Mamère : « Je suis pour ma part reconnu comme un dangereux délinquant »

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ça, on le savait !
Le député vert Noël Mamère le dit haut et fort dans une interview au journal Sud-Ouest (17/04/2009)
Condamné à trois mois de prison avec sursis et 100 000 euros de dommages et intérêts pour un fauchage d’OGM en juillet 2004 en Haute-Garonne, l’élu explique : « Or, on voit que l’Allemagne vient de refuser la mise en culture du Monsanto 810. Si la France a mis en œuvre la clause de sauvegarde sur cette variété, c’est bien parce que des faucheurs volontaires ont désobéi. Les outils démocratiques n’étant pas utilisés pour le débat, il fallait s’expliquer devant la justice. Et c’est parce que les médias se sont fait le relais de cette explication que les politiques se sont emparés de la question ».
Mamère reconnaît les beaux résultats obtenus par l’agit-prop, la complicité des médias et la lâcheté des politiques.

8 commentaires sur “Mamère : « Je suis pour ma part reconnu comme un dangereux délinquant »

  1. Une grosse partie de cette situation provient de l’insuffisance des indices économique et du système économique à évaluer la valeur et le risque au delà de la logique comptable. Ensuite, de l’insuffisance du système politique à jouer son rôle, c’est à dire celui du débat publique et de la prise de décisions législatives et excécutives. Je ne parle pas spécifiquement des OGM, mais de l’action directe illégal, en général, en tant qu’outil politique.

    Je m’explique: comment le système de marché peut-il donner de la valeur à quelque chose de gratuit? Comme l’air pur par exemple? Aucunement. L’air pur prendra de la valeur lorsqu’il y aura rareté, et on ouvrira alors des marchés pour la vente d’air pur en boîte. Le marché ne permet pas d’évaluer la valeur de beaucoup de choses, ainsi en est-il des espaces verts et des services économiques des écosystèmes, et favorise en outre la préférence temporelle (l’envie tout de suite et maintenant) chez le consommateur au détriment parfois de ses aspirations en tant que citoyen.

    C’est là que devrait jouer le rôle du politique: celui de débattre et de trancher au sujet des aspirations citoyennes des sociétés. L’économie est sensée être un moteur, et la politique un conducteur. Or, il n’en va pas ainsi, et la politique, insuffisante elle aussi à évaluer réellement les aspirations de la société, dans des débats éclairés et disposant d’informations juste, tout cela étant parasité par la puissance des pouvoirs économiques. L’économie, laissé à elle même, est d’habitude beaucoup plus forte que la réflexion et le débat public que mériterait une vraie démocratie.

    S’ensuit alors une frustration face à tous ces constats, un besoin de créer un contre-pouvoir face à la main-mise de l’économique sur le politique, du consommateur et du travailleur en soi sur le citoyen en soi (qui se retrouve souvent à consommer ou à s’employer dans des choses qui ne ressemblent pas à ses aspirations), et une stratégie d’investir les sphères médiatiques et juridiques pour pallier à ce manque (ou du moins, ce qui est perçu tel quel). C’est malheureusement par cette seule porte que beaucoup trouvent accès à la sphère politique, et que beaucoup de sujets (que plusieurs considèrent pourtant d’intérêt public) arrivent enfin à la naître politiquement.

    Je reviens aux OGM, puisque l’exemple me servira. Quelqu’un ici considérait que les manipulations du patrimoine génétique des aliments de l’humanité n’étaient pas d’intérêt public, mais n’étaient qu’une affaire commerciale et industrielle, concernant les producteurs et les firmes impliquées directement. C’est un point de vue qui a le mérite au moins d’être clair, et soutenable d’une certaine manière. Par contre, plusieurs peuvent penser que le génome des être vivants qui nous nourrissent, et son éventuelle propriété, concerne le public, en tant que révolution assez notable dans l’histoire même de la vie, et eu égards aux conséquences réelles, probables, ou imaginées que cela comporte.

    Si les chercheurs et les décideurs avaient rendu public leurs travaux et leurs objectifs, dès le début, au lieu d’imposer les OGM sur les tablettes presqu’en catimini du public, la méfiance aurait été moins grande. Si le débat avait été ouvert par les promoteurs des OGM, s’ils avaient demandé aux assemblées législatives de se prononcer, informé la population et joué carte-blanche, ils auraient eu un avantage certain, puisqu’ils auraient définis les règles et placé leurs pièces sur l’échiquier. Or, ils ont préféré boycotter le débat public et emprunter les couloirs des organismes environnementaux comme la FDA américaine, loins des regards publics et ils se sont fait damner le pion par les écologistes.

  2. Pour finir, ceux-ci ont trouvé les portes fermées dans la sphère politique, et les organismes de certification et de normalisation. Ils ont donc « forcé » ces portes à l’aide de coups d’éclats illégaux mais, aux yeux de plusieurs de leurs concitoyens, légitimes.

  3. « du système économique à évaluer la valeur et le risque au delà de la logique comptable ». Mais hélas Mr. le risque est justement une valeur comptable. On ne peut aller au delà. Vous confondez comme beaucoup de gens (à cause d’amalgames et de raccoucis entretenus par les ONG et les médias) RISQUES et DANGERS.
    Un risque est un évènement connu, ayant une probabilité de se réaliseret entraiant des destructions sur des biens ou des personnes.
    Un danger est un évènement inconnu.
    Vous pouvez parler des dangers de la route, dans une acceptation globale; mais vous parlerez des risques d’accidents.
    Notre société contrairement à vos dires, c’est parfaitement bien faire la différence entre risques et dangers. Et c’est sur cela que les politiques prennent des décisions. Sur un point de vue logique, sur des faits étayés. Pas sur des peurs irraisonnées et idéologiques.

    « mais de l’action directe illégal, en général, en tant qu’outil politique. » Merci mais sans façon. Nous avons déjà eu les brigades rouges, la bande à Bader, action directe… Tous ces gens sont sortis d’un système démocratique pour imposer par la violence leur idéologie. Voilà ou mêne l’action directe…

    « Le marché ne permet pas d’évaluer la valeur de beaucoup de choses, ainsi en est-il des espaces verts et des services économiques des écosystèmes » Celle là il fallait la faire Bravo!!!! Le marché ne peut pas évaluer la VALEUR ECONOMIQUE des écosystèmes. Si les écosystèmes ont une valeur économique (ce dont je doute largement puisqu’ils existaient avant l’économie…) c’est bien parce que des économistes (comme sir Stern) leurs ont donnés un rôle dans notre économie et notre société.
    Certains parlent même de Valeur patrimoniale et sociétale. Ce qui démontre à quel point ils sont ignorants de ce qu’un est écosystème; puisqu’ils le réduisent à un simple « objet » culturel. Au même titre qu’une statue ou un pont, ou une cathédrale… L’écosystéme devient un bien de consommation culturel, un lieu de villégiature et de détente pour les écolo-bobos des grandes villes.
    C’est pour cela et à cause de cela que la nature est devenue monnaie et bien de consommation. Pour assouvir les « besoins » d’espaces verts d’urbains en mal de « ressourçage ».

    « dans des débats éclairés et disposant d’informations juste, » Vous parlez de débats éclairés, d’informations justes… MAIS OU SONT-ILS??? Dans la presse, les médias en général, nous n’entendons que les ONG, les Mamère, les Robins des toits, les Belpommes, le Giec… Ou sont les opposants à ces théories (car se ne sont que des théories, et donc infondées), où sont les chercheurs qui dénoncent ces amalgames, ces faux travaux… Où est le débat constructif, où sont les informations justes.
    Pour qu’il y est débat il faut que les détracteurs puissent avoir la parole. hors ce n’est pas le cas.
    SuR les OGM les citoyens sont contre. Demandez leurs pourquoi? Parce que greenpeace dis que c’est mal, parce que Monsanto fait du fric sur nontre vie…. Voila les réponses. Avez vous entendu des gens, des chercheurs dires que les OGM peuvent apportez des avancées pour l’homme? connaissez vous des pays qui fabriquent leutr propre OGM (sans monsanto ou consort)… Pas de réponses. Car les citoyens ne savent pas, parce qu’ils ne sont pas informés de manière objective et juste. PARCE QU’IL N’ Y A PAS DE DEBAT. TOUT EST POUR LES ANTI…

  4. Comment un opposant aux OGM aujourd’hui pourra expliquer sa position dans 10 ans, voire moins lorsqu’il s’avèrera que cette opposition aura conduit à permettre un quasi monopole aux semenciers américains et à fragiliser voire exclure la recherche et les entreprises européennes hors implantation à l’extérieur l’Europe?

    Le scénario tel que décrit par agriculture environnement il y a 4 ans, ne peut plus être considéré comme une vue de l’esprit dès lors qu’il s’avère que nous allons manquer de terre pour produire dans un avenir très proche, la mini crise alimentaire de 2007- 2008 n’était qu’ un coup de semonce
    http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article297

    Comment expliquera t-il les dizaines de milliers d’emploi perdus dont certains faute d’avoir été créés, emplois de chercheurs, ingénieurs, techniciens mais aussi dans la transformation des produits issus des biotechnologies.

    Rien ne prouve que l’opposition aux OGM en Europe soit aussi spontanée qu’elle est décrite et la quintessence de l’intelligence économique ne serait –elle pas de favoriser dans la zone économique concurrente, le mauvais choix technique ? Si c’est le cas, carton plein pour l’USDA !

    Lorsque l’augmentation de productivité agricole par unité de surface, grâce notamment aux biotechnologies et aux plantes transgéniques, dans un contexte de très fortes tensions pour l’alimentation et la biomasse sera une réalité patente et le seul moyen de préserver de larges espaces sauvages, lorsque des nouveaux carburants issus de la biomasse permettront de continuer à améliorer l’air de nos villes, alors le raisonnement à courte vue, tel que développé dans les post qui précédent apparaîtront comme un aveuglement dans le meilleur des cas , voire une supercherie dans l’autre. Les deux étant tout aussi coupables.

  5. Pour en revenir sur les OGM.

    Sachez que vous prenez le problème à l’envers.
    Ainsi dans les années 80 et 90 la France était un leader mondial dans cette recherche, tant au sein du CNRS, de l’INRA ou de l’ORSTOM (IRD). C’était une recherche publique:
    – Création de l’hormone de croissance par génie géntétique.
    – Insuline.
    – Technique de croissance végétal (tabac, blé…).
    – Thérapie génique, culture d’interp
    – Décryptage du génome.
    – Culture de souches virales.
    – Interférons.
    – Premières PGM.
    Mais des gens se sont opposés à cette technique, qualifié du « diable ». Ce qui fait que la recherche française a été abandonnée par les décideurs politiques sous pression des citoyens totalement désinformés par les médias et les écolo.

    Ainsi la France qui était en tête est aujourd’hui totalement dépassée. Et elle doit et devra désormais acheter ses semences OGM (car nous serons obligés par l’agriculture mondiale, sauf à devenir un pays sous-développé) et aussi une part des médicaments du futurs (qui se feront grâce au génie génétique.

    La réalité est ici. et pas l’inverse comme vous semblez le croire.

    Le problème c’est qua jamais les chercheurs n’ont dissimulés quoique se soit. Je me souvient bien de reportages dans les années 80 montrant les mérites de la recherche françaises sur les transfert de gènes dans des bactéries ou des plants de tabac ; avec cette ritournelle  » ces produits amélioreront la vie des citoyens dans 10 ou 20 ans ». Nouveaux médicaments, nouvelles saveurs, nouvelles plantes pour l’agriculture. Plus de rendement moins de nitrate (et oui à l’époque ont parlaient déjà des nitrates)…
    Que sont devenues ces promesses… Elles sont ombées dans les mains de sociétés privées en plus étrangères au lieu de rester dans le giron de l’état.

    Bravo les écolo.

  6. Daniel: merci de votre sollicitude mais non, je ne confond pas risque et danger. Je parle des risques connus, par exemple, scientifiquement, mais ignorés par les mécanismes économiques et qui doivent être refilés au politique ou au judiciaire.

    « Celle là il fallait la faire Bravo!!!! Le marché ne peut pas évaluer la VALEUR ECONOMIQUE des écosystèmes. Si les écosystèmes ont une valeur économique (ce dont je doute largement puisqu’ils existaient avant l’économie…) c’est bien parce que des économistes (comme sir Stern) leurs ont donnés un rôle dans notre économie et notre société. »
    Excusez-moi, mais nous n’avons vraiment pas la même notion de ce qu’est l’économie. L’économie existait avant la monaie, et encore aujourd’hui elle n’est pas QUE monétaire. Je parle aussi de l’économie en tant que science. Eh bien les économistes qui cherchent à inclure dans leur modèles les externalités (positives ou négatives) ne « donnent pas de rôle » à ces externalités. Elles existent déjà, même si elles étaient ignorées. Ces économistes affutent leurs indices, leurs instruments d’évaluation, pour que le modèle soit plus fidèle à la réalité.

    Ainsi, il ne s’agit pas de réduire quoique ce soit, encore moins les écosystèmes, à des patrimoines, mais de leur donner une place dans le modèle politico-économique, qui sinon, les ignore totalement. La nature est devenue monnaie et bien de consommation, et aussi cause politique, parce qu’à défaut de tout cela, elle était systématiquement ignorée et négligée dans les prises de décisions.

    « car se ne sont que des théories, et donc infondées), » Okéé. Je crois qu’on a pas la même définition des théorie non plus. La gravitation universelle, et l’évolution, puisque théories, sont infondées aussi j’imagine?

    En ce qui concerne le débat, on se rejoint: nous deux déplorons le manque de débat éclairé à ce sujet.

    Alzine: Les brevets américains ne sont pas reconnus partout. Aujourd’hui ils sont les plus fort (et encore) mais demain, on ne sait pas. Ils pourrons êtres renversés par une Cour. Votre vision (les bio-carburants agricoles qui volent les céréales de la bouche des gens, etc…) abdiquent complètement le pouvoir de l’humain, de la société, à s’autodéterminer définir son avenir, et donne tous les pouvoirs à l’économie et au marché. Mais pensez donc que personne ne souhaite réellement affamer les autres pour remplir sa voiture. Personne ne veut ça. Pourquoi donc les forcerait-on? à l’aide de bas prix? Il y a déjà des mesures sur l’évaluation de la provenance des biocarburants (1ere 2eme génération, etc), et je ne crois pas que les aberrations du 20ième siècle se reproduiront un autre 100 ans.
    Les vieilles formules ne marcheront pas nécessairement à l’avenir.

    Vous avez l’air de craindre énormément pour l’augmentation du rendement par unité de surface, mais moi je crois qu’il y a déjà surproduction. Cette course au rendement est en fait une course au prix, au dumping, et elle favorise le gaspillage beaucoup plus que l’efficience. En outre, c’est une course sans fin alors à quoi bon aller dans cette direction et puisqu’aucune satisfaction n’est au bout? Si au moins les surplus étaient distribués à ceux qui ont faim.

    Daniel: C’est possible. Je n’ai pas eu vent des reportages dont vous parlez. J’ai plutôt l’impression inverse, soit qu’il y a eu des manques de transparence, mais bon. Cela doit être une affaire de perceptions.

  7. Le pouvoir d’une société parait être en grande partie une illusion dès lors que les médias peuvent être instrumentalisés par des pans de l’industrie ou de la finance qui peuvent faire valoir une « vérité » ou son contraire et formater les consciences.

    Nous sommes des spectateurs d’une confrontation de lobbies aux intérêts parfois parallèles, souvent divergeants généralement opposés.

    L’arme publicitaire est redoutable pour la liberté de la presse, obligée de rendre des comptes à ceux qui financent des pages de pub au tarif fort, comment déplaire aux commanditaires dans les articles qui suivront.

    Les soi disant révoltes verte et prises de conscience écologique d’aujourd’hui sont instrumentalisées, récupérées, retournées par des milieux industriels soucieux de conserver leur rente de situation dans le malstrom résultant des changements actuels en matière de ressource énergétique, décentralisation annoncée voire atomisation de la ressource.

    Les OGM auraient été inclus dans les plans des tenants du pouvoir industriel et financier en Europe, il parait peu probable que l’opposition qui s’est manifestée aurait eu une quelconque chance de se faire entendre. Le nucléaire qui rentre dans ces plans a connu un sort très différent malgré les incertitudes sérieuses qui subsistent.

    Il en est de même pour le concept de biodiversité ou de services rendus par les écosystèmes, sortis d’un chapeau (melon et haut de forme porté par quelques financiers de la city) au début des années 90 au moment où la protection de l’environnement était déjà devenue une réalité dans tous les pays développés.

    La culpabilisation des individus dans les années 90 avait d’autant moins de sens que contrairement aux générations précédentes, dont les bling bling des années 80, qui s’étaient largement servies dans les ressources offertes par la nature , la prise de conscience était en grande partie faite dans les pays d’Europe du nord, qu’il suffisait de fait d’imiter en France: transport en commun, tri sélectif, recyclage individuel, achat locaux, circuits courts. Mais ce modèle qui confiait la responsabilité de l’action à l’individu et favorisant l’atomisation de l’acte excluait les grands acteurs de l’industrie et des services.

    Le circuit court version française focalisé sur des produits bio souvent produits par des néo ruraux moyen de marginaliser le système via un coût en limitant l’accès sans vrai bénéfice pour le consommateur, le compostage individuel, point focal de la gestion des déchets dans les pays du nord restait confidentiel en France, l. En revanche les labels verts permettaient de légitimer une forme de consommation sans restriction,

  8. Bref pour finir un post qui à échappé, la liberté des peuples apparait comme un leurre face à la toute puissance de cercles financiers qui restent actifs et continuent à aider, promouvoir, ou tolérer des politiques de premiers plans.

    Quelle liberté peut exister pour un peuple qui n’identifie plus les enjeux dans une monde d’une grande complexité, faute de dîsposer des outils et grilles de lecture permettant tenter de le comprendre?

    Le discours et le fait écologique procède non pas d’une prise de conscience politique de la masse des citoyens mais d’un produit médiatique à finalité économique et marchande, comme les concepts touchant à la biodiversité ou au services soi disant non marchands des écosystèmes.

    Ils sont gratuits et partagés mais d’aucuns voulant se les approprier commencerait par leur mettre une valeur, fragiliserait financièrement les pays qui les abritent, la dernière étape consistant à éponger la dette du pays moyennant la confiscation de ces services, c’est le cas du patrimoine naturel du Costa Rica et de ses parcs naturels devenus propriétés de groupes américain et dédiés au tourisme vert.

    De fait le pays ou le lobby qui détient le pouvoir financier peut contrôler des pans entiers des écosystèmes à son profit.

    La fiction du dernier bond « quantum of solace » pourrait ne pas être dénuée d’arrière pensées dans ce sens, d’où la critique de la presse spécialisée sur ce film qui renvoie au postulat concernant la presse du post précédent.

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