(VIDEO) – Vrai ou faux : il n’y a pas de pesticides dans le bio

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Excellente vidéo réalisée par Agriculture et Environnement pour casser les idées reçues. A diffuser sans modération !

46 commentaires sur “(VIDEO) – Vrai ou faux : il n’y a pas de pesticides dans le bio

    1. Vache folle : 200 morts environ (1 milliards de
      Sprout Allemands : 80 morts

      Le gagnant est ………

      Choisi ton camp camarade .

    1. Mais pourquoi voulez vous que l’on s’empoisonne en mangeant que ce soit du bio ou toute autre type de production ?

      1. pour ne pas m’empoisonner j’évite le bio à tout prix car ça craint grave !

        ergot, datura, escherichia coli, mycotoxines, moustics très peu pour moi !!!

        52 morts dus aux graines germées BIO en Allemagne en 2011 et des milliers de dialysés à vie et pas une ligne critique ou réprobatrice dans la presse godillote toute acquise quoiqu’il arrive à la SECTE VERTE ! cherchez l’erreur

        1. Je suis d’accord avec vous…
          mais svp restons factuels et n’emballons pas la machine, à ma connaissance on est un peu en dessous d’un millier de dialysés a vie.

        2. T’as raison : le roundup y’a que ça se vrai !!
          A consommer sans modération !!!

          En plus, il paraît que nos amis abeilles et insecte en raffolent…

          1. @ soupir
            Faut être sacrément crétin pour aller désherber une plante en fleur…
            Comme ce n’est un secret pour personne, en particulier ceux qui utilisent du cuivre, de l’Azadirachtine ou du spinosad en AB que ces produits impactent les abeilles…

  1. La définition de la bio est agriculture qui interdit l’usage de produits chimiques de synthèse, donc de pesticides de synthèse aussi. Et c’est bien là tout le problème, les molécules naturelles se dégradent dans la nature naturellement, les pesticides de synthèse sont rémanents et c’est bien tout le problème, notamment dans l’eau.

    Mais la bio c’est aussi le respect du bien-être animal, l’interdiction des OGM et des farines animales dans l’alimentation animale, l’interdiction des additifs de synthèse dans les produits transformés…

    Cette vidéo cherche juste à semer le doute pour continuer à utiliser des produits chimiques de synthèse…

    1. « les pesticides de synthèse sont rémanents ». Ben voyons ! Le lieu commun, l’idée reçue complètement fausse. Le slogan novlangue propagé par les écolos menteurs et affabulateurs. Vous connaissez la demi-vie du glyphosate dans le sol ? Et dans les milieux aquatiques ?

      1. @ Laurent Berthod

        « … Vous connaissez la demi-vie du glyphosate dans le sol ? Et dans les milieux aquatiques ? »

        >>> Et celle du cuivre dans les sols par exemple? Hein? C’est naturel le cuivre!

    2. @ Michel G.
      Le plus affolant est de constater à quel point la mouvance « bio » s’est laissée endoctriner, laver le cerveau par les gourous du « bio ».
      Votre phrase : « les molécules NATURELLES se dégradent dans la NATURE NATURELLEMENT »en est une illustration magnifique …!
      et on se contente ensuite de seriner (répéter stupidement) toujours les mêmes pseudos-arguments :
      * bien-être animal …
      * interdiction OGM… incapables de voir que les OGM (meilleur EIQ) font mieux que le bio …! forcément, car on leur a inculqué, à l’insu de leur plein gré, qu’un OGM est dangereux a priori !!!
      * farines animales … incapables de voir l’intérêt écologique et nutritionnel de ce type d’apport dans l’alimentation animale !!! (mais c’est normal, la mouvance bio ne sait même pas qu’il existe des zootechniciens !!!)
      * interdiction additifs de synthèse dans les produits transformés (un jour les « bios » vont finir même par interdire la transformation des produits de l’agriculture !!! la cuisine sera alors interdite !)
      * produits chimiques de synthèse … synthèse en général … comme si la CHIMIE était différente entre les molécules « naturelles » et celles de synthèse. Cette répulsion de la synthèse (chimique), témoigne d’un arriérisme mental inquiètant, d’une incapacité intellectuelle à comprendre des concepts généraux résultant sans doute d’une paresse intellectuelle grandissante de ces milieux qui préfère gober du pré-maché, du prêt à croire !

      1. Tiens, je vais en remettre une couche.

        « Mais la bio c’est aussi le respect du bien-être animal… »

        « La bio », c’est l’usage prioritaire des médecines dites « douces », l’homéopathie (que je répunge à tuliser car je crains les effets secondaires… ha ! Ha ! A !), l’emploi de la médecine allopathique en dernier recours.

        Respect du bien-être ? Non ! Imposition de la souffrance.

        On ne parle pas du refus de traiter, même quand il s’agit d’une obligation relevant de la santé publique.

        Ah oui ! Mais quand la loi impose une surface d’exercice de x, « la bio » impose 2x… Vous voyez bien… Mais non ! Ça ne rend pas l’animal deux fois plus heureux. Ni moins souffrant.

        1. Allez moi aussi je remet une couche (même 3 mois en retard)
          « Respect du bien être animal » signifie par exemple qu’un animal bio ne peut pas être élevé en batterie. Mais ça n’est pas intéressant dans une logique de productivité.
          C’est quand même bien plus rassurant de leur donner tonnes d’anti biotiques et accessoirement de les entasser dans des entrepôts.

          Manger du saumon bio par exemple donne la garantie qu’il n’a pas été élevé au PCB ou autre dioxine. Et savez-vous pourquoi on leur donne ces produits toxiques ???? Parce qu’on a préféré les élever dans des bassins beaucoup trop petits pour leur nombre….
          Non ? Vous ne comprenez toujours pas le sens de « bien être animal » ??

          Allez bon appétit. Antibio pour tout le monde ce midi.

          1. @rageous
            OK, je t’accorde ça. Je n’ai jamais eu confiance dans les élevages norvégiens. Effectivement, surveiller la provenance dans le cas du saumon me semble plus pertinent car comme ils le disent :

            « Les analyses réalisées pour France Télévisions n’ont pas valeur de statistiques, mais elles confirment que les conditions d’élevage – bio ou non – n’ont que peu d’impact sur les contaminants les plus tenaces : ces derniers imprègnent tout l’environnement. Seules une décontamination très en amont (de l’alimentation notamment) et des mesures de long terme peuvent avoir un effet. »

            Leurs eaux sont tellement souillées que bio ou non, rien n’y fait.
            Un élevage 100% bio (ou juste plus responsable, labellisé ou non) sur leurs côtes ne serait pas arrivé à une telle situation…

  2. Il y en a vraiment à qui vous voulez faire croire que les produits utilisés par les bios sont aussi nocifs que les produits chimiques issus des grands groupes industriels ? Bien sûr puisque ces derniers ont financé cette jolie vidéo qui n’a pour unique but que de tromper le consommateur et rassurer le producteur conventionnel…

    1. Ben, vous pouvez toujours vous taper une cuillère de bouillie bordelaise avec un verre de purin d’ortie puisque ça n’est pas dangereux…

      1. @Alex

        « Ben, vous pouvez toujours vous taper une cuillère de bouillie bordelaise avec un verre de purin d’ortie puisque ça n’est pas dangereux…  »

        >>> Et avec une bonne giclée de roténone pour pimenter un peu! Cà donne du tonus!

        1. Et puis une pincée d’aflatoxine, une cuillerée à café d’ergot de seigle, pimentée d’acide lysergique 100% bio, une petite prise de scopolamine, hyoscyamine et atropine, 100 % bios également, issues de Datura dont les graines sont indistinguables de celles d’un bon sarrasin bio des familles.

      2. essayez aussi une louche d’huile de Neem, un bol de roténone et prenez rdv rapidement avec un endocrinologue , vous servirez de cobaye mais à vos dépens….ha ha ha ha !!!!!

        elle est pas belle l’écologie … mourir pour des idées mais de mort lente

        en tous cas le sol de la pauvre parcelle de vigne ou d’arbo bio il est mort de cuivre par overdose pour 50 ans minimum tant ils bastonnent

    2. @ La Verité si Je mens Il y en a vraiment à qui vous voulez faire croire que les produits utilisés par les bios sont aussi nocifs que les produits chimiques issus des grands groupes industriels ?

      >>> Je ne cherche pas à faire accroire (c’est le terme correct en français) ce que vous dites à qui que ce soit. Je sais seulement ce que je sais à partir d’une expérience de plus de 30 ans de toxicologue expérimental (c’est à dire qui a réalisé lui-même des expériences au laboratoire et en a interprété les résultats) dans le domaine précisément des produits chimiques en général et des produits phytosanitaires plus particulièrement. Certains des produits utilisés ment par les « bios » sont effectivement peu toxiques de meme que certains des produits utilisés par l’agriculture habituelle, l’inverse est également vrai. Contrairement à la légende urbaine habituelle, le fait que certaines molécules soient d’origine naturelle n’est en aucune façon un gage de non toxicité, les exemples du contraire sont nombreux!

        1. @roger

          « ….ça veut dire quoi cette phrase ???? » utilisés ment » c’est du zygomarien ? »

          >>> Pauvre type!

    3. Je vous met au défi de contester les faits et les chiffres présentés dans cette video. Avec des références svp. J’attends votre réponse.

    4. @La Verité si Je mens

      Et oui le monde est « fou ».
      Effectivement Certain phyto bio sont bien plus nocif que certain produit conventionnel.

      Exemple : Certain insecticides (pyrèthre) autorisé en bio sont en plus d’être moins sélectifs bien plus dangereux dans l’environnement.
      Mais ils sont naturels !!!!

  3. d’ailleurs, simple exemple, qu’est ce qui est le plus « nocif » du bon pyrèthre naturel qui flingue tous les insectes voire les poissons ou des pyréthrinoïdes de synthèse ?

  4. Cette vidéo tente d’aller contre les idées reçues mais ce n’est pas gagné. Regardez un wagon de pub TV et comptez combien de fois les mots « naturel », « naturellement » etc.. sont répétés. C’est impressionnant! Les publicitaires ont bien compris que ce sont les mots magiques que les gens associent à la santé et à la protection de l’environnement sans qu’on n’est besoin de prouver quoi que ce soit!
    @ Michel et LVSJM Par quelle loi divine un produit naturel devrait-il être moins forcément toxique ou moins rémanent? N’accepter que le naturel c’est refuser les alternatives de synthèse même lorsqu’il y en a qui posent moins de problèmes et donc se condamner à ne pas toujours utiliser ce qu’il y a de mieux.Renseignez vous sur la rémanence et la toxicité de certains produits utilisés en bio comparées à celles d’alternatives non bio. Difficile de faire plus rémanent que les préparations à base de cuivre. Et pour la toxicité, pourquoi donc a-t-on interdit la roténone utilisée en bio? Et, tenez-vous bien, l’interdiction date de 2008 en conventionnel et de 2011 en bio!

    Au fait, j’ai lu que la sympathique huile de neem longtemps interdite et qui avait été tolérée un temps pour satisfaire les agris en bio est de nouveau interdite. Quelqu’un peut il confirmer?

    1. Le Neemazal-T/S (azadirachtine à 1 %) a bénéficié d’une autorisation temporaire de 120 jours expirant… après-demain.

      C’est un produit NATUREL donc, forcément ABSOLUMENT SANS DANGER;;;

      Du site e-phy :

      Conditions d’emploi:
      – Pour protéger l’opérateur porter :
      Pendant le mélange/chargement
      – Combinaison de travail dédiée (cotte en coton/polyester 35%/65% – grammage d’au moins 230 g/m²) avec traitement déperlant ;
      – Gants certifiés pour la protection chimique selon la norme de référence En 374-3 de type nitrile ;
      – Vêtement imperméable (tablier ou blouse à manches longues certifiés catégorie III type 3 (PB3). Le vêtement de travail et le tablier ayant fait l’objet d’une contamination devront être lavés avant réutilisation ;
      – Bottes de protection conformes à la réglementation et selon la norme EN 13 832-3 ;
      – Lunettes de sécurité conformes à la réglementation et selon la norme EN 166.
      Pendant l’application
      Si application avec tracteur sans cabine :
      – Combinaison de protection de catégorie III type 4 avec capuche ;
      – Gants en nitrile EN 374-2 à usage unique pendant l’application et dans le cas d’une intervention sur le matériel pendant la phase de pulvérisation ;
      – Bottes de protection conformes à la réglementation et selon la norme EN 13 832-3.
      Si application avec tracteur avec cabine :
      – Combinaison de travail dédiée (cotte en coton/polyester 35%/65% – grammage d’au moins 230 g/m²) avec traitement déperlant ;
      – Gants certifiés pour la protection chimique selon la norme de référence EN 374-2 de type nitrile à usage unique dans le cadre d’une intervention sur le matériel pendant la phase de pulvérisation. Dans ce cas, il convient de noter que les gants ne doivent être portés qu’à l’extérieur de la cabine et stockés après l’utilisation à l’extérieur de la cabine ;
      – Bottes de protection conformes à la réglementation et selon la norme EN 13 832-3.
      Pendant le nettoyage du matériel de pulvérisation
      – Combinaison de travail dédiée (cotte en coton/polyester 35%/65% – grammage d’au moins 230 g/m²) avec traitement déperlant ;
      – Gants certifiés pour la protection chimique selon la norme de référence EN 374-3 de type nitrile ;
      – Vêtement imperméable (tablier ou blouse à manches longues certifiés catégorie III type 3 (PB3) ;
      – Bottes de protection conformes à la réglementation et selon la norme EN 13 832-3 ;
      – Lunettes de sécurité conformes à la réglementation et selon la norme EN 166.

      – Pour protéger le travailleur s’il doit intervenir sur une parcelle traitée, porter une combinaison de travail tissée en polyester 65 %/coton 35 % avec un grammage de 230 g/m² ou plus avec traitement déperlant.

      – Pas de traitement pendant la floraison.

      1. @ Seppi

        Le Neemazal-T/S (azadirachtine à 1 %) a bénéficié d’une autorisation temporaire de 120 jours expirant… après-demain.

        >>> Mais j’ai quand meme comme qui dirait une vague impression que certains futés parmi nos amis « bios », ont pris leurs précautions et en ont stocké quelques bidons au cas où….On ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve et avec le réchauffement climatique il y a des tas d’insectes qui vont proliférer dans les parcelles « bios » et il faudra bien sauver les revenus … Moi, je dis çà et je ne dis rien!

        1. Vous devriez visionner :

          https://www.youtube.com/watch?v=VVeowXl1HVo

          Ça date de 2011. Comment faisait-il M. J. Pour avoir accès à son neem ? Ça fait un temps que je n’ai pas butiné sur la toile pour vérifier s’il y avait toujours des vendeurs de neem et dérivés — oh, pas comme insecticides – mais comme fortifiants, etc.

          1. comment vous croyez que font les producteurs bio Espagnols , Marocains ou Italiens peut être ? Pour les certificats tout est OK mais pour les pratiques agronomiques ….

        2. Je ne connais pas beaucoup d’agriculteurs bio (maraîchage en particulier) qui n’utilisent pas d’huile de Neem. Dérogation ou pas ! Autorisation ou pas… et en toute bonne fois d’ailleurs.

  5. Espérons que pour être cohérents, les adeptes du »tout naturel » donc opposés aux produits de synthèse se passent d’ absorber les nombreux médicaments »de synthèse » quand on leur en prescrit …

    1. @ Raoul-Hugues

      « Espérons que pour être cohérents, les adeptes du »tout naturel » donc opposés aux produits de synthèse se passent d’ absorber les nombreux médicaments »de synthèse » quand on leur en prescrit … »

      >>> Mais bien entendu! En douteriez-vous?
      C’est comme lors des périodes pressions de mildiou trop fortes pour etre controlées par des « produits naturels », on préfère laisser pourrir la récolte plutot que de recourir à des traitements avec des fongicides de synthèse ….

  6. le bio c’est une secte totalitaire car personne n’a le droit d’émettre le moindre avis contraire ou la moindre remise en cause même partielle… c’est interdit, ça ne passera sur aucune télé ! le bio c’est pur , c’est pas traité, c’est la vertu !
    le conventionnel c’est bourré de pesticides
    plus le cliché est gros mieux il passe
    c’est la forme d’agriculture la plus assistée qui soit alors que les produits se vendent entre le double et le triple au consommateur cherchez le hic ?
    s’ils se contentaient des aides à la « conversion » encore … mais ils font un LOBBYING effréné auprès des députés et sénateurs pour qu’ils ne leur coupent pas les aides au maintien … la bagatelle de 300 €/ha à vie pour être récompensés de produire en bio …si ça vous dit quelque chose ! Ça triple les DPU classiques.
    en grandes cultures le bio coute un bras en mécanisation et carburant à l’hectare : et que je te bien et que je te herse étrille 2 ou 3 fois
    en arbo ou en vigne c’est l’atomiseur sorti en permanence au cuivre et le cuivre c’est quoi … du poison violent qui stérilise les sols ad vitam

    1. Si le bio se développe en France conformément aux vœux du Grenelle de l’environnement l’endettement de la France va rattraper sous peu celui de la Grèce !

  7. Avec le bio on subit le vol légalisé ! On prend l’argent du contribuable sans son consentement (= vol) pour le donner à une niche d’idéologues qui ne représentent que des intérêts particuliers. C’est une honte.
    En capturant de force cet argent on empêche d’investir dans des domaines qui satisferaient davantage de citoyens, ce qui permettrait la création d’ emplois. En plus d’être malhonnêtes les subventions au bio génèrent donc du chômage.Le côté positif est que la politique de promotion du bio n’est pas durable ( chômage de masse, dettes abyssales, mesures liberticides…)

    1. Mon pauvre ami,

      S’il n’y avait que le bio qui soit l’occasion d’un vol organisé pour redistribution à des intérêts particuliers, ce serait Byzance ! Régimes spéciaux de retraite, Contribution au service public de l’électricité (=> http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-les-dessous-pas-tres-affriolants-de-votre-facture-edf-96146505.html), etc. etc.

      Une spécialité très française, qui nous mènera, si on n’y remédie, à la situation de la Grèce…

  8. Voilà donc un domaine où règne désinformation et hypocrisie la plus parfaite : l’agriculture bio utilise un nombre conséquent de pesticides. Les deux produits les plus utilisés sont le cuivre (fongicide) et l’huile de neem (insecticide). L’un est autorisé, l’autre ne l’est pas. La préservation de l’environnement n’est pas assurée pour ces deux produits, alors que celle des produits conventionnels est généralement bien meilleure. Enfin l’effet sur la santé humaine est entachée de lourds soupçons (perturbateur endocrinien, gamétocide…). Ces doutes ne pourront être levés que lorsqu’un dossier complet d’autorisation de mise sur le marché, à l’instar des produits conventionnels, aura été établi et instruit par les autorités compétentes.

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