Suite à la publication par l’ANSES de son évaluation sur les couches bébé, les articles aux titres effrayant se sont succédé, tels Le Monde : Du glyphosate et des substances chimiques dangereuses dans les couches jetables pour bébés
Or l’étude de l’Anses précise : « Les conclusions indiquent qu’un risque ne peut être exclu pour les substances indésirables suivantes dans les couches pour bébé : 2 substances parfumantes (butylphényl méthyle propional ou lilial®, hydroxyisohexyl 3- cyclohexène carboxaldéhyde ou lyral®), certains HAP, le PCB-126 et la somme des dioxines, furanes et PCB-DL. Aucun dépassement de seuils sanitaires n’a été mis en évidence pour les autres substances parfumantes, les pesticides interdits, le glyphosate et son métabolite, les COV ni le formaldéhyde (annexe 5). »
En bref, pour l’ANSES, les résidus de glyphosate ne posent pas un problème. Mais Le Monde, pour vendre son papier, préfère accuser immédiatement le glyphosate. A croire que Stéphane Foucart a créé un réflexe Pavlovien chez ces collègue du quotidien.
Vu la ligne éditoriale pseudo-scientifique et trop militante suivie par le quotidien vespéral sur certains sujets, d’aucuns ont finit par se vanter de « ne plus le lire que d’un derrière distrait. 🙄
😳 … mal relu !
d’aucuns ont finit —> d’aucuns ont fini
[Ça pique moins les yeux]
Vu la ligne éditoriale pseudo-scientifique et trop militante suivie par le quotidien vespéral sur certains sujets, d’aucuns ont finit par se vanter de « ne plus le lire que d’un derrière distrait.
Le plus amusant est que, il y a quelques mois, l’équivalent belge de l’ANSES avait procédé aux mêmes vérifications, mais avec un tout autre verdict : RAS.
Question de méthodologie : l’ANSES a broyé les langes entiers, plastique de confinement compris, tandis que chez nous on n’avait analysé que les parties susceptibles de se trouver en contact avec la peau du bébé.
Mais l’hystérie anti-glyphosate ne nous a pas (encore ?) atteints…
Une réflexion : je lis et entends régulièrement des remarques du type : « oui, mais s’il y a un risque, pourquoi le courir ». Un peu comme « porter une cravate, ça peut être dangereux, alors pourquoi en porter ? ». Ces braves gens ignorent qu’on n’utilise pas seulement le glyphosate pour tuer les herbes folles de leurs allées de gravier…
Je pense qu’il faut taper plus fort :
http://seppi.over-blog.com/2019/01/couches-et-glyphosate-jusqu-ou-iront-l-ignominie-du-monde-planete-et-de-liberation-et-l-hysterie-du-gouvernement.html
Avec le point de vue des Suisses.
hum le déchaînement anti glyphosate chez les écolos et leur thuriféraires rappellera la haine antisémite des années 30 ???
Les couches et les journaux ont une chise en commun: la merde qu’elles contiennent.
Chose