Le monde du vin avait pour l’instant été épargné par notre désormais célèbre enquêtrice Isabelle Saporta. Ce n’est désormais plus le cas avec « Vino business » paru ces derniers jours. On sera étonné que la revue référence dans le domaine, la « Revue des vins de France » lui donne la parole avec semble-t-il une certaine naïveté. Tous ne se laissent cependant pas prendre au jeu du discours anxiogène teinté d’un semblant de sérieux. C’est le cas de Sud-Ouest dont on lira la critique acerbe ici : « Ce livre n’aurait pas dû s’intituler « Vino Business » mais « Café du Commerce à Saint-Émilion ». Sur les 25 chapitres se succédant sans logique, l’auteur, Isabelle Saporta, en passe une moitié à dénoncer la manière dont le nouveau classement des vins de Saint-Émilion a été conçu, il y a deux ans. »
Pour ceux qui souhaitent savoir à quoi s’attendre avant de lire cette « enquête », lire avant les critiques de Wackes Seppi sur le « Livre noir de l’agriculture ».
« Le pire des destins que risque l’agriculture – en fait l’humanité –, c’est d’être le jouet d’idéologues, que ceux-ci aient des titres à faire valoir dans les sciences liées à l’agriculture ou non ».
(Wackes Seppi)
Je vous invite à voir le film MondoVino, de 2004… Ou on montre comment Parker, un petit négociant, devient le Pape du Vin… en se basant sur son unique goût pour les vins boisés et tanniques…
Cela est bien pire que les élucubrations de Saporta !!!
J’ai vu ce documentaire , c’est très intéressant .
Ce qui m’a marqué c’est l’abandon de la spécificité de certains vins de Bordeaux pour accéder au marché mondial , on voit des négociants anglais désespérés par la standardisations de vins français prestigieux .
Laurent Berthot est une bouse.
L’usurpateur est passé en mode indérisable. pas exclu qu’il tente de revenir. Nous serons attentifs.
l’auteur, Isabelle Saporta, en passe une moitié à dénoncer la manière dont le nouveau classement des vins de Saint-Émilion a été conçu, il y a deux ans.
=== C’est fou comme le simple et unique fait d’obtenir une carte de presse donne en même temps un savoir encyclopédique sur toutes sortes de sujets et le droit de pérorer à tort et travers (le plus souvent à tort d’ailleurs)(dans le cas de la harpie Saporta, on ne sait d’ailleurs pas comment elle est en est arrivée là car les quelques sites consultés sont pratiquement muets sur son parcours).
Sur les 25 chapitres se succédant sans logique, l’auteur, Isabelle Saporta, en passe une moitié à dénoncer la manière dont le nouveau classement des vins de Saint-Émilion a été conçu, il y a deux ans. »
=== La harpie Saporta, c’est bien connu, est une spécialiste qui fait autorité à l’INAO…… Ses connaissances en œnologie sont incomparablement plus pointues que la plupart de nos spécialistes de réputation internationale! Et savez-vous pourquoi? Eh bien tout simplement parce la harpie est journaleuse et çà c’est une garantie de sérieux dans les domaines. Lesquels? Tous…. C’est pitoyable et les imbéciles malhonnêtes de ses pairs sont à ses pieds et l’invitent à déblatérer et systématiquement dénigrer ceux qui savent. Pauvre France.
Titre de l’article paru dans sud-ouest.fr :
Vino Business : Hubert de Boüard dépose plainte contre Isabelle Saporta
http://www.sudouest.fr/2014/03/12/vino-business-hubert-de-bouard-depose-plainte-contre-isabelle-saporta-1488767-713.php
des pesticides dans le vin?? n importe quoi!
Sud-Ouest.fr – Publié le 30/03/2014 à 15h28 , modifié le 30/03/2014 à 16h30 par Jefferson Desport
« Samedi, Hubert de Boüard a fêté la rénovation du château Angélus. Une soirée au cours de laquelle il a aussi répondu aux attaques de « Vino business », le livre d’Isabelle Saporta »
http://www.sudouest.fr/2014/03/30/saint-emilion-la-replique-d-hubert-de-bouard-a-vino-business-1509016-3101.php