Après avoir organisé les Assises chrétiennes du jeûne, le Père Jean-Luc Souveton, prêtre du diocèse de Saint Etienne, organise du 11 au 13 novembre prochain les Assises chrétiennes de l’écologie. Jean-Marie Pelt, Marie-Monique Robin, Pierre Rabhi, Hervé Kempf ou bien encore le faucheur Jean-Luc Jouthier seront de la partie. Est-ce à dire que les écolos infiltrent l’Eglise ? A regarder le programme, on peut penser que la nouvelle religion qu’est l’écologie avance à grand pas. Voici quelques titre d’ateliers évocateurs : « Trinité et biodiversité », « Vers une écospiritualité », « Que mettre dans notre assiette ? » ou encore « Désobéissance civile, engagement écologique et foi chrétienne » !
C’est sans doute l’occasion de (re)lire notre dossier « Ecologie et religion » complété par une vidéo du Père Joseph-Marie Verlinde.
Tapez « Père Jean-Luc Souveton » dans Google. Vous verrez qui est cet individu.
« Est-ce à dire que les écolos infiltrent l’Eglise ? »
== Je ne sais pas s’ils ont déja infiltré l’Eglise, mais en tout cas le curé en question leur tend une belle perche et leur ouvre la porte tout grand. En plus, il ne s’adresse pas à des escrologues au petit pied! Rien que des militants enragés.
L’Eglise est-elle infiltrée par les écolos?
Le livre de Stanislas de Larminat « les contrevérités de l’écologisme » montre qu’il n’y a pas de complot, donc probablement pas d’infiltration au sens de la prémiditation. En revanche, il montre que plus des acteurs sont nombreux à avoir un intérêt à s’appuyer sur ces contrevérités, même quand leurs intérêts sont contradictoires, plus ces contrevérités se propagent. Il y a là une véritable culture de mort qui se développe ainsi: les droits de la nature seraient-ils premiers par rapport aux droits de l’homme? Il y a trop de contrevérités dans l’écologisme pour que ces systèmes de pensées soient libérateurs! Seule la Vérité rend libre!
Attention à ce que l’Eglise de France n’oublie ce que Jean-Paul II disait le 1er janvier 1990: « L’éducation à la responsabilité écologique … ne peut s’appuyer sur le refus du monde moderne ou le désir vague d’un retour au « paradis perdu ». »
Allez plutôt voir ici: http://anarchrisme.blog.free.fr/index.php?post/2014/06/19/L-%C3%A9cologie-chr%C3%A9tienne-n-est-vraiment-pas-ce-que-vous-croyez-!
Une synthèse sur le dernier livre de Stanislas de Larminat, « Ce livre se présente sous l’apparence d’une riposte à un soi-disant danger mortel : l’écologisme, hérésie censée menacer le catholicisme dans son existence même.
Mais on découvre, à la lecture, que cette enquête ne repose sur aucun fait. Elle fabrique elle-même, à travers un fatras de digressions pseudo-érudites et d’arguments biscornus, l’objet (épouvantail) qu’elle veut dénoncer. »
» les assises du jêune » J’espère qu’ils font des baptêmes par immersion après, ceux qui échapperont à la noyade se rendront compte qu’un humain qui a faim ne pense pas et ne peut méditer ou prier.
Cette manifestation est logique compte tenu des points de convergence entre la morale chrétienne (le péché, la faute, la culpabilisation) et la morale écogiste. Il faut quand même rappeler que la chrétienté n’est pas fondé sur l’ancien testament, mais sur les Evangiles, qui sont un modèle de promotion de l’ascétisme et de l’auto-culpabilisation.
Tous les catholiques ne se sont pas encore convertis au paganisme écologique ! A cette intention, et pour y voir plus clair, je vous recommande la lecture du dernier livre de Stanislas de Larminat : »Les contrevérités de l’écologisme » Ce n’est pas un livre d’une lecture facile certes, mais il vous permettra d’en apprendre beaucoup sur ce sujet ………..
Merci de cette référence.
Les Evangiles ne sont pas un modèle de promotion de l’ascétisme et de l’autoculpabilisation. C’est un modèle de charité.
Il n’y a pas plus opposés, théologiquement et moralement parlant, que l’animisme, où l’écologisme trouve ses racines, et les Evangiles.
Les païens ont largement déboisés l’Europe… les chrétiens n’ont fait que couper quelques vieux chênes.
Pas d’ascétisme dans la Evangile? on y parle de vertu de la pauvreté.
Pas de culpabilisation? c’est quoi le sacrifice de soi?
C’est pas faux que le christianisme comme l’écologisme ont des points communs comme le catastrophisme, la culpabilisation, le mépris de la prospérité et la dénonciation de l’abondance.
Mais la grosse différence avec la religion écologique, c’est qu’un catho prêche l’amour de son prochain et glorifie l’Humanité alors qu’un écolo prêche la haine de l’Homme. La religion chrétienne est une secte qui a réussi alors que la religion écologique finit par foirer systématiquement (et même tragiquement dans le cas des Khmers Rouges).
Mon cher Minitax,
Vous avez écrit :
« Mais la grosse différence avec la religion écologique, c’est qu’un catho prêche l’amour de son prochain et glorifie l’Humanité alors qu’un écolo prêche la haine de l’Homme. »
J’approuve à 100 %.
Bien à vous.
NB1 Je crois que les Khmers rouges étaient plus rouges que verts mais cette différence d’appréciation entre nous n’est vraiment pas importante.
NB2 Je ne crois pas que le christianisme appelle au catastrophisme, au mépris de la prospérité et à la dénonciation de l’abondance. L’interprétation pratico-pratique de la morale évangélique par l’Église catholique, pour sa part, est qu’il y a un appel à la pauvreté, à la chasteté et à l’oblation pour ceux qui sont appelés à la sainteté et que pour le commun des mortels la charité et l’amour de son prochain suffisent à faire un bon chrétien. L’Église a condamné comme hérétiques les interprétations qui considéraient le monde matériel et le corps comme œuvres du diable. C’est la sanctification du monde matériel par l’Église qui est la source intellectuelle de sa condamnation du dualisme et de tous les gnosticismes.
NB3 Merci de votre intervention, qui m’a incité à donner ces explications de ce que je pense, car je crois que les œillères de Karg le rendent incapable d’essayer de comprendre ce que je tente de dire.
En attendant, ceux qui on défriché la France, ce sont les Cisterciens et les Templiers. Des païens, comme chacun sait !
Suite aux commentaires consécutifs à mon premier « post », je précise que le livre de Stanislas de Larminat montre, entre autres, comment l’écologisme « pur et dur » qu’on veut nous imposer n’est rien d’autre qu’un retour au paganisme d’avant les religions monothéistes !
Je viens de le commencer. Il est vraiment très bon.
Tiens!? Il n’ont pas pensé à faire un atelier « croissez et multipliez »? Dommage.
Si ! Si ! Moi, oui !
« Fructifiez et multipliez vous, remplissez la terre et soumettez-là; dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout être vivant qui rampe sur la terre ». C’est Dieu qui parle dans le premier livre de la Génèse. Les cathos écolos, et j’en connais, sont un peu embêtés avec le « soumettez-là ».
Les cathos-écolos ne le resteront pas très longtemps. Ou il redeviendront cathos et abandonneront l’écologisme ou il se convertiront à la nouvelle religion écologiste et abandonneront le catholicisme.
Sinon, ils vivront avec l’angoisse permanente d’une contradiction théologique insurmontable ! Bien fait pour eux !
Je partage l’analyse de Laurent Berthod, il y a une incompatibilité originelle entre le christianisme et l’écologisme profond qui repose sur un fond païen pur jus.
Le sort des Hommes est premier dans la religion chrétienne et la prise en compte de la nature se fait dans ce que le développement humain ne peut pas être harmonieux sans la protection du cadre naturel dans lequel il doit se faire.
Le paradoxe est que les écologistes nous ont abreuvé de théories sur la responsabilité de la foi chrétienne dans le déni de la nature et aujourd’hui, pas forcément les mêmes mais pas loin, tentent d’infiltrer plus avant les églises pour développer leur théories et changer les fondamentaux.
Le phénomène est de fait ancien, il suffit de voir la conversion de journaux comme La Vie ou l’évolution du mouvement des scouts et guides de France depuis une quinzaine d’années, évolutions qui sont le fait de l’entrisme de quelques uns et d’une recherche par quelques cadres de rester dans le coup sans se poser trop de question et d’attirer les jeunes en surfant sur la vague verte et sans analyse plus profonde des conséquences négatives de postures qui d’ici quelques années friseront le ridicule.
Mais cette évolution n’est pas qu’une introduction de plus de conscience écologique , qui aurait pu être rationnelle et utile, qui existait dès l’origine notamment chez les scouts , cette évolution peut aussi être vue comme une tentative de déchristianisation de ces mouvements, avec certainement la recherche d’ une prise de distance par rapport à la structure de l’église et des instance de réflexion comme l’académie pontificale qui a rendu des avis sans équivoque sur les OGM végétaux par exemple, le dossier des manipulations génétiques chez l’humain soulevant davantage de questions.
Ceux qui manipulent au plus haut niveau ont bien cet objectif: les mouvements d’église restent des structures organisées avec un temps de bénévolat considérable, du fait des parents très impliqués et des retraités tout autant; des lieux où l’on réfléchit de façon désintéressé sur le sens à donner à la société et à sa vie. La fausse écologie consiste à orienter ces mouvements vers des actions inadmissibles comme le fauchage des OGM, évolutions qui finirait par affaiblir des mouvements d’église qui soutiendraient même de façon implicite.
Les 68 ards et leurs enfants sont orphelins des pays communistes et notamment de modèles comme cuba qui ont bercé leur jeunesse et les ont fait rêver, ceux qui n’avaient pas totalement rompu avec l’église et même parmi ceux-ci, trouvent dans le christianisme un refuge, au moins idéologique dans la dimension de la dénonciation du profit à tout prix notamment, après l’effondrement du bloc de l’Est, enfin il s’agit bien d’interprétation ou la manipulation des idées issues du christianisme et mises à la sauce verte.
MMR chez les scouts et guide de France déculpabilisant les jeunes vis-à-vis du tabac à conditions qu’ils se lancent dans la lutte contre les OGM et les pesticides à Jambville en avril dernier traduit parfaitement l’imposture de cette évolution.
Qu’est ce que ces jeunes iront porter comme message aux populations africaines qui meurent de faim, qu’ils doivent ignorer les technologies agricoles occidentales et revenir à l’époque des chasseurs –cueilleurs ? ou ne penser qu’agriculture biologique et refuser le DDT pour protéger leurs habitations ou les pyrethrinoides pour imprégner les moustiquaires? Agriculture biologique comme le proposait d’ailleurs un colloque hébergé par la FAO sur l’agriculture bio en avril 2007 et qui procédait de logiques assez similaires et dont les conclusion hantent encore ces cercles.
On peut résumer tout cela sous le vocable d’« histoires de bobos » mais ici de « bobos cathos ».
Pour mieux comprendre l’évolution d’une fraction des cathos vers les écolos pur jus, on peut lire d’Olivier Landron, le « catholicisme vert » aux éditions Cerf, assez bobo-catho dans l’argumentaire développé mais instructif de cette mouvance.
Les véritables racines de l’écologisme moderne sont dans le romantisme allemand et ses forêts germaniques hantées de trolls ! Essayer de faire passer le romantisme allemand pour chrétien, c’est ce ficher (pour retser poli) du monde.
J’ai appris la politesse dans ma jeunesse et je n’ai pas envie de répondre à quelqu’un qui me tutoie sans lme connaître.
1° Vous m’imputez des pensées que je n’ai pas. C’est typique de gens qui lisent ce qu’ils ont envie de liore plutôt que ce qui est écrit. Où ai-je écrit que j’étais croyant ( croyant chrétien, puisque c’est ce que vous affirmez).
2° Ce n’est pas parce que des gens croient à deux choses contradictoires que ces deux croyances ne sont pas contradictoires. Exemple : les verts ce croient de gauche, alors que je ne connais guère olus réactionnaires.
@ Laurent Berthod
J’ai appris la politesse dans ma jeunesse et je n’ai pas envie de répondre à quelqu’un qui me tutoie sans lme connaître.
= Même chose ici! Les beaufs inconnus qui se croient obligés de me tutoyer sans raison m’agacent prodigieusement et ne m’inspirent qu’un profond mépris.
Merci à André,
J’ai commandé hier le livre de Stanislas de Larminat qu’il a recommandé.
C’est un livre bien argumenté, avec moult citations qui peuvent servir et re-servir. Cela dit, je n’adhère pas complètement à ses thèses, qui me semblent à mon gout trop tirées vers une pratique du catholiscisme un peu trop intégriste.
Connaisant bien l’ouvrage de Stanislas de Larminat, j’aimerais savoir concrètement ce qui y relève d’une « pratique du catholiscisme un peu trop intégriste ».
@ propos des arguments de Nobody:
« Rousseau, qui a fustigé les arts et les sciences comme responsable du malheur des hommes et de la chute des civilisations, qu’on peut aussi considéré comme un des premiers théoriciens de l’écologisme, était aussi un catho »
Rousseau est opportuniste et relaps plutôt, plusieurs conversions successives par opportunisme et une vie en marge des églises. Rousseau était vraisemblablement déiste dans la logique du rationalisme de son époque , comme la majorité des philosophes de son époque et opposé à l’église en tant qu’institution, donc pas vraiment catholique, pas du tout même.
Ce n’est qu’un point parmi d’autres des imprécisions de la démonstration, sachant que la conversion officielle de quelques mouvements chrétiens à l’écologie est un phénomène récent surtout sensible après la conférence de Rio, lorsque l’écologie est adoptée par les milieux financiers, comme moyen.
La question est : moyen pour parvenir à quelle fin ? à la faim absolue peut-être, qui est une fin par excellence , génératrice de profits considérables .
Anticipation sur les limites de la consommation de services et du recentrage sur les fondamentaux :
Alimentation , santé, énergie, logement ? Thématiques sur lesquelles les mouvement chrétiens étaient historiquement très présents depuis les origines.
Si Nobody en est à mettre dans le même sac paganisme et animisme, on peut jeter à la poubelle tout ce qu’il raconte sur les religions, car c’est le signe qui ne trompe pas de son inculture majeure sur la question.
Les superstitions il y en a chez les adeptes de toutes le religions. Cela ne fait pas de deux religions distinctes la même religion.
Tout chez Nobody est à l’avenant, méconnaissance, inculture, amalgames, raisonnements foireux…
Vous ignorez toujours les fondements mentaux communs entre la chrétienté et l’écogismes: la thématique de la faute, la nécessité de vivre pauvrement, l’acceptation de la douleur et de la maladie. Ce sont les mêmes forces du ressentiment et de la faiblesse de l’esprit qui s’exprime dans ces deux religions.
En appeler à l’Ancien Testament est stupide, c’est justement le renoncement à certains points de ce Livre qui a provoqué la mort (philosophique) du dieu des prêtres sémites. La source de la chrétientés c’est les névroses de Saint Pierre, pas les délires des sémites, éternels esclaves qui s’inventent un dieu unique qui les auraient choisis.
La chrétienté et surtout la catholicisme européen se construit autour des valeurs essentielles que sont la culpabilité et l’antimatérialisme.
L’antiscience est chrétien, ne soyez pas aveugle, les conseillers chrétiens de notre président interdise les recherches sur l’embryon et saccagent les travaux sur la thérapie génique. C’est l’Europe catholique et luthérien qui a refusés les OGM, pas l’Amérique déiste. Pourquoi ont ils refusés? parce qu’ils ont hontes d’être riches.
La culpabilisation, l’utilisation de la pression sociale, c’est des méthodes chrétiennes, les religions du Livre imposent une seule vérité, la pression sociale est l’autre facette des croisades ou du djihad. Les écogistes utilisent les mêmes méthodes, les engrammes mentaux sont déjà en place dans la population, la populace attend le prochain maitre à qui sacrifier ses maigres biens.
@ Karg,
Plus fondamentaliste en termes de religion que les USA on trouve difficilement, les présidents prêtent serment sur la bible et c’est un des rares pays où la théorie de l’évolution est encore contestée de façon officielle.
Mélange de fondamentalisme et d’utilitarisme assez surprenant dans ce pays.
Pour les OGM végétaux, l’académie pontificale et le Vatican sont très clairs, c’est oui, oui renouvelé à différentes occasions et avec des arguments solides sans équivoques, les experts consultés sont parmi les meilleurs au plan mondial.
Comme pour la science et sa déclinaison en technologies soutenues par la plupart des églises chrétiennes et plus encore la religion juive, étant donné le nombre de chercheurs de renom, particulièrement féconds sur le plan scientifique et technologique, issus de cette communauté, d’où sont issues de fait les églises chrétiennes, à l’origine « secte » ou « courant » issu du judaïsme qui a particulièrement réussi en terme numérique.
La filiation reconnue du nouveau testament issu de la tradition juive et la figure de Jésus christ comme une composante cette communauté marque l’entrée de l’église de Rome dans la modernité, entrée qui s’est imposée progressivement au cours de la seconde moitiié du XXème siécle mais ne fait plus débat.
Qu’il y ait des tentatives pour instrumentaliser les religions pour s’attaquer à la science et aux technologies est une évidence mais il suffit de lire les positons des instances officielles de ces dernières pour être fixé sur les orientations.
Ne pas oublier aussi que Pasteur était profondément croyant, comme de nombreux découvreurs majeurs du XIX ème et XXème siècle ( je préfère le terme découvreur, ce sont des chercheurs qui ont réussi), ce qui est particulièrement vrai à la fin du XXème siècle l’était à la fin du XIXème avec certes quelques freins sur des avancées scientifiques qui remettaient en question un certains nombre de dogmes mais pas plus que la remise en question des préceptes d’Aristote par la médecine moderne.
La séparation de la science qui serait bonne si elle remet en question le progrès et les technologies mauvaises est le fait d’une curieuse perversion des chercheurs ( qui n’ont jamais rien trouvé et ne trouveront jamais rien ) du dernier quart du XXème siècle, issu des idées de mai 68 , des camps dans le Larzac et du retour à la terre, on trouvera des chrétiens parmi eux, mais j’ai plutôt le sentiment que ce mouvement est en réaction avec une France moderne, majoritairement catho mais figée dans ses valeurs: la France construite par le président de Gaulle.
Pour les travaux sur l’embryon, en revanche, l’eugénisme et la possibilité pour quelques uns de rechercher à prolonger leur vie à tout prix fait peur. Il est nécessaire que cette approche se situe dans un contexte bien balisé sur le plan éthique. C’est le fait de se savoir mortel qui donne à l’Homme épris de puissance un soupçon d’Humanité: imaginons les puissants capable de décupler leur espérance de vie , ils en seraient rendus bien plus odieux, d’autant plus sourds et aveugles aux souffrances des peuples.
L’ordre dans lequel apparaissent les commentaires, c’est devenu du n’importe quoi absolu. C’était déjà un peu le bordel, des interventions très anciennes figurant au bas de certains fils, mais là, une chatte n’y retrouve plus ses petits. Avis au webmestre, s’il veut continuer à avoir des clients qui, sauf remise en ordre rapide, risquent de se lasser.
(NDLR : Merci pour votre remarque. Le système des commentaires permet de faciliter les échanges en offrant aux contributeurs la possibilité de poster un nouveau commentaire ou de répondre à un commentaire déjà posté. Dans ce cas de figure, les commentaires liés entre eux s’affichent en bloc pour une meilleure lisibilité.)