Cash investigation : l’Analyse (quasi) complète

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cashJusqu’à maintenant les analyses et critiques de Cash investigation avaient été émises de divers horizons, en passant même (une première !) par Libération. L’AFIS (l’Association Française pour l’information scientifique) vient  de compiler l’ensemble en complétant avec sa propre analyse. Résultat : un texte clair et compréhensible par tous. A diffuser !

 

4 commentaires sur “Cash investigation : l’Analyse (quasi) complète

  1. Nous avons ici le type d’article qui facilite l’épidémie de zika
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/06/10/23826-mefaits-insecticides-sur-cerveau-enfants
    et s’agissant de la photo, le petit chien a coté de l’enfant est bien plus chargé en permethrine et fipronil que le tapis incriminé.

    On remarquera la faible mention à la permethrine dans la presse même spécialisé lors de l’épidémie de Zika, nombreux médecins qui réagissent comme les journalistes et refusent l’insecticide pourtant meilleur rempart contre le virus. Ils sont aussi intoxiqués par la presse bobo que les autres citoyens.

    On peut craindre le pire si le zika pointe son nez en métropole et on peut aussi craindre le pire aux Antilles qui vont subir le sort des malheureux polynésiens.

  2. lu dans le monde un article stupide mais plus encore son titre: http://www.lemonde.fr/planete/visuel/2016/03/04/et-si-on-bannissait-les-pesticides_4876465_3244.html

    Bannir les pesticides, le cuivre aussi, le soufre aussi, l’huile de neem aussi? tous les pesticides ?

    L’imbécile journaliste aurait été mieux inspiré d’écrire sur les avions à moteur à réaction: et si l’on bannissait les avions à moteur à réaction! quelle amélioration de la qualité de l’air, des nuisances sonores, à peine quelques heures de voyage en plus mais quelle économie de carburant.

    Et allant plus loin, reprenant les propos entendu dans un débat entre un agronome et un ingénieur du constructeur Airbus : et si l’on bannissait les avions tout simplement? pour adopter les ballons dirigeables, quelques moteurs peu consommateurs et utilisant l’électricité lorsque le soleil brille grâce au panneaux photovoltaiques qui recouvrent le ballon.

    Les avions à moteur à réaction sont l’agriculture raisonnée: il évoluent comme cette agriculture avec les économies de carburant avec les nouveaux Airbus.

    Ce sont les avions à hélices qui sont l’agriculture intégrée, on change fortement de modèle mais pas radicalement.

    Les ballons dirigeable, c’est l’agriculture bio, bien moins vite mais là quasiment plus de pétrole pour propulser le ballon génial!

    Qu’est ce qu’on attend!

    1. J’ai été aussi surpris par la stupidité de cet article et les exemples cités avec tant de pauvreté d’analyse!
      1)Le couplet pseudoscientifique et occulte de la biodynamie appliqué aux céréales (pour les plantes montantes? Parce qu’en vin je peux comprendre le travail souvent très précis de taille, de travail du sol au pieds etc malgré des rendements riquiqui, mais en céréales?) sans la définir.
      2)Le néopaysan en bio qui dit dans un autre article s’être inspiré de l’exemple de Becq Hellouin sauf qu’à contrario de la ferme romantique et jolie du couple néorural, il a bien une serre ce qui équivaut à du maraichage bio intensif. Faire des bandes fleuries c’est déjà le cas dans la plupart des maraichages non (+ la lutte biologique pour les pucerons ce qui rend l’article encore plus à coté de la plaque)?
      3) sur la dite étude, on cherche toujours le concept de permaculture là dedans vu qu’elle ressemble à du maraichage bio amélioré et dans un environnement agréable. Les pratiques nouvelles sensées être permacoles sont reconnues non productives dans le rapport final. Sinon sur les chiffres truqués (aucun chiffre de rendement effectif vu qu’ils mélangent pleins d’espèces ensemble il est donc malhonnête de clamer des rendements 10 fois supérieurs) voir une belle analyse ici : http://www.barricade.be/sites/default/files/publications/pdf/2015_-_permaculture_et_maraichage_biologique.pdf. François Léger de l’INRA a répondu en avouant que la charge de travail (incluant stagiaires et bénévoles) est un gros biais d’une telle étude, on passera sur la volonté à être hors-normes… http://www.barricade.be/publications/analyses-etudes/reponse-francois-leger-analyse-permaculture-maraichage-biologique
      4)Quant aux autres analyses fort intéressantes sur les microfermes (voir sur le site de becq hellouin) : 11/12 fonctionnent de la même façon avec des stagiaires et bénévoles à la Rahbi, et cela résulte de choix individuels. On imagine fort mal que cela fonctionne à grande échelle sans avoir une main d’oeuvre exploité (et nombreuse!!).

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