Bernard Accoyer regrette l’inscription du principe de précaution

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Bernard Accoyer dit regretter profondément avoir inscrit le principe de précaution dans la constitution lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale. C’est en substance ses propos lors d’un colloque organisé aujourd’hui par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques. C’est sous la poussée de Jacques Chirac que ce principe est entré dans la Constitution.
Des regrets tardifs. Et que de dégâts depuis…

40 commentaires sur “Bernard Accoyer regrette l’inscription du principe de précaution

  1. C est bien de le reconnaitre mais cela aurait été mieux de réfléchir avant!

    1. Depuis quand les hommes politiques réfléchissent aux conséquences de leurs choix ?
      Pire: depuis quand les hommes politiques réfléchissent ?

  2. Le reconnaître c’est bien mais que fait il pour corriger les conséquences au plus vite ? Quel est son plan ? quelle est la feuille de route ? Quelle est sa stratégie pour gagner ( alliances … ) ? Sinon cela restera qu’une action de comm .Aura t il le leadership et le courage pour aller plus loin?

  3. Bah ! vous décodez rien du tout !
    Aujourd’hui Accoyer (le polytoccard en cause) est en représentation devant un parterre de scientifiques à un colloque d’une institution scientifique. En bon affidé avide de voix, il sait qu’il lui faut faire « un bon mot » ….
    Demain s’il se rend à une merguez-partie de sympathisants EELV, il sera capable de dire tout le contraire ….
    Voila tout !
    Un polytoccard-PRO sait comment adapter son discour (pour eux c’est une action, mais ils ne savent pas trop le définir) à son auditoire ….
    Le renard, le corbeau, les flatteurs …. Tout ça est vieux comme le monde !

    Les coups de pelle dans la nuque aussi, mais ça a quand même tendance à se faire rare de nos jours … Dommage ! Faudrait jamais lâcher les traditions séculaires !

    1. Hélas , il me semble que votre lucidité est cruelle mais au combien proche de la vérité .

      Les travers de la démocratie deviennent plus criant en ces temps instables , Mr de Tocqueville avait flairé juste !

      1. @ Wackes Seppi

        « Bernard Accoyer est médecin »

        >>> Et alors? Est-ce une circonstance atténuante ou aggravante?

        1. Médecin, il n’est pas « polytoccard
           » (avec l’Y de l’X, si je puis m’exprimer ainsi).

          Et, d’une manière générale, il fait plutôt honneur aux fonctions politiques qu’il exerce.

          1. Je suis bien d’accord avec vous, c’est un des moins mauvais, et même, compte tenu des conditions dans lesquelles ce métier s’exerce, on peut dire un des meilleurs, et des plus honnêtes (politiquement parlant, pour le reste j’ignore). Il y en a aussi un ou deux de l’autre côté. En général ils n’arrivent pas au sommet, ils ne le visent même pas.

          2. Tout comme Jérome Cahuzac est chirurgien ?
            Ne pas avoir fait l’ENA ne vous donne pas une médaille de l’honnêteté intellectuelle !
            Par contre avoir à son actif une carrière polytoccard dans les eaux nationales vous décerne celle de la malhonnêteté …

          3. Honnête ! Accoyer ! je ne sais pas et il a le droit à la présomption d’innocence .
            Je me rappelle d’une histoire de fonds publics (cassette parlementaire) qui ont servi à protégé sa résidence d’Annecy contre les éboulements.
            Ce n’était pas la seule maison en danger mais son zèle à débloquer les fonds était suspect .Suspect car la bouche en coeur il a affirmé qu’il ignorait que sa maison était dans la trajectoire des éboulements potentiels. Je vais prendre cela comme une maladresse. , personne n’est parfait.

            Croire que des hommes politiques sont honnêtes c’est être naïfs , leur fonction et la pression des électeurs est telle que parfois il faut prendre des décisions difficile. (nb : tant qu’il n’y a pas d’enrichissement personnel et dilapidation de deniers public..).
            Les électeurs eux-mêmes réélisent des maires , des députés qui ont détournés de l’argent Public , forcément le signal que lance les électeurs aux politiques est clair : tricher , vous serez absous!.
            Nous avons les élus qu’on mérite , si ils sont « pourris » c’est que les électeurs le sont aussi.Combien vont dans les permanences de députés pour aller quémandés un passe droit , une faveur , une subvention…??

        2. Cahuzac? le chirurgien ésthetique , celui qui refaisait une beauté à sa façade honnête.
          Plus doué contre l’évasion mamaire que contre l’évasion fiscale .

  4. Le principe de précaution avait rendu les insecticides davantage suspects dont ceux utilisés contre les moustiques, résultat: l’épidémie de chikungunya à la Réunion en 2005 -2006: quelques 250 000 malades dont certains conserveront des séquelles à vie et au moins 200 morts.

    L’expérience n’a pas suffit car le grenelle de l’environnement a renforcé la suspicion et facilité l’épisode actuel aux Antilles, seulement 60 000 maladies pour les deux iles françaises mais cela progresse vite et devrait rattraper le chiffre de la Réunion.

    On attend la suite en France dans les zones infestées par le moustique tigre. L’idéal serait que l’on ne traite pas avec des insecticides dans notre dos sans le dire pour bien mesurer les conséquences de ce principe dans son application version bobo. Sinon on ne mesurera pas les conséquences de cette brillante idée, inspirée par NKM, parait-il.

    Il est normal que Bernard Accoyer qui n’est pas le pire politique et conserve une part de rationalité, s’exprime dans ces termes. Une fenêtre de tir pour la rationalité en politique est ouverte actuellement.
    Elle serait facilitée par un de ces tours dont bonne mère Nature a le secret: une petite épidémie, un peu invalidante avec quelques centaines de victimes faute d’avoir fait les bons choix « technologiques » à temps, au nom du principe de précaution justement.

    1. Cette maladie ne sevit pas en Métropole donc on s’en fout , le mépris vis à vis des DomTom est toujours aussi présent .

        1. Le préfet du Tarn-et-Garonne se livre à des déprédations illégales sur du maïs OGM et le préfet des Pyrénées-Orientales n’est pas foutu de faire exécuter la loi !

          C’est ça la France.

    2. Alzine a dit :

      Une fenêtre de tir pour la rationalité en politique est ouverte actuellement.

      => j’avoue que j’ai l’impression inverse actuellement, le gouvernement se fout de la rationalité, il est totalement dans l’idéologie.
      Son unique but est la prochaine élection présidentielle, rien d’autre ne compte.

      1. Tout à fait d’accord.
        Par exemple, le processus redécoupage des régions s’est fait sur des critères uniquement politiques. Le résultat est pitoyable. Mais, ce qui est nouveau, c’est que maintenant, même des éditorialistes critiquent vertement cette manière de faire (Michel Urvoy dans OF, Thomas Legrand sur France Inter et tant d’autres). Il faut également voir les décisions récentes des CCI de France vis à vis des pouvoirs publics actuels:
        http://www.cci.fr/c/document_library/get_file?uuid=a0ce0ef5-9861-4839-9015-1560033e11c8&groupId=11054

        A mon avis, ça sent le roussi: ils sont bientôt en mode « panique » là haut.

        1. non, je ne crois pas (qu’ils sont en mode panique) du moment qu’ils sont deuxième avec le front national devant.
          Il est imaginable que ce soit leur objectif.

      2. « ….. le gouvernement se fout de la rationalité, il est totalement dans l’idéologie. »

        >>> Il est même dans que çà, l’idéologie!

    3. Le pire c’est que l’on va dire que l’augmentation du nombre de moustiques est dû au réchauffement climatique.

      1. C’est tout à fait possible !
        Mais tout dépend de la fenêtre médiatique.
        S’il fait un peu frais en Août ils pourront se replier sur la mono-culture et les épandages agricoles ….

      2. Mais non, mais non!!! Le réchauffement climatique s’est très fortement refroidi ces quelques dernières quinze années….

  5. @ Zygomar,

    Normal de s’opposer aux opérations de démoustication: « Pesticides dans les écoles : repoussons le problème 200 mètres plus loin, dit Ségolène Royal ».

    Donc on traite à 200 mètres de la dernière maison du village.Succès de l’échec garanti!

    Ya bon Bananya et chikungunya des Antilles, le gros coup de pied au cul arrive! Il est indispensable pour permettre de mesurer l’irresponsabilité des ONG en particulier de GF.

    A moins d’1 million de malades et 1000 morts,ce sera un échec. Donc il n’est pas contre productifs que des collectifs d’opposant aux pesticides refusent les traitements insecticides dans les quartiers habités par les personnes atteintes afin de faciliter la propagation de l’épidémie.

    Une bonne nouvelle aussi , les villes seront plus touchées, vu la densité et le mode de multiplication du moustique tigre, donc les bobos.

    Bon, pour les poux, la gale, les punaises de lits, sans insecticides …on fait comment?

    Sachant que dans le cas des viticulteurs en question, c’était tous des bios, et à Banyuls, ils utilisent un paquet de soufre. C’est le fameux produit qui est à l’origine de l’incident de l’école en Gironde.
    Cet incident aurait du enflamer les médias, curieusement calmes à son sujet. On cite le problème mais sans préciser qu’il s’agit d’un des principaux fongicides bio.

    1. @ Alzine

      « Pesticides dans les écoles : repoussons le problème 200 mètres plus loin, dit Ségolène Royal ».

      >>> Oui, mais c’est bien là où Ségolène parle pour ne rien dire et ne sait pas ce qu’elle dit puisque n’importe quel écolobobo producteur (oh! le vilain mot) « bio » de base pourrait lui dire que la distance ne fait rien à l’affaire puisque lorsque l’on trouve des résidus de pesticides dans ses produits à lui, c’est seulement parce qu’il y a un mécréant qui travaille en « intensif » de l’autre côté du village et que ce sont ses pulvérisations qui ont contaminé ses parcelles….

    2. « ….ils utilisent un paquet de soufre. Cet incident aurait du enflamer les médias  »

      >>> Faut quand même faire gaffe, parce enflammer des médias près d’un paquet de soufre, çà peut devenir dangereux et produire des émanations toxiques……

      Bon ce n’est que pour rire, je sors!

  6. Une vidéo sur le blocage de l’opération de démoustication: 200 mètres larges autour de la résidence du malade. Cela fait quelques 4 ha il me semble en pleine ville.

    Sachant que Banyuls, que je connais un peu, a pas mal de ruisseaux à sec mais prêts à se remplir en cas d’orage, des réservoir d’eau de pluie, des jardins à l’intérieur de la ville. Succès garanti.

    Bon les services départementaux le feront la nuit sans rien dire à personne la semaine prochaine. On épargnera cette ville, pas de traitement signifie du chik qui se développerait sinon comme aux Antilles. Traitement en toute discretion cette fois pour respecter les voeux de la population et réserver l’épidémie à une ville plus bobo qui s’opposera plus vivement.

    Un bobo courbé par le chikungunya bien naturel, c’est trop beau, dommage lorsque cela touche le voisin pas responsable.

    Le sénateur Labbée a bien choisi son été pour pousser ses feux!

    Ce sera l’incendie, très chik.

  7. Pour revenir sur le traitement localisé que font les services de démoustication autour du domicile d’un habitant atteint de chikungunya:

    « Ainsi, un traitement anti-moustiques va être appliqué dans un périmètre de 200 mètres autour de son domicile dès ce matin. Pendant l’opération, les riverains sont priés de rester confinés chez eux. D’après la préfecture des P-O, le traitement ne présente « aucun risque pour la santé des habitants dès lors que certaines précautions sont prises pendant la pulvérisation du produit et une heure après »

    On décode un peu:

    – Les habitants qui sont concernés par un maintien à domicile pendant une heure sont ceux qui sont dans le périmètre directement traité, leur jardin, les murs de leur habitation, les portes, les fenêtre reçoivent un insecticide adulticide, en général de la deltamethrine, même insecticide qu’en agriculture, bref un pesticide appelé dans ce cas biocide.

    -Les autres riverains qui vivent, bougent, mangent à la terrasse des cafés en lisière de ces 200 mêtres ne sont pas concernés et pourtant des effluvent significatives vont arriver dans l’assiette, dans les cheveux puisque 4 hectares traités en ville, avec un appareil diffusant largement le brouillard insecticide, ce n’est pas neutre en terme de contamination.

    – Il est précisé par les autorités, et je partage largement cet avis, vu la systématisation des shampoing antipoux depuis les grand retour de ces insectes ( qui n’avaient jamais vraiment disparus), la multiplication des cas de gale ( c’est nouveau), l’invasion des punaises de lits ( là aussi),que ces traitements sont sans danger avéré pour la population et qu’au contraire le bénéfice est considérable.

    – Mais alors faut savoir, quel sens ont les critiques vis à vis des pesticides agricoles appliqués en bordure de ville dans des conditions comparables aux opérations de démoustication ? s’il n’y a pas de risque pour les traitements fait à l’intérieur des villes avec un heure de confinement dans les périmètres traités ( 4 ha soit une belle parcelle agricole) et rien du tout pour les populations qui continuent à vivre normalement en périphérie de cette zone.

    – Il ne s’agit pas là d’une remise en cause de la démoustication dont je trouve le périmètre trop restreint, une ville touchée par le chik devrait faire l’objet d’un traitement intégral avec les abords, comme aux Antilles, mais un questionnement sur la cohérence de l’opposition des médias et la surenchère antipesticides. On en vient à souhaiter que bonne mère Nature nous montre ce dont elle est capable lorsque l’on ne met pas en œuvre les bonnes mesures technologiques. Il est en effet évident que cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique, contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire mais à la communication et à l’esprit bobo qui s’est infiltré partout, y compris dans les services de gestion des risques de l’État même si la communication du ministère de la santé est correcte sur ce dossier.

    Faudrait peut être aussi confier davantage la gestion des pesticides y ccompris agricoles à ce ministère qui semble plus rationnel que d’autres en matière de rapport bénéfices/risques.

    Cela dit ne rêvons pas, ces mesures risquent de s’avérer insuffisantes avec le foyer de virus antillais à 60 000 cas avérés et l’implantation du moustique tigre sur une partie du territoire métropolitain, ce qui est nouveau par rapport à la période 2005-2006. Soit les services de démoustication métropolitains feront beaucoup plus qu’il ne disent (y compris au niveau des produits) et on peut passer à coté d’une épidémie généralisée, soit ils ne le font pas et on y droit. Mais dans ce second cas, on saura à qui dire merci!

    Merci Générations Futures, générateur de chikungunya, entre autres misères!

    1. Excellente analyse, sauf : « Mais alors faut savoir, quel sens ont les critiques vis à vis des pesticides agricoles appliqués en bordure de ville dans des conditions comparables aux opérations de démoustication ».

      Les conditions ne sont pas comparables. Dans les traitements agricoles, on vise la plante en minimisant les dérives, sources de pertes et, le cas échéant, d’ennuis. Dans la démoustication, on « arrose » large et on vise directement les lieux habités dans certains cas.

      S’interroger sur le sens des critiques n’en devient donc que plus pertinent.

  8. @ Wackes Seppi,

    Tout à fait d’accord sur la différence entre les pesticides agricoles qui ne doivent pas ou le moins possible sortir du champ, le « pas » étant valable pour 99% du produit pulvérisé, les 1% restant n’étant pas maitrisables, suffit d’un outil de détection puissant pour vérifier que le 100% dans le champ est impossible.

    Le propos est de considérer qu’un pesticide qui vise les zones habitées ne peut être qualifié de non dangereux à dose plus forte comme biocide et de calamité lorsque des traces sortent de la parcelle agricole.

    Avec sa folie pathologique, Veillerette et ses complices ont généré une opposition maladive vis à vis des insecticides dans la population, notamment antillaise qui va conduire à ce qui suit.

    http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/sante/chikungunya-tous-responsables-272388.php

    « Chikungunya : tous responsables
    L’inquiétude se lit sur les visages. À l’issue, hier matin, du Comité de suivi et de coordination sur le chikungunya (1), au siège de l’Agence régionale de santé (ARS) aux Abymes, les autorités avouent redouter « une épidémie de grande ampleur avec des conséquences sanitaires et économiques très graves » . Les chiffres parlent d’eux-mêmes : plus de 5 000 cas sont signalés chaque semaine et 28 000 cas ont été recensés à ce jour, soit près de 5% de la population. Toutes les communes sont touchées et les autorités sanitaires, seules, ne peuvent plus faire face. Une situation qui fait craindre le pire, notamment à quelques semaines de la saison des pluies. « Nous ne savons pas comment va évoluer l’épidémie, confie Patrice Richard, directeur de l’ARS. On s’attendait à avoir ces chiffres en juillet/août avec le retour des pluies. Quel va être le pic ? Le nombre de cas va-t-il régresser comme à Saint-Martin ou au contraire prendre de l’ampleur ? On ne sait pas vraiment. » Pour rappel, l’épidémie avait atteint 33% de la population de l’île de La Réunion en 2006.

    Comment a-t-on pu en arriver là ? Plusieurs facteurs sont pointés du doigt : le phénomène de résistance aux insecticides, la faible mobilisation de la population et des municipalités, notamment durant la campagne électorale, l’augmentation du nombre de réserves en eau pour pallier les restrictions et la banalisation des mesures de protection. »

    et une analyse évidente

    http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/sante/chik-et-si-le-salut-venait-de-l-epandage-d-insecticides-272193.php

    On rajoutera que le tous responsables devrait être remplacé par un « tous irresponsables » surtout les médias qui ont colporté la peur des pesticides biocides, ont encore du mal à écrire le mot insecticide dans leurs lignes. Ces malades, des handicapés à vie, ces morts, seront à mettre au bilan de la presse bobo.

    Le ministère de la santé, par sa communication sans ambigüité dès le début de l’épidémie, sur l’imprégnation des vêtements avec de la permethrine, idem pour les moustiquaires, la recommandation des traitements deltaméthrine a globalement fait son job. Il aurait certainement nécessaire de diversifier pour les insecticides, pour gérer les résistances.

    La suite on la connait, si des mesures très énergiques, potentiellement utilisation de produits rémanents dont un en 3 lettres si nécessaire, pour protéger les zones habitées ne sont pas prises, le scénario décrit va se produire, entre 20 et 50 % de la population contaminée, comme à la Réunion .

    La prochaine bataille est la bataille de France, mais comme en 1940, ce sera trop peu, trop tard, pas assez divers .
    Je fais évidemment allusion aux insecticides. On peut ajouter « mal préparés » pour la population, désinformée, manipulée par les journalistes bobos. C’est reparti comme en 40 mais avec un virus transmis par des moustiques cette fois, et le principal allié du virus est dans le pays, caractérisé par les ONG écolo-bobos.

  9. ça veut dire quoi « bobo » sérieusement ?
    C’est tellement employé à toute les sauces , je ne saisi plus la définition.

    1. « bobo » pour BOurgeois BOhèmes.
      En gros St-Germains des prés en 1950, puis le comportement s’est vulgarisé dans les 70 avec le Flower Power …
      De doux rêveurs en somme.

      1. D’après votre description :il en existe aussi en province et pas qu’en milieu urbain !

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