L’agriculture, un atout de la France

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Souvent décriée et taxée de mille maux, l’agriculture est cette semaine à l’honneur dans… L’Express. Ne boudons pas notre plaisir de voir mis en avant le travail de nos agriculteurs.

« La France demeure le premier producteur européen agricole et agroalimentaire. Premier exportateur mondial de produits transformés, ce secteur, qui emploie plus de 1,3 million de salariés, a dégagé, en 2008, un excédent net de 9,3 milliard d’euros ».

En temps de crise, il est des petits articles qui font du bien.

4 commentaires sur “L’agriculture, un atout de la France

  1. Daniel et/ou Laurent Berthod, quelques commentaires sur l’article suivant seraient bien intéressants.

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/08/31/lisier-et-engrais-sont-devenus-les-ennemis-numero-un-de-la-couche-d-ozone_1233741_3244.html

    J’ai un peu de mal à comprendre que l’augmentation de 15% d’un gaz qui représente 0,000027% (si mon calcul est juste) de notre atmosphère, puisse avoir autant d’impacte sur le changement climatique et la couche d’ozone! L’utilisation de la quantification en partie par milliard semble donner beaucoup d’ampleur aux chiffres avancés dans cet article afin de jeter un discrédit de plus sur l’agriculture.
    Merci de votre réponse.

  2. Bah laisse tomber…
    Suivant le GIEC lui-même, le forcage radiatif du NO2 représente 0,1 W/m2, soit des clopinettes, de quoi augmenter la température de quelques centièmes de degrés en 2100… et ce si on accepte leur théorie… 😉
    Quand à l’effet sur la couche d’ozone…. les scientifiques sont dépités que des dizaines d’années après l’élimination totale des CFC, aucun effet ait été mesuré sur la couche d’ozone… à se demander si les CFC étaient vraiment les coupables.
    Plutôt que de remettre en cause les théories qui ont amené le protocole de Montréal, ils préfère se trouver un autre coupable… 😉

  3. PS: il existe des pistes beaucoup plus sérieuses pour expliquer les variations polaires de densité de la couche d’ozone: ce sont les radiation cosmiques et le géomagnétisme.
    … mais il y a encore beaucoup de recherche à faire avant de comprendre effectivement ce qui se passe.

  4. Je n’ai pas accumulé de données ni de connaissances sur le N20 et son rôle dans l’atmosphère.

    Le Monde est nul.

    En marge de l’article on peut lire : «Sur le même sujet Edition abonnés Archive : Alerte à l’ozone lundi dans les Bouches-du-Rhônes » (Rhônes avec un s ! Parce qu’il a plusieurs Bouches ?). Évidemment le rôle protecteur de l’ozone dans la haute atmosphère et son caractère irritant pour les voies respiratoires quand il est à hauteur d’homme n’ont rien à voir, ni d’ailleurs les processus de sa production à ces deux altitudes.

    La légende de la photo illustrant l’article est : « Les flatulences des bovins contribuent à aggraver la couche d’ozone ». 1° Ça veut dire quoi « aggraver la couche d’ozone ». Rien. En outre ce n’est pas la couche d’ozone qui est un problème, ce serait sa disparition. 2° L’article explique que ce sont les lisiers et les engrais azotés qui sont responsables de la production de N20, et non les flatulences des bovins. D’ailleurs l’article commence par parler de celles-ci alors que toute la suite montre que ce n’est pas le sujet.

    Les réactions des lecteurs sont intéressantes : du malthusianiste qui veut réduire le nombre d’être humains sur terre à ceux qui en ont ras le bol de tous ces fantasmes.

    Le journal Le Monde va continuer de perdre des lecteurs, car faut quand même pas trop pousser Germaine dans les géraniums, elle est pas si con que ça, et il ira demander des sous à Sarko. Les journalistes crachent sans cesse sur les subventions perçues par les paysans sans jamais chercher à en comprendre les raisons. Ils ne nous parlent jamais du régime extrêmement favorable de l’impôt sur le revenu dont ils bénéficient personnellement, eux et leurs confrères.

Les commentaires sont fermés.