Ce vendredi 13 février, paraît le livre Glyphosate : l’impossible débat signé Gil Rivière-Wekstein, aux éditions Le Publieur.
« Il y a dans cette affaire du glyphosate une forte similitude avec le contenu du film Douze hommes en colère où, d’emblée, les douze personnes réunies sont toutes convaincues que le jeune homme est effectivement coupable. Sauf un qui demande simplement une chose : peut-on en discuter ? Je vous pose la même question. En ce qui concerne le glyphosate, est-ce qu’on peut simplement prendre le temps d’en discuter ? »
Peut-on encore parler du glyphosate ? Juste en parler ? « #Glyphosate : l’impossible débat. Intox, mensonges et billets verts » – Le #livre qui va faire parler… en librairie dès le 13 février #Agriculture #Environnement pic.twitter.com/3P3raRLtSx
— GRW (@AEGRW) February 11, 2020
Gil Rivière-Wekstein anime la lettre confidentielle d’information et de décryptage Agriculture-Environnement.
J’ai commandé ce livre hier sur amazone.
Message de retour : livraison pas avant la mi mars, voir avril…
Etonnant !
Je pense qu’il y a autre chose!
Glyphosate ou quand l’idéologie l’emporte sur le pragmatisme et la raison .
Navré mais je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec les années 30 en Allemagne
ici c’est une molécule que l’on élimine mais le processus lui est identique .
Le principe du bouc émissaire est vieux comme le monde et cela a existé dans beaucoup de civilisations ( voir les sacrifices chez les peuples indiens d’Amérique etc…).
Lire à ce sujet » le bouc émissaire » du philosophe René Girard. Le christianisme a lutté pour minimiser cette approche du bouc émissaire.
En fait, les données tiennent dans quelques pages de deux documents facilement accessibles : un chapitre de la monographie 112 du CIRC(https://publications.iarc.fr/549, pp331-350) et l’article de l’AHS.(https://academic.oup.com/jnci/article/110/5/509/4590280)