On est proche des soi-disant « médecines alternatives » ou « parallèles » :
En résumé : le cannabis « plante-médicament » peut être utile en dernier recourt et sur quelques pathologies/symptômes identifiées. Mais c’est un bonus, « pour élargir la palette thérapeutique, pour soulager des patients lorsque les autres traitements ne fonctionnent pas ».
— Victor Garcia (@GarciaVictor_) 26 juin 2019
Le cannabis est surtout l’objet de fantasmes, de lobbying, voire de fake news. Si de nouveaux travaux sont en cours, il n’existe pas tant d’études rigoureuses et solides que ça jusqu’à maintenant. Il faut donc rester prudent sur les qualités de la plante. Cf notre infographie. pic.twitter.com/0vRaSbvKx4
— Victor Garcia (@GarciaVictor_) 26 juin 2019
Il reste aussi beaucoup d’inconnues : faut-il utiliser la plante ou les molécules ? A quoi servent les quelques 80 cannabinoïdes qu’on ne connait pas du tout, hormis le THC et (un peu) le CBD ? Surtout, le thérapeutique sera-t-il un cheval de Troie du récréatif. #cannabis
— Victor Garcia (@GarciaVictor_) 26 juin 2019
Et on ne parle pas des études économiques qui font se pourlécher les babines certains lobbies et entreprises à la recherche d’un nouvel océan bleu quand ce ne sont pas les Etats eux-mêmes !
Si au lieu de dire « buvez ce vin c’est mon sang », Jésus avait dit « fumez cette herbe c’est mes cheveux », on n’en serait pas là aujourd’hui !