Du bio toujours plus cher

Partager sur : TwitterFacebook

Les fruits et légumes bio sont presque 70% plus chers que les traditionnels, relève le quatrième observatoire des prix des fruits et légumes de l’association « Familles rurales », publié ce mardi par le quotidien « La Croix ». Familles Rurales est à la fois une association familiale (comme son nom l’indique !) reconnue par le gouvernement, et a le statut d’association de consommateurs. Cet observatoire annuel montre aussi que le prix des fruits non bio a augmenté de 11,1% et celui des légumes de 5,5% sur ceux de 2009, année qui avait été marquée par des prix bas, nombre de producteurs ne parvenant pas même à couvrir leurs coûts d’exploitation.
Si une personne suit la préconisation de l’OMS (manger 400 grammes de fruits et légumes par jour) cela lui revient à 1,04 euro par jour contre 0,95 euro pour l’année dernière.
Pour le bio, le prix moyen du panel de fruits bio (pomme, melon, abricot, cerise, fraise, pêche, nectarine, poire) est, selon l’enquête, 68% plus cher : 5,54 euros le kilo, contre 3,29 euros le kilo pour les fruits
conventionnels. Pour les légumes (aubergine, carotte, courgette, haricot vert, poivron, pomme de terre, tomate, salade), l’ordre de grandeur reste le même. Avec 3,23 euros, prix moyen au kilo, le bio est 69% plus cher que le conventionnel (1,91 euro).
Depuis 2007, Familles rurales relève, pendant l’été, les prix de huit fruits et huit légumes en distinguant leur origine ainsi que les surfaces de vente. Deux relevés de prix (mi juin et mi-juillet) ont été effectués
par 81 personnes dans 38 départements.

30 commentaires sur “Du bio toujours plus cher

  1. « Pour le bio, le prix moyen du panel de fruits bio (pomme, melon, abricot, cerise, fraise, pêche, nectarine, poire) est, selon l’enquête, 68% plus cher : 5,54 euros le kilo, contre 3,29 euros le kilo pour les fruits
    conventionnels »

    * C’est combien un paquet de clopes?

  2. « ….elevé au purin d ortie et de consoude ( beurk des produits naturel ).

    Et aussi aux vidanges des tinettes écologiques du fond du jardin…..

  3. Les toilettes sèches seraient-elle une solution partielle à la fois de la pollution des cours d’eau ( médicaments nombreux qui ne sont pas dégradés par les stations d’épuration et hormones féminines, naturelles ou artificielles, médicaments bien plus préoccupants que les pesticides mais moins médiatisés, on y reviendra) mais aussi une solution partielle à la flambée du prix de l’azote.
    Il est vrai que les WC constituent un gâchis d’eau (30% de notre consommation) et de bon engrais pour les végétaux.
    Petit problème, si les toilettes sèches sont facilement envisageables dans un pavillon, hors l’odeur, comme le compostage, comment fait -on pour les immeubles dont les même écolos nous vantent les mérites dans le cadre de la densification?
    Autre soucis pour nos collectivités et les prestataires, moins de rejets à traiter, moins de valeur ajoutée pour leurs activités.
    Enfin la gestion des maladies et parasites associés à ces engrais très naturels excrétés reste à examiner, le confinement de la matière s’impose. Alors, pourquoi pas dans le cadre de pavillons de prévoir des pièces adaptées pour cet office , le logement durable s’appuie sur des composteurs, des cuves à eau, des chauffe eau solaires, des puits canadiens, des panneaux photovoltaiques, pourquoi pas des toilettes sèches notamment pour des excrétions liquides riches en azote, récupération qui serait plus efficace que le purin d’ortie.
    Pour le purin d’ortie, honnêtement, ce n’est ni bon, ni mauvais, le produit n’a jamais été interdit comme fertilisant dans la mesure où il s’agit effectivement d’un fertilisant azoté très dilué. C’est la revendication d’une quelconque propriété pesticide qui a pu être contestée pour respecter à minima la règlementation.
    C’est une polémique qui n’a pas de sens, le produit est un attrape nigauds et force est de constater qu’ils sont nombreux à venir de temps à autre sur ce site et plus encore ailleurs. Il n’y a pas de loi pour empêcher de berner les couillons, comme Kokopelli sait si bien le faire.
    Ce type d’officine est effectivement d’utilité publique, seuls les couillons confirmés se font avoir plusieurs fois de suite, les couillons amateurs testent les graines et n’y reviennent pas. Une officine moins caricaturale est plus difficile à identifier donc peut couillonner plus de monde et plus longtemps et ne fait pas aussi bien le tri entre les deux catégorie de couillons.
    La subvention que certains ministères accordaient à l’association était donc justifiée mais elle ne devrait relever ni d’un ministère de l’agriculture, ni de celui de l’écologie mais uniquement de la KuKulture, à créer pour l’occasion, pour s’occuper aussi des fantasmes verts des bobos des villes .

    Pour ce qui est des produits naturels, on a déjà largement abordé le sujet avec le datura, le tourteau de ricin…. Visiblement certains n’ont pas suivi mais on peut leur faire une piqure de rappel sur les chiens morts dans d’atroces souffrances après que leurs maitres aient imprudemment suivi les conseils de quelques illuminés sur les propriétés réelles mais là aussi limitées du tourteau de ricin.
    Dire que ce produit (le tourteau de ricin) a été maintenu à la vente à cause d’écolo-bobos à la fois responsables dans leur métier et irresponsables dans leur façon de l’exercer!

  4. Ma belle-mère a des mirabelles non traitées dans son jardin, quand on en mange il faut penser à les ouvrir, certaines sont habités.

  5. Vider ses excréments dans son jardin potager, c’est s’exposer à réactiver des parasitoses humaines comme le téniasis,l’ascaridiose, la crytosporidiose etc. Le processus de compostage étant insuffisant pour détruire les larves. Lorsque les ouvriers des autoroutes se soulagent(fertilisent!)dans les prés environnants, les vétérinaires aux abattoirs retrouvent les carcasses bovines régulièrement infectés par les ténias humains, ces parasitoses n’ayant pas disparu.
    Les écolos aiment bien dans le cadre des zones protégées genre Natura 2000 ménager des espaces où rien ne doit être débroussaillé, ils développent ainsi des « sites à tiques », porteurs de diverses maladies comme le maladie de Lyme, l’Erhlichiose,le piroplasmose ou l’encéphalite virale. Les promeneurs humains ou canins se contaminent en passant à proximité. Sans parler de l’échinococose due à l’ingestion de myrtilles sauvages sur lesquelles les renards infectés ont déféqué…

  6. a alzine
    il est vrai que fabriquer son propre engrais , excellent comme le purin d ortie , ne rapporte pas beaucoup de $$$$$$ aux compagnies que vous défendez si ardemment ici ….. Concernant kokopelli leurs graines ( 10 ans que je commande chez eux ) sont excellentes et produisent des tomates succulentes , autres chose que la daube vendu ds les hyper , dont vous devez certainement vous empiffrer vous et vos enfants ….n est ce pas ?, mais bon ça fait partie de vos techniques de décrédibilisation, désinformations employées par votre industrie agrotoxique

  7. Et il l’a trouve où la semence d’ortie le Ronan,pour fertiliser mes 200 ha il va en falloir une sacré soupière !!

  8. Allez assez joué,l’ortie est une plante qui comme beaucoup de ses cousines absorbe des sels minéraux pour croitre,si le sol est dépouvu de ses sels minéraux l’ortie ne poussera pas normalement et fera alors un piètre engrais vert.
    Moralité,l’ortie pousse sur des terres riches et principalement sur les détritus d’anciennes habitations,cela n’a rien d’extraordinaire ni de révolutionnaire.

    Pour vos vignerons bio,je connais ,on a les même en Champagne et en bio dynamie,le dernier que j’ai contacté ma demandé si il pouvait fertiliser ses vignes avec des fientes de poule « industrielles »,quel talent!!

  9. « médicaments bien plus préoccupants que les pesticides mais moins médiatisés, on y reviendra » J’ai discuté avec des spécialistes du milieu littoral et ils sont pas du tous de cet avis, ils constatent plutôt une stérilisation des 2-3 premiers km de l’océan par les antibiotiques.

    « Les écolos aiment bien dans le cadre des zones protégées genre Natura 2000 ménager des espaces où rien ne doit être débroussaillé, ils développent ainsi des « sites à tiques », porteurs de diverses maladies comme le maladie de Lyme » Oui et alors, on va raser la Guyane et exterminer les paresseux pour éviter que trois cons de touristes se ramassent la leishmaniose ? On met un panneau et basta.

    « concernant kokopelli leurs graines ( 10 ans que je commande chez eux ) sont excellentes et produisent des tomates succulentes » Tu va voir quand le mildiou fera une petite mutation, tu va bouffer des racines si les taupins sont pas trop rapide. Les tomates de supermarché sont cueillit verte, c’est pour ça qu’elles sont dégueux, c’est pas une question de variétés.

  10. Nos blogueurs sont en fait des blagueurs , certains élèves de collège ou de seconde en lycée , pas les meilleurs ! enfin le niveau de leurs contributions.

    Je suis allé sur le domaine du Pellerin et ai trouvé des informations transcendantes :
    « L’ortie en purin est riche en azote et il ne faut pas en abuser. Deux par moi suffisent. Si vous avez des problèmes de chlorose, c’est la solution, le résultat est assez spectaculaire! La consoude est riche en bore qui favorise la polainisation au moment de la fleur, et en potasse qui s’adresse plutôt au fruits.  »

    Pour apporter l’azote nécessaire avec du purin d’ortie faut y aller à la tonne!
    Sauf dans les sols de marais qui s’en passent.

    La leishmaniose est et reste une maladie très préoccupante dans tout le sud de la France, transmise par les phlébotomes contre laquelle la généralisation des insecticides sur le poils des chiens est utile, essentiellement pyréthrinoides et moins efficace mais plus persistant fipronil.

    La problématique des phlébotomes dans ces régions est plutot liée aux murs de pierres sèches dans lesquels se réfugient ces insectes.

    L’amélioration des traitements des chiens atteints a vraisemblablement participé à réduire le réservoir, grace à des substances s’apparentant à des antibiotiques, il me semble.

    Au plan mondial, c’est plusieurs centaines de milliers de nouveaux cas observés chaque année, chez l’Homme, surtout les populations de pays tropicaux.

    Pour revenir sur le commentaire fort à propos d’Ecire, en sus des excrétions azotées solides problématique à causes des parasites, les excretions liquides qui soutiennent la comparaison avec le purin d’ortie posent le problème de la
    la bilharziose qui tient la comparaison avec le palludisme avec quelques 200 millions d’humains concernés dont 200 000 meurent chaque année de cette parasitose. Dans ce cas et contrairement à la leishmaniose uniquement dans les pays tropicaux ou sub tropicaux.

    Cela dit, le concept d’un recyclage local et sécurisé des excrétions humaines reste à étudier pour éviter de nombreuses pollution de l’eau dont celle liées aux médicaments dont les antibiotiques qui accompagnent ces excrétions.

    Le message des décroissants et de ce taré de Tarrier commence à passer puisque des affections majeures des populations humaines surtout les plus déshéritées sont considérées négligemment voire indirectement espèrées comme le « remède ».
    Dans ces conditions la comparaison avec les totalitarismes du XXème siècle dont le Nazisme peut trouver une certaine justification, la différence étant que les Nazis notamment ont été bien plus loin pour certaines populations, enfin, après avoir pris le pouvoir.

    Ce manque d’attention à la souffrance humaine caractérise bien ce mouvement dans la logique de Rachel Carson, « apotre » de cette cause antihumaniste, dont le prix Nobel reste une insulte à une vision humaniste de la relation Homme – Nature .

    Que l’on est loin des « concerts pour l’Ethiopie », très criticables pour le coté superficiel et show biz mais qui avaient l’avantage de flatter le coté altruiste et l’attention aux autres.

  11. @ Karg se

    Je ne parlais pas de la sauvage Guyane mais de ces lieux de promenade qui depuis toujours ont été visités et entretenus par l’homme (comme toute la nature en France)et devenus soudain tabous par décision d’un hiérodule de l’environnement suite à la découverte d’un pique-prune ou d’une fleur dite rare et que nous avons côtoyé depuis toujours sans dommage. Depuis cette décision la promenade même en ces lieux peut poser problème en cas de présence de verdier verbalisateur prompt à exercer son autorité condescendante sur le quidam surpris les pieds dans le domaine sacré qu’il veille sournoisement.

  12. @ karg se

    « ils constatent une stérilisation des 2-3 premiers km par les antibiotiques »

    C’est stupéfiant ! Sans doute suite au naufrage d’un navire contenant de kT d’antibiotiques ce qui a aboutit à une concentration phénoménale. Mais alors les huitres diploïdes de Marennes que j’ai mangé dernièrement…C’est sûrement grâce à ça que j’ai pu guérir spontanément le bobo que j’avais au bout du doigt. En somme par ex. en cas d’angine bactérienne évidemment il suffit de « boire la tasse » pendant 3 jours, et hop guéri! Ces spécialistes du milieu sont de vrais bienfaiteurs.

  13. « le meilleur bio vient de son jardin avec des bonnes graines de chez Kokopelli »

    Ouais, bonne idée !!
    Quand t’arrivera à nourrir la population comme ça, tu pourras revenir. En attendant, va donc désherber, t’as du boulot !

    L’ortie comme engrais ! La bonne blague !!
    Cela revient à pomper les nutriments du sol pour les composter sous forme d’orties, et les lui rendre.
    vachement utile !

  14. Sinon, avez vous lu qu’il y a des demandes de dérogations faites pour les éleveurs bio, qui sont en rade de fourrage (sécheresse dans la partie nord France)? Ils pourront donc nourrir leurs animaux en conventionnel. C’est dommage car ils auraient du aller au fond de leur logique: pas de fourrage, pas de production. Il faut suivre dame nature puisque la nature est foncièrement bonne.

  15. une année les patatiers bio voulaient des fongis pour traiter leurs pommes de terre contre le mildiou (et pas que cuivre !) … ils ne sont pas a quelques ecarts de conduite !!

  16. « Ouais, bonne idée !!
    Quand t’arrivera à nourrir la population comme ça, tu pourras revenir. En attendant, va donc désherber, t’as du boulot ! »
    pas besoin mon petit le paillage fait très bien l affaire 🙂

    Mais les vendus faut pas s exciter comme ça ! hop l ignorant même pas besoin de lui répondre sur l ortie tellement ça saute aux yeux , ça en devient comique :-), faut sortir de vos labos un peu de temps en temps  » les ingénieurs agronomes  » ou plutôt les chimistes …
    il est vrai que c est tellement plus facile de lire la notice avec la petite tête de mort dessus , faire son mélange et asperger ses champs sans vie microbiennes, stérile.

    qu est ce que je me marre ici !!

  17. T’as déjà mis les pieds dans un champs, « loktar » ?
    Essayes, tu verras que ton jardin, c’est pas grand chose à côté.

    Tu sais, ya tout un monde derrière ta clôture. Nous, on y travaille.

  18. @ Laurent Berthod,

    Les premiers qui disent la vérité courent toujours le risque d’étre exécutés.
    C’est un risque désormais collectif, mais le choix des Belpomme, Séralini et Testart pour porter le message n’est t-il pas en lui même une limite à la durabilité du bourrage de crane vert.
    La moiteur de la fin d’été a fait oublier un temps la crise qui n’en a pas disparu pour autant. Nous sommes à la veille de la « fin d’un monde », artificiel fabriqué en 68 sur la richesse produite au cours des 10 ans qui ont précédés et du potentiel de production de richesse du territoire français désormais très hypothétique mais qui justifie encore la notation de notre dette souveraine.
    Que les classes moyennes + et supérieures – perdent 10 ou 20% de pouvoir d’achat, ce qui serait un vrai miracle ( de ne pas diminuer davantage) et le discours bobo deviendra inaudible.

  19. Le webmaster a supprimé mon post auquel Alzine répond par son message n°25. Pour que cette réponse soit compréhensible, ci-après mon post initial.

    « Cher Alzine,

    Prenez garde ! Votre science sans conscience risque de vous conduire au goulag, transposition sur terre de l’ancien enfer des religieux. Votre science n’étant pas citoyenne, elle est condamnable. C’est les Belpomme, Séralini et Testart, qui ont la citoyenneté chevillée au corps, qui détiennent la seule vérité scientifique autorisée !

    Bien à vous. »

  20. « ….il y a des demandes de dérogations faites pour les éleveurs bio, qui sont en rade de fourrage (sécheresse dans la partie nord France)? Ils pourront donc nourrir leurs animaux en conventionnel…. »

    « une année les patatiers bio voulaient des fongis pour traiter leurs pommes de terre contre le mildiou (et pas que cuivre !) »

    = Il y a deux ans je crois, les viticulteurs « bio » devant la pression dépassés par la pression des maladies, se sont précipités au Ministère de l’Agriculture pour demander des dérogations afin de pouvoir traiter avec les IBS (Inhibiteurs de la Biosynthèse des Stérols) seuls produits efficaces pour sauver les vendanges…..Dérogations bien entendu octroyées….On ne l’a pas chanté sur les toits dans les vignobles.
    L’histoire ne dit pas dans quelles filières les « vins bio » ainsi produits ont été discrètement écoulés…. Pas plus qu’on ne dit si l’année suivante l’exploitation et la production étaient toujours considérées comme étant « bio »…. En principe l’utilisation de fongicides de synthèse met un terme au caractère « bio » pour 3 années consécutives…….

  21. Complétement débile comme étude …. en même temps sur un site anti-bio cela ne m’étonne pas …. ça balance des copié collé sans argumenter et cette étude est bidon !
    Déjà faaut avoiur mis les pieds dans un mag bio pour ramener sa gueule. D’autre part avec votre agriculture intensive ( dite de nazillon ) vous ne prenez pas en compte le cout des dépollutions externes. D’autres part c’est totalement faux de dire qu’un panier bio coute 70% de plus, ça ne ressemble à rien de recopier de telles conneries !

  22. @menu :

    Expliquez nous en quoi cette étude, réalisée par Familles rurales qu’on ne pourrait soupçonner d’être « antibio », est bidon comme vous le dites si péremptoirement.

    Les magasins bio, j’y met les pieds assez souvent pour ne pas être surpris par cette étude. Et vous ? Allez, un exemple :

    – pâte à tartiner aux noisettes bio « Chokénut », 750g (magasin bio av Buyl, Bruxelles) : 13€ ;
    – Nutella 750g : 3,52€ (Telemarket) et 3,99€ (CaddyHome), on va arrondir à 4€.

    Le bio est ici 300% plus cher ! ! ! Si tout le monde devait manger « bio », il faudrait tripler le budget alimentation des ménages. Votre situation confortable ne vous le fait p-e pas réaliser, mais seuls les privilégiés peuvent se le permettre !

  23. « vous ne prenez pas en compte le cout des dépollutions externes » lol, j’ai des pullulation de grenouilles dans le fossé d’un de mes champs « industrielles », c’est des mutantes résistantes aux pesticides? Il n’y pas de cout de la dépollution en grande culture, et en élevage ils sont assurés par le producteur. Les pollutions vraiment couteuses sont industriels et/ou accidentelles.

  24. @karg se
    « Il n’y pas de cout de la dépollution en grande culture, et en élevage ils sont assurés par le producteur. »
    Si si, il y’a une nouvelle taxe, la RPD (Redevance pour Pollution Diffuse) payée au final par les utilisateurs de phyto! Et ce pour « financer les programmes d’intervention des agences et offices de l’eau pour atteindre le bon état des eaux en 2015 et pour la mise en place du plan eco-phyto 2018 » merci les gars!
    Est-elle prélevée également aux utilisateurs de produits médicamenteux (antibio, anti-dépresseurs, contraceptif, etc…)?
    http://redevancephyto.developpement-durable.gouv.fr/accueil

  25. Rageous,

    Vous ne pouvez tout de même pas comparer ces pauvres malades et ces femmes des classes moyennes qui ont du mal avec leurs fins de mois à ces salauds d’agriculteurs pollueurs et empoisonneurs !

Les commentaires sont fermés.