« La disparition des abeilles, la fin d’un mystère », c’est le titre d’un documentaire sur la surmortalité des abeilles réalisé par Natacha Calestreme. Selon Actu-Environnement, « Sous forme d’enquête policière, le film, d’une durée de 52 minutes, identifie plusieurs causes liées à la surmortalité des abeilles : cultures OGM, pesticides, virus, parasite, infection par un champignon, téléphone portable… »
Un reportage qui sera diffusé à deux reprises (!) sur France 5, le 21 mars à 14h00 et le 14 avril à 16h30. Déjà projeté à plusieurs reprises en province devant un parterre de militants écologistes, ce reportage est un plaidoyer anti-pesticides. Pour les réalisateurs, pas de doute, ce sont les produits phytos qui sont les uniques responsables de la mortalité des abeilles.
La rédaction de France 5 va-t-elle déprogrammer ce documentaire suite à la publication du dernier rapport de l’Afssa ? En tout ca, ce reportage va faire couler de l’encre. L’annonce 2 mois à l’avance de sa programmation montre combien la promotion de ce reportage sera importante.
20 commentaires sur “Opinion divergente”
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Bonsoir.
Les écologistes sont prompte a accuser l’AFSSA et mes collègues chercheurs d’être vendus aux lobbies industriels dès que des études montrent l’innocuité ou le non-impact des pesticides dans la mortalité des abeilles.
Il serait donc bien de connaître l’origine des fonds ayant servis pour la réalisation de ce « documentaire ». Ainsi nous comprendront pourquoi il est anti-pesticides.
Je rappelle, à tout hasard, que les abeilles ne butine pas les graminées. Que la reproduction de ces plantes est anémogame (pour la majorité) et « gravigame »pour le maïs. Les abeilles n’interviennent pas dans ces cas là.
En outre, les principaux insectes impliqués dans la reproduction des plantes ne sont pas les abeilles mais les papillons (lépidoptères).
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosbiodiv/index.php?pid=decouv_chapC_p1_c1&zoom_id=zoom_c1_1
Enfin, Einstein n’a jamais dis la fameuse phrase sur les abeilles. Et tous les spécialistes le savent. Mais cela est encore véhiculé largement pour donner un crédit à la « conservation » des abeilles. Et quel meilleur crédit que l’un des plus grands physicien du monde. Un physicien, pas un biologiste…
Bonsoir.
Bonjour,
En effet, avec la sortie du rapport du l’AFSSA ce pamphlet propagande tombe littéralement à l’eau. Compte tenu des investissements réalisés (par qui d’ailleurs ?), il ne serait pas étonnant qu’on assiste à la promotion de ce reportage-procès sur des plateaux toujours vides de contradicteurs. Natacha Calestreme, une nouvelle Marie-Monique Robin ?
Sa biographie donne clairement le ton : « Elle réalise ensuite sa propre […] série de portraits d’hommes et de femmes qui agissent pour la protection de la biodiversité à travers le monde. Elle dirige cette collection de 52 minutes […] Membre des journalistes écrivains pour la nature et écologie » et « environnementaliste » avec ça. Une réalisation à la gloire de sa religion.
Je suis toujours surpris de ne pas entendre plus parler dans les medias « generalistes » des maladies et autres pathologies qui touchent les abeilles. Le grand public ne connait pas les noms de varroa, loque, nosemose par contre ils connaissent bien le Gaucho et le regent ! 🙁 A quand une enquete objective de laquelle decouleront les vraies questions qui permettront d’apporter des reponses concretes aux apiculteurs.
PS : je croyais que c’etaient les coleopteres les plus gros pollinisateurs ?
Signe du temps ? Les médias généraliste s’y mettent aussi !
http://www.lefigaro.fr/sciences/2009/02/23/01008-20090223ARTFIG00315-abeilles-les-insecticides-pas-seuls-incrimines-.php
bonjour, bonsoir,
@daniel le chercheur, l’unique vrai scientifique…
…néanmoins avec des problèmes de lecture car sur le lien que vous indiquez cher Daniel, il y est clairement marqué: « Les insectes pollinisateurs sont tous ceux qui butinent les fleurs au stade adulte : mouches, coléoptères, papillons et surtout abeilles. » J’attire l’attention sur « surtout les abeilles ». Surtout ne voudrait il pas indiquer une importance toute particulière? alors que vous indiquez que ce seraient les papillons avec le même texte… c’est étrange. Une lecture trop rapide, trop partielle, trop partisane que la réalité vous échappe maintenant? Inquiétant, non?
c’était juste pour équilibrer quelque peu et surtout quand certains ici demandent de référencer et qu’ils ne le font pas ou très mal.
bref, bonne vie à tous les malhonnêtes et surtout quelque soit leur bord, bien que j’exècre plus ceux qui font la morale scientifique. Allez je ne vous hais point et on a qu’a dire que je suis l’auteur de la célèbre phrase sur les abeilles
@ Whatever:
Vous parlez de lecture partielle trop rapide ou partisane.
Dites donc MÔSIEUR vous devriez retourner à l’école pour apprendre:
1) à lire.
2) la définition du mot partielle.
« Rien qu’en Europe occidentale, ce sont des milliers d’espèces de Lépidoptères ou d’Hyménoptères qui sont impliquées dans la pollinisation. »
3)Le surtout abeilles ne doit pas être lu comme « les abeilles sont les insectes pollinisateurs les plus communs et les plus importants », comme malheureusement vous le faites. Mais bien comme » les abeilles sont les insectes pollinisateurs les plus connus ».
Votre lecture est donc bien partisane et surtout entachée d’une méconnaissance de la pollinisation.
En effet, malgré ce texte très bien écrit, il y a des erreurs flagrantes:
« des milliers d’espèces végétales non cultivées qui dépendent exclusivement de la pollinisation par les insectes. »
Aucune espèce végétale ne dépend exclusivement des insectes pour la pollinisation. Car la pluspart des espèces spécialisées avec les insectes (comme l’ophris bourdon, la raflésie ou les népenthes) sont capablent d’autofécondation.
Ainsi nombres de plantes de montagnes bien qu’offrant du nectar ont une reproduction végétative uniquement (violettes) ou basée sur le vent voir les papillons (gentianacées).
Ensuite, dans le groupe des hyménoptères, une famille très diversifiée sont les guèpes. Hors la majorité d’entres elles sont floricoles (nectar, pollen; cf super famille des Vespoides). Mais ooh tient comme c’est bizarre, très peu impacté par le syndrome de crash?? Pourquoi donc??? Vous pouvez me répondre??
PS: vous écrivez: »daniel le chercheur, l’unique vrai scientifique… » pourquoi donc tant de mépris envers ma personne, et à travers moi, envers la recherche? Du moins celle qui ne va pas dans le sens de votre pensée.
« les malhonnêtes et surtout quelque soit leur bord, bien que j’exècre plus ceux qui font la morale scientifique. ».
Puisque vous exécrez ceux qui font la morale scientifique (et pourtant qu’il y en a besoin vu les inepties que nombres de pseudo-journalistes et pseudo-scientifiques racontent), puisque vous êtes si bon en sciences répondez moi donc à ces deux questions:
1) Pourquoi les abeilles mourraient avant l’apparition du Régent, Gaucho ou du Cruiser, meurent encore après l’interdiction des deux premiers, sans utilisation du troisième (bien qu’autorisé mais après les semis…mdr), et aussi dans des zones sans maïs et sans insecticides (comme les alpes)?
2) Pourquoi donc les colonies sauvages sont-elles moins impactées, alors qu’elles utilisent les mêmes ressources et vivent dans les mêmes écosystèmes?
J’attend votre réponse Môsieur qui exècre ceux qui informe de la réalité. Allez!! Ne soyez donc pas partisan, répondez!
Bien cordialement.
2)
bonjour, bonsoir,
effectivement Daniel plutôt que d’employer le terme « partiel » (même si ce n’était qu’un questionnement d’ailleurs et non une affirmation de ma part) j’aurais dû indiquer lecture « très approfondie », tellement que vous trouvez un sens à 2 phrases que je ne vois pourtant pas poindre. J’aimerais donc avoir l’avis d’autres personnes sur:
– le « surtout » qui selon vous ne ferait référence qu’à la médiatisation des abeilles, et votre explication de texte (« ne doit pas être lu comme “les abeilles sont les insectes pollinisateurs les plus communs et les plus importants”… » (d’ailleurs pourquoi des guillemets puisque je ne l’ai pas écrit ainsi dans mon message?)) est pour moi plutôt tirée par le cheveux, et
– sur cette observation européenne “Rien qu’en Europe occidentale, ce sont des milliers d’espèces de Lépidoptères ou d’Hyménoptères qui sont impliquées dans la pollinisation. ”, que je n’avais pas omis, je ne vois pas où est indiqué que les papillons seraient les plus importants des pollinisateurs. Il n’est ici fait référence qu’à la diversité de ceux ci et non pas leur grand nombre en absolu qui feraient qu’ils soient les pollinisateurs les plus importants.
De plus vous faites référence à un texte pour souligner votre propos en indiquant maintenant qu’il y a des erreurs flagrantes, pourtant l’auteur de ce texte doit avoir des références à avancer puisqu’il n’est pas juste chercheur mais directeur de recherche.
La science aussi universelle soit elle dans son fonctionnement n’est pas uniforme puisqu’il y a des disciplines différentes. Ainsi je ne me suis pas targué d’être un professionnel de la pollinisation, je lisais juste ce texte que vous aviez mis en référence et n’y retrouvant pas les éléments que vous tiriez de cet article j’ai décidé de réagir. Don’t act.
Pour les crash d’autres espèces… et bien c’est peut être justement que ce sont d’autres espèces avec des fonctionnements biochimiques un peu différents. Dans le genre humain il y a aussi des individus plus vulnérables que d’autres (maturité physiologique des plus jeunes ou résultat d’un bagage génétique différent), ceux ci devraient être protégés en priorité. C’est une hypothèse scientifique comme une autre qu’il convient de dénouer mais sans fausse lecture. Peut être ne trouverons nous jamais dans notre laps de temps individuel sur terre et donc comment doit on agir si le doute persiste? Laisser filer? Agir?
Encore où avez vous vu que je me targuais d’être bon en science??? Sur vos 2 observations (alpes et utilisation de pesticides), pour pouvoir les confronter à d’autres observations, il faudrait déjà avoir les sources/références, car beaucoup d’entre vous (pas vous Daniel directement mais ceux sur ce site dans l’ensemble) critiquent le soit disant manque de référence scientifique, il faudrait peut être vous (encore le vous général) plier aux demandes que vous faites aux autres. Ainsi la réalité prendrait une autre dimension, mais n’ayant jamais indiqué exécré ceux qui informait de la réalité mais ceux qui font la morale (cf mettre des références ou citer les études par exemple). A travers votre personnalité, aussi forte et représentative soit elle, je n’attaque nullement la recherche en général même si j’imagine que cela vous ferait plaisir de représenter LA recherche on dirait. Ainsi je tiens à rassurer les autres que je vous ai titillé sur le « vrai chercheur » car souvent vous me paraissez faire la morale (avec toute la réserve qui est faite que mon observation se base sur ce que vous indiquez sur ce site) et que les autres ne sont pas comme vous j’ai l’impression.
A nouveau, très cordialement
Ca y est, maintenant, le téléphone portable est aussi responsable de la mortalité des abeilles!!!
Je suis quand même étonné : Mme Calesterme n’ a pas identifié les centrales nucléaires et le réchauffement climatique parmi les causes de mortalité des abeilles…
Sinon, tous les poncifs écolos y sont
🙂
Dans le genre « grand n’importe quoi », un autre délire d’écolos sur la disparition des abeilles est disponible ici :
http://www.eauseccours.com/categorie-10272760.html
Cher whatever ne perdez pas votre temps ici, il n’y a aucune démarche scientifique sur ce site, que du parti pris, que des phrases extraites de leur contexte, et uniquement quand ça arrange leurs thèses…Leur détestation de l’Ecologie( qui est pourtant une science !)leur fait perdre toute démarche scientifique. L’absence d’objectivité est si totale qu’elle ne fait que renforcer les thèses qu’ils veulent combattre. Mais c’est aussi l’avantage d’internet de permettre à tout le monde de s’exprimer; a chacun de faire son choix, et tant que le lobby qui est derrière ce site s’y prendra comme ça le fameux lobby écologiste tant vilipendé est sur d’être renforcé ! C’est comme dans l’eau quand on ne sait pas nager, plus on perd pied plus on s’agite, et plus on s’enfonce. Heureusement j’ai des agriculteurs parmi mes amis d’enfance, ils sont d’un autre niveau, même les plus contraints à pratiquer l’agriculture intensive.
Mon avis sur le « surtout » des abeilles, est que c’est le seul pollinisateur dont on exploite l’activité, donc qui contribue à une économie certaine, comparée à un coléoptère!…
Je ne veux pas rentrer dans la polémique surtout quand le ton est donné d’entrée…mais suis intéressée par les colonies sauvages d’abeilles, si des études la-dessus sont dispo sur le net, merci par avance.
RayBan,
il est vrai que grâce à vous et depuis votre venue ici on en a appris des choses!
« tant que le lobby qui est derrière ce site s’y prendra comme ça le fameux lobby écologiste tant vilipendé est sur d’être renforcé ! »
Serait-ce une formule pour vous rassurer vous et vos pôtes????
« Heureusement j’ai des agriculteurs parmi mes amis d’enfance, ils sont d’un autre niveau, même les plus contraints à pratiquer l’agriculture intensive »
J’adore le mot « contraint »! les pôv’bêtes!!!!
et oui « contraints », pieds et poings liés par des prêts, des multinationales diverses, la toile d’araignée de l’agro-alimentaire et des grandes surfaces, et tout cela pour en vivre en général assez mal. Et parfois en mourir. J’ai entendu que le taux de suicides chez les agriculteurs était très élevé.
Sans doute à cause des écologistes.
Ray Ban « la vision en 3 dimensions »
« ils sont d’un autre niveau »
Puis ils sont
« pieds et poings liés par des prêts, des multinationales diverses, la toile d’araignée de l’agro-alimentaire et des grandes surfaces, et tout cela pour en vivre en général assez mal »
Ben, faudrait savoir????
Un autre niveau, c’est quoi, de l’intelligence, du discernement, non?
Alors votre petit couplet à faire pleurer dans les chaumières sur des situations catastrophiques apparemment, c’est encore de la faute aux requins de banquiers, multinationales, distributeurs et p’y quoi encore?
Quant aux suicides chez les agris je ne sais pas s’ils ne sont pas suplantés par les taulards… à vérifier
Ce documenteur sera offert en DVD avec le numéro d’avril de « Sciences et avenir » !!!
Ce docu est annoncé avec force de qualificatifs favorables ( pseudo citation d’Einstein incluse ) dans le supplément « télé Obs » avec citation des travaux du Dr Kaatz qui seraient en faveur de la thèse des OGMs « apicides »
pour voir l’étendue de cette affirmation mensongère voir les travaux de Kaatz ici:
http://www.gmo-safety.eu/en/safety_science/68.docu.html
psst…
http://www.dailymotion.com/video/x4rmcv_le-silence-des-abeilles_news
et faites passer à vos voisins…
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@ tybert:
Super l’article de Kaatz!!! Merci pour l’info.
Pour ceux qui ne lise pas l’anglais…
L’auteur commence par dire qu’il faut mettre au point des méthodes standards d’évaluation des effets de OGM sur les abeilles.
Il poursuit en disant qu’en général il n’est pas possible de prouver la toxicité chronique des ogm sur les colonies saines d’abeilles (là il a pas tord!!!).
Ensuite, il explique son protocole pour tenter de démontrer les effets toxiques des ogm (qui pourtant ne peuvent être démontrés, il vient de le dire ). L’expérimentation est réalisée dans des conditions extrêmes:
1) Durée de l’expérience 6 semaines, alors qu’il écrit lui-même que dans la nature les abeilles ne sont « exposées » aux pollens de maïs que quelques jours, deux semaines tout au plus.
2) Dosage en protéïne BT 10 fois supérieur à la dose présente dans les grains de pollen. Donc surdosage réalisé par le manipulateur.
3) 9 colonies d’abeilles placées à proximité immédiate d’un champs de maïs BT (en 2003) et 9 autres colonies témoins à proximité d’un champs de maïs normal.
Résultats:
Mortalité des adultes: Aucun effet de la toxine BT; même avec une dose 100 fois supérieur / pollen; » Il n’y a pas d’impact négatif sur la mortalité ou la consommation alimentaire aux différents stades de développement des abeilles ».
Toxicité chronique sur les larves: Pas de différence dans la survie des larves.
Test en laboratoire sur les mini colonies: En dessous d’un nombre de 200 larves, le test n’est pas possible. Cepandant il a été possible d’élever au stade volant plus de 200 larves avec des 300 abeilles. Des facteurs tels que le vol de recherche et l’activité d’approvisonnement en pollen doivent être pris en compte pour l’insuffisance de l’efficacité des soins dans le cage avec le couvain.
Test aux champs des effets du pollen de maïs Bt: La première année les colonies ont été infectées par des parasite (microsporidia). Ceci a conduit à une baisse des soins apporté aux couvains dans toutes les colonies. L’expérience a été arrêtée. Il apparait que l’effet du parasite a été significativement plus marqué dans les colonies avec maïs BT (sans que le mécanisme de soit élucidé).
L’expérience a été recommencer avec un traitement contre le parasite. Aucune différence n’est apparue dans le comportement de soin ou dans le développement des larves.
Durant les 4 premières semaines le nombre d’abeilles a diminuer plus fortement que dans les colonies témoins, mais aucune différence n’ aété établie après cette phase initiale (sur le graphique K = controle, T = bT; au bout de 6 semaines même population dans les colonies).
Test des effets de toxicité chronique des Maïs Bt176 et Mon810: Aucun effet négatif avec une ou deux dose de bt176 ou deune dose de Mon810. Pas de différence avec le comportement , les soin, l’activité avec les colonies témoins. L’émergence de jeunes abeilles n’est pas impactée non plus. Ceci montre que les colonies saines d’abeilles ne sont pas impactées par En AUCUNE MANIERE par la toxine bt dans toutes les fonctions testées (activité de recherche de nourriture, soins au couvains, taille de la colonie…) même si elles sont exposées à des doses extrême de pollen de maïs BT et durant plusieurs semaines.
Surveillance post-expérimentation: Durant la période de floraison les abeilles n’ont collecté que très peu de pollen de maîs (moins de 3% Bt et normal confondus). Le maïs bt n’a pas d’effet négatif sur le nombre d’abeilles ou le développement du couvain dans la colonie. Les deux groupes ne diffèrent pas dans leur développement durant la fin de l’été ni dans leur capacité à survivre en hiver ».
« The maize pollen had no negative effects on the number of bees or the development of the brood in the colonies. The two groups did not differ in their development during late summer or in their ability to survive the winter. »
Il est très clair que les OGM N’ONT PAS D’IMPACT SUR LA MORTALITE DES ABEILLES.
Tyber vous écrivez « dans le supplément “télé Obs” avec citation des travaux du Dr Kaatz qui seraient en faveur de la thèse des OGMs “apicides” ». Soit les journelux du Monde n’ont pas lu l’article du tout, soit ils ne savent pas lire l’anglais….Auquel cas ils devraient retourner sur les bancs de l’école. Vive la désinformation, vive le mensonge.
Bien cordialement.
très philosophique touts vos discussions, cependant cela fait 3 ans que toutes mes abeilles sont mortes, nous avons toujours connus le varroa, les autres animeaux ont leurs parasites… Ha oui les grands scientifiques, sur un vieux transformateur haute tension askarel qui date de 30 ans et qui se trouve toujours dans mon école, il est inscrit « les huiles askarel ne sont pas nocives pour la santé » c’était il y a 30 ans, vous enverrai la photo, sur ce je cherche des abeilles pour le printemps…
@dany
Les abeilles il faut les soigner convenablement
Leur apporter de la nourriture a temps quand c’est la disette
Combattre efficacement les parasites exotiques comme varroa avec des produits vétérinaires sous AMM et non avec des produits inefficaces a dangereux comme certains produits destinés a d’autres usages agricoles ou de désinfection
S’inquiéter de l’apparition de nouvelles épidémies comme la nosémose asiatique qui a sévit les dernières années
Les placer dans des endroits ou elles bénéficient d’une grande variété de pollens et d’un micro climat local adéquat pour hiverner
Hier j’ai visité 100 de mes colonies
Résultat 2 colonies HS le reste en excellent état
Varroa a colonisé nos contrées a partir de 1980 !
Votre assertion sur ce sujet est fausse
« Importé d’Asie par mégarde dans les années 50, il a envahi l’Europe entière. Cet acarien vit en équilibre avec son hôte d’origine, l’abeille Apis cerana qui se trouve surtout dans le sud-est de l’Asie. En 1952, dans l’est de la Russie, on a observé un changement d’hôte : Varroa a quitté Apis cerana pour s’installer chez l’Abeille domestique Apis mellifera. Il a été découvert en France en 1982.
Le commerce et l’échange d’abeilles aidant, les acariens se sont propagés quasiment sur l’ensemble de la planète. Seules la Nouvelle-Zélande et l’Australie, de même que certaines régions d’Afrique centrale sont encore épargnées par la varroase. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Varroa_destructor