radicales pour sauver la planète, c’est l’objectif de l’astrophysicien @AurelienBarrau. Voici son message. pic.twitter.com/XICOYhlgZ2
— Brut nature FR (@brutnaturefr) 24 septembre 2018
Ce qui pourrait être anecdotique révèle pourtant une évolution inquiétante de l’écologie vers un discours de plus en plus radical. Le vocabulaire employé est plus que douteux : « négationnistes » pour les personnes doutant du changement climatique, « génocide », « attitudes létales.. », « crime contre l’avenir » laissant penser clairement que nous sommes de trop sur cette planète. Dans la même veine, Aurélien Barrau adopte clairement une perspective décroissante, la même qui est médiatisée par Greenpeace avec son « jour du dépassement »
Sauf que Aurélien Barrau atteint clairement un cap que peu ont franchi jusqu’alors en appelant à adopter des « mesures coercitives » : « il faut s’opposer à un peu de notre liberté », précise t-il.
C’est là que c’est là que le bât blesse : quelle libertés ? qui décide ? Géraldine Woessner, d’Europe 1 s’émeut elle-même de ce discours nauséabond :
Il y a quelque chose de flippant dans cet appel à restreindre les libertés au nom d’un noble but. QUI va exercer ce pouvoir, au nom d’un principe supérieur (La Vie ?) Pourquoi ne pas dire À QUOI, concrètement, il pense ? Des restrictions de déplacements, de naissances…? #??? https://t.co/op5QQNoCgW
— Géraldine Woessner (@GeWoessner) 25 septembre 2018
Et même Maxime Combes de Bastamag, pas vraiment un néolibéral fait lui aussi de ses doutes.
Conclusion :
Si en parlant de "mesures coercitives" @AurelienBarrau parle des réglementations contraignantes qu'il faut imposer aux acteurs économiques et politiques, alors nous sommes d'accord.
S'il se focalise sur les comportements individuels, alors NON 😀
Débattons-en— Maxime Combes (@MaximCombes) 26 septembre 2018
Pour rappel, Philippe Desbrosses, le pionnier du bio en France, déclarait en 2007 qu’il faut agir vite avant qu’on ne « nous impose l’écologie de manière dictatoriale, parce qu’on ne pourra pas faire autrement. »… De quoi effectivement nous faire « flipper » devant l’émergence de dictatures écologistes !
Lentement mais surement la syphilys verte se repand dans la population.Les sujets pornographico-ecolos sont legions dans les journaux tv et la presse ecrite…Le seul antibiotique connu ? L esprit critique et rationnel.
Il me fait peur !!!
Mais prenons une première mesure « coercitive » : l’étude des trous noirs ne sert à rien, honnêtement, pour « la protection de la nature ». Je pense que sur ce point tout le monde sera d’accord avec moi, on peut encore débattre de progrès scientifique futurs… mais bon, dans l’immédiat… Cette science « débridée » avec ses investissement honteux », des télescopes lourds et polluants… devraient être immédiatement arrêtée !!!
Et ce petit couillon mis au chômage !!!
on disait autant de mal de Copernic et Galilée en leur temps ….des gens comme vous ! il faut peut-être se poser des questions , non? … même si les réponses ne sont pas toutes celles que vous attendez? Ce serait un bon début pour la tolérance , scientifique ou non.
« couillon » dites vous ? , mais ceci est une insulte me semble t il.
Si par privation de libertés , il faut entendre l’interdiction tant soit faire que peu, de la bêtise outrancière, alors oui j’y souscrit.
Sinon l’instauration d’une écologie sincère qui serait accompagnée d’un peu de perte de libertés quelles soit consuméristes, collectives et mêmes individuelles si l’impression de perte ne touche en définitive que notre trop plein d’égoisme , ne me semble pas incompatible avec mon bien être personnel. Je me sens responsable du monde que je vais, que nous allons léguer aux générations futures , par amour non seulement du principe de vie en soi dans toute l’expression que revêt son extrême diversité tant animale que végétale à l’échelle planétaire, mais également de l’humanité à venir .
Au passage : il en parle que la vie « animale »… les végétaux, les champignons, les bactéries, les virus … ils peuvent crever ???
La comparaison avec l’ivrogne est déplorable : on compare un fait réel avec des hypothétiques adversités futures…
Autre « bonne « blague » : Il y a de moins en moins de « négationnistes » du climat… Alors que le nombre e Climato-réalistes ne cessent d’augmenter…
On tue la planète… C’est qui la planète ??? Vous l’avez déjà croisé dans la vie vous ?
Pour un astrophysicien, faire un tel « anthropomorphisme » est tout simplement délirant !!! Et aussi croire que la planète va disparaitre car nous sommes dessus… est proprement stupide !!!
Bref un dictateur, un fou d’écologie…
« Bref un dictateur, un fou d’écologie… »
>>> Y a ka regarder sa foto! Ce type est un illuminé!
c’est vrai, il fait peur: il a des cheveux longs et des bracelet en couleur au poignet
Vu son fonctionnement intellectuel il y a bien peu de chances que ce chercheur trouvé quoi que ce soit en astrophysique
Pas sûr: il peut être extrêmement brillant dans son domaine (je n’en doute pas) et sortir des inepties au kilomètre hors son domaine de compétence.
Rappelez vous Edward Teller, le père de la bombe H américaine, un crac dans son domaine, mais qui n’aurait pas hésité à balancer sa trouvaille sur l’URSS. C’est d’ailleurs le modèle de Kubrick pour son Docteur Follamour.
Et des comme ça, il y en a beaucoup: je n’ai jamais entendu dans les médias, un scientifique dire « je ne sais pas, ce n’est pas mon domaine ».
Les vrais scientifiques sont très mesurés quand ils parlent de leur domaine. Curieusement, ils le sont parfois moins quand ils en sortent. Mais de toute façon un chercheur qui dit : »on ne sait pas très bien » sera toujours ignoré par les médias au profit des clowns apocalyptiques qui font de l’audience.
Ce n’est pas le premier ni le dernier « intellectuel », scientifique de haut niveau en l’occurrence, qui fait preuve d’aveuglement. 😥
rien ne prouve que ce Monsieur soit un scientifique de » haut niveau « .
Visor,
Dans le doute, je rajoute volontiers : […] haut niveau réel ou supposé. 🙄
Visor
Il suffit de chercher un peu sur internet.
Sa thèse est même en ligne pour occuper vos longues soirées.
Exact !!!
Il suffit de voir les positions pro-Homéopathie et anti-vaccins de M. Montagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du sida !!!
C’est pour cela que je considère que M Barrau ferait mieux de rester dans son domaine de compétence !!!
@ Daniel
« Il suffit de voir les positions pro-Homéopathie et anti-vaccins de M. Montagnier, prix Nobel de médecine »
>>>> Je pense que le cas de Montagnier est différent! Il relève de la psychiatrie gérontologique et pas de la conviction rationnelle
2006 : Prix international Bogoliubov de physique théorique (young scientist)23,24 ;
2009 : Membre junior de l’Institut universitaire de France (IUF)25
2010 : Médaille de l’université Joseph-Fourier
2012 : Prix Thibaud de l’Académie des
Suite :
2018 : bonnet d’âne.
Lentement mais surement la syphilys verte se repand dans la population.Les sujets pornographico-ecolos sont legions dans les journaux tv et la presse ecrite…Le seul antibiotique connu ? L esprit critique et rationnel. summer night quotes
J’espère que ce pseudo chercheur ne prend jamais l’avion, parmi les pire engins de destruction de la planète: introduction de nouveaux pathogènes pour les plantes et les animaux, pollution de la haute atmosphère et du plancher des vaches, consommation de kérosène par passager donc GES, incitation à voyager loin et consommer du km, tourisme premier danger pour les milieux naturels, voire destruction de la couche d’ozone par les émissions en haute altitude …
S’il n’a pas cette éthique minimale pour être conforme à son discours, et si on le rencontre dans un avion, on commande un jus de tomate et on lui verse sur le pantalon ou le short suivant sa tenue du moment, pour marquer le Jean Foutre!
Cette même règle appliqué à l’hélicologiste national, ce dernier aurait pu récupérer 10 litres minimum de gaspacho gratuit chaque semaine en pressant ses vêtements. Le Gaspacho estampillé Ushuaia enrichi à la sueur de l’hélicologiste. Avec l’hélicologiste il n’y a pas de petit profit.
Avion qui en sus conduit à une profession surexposée par rapport au risque de cancers, infiniment plus que les agriculteurs : https://www.pharmapro.ch/news/avions-plus-de-cancers-chez-les-pilotes-et-hotesses-de-l-air-americains-01005.htm
Le rayonnement cosmique pour les navigants contre le rayonnement solaire pour les agriculteurs, ce qui explique que l’éleveur dans les Alpes suisses bio risque bien plus de mourir d’un cancer que le céréalier de la Beauce.
C’est con mais c’est ainsi. Sachant que le plus exposé reste le mécanicien qui trafique dans l’essence ou l’agent de péage des parkings souterrains.
Dans la gamme du « c’était mieux avant », avant l’époque moderne puisque c’est en substance ce que propose le pseudo astrophysicien Aurélien Barrau, qui souhaite certainement abandonner les satellites pour l’observation de l’espace ( trop polluant, déchets dans l’espace plus pollution au lancement), les observatoires dans les lieux reculés qui doivent rester vierges et supposent de longs voyages en avion pour s’y rendre, bref revenir sur le pic du Midi pour assurer son activité.
Bref retour sur le passé, l’utilisation de cribs pour sécher le maïs, cribs qui ont servi plusieurs générations d’agriculteurs avant d’être quasiment abandonnés.
http://www.agrisalon.com/actualites/2018/09/28/retour-a-une-technique-ancestrale-le-mais-cribs
Sur le plan de la consommation de ressources fossiles en gaz naturel ou pétrole voire lignite, mais aussi biomasse moderne , énergies utilisées pour sécher le grain, les cribs sont une méthode formidable, le vent sec comme seule source d’énergie, 3 mois d’exposition et un séchage parfait>.
Un petit inconvénient si l’automne n’était pas assez sec et le mois de novembre trop pluvieux, comme en 2018… un jolie coloration rose ornait les grains de maïs.
Au lecteur de deviner pourquoi ce rose n’était pas super pour le consommateur!
Un rose pas mal PE et toxique pour le consommateur animal ou humain.
La prochaine fois mieux vaut faire parler un mathématicien pur qui n’a besoin de rien pour exercer son activité scientifique qu’un astrophysicien qui automatiquement va engendrer une pollution intense et durable pour faire ses observations, certainement parmi les pire pollueurs de la planète par tête de scientifique , avec les satellites et les déplacements dans des lieux à l’autre bout du monde et pas en planche à voile ou à vélo… avion à turboréacteur puis souvent hélicoptère imposés. Une autre sorte d’hélicologiste.
autre problème du séchage en cribs: la main d’oeuvre nécessaire.
Sinon, la génétique fait bien les choses puisque les sélectionneurs arrivent à proposer des maïs qui se dessiquent pour arriver à 15 % d’humidité à la récolte. Pour l’instant, il est réservé aux zones ayant des sommes de température élevées en France mais ça viendra pour les autres zones (du moins, si certains ne les empêchent pas de travailler…).
Donc, le sèchage deviendrait facultatif d’où économies substancielles.
C’est le genre d’innovation qui ne fait pas de bruit mais qui apporte un plus sans que cela fasse un tintamarre sans suite.
Ramasser du maïs en dessous 24-25 d’humidité entraine obligatoirement plus d’égrenage au cueilleur qu’un maïs à 28-30 .
Mais cette année chez moi il y a des agriculteurs qui ont livrés des remorques
à 15 ou 16 d’humidité et c’était vers le 20 Septembre mais c’est économiquement
moins intéressant malgré des frais de séchage de zéro .
En parlant de l’avion, en Allemagne ce sont les écolos (Grünen) qui le prennent le plus !
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/gruenen-waehler-halten-rekord-bei-flugreisen-a-1002376.html
Dans la gamme du « c’était mieux avant », avant l’époque moderne puisque c’est en substance ce que propose le pseudo astrophysicien Aurélien Barrau, qui souhaite certainement abandonner les satellites pour l’observation de l’espace ( trop polluant, déchets dans l’espace plus pollution au lancement), les observatoires dans les lieux reculés qui doivent rester vierges et supposent de longs voyages en avion pour s’y rendre, bref revenir sur le pic du Midi pour assurer son activité.
Bref retour sur le passé, l’utilisation de cribs pour sécher le maïs, cribs qui ont servi plusieurs générations d’agriculteurs avant d’être quasiment abandonnés.
http://www.agrisalon.com/actualites/2018/09/28/retour-a-une-technique-ancestrale-le-mais-cribs
Sur le plan de la consommation de ressources fossiles en gaz naturel ou pétrole voire lignite, mais aussi biomasse moderne , énergies utilisées pour sécher le grain, les cribs sont une méthode formidable, le vent sec comme seule source d’énergie, 3 mois d’exposition et un séchage parfait>.
Un petit inconvénient si l’automne n’était pas assez sec et le mois de novembre trop pluvieux, comme en 2018… un jolie coloration rose ornait les grains de maïs.
Au lecteur de deviner pourquoi ce rose n’était pas super pour le consommateur!
Un rose pas mal PE et toxique pour le consommateur animal ou humain.
La prochaine fois mieux vaut faire parler un mathématicien pur qui n’a besoin de rien pour exercer son activité scientifique qu’un astrophysicien qui automatiquement va engendrer une pollution intense et durable pour faire ses observations, certainement parmi les pire pollueurs de la planète par tête de scientifique , avec les satellites et les déplacements dans des lieux à l’autre bout du monde et pas en planche à voile ou à vélo… avion à turboréacteur puis souvent hélicoptère imposés. Une autre sorte d’hélicologiste.
Ce que ne disent pas les promoteurs des coquelicots, sensibilité qui correspond à celle de notre astrophysicien… c’est que cette engeance veut aussi des rats, des acariens de la gale, des moustiques tigre et merveille des merveilles, de punaises de lit.
Cela tombe bien, elles prolifèrent pour le plus grand bonheur des citadins.
Lisez plutôt: https://www.sudouest.fr/2018/09/24/punaises-de-lit-c-est-l-invasion-le-calvaire-des-habitants-de-l-ile-de-france-5419149-4776.php
« À Boulogne-Billancourt, une autre habitante est victime des petites punaises, grandes comme un pépin de raisin. C’est la deuxième fois qu’un spécialiste de la désinsectisation vient chez elle pour traiter le problème : « Psychologiquement, on le vit très mal. On dort mal la nuit, car il faut absolument rester dans la chambre où sont les punaises, puisqu’on sert d’appât. En clair, on espère se faire ‘bouffer’ pendant la nuit. Ça voudra dire que les punaises sont sorties et sont passées dans le produit ! »
Car pour survivre, les punaises de lit s’attaquent à l’homme. Et plus particulièrement à son sang. Il faut donc pulvériser un produit fait d’eau et d’insecticide sur toutes les surfaces où les punaises pourraient passer. Pour éviter de contaminer les « objets du quotidien », il faut une certaine organisation : « Les sacs d’école des enfants sont rangés dans des bacs fermés avec du scotch double-face pour que les punaises restent collées dessus… On ne vit plus de la même manière. »
Cela c’est un témoignage de la vraie vie, celle des Hommes, pas celle rêvée par les écolobobos des villes… tant que les punaises des lits n’ont pas envahi leur domicile.
Après cela ils vivent le rapport à la permethrine, insecticide interdit en agriculture depuis 2009 car considéré trop toxique pour l’applicateur protégé mais largement utilisé sur punaises de lit…et moustique tigre.
Celui que l’on retrouve dans les cheveux des citadins…quoi de plus normal, mais en accusant les agriculteurs!
Le futur que nous promet aussi notre astrophysicien est plein de bestioles qu’avaient éradiqué la chimie de synthèse moderne.
Cet article cherche à discréditer M. Aurélien Barrau, c’est évident. Mais suis-je le seul à trouver cet article inconsistant ? Pas d’analyse, il cite et saute aux conclusions en orientant ostensiblement le lecteur vers le rejet du discours sans compromis.
résultat: une étonnante virulence de la plupart des commentaires.
Par cet article bâclé et inutilement virulent, vous discréditez vous même vos propres critiques envers ce scientifique. En somme, vous renforcez son image de lucidité par votre médiocrité affichée.
Anonyme 12/10/2018 | 3:00
« Cet article cherche à discréditer M. Aurélien Barrau, c’est évident…. »
>>>>>Oh! Croyez-vous?
« ….. Mais suis-je le seul à trouver cet article inconsistant ? »
>>>> Eh! Bien non! Vous n’êtes pas le seul!
Conclusion: Monsieur Aurélien Barrau, s’est chargé tout seul de discréditer son intervention et lui-même par la même occasion!
Pseudo ou pas, j’adhère totalement à son discours. Si les multinationales et politiques doivent avant tout revoir leur copie, l’individu lui aussi peut se corriger, et bon nombre ont déjà entamé ce parcours personnel au prix de quelque liberté. Mieux, l’individu peut impacter, boycotter, prendre la main.
Et il y a effectivement urgence.
Que de critiques sophistiquées et inutiles! C’est la solidarité qu’il va falloir re-découvrir, avec la tolérance bien dirigée. Si les allures et incompétences de ce poète vous dérangent, souciez-vous de la cause commune.
Pascale AGUERRE 18/12/2018 | 10:55
« Pseudo ou pas, j’adhère totalement à son discours ………au prix de quelque liberté. Mieux, l’individu peut impacter, boycotter, prendre la main.
Et il y a effectivement urgence.
Que de critiques sophistiquées et inutiles! C’est la solidarité qu’il va falloir re-découvrir, avec la tolérance bien dirigée. Si les allures et incompétences de ce poète vous dérangent, souciez-vous de la cause commune. »
>>>> Et puis, à l’aguerre comme à l’aguerre…… Pas vrai Pascale?