Découvrez comment l’émission « Envoyé Spécial » (France 2) cherche à tout prix à faire de l’audimat en piégeant les agriculteurs.
« Christophe Grison est agriculteur dans l’Oise dans la vallée de l’Ourcq. Il est aussi président de FARRE, association pour la promotion d’une Agriculture Raisonnée et Respectueuse de l’Environnement. A ce titre, il est souvent invité sur les plateaux télévisés ou interviewé pour telle ou telle émission. Christophe a eu plusieurs expériences malheureuses avec les médias. « Envoyé Spécial », l’émission phare de France 2 n’a, par exemple, pas diffusé un reportage fait chez lui car les journalistes ont jugé qu’il n’y avait rien de croustillant. Ils ont par contre été filmé le lendemain un agriculteur véreux, à la frontière franco-espagnole et qui utilisait des produits phytos illicites. Et les images de la ferme, des champs de Christophe Grison ont été reprises à son insu dans ce reportage à charge de l’agriculture. Idem pour le 13 heures de TF1. Idem pour France 3 qui a demandé à Christophe Grsion d’intervenir sur le thème « Comment nourrir 9 milliards d’êtres humains en 2050? » et qui a transformé l’émission au final en: « Manger, peut-il nuire à la santé ». Avec une récupération déformée de la journaliste Isabelle Saporta qui a ensuite écrit le livre à charge: « Le livre noir de l’Agriculture ». Regardez plutôt la vidéo. C’est navrant. Et si on dénonçait aussi ces médias « intensifs ». A quand des médias « raisonnés » capables de relater nos pratiques pour une agriculture raisonnée? »
Source : Mediapart
Les médias ont deux objectifs:
Manipuler l’opinion
rechercher le « SCOOP » vendeur qui leur assurera le prix Pulitzer !!!
Ces gens là dans un système libéral auraient déjà disparu des radars. Plus personne ne les écouterais et ils auraient fini par faire faillite.
Mais voila, nous sommes dans un système socialiste. Ils sont protégés par l’état (qui verse des aides à la presse télévisuelle, audio, écrite et internet) et à inventé une niche fiscale juste pour eux (30 % d’abattement quand pour vous c’est 10 %, qui sont devenu 7600 € d’abattement pur au titre des « frais professionnels »). D’ailleurs cette niche avait été supprimée par Juppé en 1995, puis très vite réinstaurer par Jospin en 1997.
Il est clair avec cela que les Médias ne vont jamais cracher dans la soupe médiatico-politique. Etant de manière très large des militant PS « non-encarté » ils vont donc faire le lit pour le PS et ses alliés.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aides_%C3%A0_la_presse_en_France#Les_cotisations_sociales_et_les_imp.C3.B4ts_des_journalistes
« Ces gens là dans un système libéral auraient déjà disparu des radars. Plus personne ne les écouterais et ils auraient fini par faire faillite. » C’est bien évidement totalement faux, le comportement des des médias n’ont rien à voir avec le « socialisme » (ce que vous décrivez est plus une forme de corporatisme, mais passons).
Les médias manipules l’opinion? Et alors? c’est gênant quand c’est des chaines « publique », pour le privée c’est l’inverse qui serait étonnant, des chaines de télé ou des journaux d’opinions ça ne doit déranger personne, tant qu’il y a du choix. La presse écrite, privée, est bien plus partisane que la télé publique.
Les médias cherchent le scoop, c’est normal, ils ont tous envie de vendre du papier et de faire de l’audience. En quoi une « libéralisation » nous protégerais de ça?
Je ne suis pas d’accord avec vous.
Il n’y a aucun corporatisme dans mes propos.
Je dis seulement que les pouvoirs politiques n’ont aucun droit de financer la presse « privée ».
Cela est une démagogie totale. C’est un acte de subornation : en gros » écrivez comme je le demande ou vous serez sur la paille ».
C’est un modèle socialiste car dans un système libre l’état n’aurait pas à financer la presse ou les médias. J’irais même plus loin, dans une vraie démocratie l’état ne devrait pas du tout être propriétaire d’un média (ni presse écrite, radio ou télé).
Le problème c’est que ces mesures ont été mises en place par la Gauche, et donc les journalistes sont littéralement aux ordres de la Gauche. En effet, comment être « indépendant » (terme si chère aux bobo-gauchiste) quand une partie non négligeable des revenus provient de l’état. Et en plus les idées d’aides sont issus des « penseurs » de Gauche.
C’est le problème du socialisme : il faut aider les entreprises en faillite. Il faut aider l’économie, il faut faire de la relance et de la croissance en injectant des milliards dans l’économie.
Mais sans ce demander d’où vient l’argent :
1) Des taxes sur les entreprises –> le montant injecté est inférieur au montant prélevé = faillite du système
2) De l’argent emprunté sur les marchés financiers –> nos intérêts sont tellement élevés que cela est bien supérieur à ce que l’on injecte dans l’économie = faillite du système
Les médias n’ont pas à manipuler l’opinion, le travail c’est d’informer. Je suis d’accord sur la pluralité des offres. Mais comme je le dis c’est dans le système libre, c’est impossible dans un système financer par l’état. Dans le système libre les papiers qui ne trouvent pas leurs publics disparaissent. Dans le système étatique les journaux non rentables restent sur la place et agissent aux ordres de ceux qui les financent !!!
Média-Part ne vie que par les subventions de l’état. Et je doute clairement que cela va aller en ce réduisant dans les prochaines années…
C’est toujours plus facile de vivre avec l’argent des autres que de faire du vrai journalisme long, périlleux, d’investigation…
1- Qui sont les dirigeants actifs de gauche qui financent la presse? M Dassault est sénateur UMP et propriétaire du Figaro !
2- L’état sans télé ni radio? oui et alors? avant Mitterrand toutes les chaines de télé et de radio était d’état, il n’y avait pas de choix.
3- Médiapart vie justement d’abonnement en bon journal libéralisé, sont caractère ordurier et spamophile est nécessaire, à chaque grosse affaire qu’ils sortent, ils gagnent des milliers d’abonné
4- Les journalistes aux ordres de la gauche? J’avais l’impression inverse en 2007, je pense qu’ils ont été profondément déçu par Sarkozy et qu’ils voulaient le voir dégager.
Sans les aides d’Etat tous les journaux de la presse écrite seraient en faillite !
NB Et « Le Monde », propriétaires ? Pigasse, Bergé et le pornocrate, de droite peut-être ?
Médiapart ça n’est pas de la presse écrite…
Et? ils ont le droit d’avoir leurs opinions (le pornocrate m’a fait économiser 23 euro par mois) mais ils n’ont pas d’engagement politique. Le pornocrate n’est pas forcément de gauche au passage…
Ben, quand ce sera en panne, vous allez les regretter vos 23 Euros par mois, vous verrez !
Bof, ça ma gène pas de supporter quelques mois de lancement difficile, les opérateurs de luxe l’ont fait subir à leurs premiers abonnées.
4- Les journalistes aux ordres de la gauche? J’avais l’impression inverse en 2007, je pense qu’ils ont été profondément déçu par Sarkozy et qu’ils voulaient le voir dégager.
=== On ne doit pas lire les mêmes journaux ni regarder/écouter les mêmes chaines de télé et de radio!! D’ailleurs on n’a plus guère le choix aujourd’hui!! C’est à gauche toute depuis 5 ans.
C’est pas faux, vu que je ne regarde pas la télé et que j’écoute la radio très rarement.
@ Karg
« C’est pas faux, vu que je ne regarde pas la télé et que j’écoute la radio très rarement. »
°°°° Cà se ressent assez bien à la lecture de la plupart de vos commentaires.
Tant mieux pour moi, c’est que de la merde.
@ Karg
C’est pas faux, vu que je ne regarde pas la télé et que j’écoute la radio très rarement.
=== Je ne sais pas trop, j’
http://www.observatoiredessubventions.com/tag/presse/
Subventions à la presse
50 % du montant total des subventions à la presse bénéficient à 2 % des titres aidés, soit 9 titres ! Voici le montant des subventions à la presse.
Le Parisien a bénéficié de la plus importante subvention en 2010, avec 16,8 millions d’euros pour Aujourd’hui en France et 3 millions d’euros pour Le Parisien.
Le Monde a reçu 17 millions d’euros de subventions directes en 2010.
Libération a bénéficié de 14 millions d’euros de subvention,
Le Figaro de 13,2 millions d’euros, et Ouest-France de 11,8 millions d’euros.
Le budget 2012 prévoit 272,8 millions d’euros d’aides directes à la presse, soit 31 millions de moins qu’en 2011