Abeilles : le business de l’Unaf en péril ?

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Bien installé sur un créneau porteur au plan économique, l’Unaf (Union Nationale de l’Apiculture Française) a du souci à se faire. Poursuivant inlassablement son lobbying anti-pesticides, le « syndicat » apicole surfe sur la vague écologique pour développer son programme « Abeilles, sentinelles de l’environnement ». Le principe est simple : en affirmant que les abeilles meurent à cause des pesticides, l’Unaf installe des ruches en ville pour montrer que les butineuses se portent mieux dans le monde urbain qui est exempt de pesticides. Ca, c’est pour la version officielle. En réalité, l’Unaf a trouvé un filon économique en demandant des sommes astronomiques pour installer quelques ruches sur les toits des collectivités territoriales, au frais du contribuable.

Mais, le syndicat des apiculteurs du Morbihan met le business de l’Unaf en péril ! La mairie de Lorient souhaitait imiter les nombreuses collectivités qui ont mis en place des ruches pour communiquer auprès du grand public sur leur engagement en faveur de l’environnement. Montant de l’opération pour le contribuable de Lorient : 2500 euros par an pour 2 ruches, soit 1250 euros par ruche. C’est beaucoup, certes. Mais c’est beaucoup moins que le tarif de l’Unaf qui peut dépasser les 10.000 euros par ruche !

94 commentaires sur “Abeilles : le business de l’Unaf en péril ?

  1. « En réalité, l’Unaf a trouvé un filon économique en demandant des sommes astronomiques…»

    Voilà une déclaration bien hasardeuse qui n’est pas accompagnée d’une preuve irréfutable comme d’habitude!!!

  2. http://www.observatoiredessubventions.com/2010/64-000-euros-pour-des-ruches-au-conseil-regional-d-aquitaine/

    64 000 euros pour des ruches au conseil régional d’ Aquitaine

    conseil général • conseil régional • dette publique • gaspillage argent public • les subventions qui font polémique • à la une • écologie

    Le conseil régional d’Aquitaine veut faire installer 8 ruches sur les toits du conseil régional pour la modique somme de 64 000 euros.

    L’élu du Modem Patrick Beauvillard a fait remarquer qu’à 200 € la ruche, et 200 € l’essaim, l’installation de 8 ruches devrait pourtant tourner autour de 3 200 €, et non de 32 000 €, comme demande pour la première année le conseil régional.

    Le coût des 4 ruches installées par la mairie de Talence dans le bois de Thouars s’est élevé à 2 000 € la première année et 200 € les années suivantes, soit 6 400 euros pour 3 ans. Bien loin des 64 000 euros que va dépenser le conseil régional d’Aquitaine

    L’élu du Modem a proposé une réattribution du budget : 10 000 € à l’Unaf (Union nationale de l’Apiculture Française) pour son programme « Abeille sentinelle
    de l’environnement » et une enveloppe de 54 000 € pour soutenir sur le terrain l’apiculture et la profession apicole.
    Mais le président de l’Unaf n’entend pas perdre aussi facilement une telle manne financière et a fait parvenir à l’élu du Modem une lettre recommandée qui lui rappelle ses obligations face à la menace de la disparition des abeilles.
    Un programme de protection des abeilles qui justifie, aux yeux du président de l’Unaf, les 64 000 euros réclamés.
    Le syndicat apicole préférerait disposer de cette subvention à des fins de communication, plutôt que de voir ces sommes allouées à l’apiculture de l’Aquitaine…

    Il n’ y a pas qu’en Aquitaine que les abeilles butinent l’argent du contribuable.

    Voir le Cri du Contribuable d’octobre 2009 :

    En 2005, 8 ruches avaient été installées sur l’Hôtel de Région Languedoc Roussillon
    La région Languedoc Roussillon avait dépensé 180 000 euros pour soutenir la filière apicole.
    « Douze apiculteurs, originaires de cinq départements de la région, entretiennent ces huit ruches tout au long de l’année et s’occupent des récoltes », dit-on au Conseil régional.
    Quand on sait qu’un apiculteur amateur s’occupe sans problème de 40 ruches à lui tout seul et qu’un professionnel peut en gérer des centaines, ça fait beaucoup de monde pour les ruches de Montpellier.

    Par ailleurs la région avait financé le syndicat apicole de Lozère dont le président est Henri Clément, également président de… l’Unaf :

    15 000 euros pour se rendre à l’événement Apimondia qui se déroulait en 2007 à Melbourne en Australie.

    Des ruches dans le Pas-de-Calais

    5 ruches ont été installées sur le toit de l’hôtel du département à Arras, plus une (transparente) à l’entrée de la salle des commissions permanentes.

    Pour 10 000 euros d’installation et 10 000 euros par an pendant trois ans (durée de la convention signée avec l’Unaf ).
    Pour ce prix-là, « la récolte du miel nous est acquise » précise Denis Durbise, responsable du service Développement durable au Conseil général. Le miel devrait être confié au restaurant du Conseil général et distribué aux agents « pour les sensibiliser » ainsi qu’aux hôtes.
    S’il y en a assez car « vu qu’à Montpellier la première année, ils ont récolté 80 kg, en tenant compte de notre biodiversité, moindre par rapport à celle de l’Héraut, et en tenant compte du fait que nous nous y prenons tard, nous serions très heureux d’arriver à un chiffre de 40 kg », soit 500 euros le kg !

    Denis Durbise admet qu’il s’agit essentiellement d’une « opération de communication ». Selon lui, les élus de tous bords réfléchissent déjà à la suite (positive) à donner à la convention passée avec l’Unaf : l’apiculteur référent est d’ailleurs conseiller général d’opposition.
    Par ailleurs, « le conseil général apporte son soutien financier à divers organismes structurants de la filière apicole en Pas-de-Calais, association de défense et de promotion de l’abeille qui regroupe les syndicats apicoles ».
    Impossible d’en savoir plus, « rien n’étant encore décidé », et « les élus n’étant pas tous en phase les uns avec les autres ».

    1. J’ai eu une discussion avec le président de la région Aquitaine, et j’ai pu lui expliquer qu’il s’était fait avoir par l’UNAF, qui n’était absolument pas représentative des apiculteurs et qui défendait des thèses absurdes sur l’influence des pesticides sur les abeilles.
      Il est demandeur d’une note sur ce sujet. Si Dany, Bombus, ME51 ou Wackes Seppi pouvaient me contacter (j’ai essayé par l’intermédiaire du site, mais apparemment mes messages n’ont pas été transmis…), ce serait intéressant car on pourrait peut-être rédiger cette note circonstanciée.

      1. Il faut lui envoyer ceci au président de la région Aquitaine:
        L’AFPP ( ACTA, ARVALIS-Institut du végétal, CETIOM, ITSAP-Institut de l’abeille,
        DGAl, Groupama, INRA, UIPP) déclare avec conviction:
        «Utiliser des produits phytosanitaires sans un maximum de précautions
        peut s’avérer néfaste pour l’abeille et les autres pollinisateurs.
        Chaque année, de nombreuses intoxications d’abeilles se produisent suite à une mauvaise utilisation de produits phytosanitaires.»

    1. Oui oui bien sur, le beau copier coller de zygomar a pour source agriculture-environnement du pseudo journaliste corrompu Rivière-Wekstein!!!
      Vous avez fait très fort !!!
      Un article de presse n’est pas une preuve irréfutable que l’UNAF s’enrichit avec les subventions allouées à l’opération Abeille sentinelle de l’environnement!!!

  3. @ Jose B.

    « Oui oui bien sur, le beau copier coller de zygomar a pour source agriculture-environnement du pseudo journaliste corrompu Rivière-Wekstein!!!
    Vous avez fait très fort !!! »

    == Et çà, c’est du Rivière-Wekstein??

    zygomar dit :
    11 février 2011 à 17:20

    *** http://www.observatoiredessubventions.com/2010/64-000-euros-pour-des-ruches-au-conseil-regional-d-aquitaine/

    Il n’ y a pas qu’en Aquitaine que les abeilles butinent l’argent du contribuable.

    *** Voir le Cri du Contribuable d’octobre 2009 :

  4. @José B.

    Pour réfuter le rackett de l’UNAF, vous concentrez vos attaques sur M.Rivière-Wekstein mais vous oublier ( volontairement?) qu’une autre source a été cité par Zygomar : Le Cri du Contribuable
    Enfin,il est trés facile de critiquer l’auteur d’un article et pas les faits: pouvez vous contester les chiffres détaillés par Zygomar?
    merci pour votre réponse

    1. Les chiffres détaillés ne sont pas une preuve de versement d’argent dans les caisses de l’UNAF!!!

  5. Observation utile pour Laurent Berthod et Cultilandes, on a toujours pas le début d’une preuve irréfutable que c’est un filon économique pour l’UNAF!!!!
    Dans la vidéo on ne parle jamais de versement d’argent dans les caisses de l’UNAF!!!
    Votre délire vous fait croire n’importe quoi!!!

    1. Que l’argent aille dans la caisse de l’UNAF ou dans les caisses des membres de l’UNAF…
      C’est même pire si cet argent public va à certains apiculteurs bien placés.
      L’UNAF a trouvé un bon filon en faisant le tour des Régions.

      1. Erreur de manip. Je reprends

        Daniel,

        Ils crient victoire un peu trop tôt. Ce n’est pas le jugement. Ce n’est que la position du rapporteur public (anciennement appelé commissaire du gouvernement).

  6. @ José.B :

    « Vous etes NUL zygomar, à la suite de l’article sur le site observatoiredessubventions que vous citez il y a ceci: source: http://www.agriculture-environnement.fr« ……

    ….. qui ne fait que reprendre et citer les chiffres donnés dans les sources que j’ai citées. GRW ne les a pas inventés!!

    1. Rivière-Wekstein a repris les chiffres d’un débat concernant le montant d’une subvention, rien n’indique que l’argent va dans les caisses de l’UNAF!!!

      1. Pour José Bourrin :

        L’opération « Abeilles sentinelles de l’environnement » est un partenariat entre l’UNAF et l’entreprise ou la Collectivité qui veut devenir partenaire.
        Une convention est signée entre l’UNAF et le partenaire, et personne d’autre.
        Par conséquent, le montant de l’enveloppe de partenariat ne peut aller que dans les caisses de l’UNAF, et nulle part ailleurs.
        Éventuellement, les sommes pourraient aller ailleurs (dans la poche des membres de l’UNAF, par exemple), mais dans ce cas, ce serait de l’abus de biens sociaux.
        Mais puisque José Bourrin a l’air persuadé que les sommes en question ne vont pas dans les caisses de l’UNAF, il a donc connaissance d’un délit et se doit d’en informer au plus tôt le Procureur de la république

  7. Article de 2009 dans Daily Nord: « le Conseil général du Pas-de-Calais qui héberge six ruches, en particulier sur ses toits. Une opération de communication, paraît-il. Son coût ? 10 000 euros d’installation et 10 000 autres euros par an durant trois ans (durée de la convention avec l’Unaf). Mais à ce prix là, le Département pourra jouir du nectar. Quand même! Sachant que la récolte espérée est de 40 kilos, le Cri du contribuable se livre à ce fort simple calcul: 500 euros le kilo de miel. »
    Réaction d’un lecteur:
    Sachez que je ne suis pas apiculteur; que jedemeure à Marseille et que je suis Président d’une association « Sous le Soleil de Provence » qui organise depuis 2 ans « Miel en Fête à Marseille » sur le parvis du stade Vélodrome. Manifestation qui connaît un succès au delà des espérances puisque le mois dernier, les apiculteurs (au nombre d’une vingtaine) ont vendu pour 3,5 tonne de miel sur une seule journée, sans compter les dérivés du miel (300 glaces au Miel, 60 kg de pain d’épice…), des chiffres communiqués par les apiculteurs eux-mêmes.

    L’UNAF avait sollicité la Ville de Marseille il y a 2 ans pour installer des ruches sur les bâtiments publics. Mais considérant le coût élevé demandé (celui que vous signalez), la Ville n’avait pas donné suite.
    Par contre, je viens de faire une étude que je vais présenter la semaine prochaine aux élus municipaux pour lancer le même projet avec en plus la création d’une miellerie municipale. Coût approximatif: moins de 5000 euros sur 3 ans…et le service de communication de la Ville est très performant.

    Il faudrait à un moment ou à un autre que les collectivités comprennent que l’on ne peut pas jouer impunément avec l’argent des contribuables. Marseille a su dire NON en son temps. Que d’autres en fassent de même et arrêtent de suivre aveuglément les demandes de l’UNAF même si, comme ce syndicat le justifie « c’est pour la communication et faire des procès… »

    http://dailynord.fr/2009/10/miel-pas-de-calais/

    1. Dans ces articles de presse rien n’indique que les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!!

  8. @ José B.

    === Vous savez lire oui ou merde?

    http://www.observatoiredessubventions.com/2010/64-000-euros-pour-des-ruches-au-conseil-regional-d-aquitaine/

    « …L’élu du Modem a proposé une réattribution du budget : 10 000 € à l’Unaf (Union nationale de l’Apiculture Française) pour son programme « Abeille sentinelle
    de l’environnement » et une enveloppe de 54 000 € pour soutenir sur le terrain l’apiculture et la profession apicole.

    Mais le président de l’Unaf n’entend pas perdre aussi facilement une telle manne financière et a fait parvenir à l’élu du Modem une lettre recommandée qui lui rappelle ses obligations face à la menace de la disparition des abeilles.

    Un programme de protection des abeilles qui justifie, aux yeux du président de l’Unaf, les 64 000 euros réclamés.

    Le syndicat apicole préférerait disposer de cette subvention à des fins de communication, plutôt que de voir ces sommes allouées à l’apiculture de l’Aquitaine… »

    1. Se ne sont que les commentaires de « observatoiredessubventions »!!!
      Encore une fois rien n’indique que les subventions vont directement dans les caisses de l’UNAF!!!

  9. @ José B

    « Mais le président de l’Unaf n’entend pas perdre aussi facilement une telle manne financière »

    — Pas assez clair pour vous?

    1. C’est toujours la meme histoire, ce ne sont que les propos de « observatoiredessubventions », rien n’indique que les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!!

  10. @ Cultilandes

    Merci pour ces documents très intéressants et dont la lecture est édifiante sur certains points.

    1. C’est vrai que la lecture est édifiante sur certains points!!!
      Par exemple:
      «Depuis plus de trente ans, de nombreuses molécules ont été mal homologuées et personne ne veut revenir en arrière.»

      «Ce qui nous semble dangereux, c’est le flou et les non dits. Un exemple ; Le produit PROTEUS a été homologué cet été sur colza.
      Ceci dit, mélanger sans autre forme de précaution, de la Deltaméthrine et du Thiaclopride, est bien raisonnable ? Vous savez que la Deltaméthrine, (emblématique des molécules mal homologuées dans le cadre de son utilisation pleine fleurs) du fait de sa rémanence, parvient à détruire des abeilles même lorsqu’elle est utilisée avant fleur. »

      «Mais savez-vous que l’on retrouve fréquemment des résidus de Thiaclopride, dans les miels de colza récoltés en Allemagne ou il est largement utilisé ? Je tiens à votre disposition une bonne dizaine de résultats d’analyses qui dépassent parfois 30ppb. Jusqu’à présent le scandale du miel pollué par des résidus de produits phytosanitaire nous avait été épargné.»

      René il faut vite envoyé ces bonnes infos au président de la région Aquitaine!!!

      1. Sur l’UNAF c’est encore plus édifiant. Le troll de service sélectionne soigneusement ce qui l’arrange !

  11. Depuis que les scientifiques allemands ont introduit VARROA en Europe il y a 28 ans, la bestiole a envahi tout le continent et l’apiculture n’est plus la même. Varroa n’est pas le seul responsable de ces changements dramatiques pour l’abeille et les apiculteurs, mais il y contribue fortement.

    ……….. En tout cas, « la question VARROA » reste entière et perturbe gravement la santé générale des abeilles. Il est indispensable de comprendre ce qui se passe et de trouver des solutions pratiques sur le terrain.

    ________________________________________________________________________________________
    COMMENT S’ETONNER QUE, DANS UNE FILIERE OU TOUT EST FAUX OU OPAQUE
    QUE CE SOIT
    o LE NOMBRE DE RUCHES ET DES APICULTEURS
    o LE VOLUME DE PRODUCTION
    o L’ETAT SANITAIRE
    o LE RECENSEMENT DES EFFETS DE LA POLLUTION
    o LES PRATIQUES APICOLES
    COMMENT S’ETONNER DISAIS JE EN INTRODUCTION, QUE RIEN NE SOIT VRAI ?

    Plutôt opaques pour des donneurs de lecons!!!!!

  12. Écologisation des politiques publiques et des pratiques agricoles, 16-18 mars 2011, Avignon.

    Colloque national organisé par l’unité de recherche Écodéveloppement (Inra PACA). Dans le jeu croisé entre volonté politique et réalités de terrain, ce colloque réunissant chercheurs et praticiens a pour ambition de faire l’état des connaissances et des enjeux qui renvoient à l’objectif d’écologisation des politiques publiques et des pratiques agricoles.

    Thèmes du colloque :

    * Les moteurs de l’écologisation : les processus qui tendent aujourd’hui à faire entrer les objectifs environnementaux dans l’action publique en faveur de l’agriculture. L’accent sera mis sur les interactions réciproques entre politiques et pratiques ;
    * Les connaissances scientifiques dans l’écologisation des politiques publiques : production de connaissances scientifiques permettant l’intégration de l’écologie aux activités agricoles ; place de ces connaissances dans la construction des politiques publiques ;
    * La mise en oeuvre et l’évaluation de modèles candidats : modes d’évaluation des politiques et des modèles de production en agriculture (aspects méthodologiques ou résultats des évaluations

  13. Vous parlez «d’actions de désinformation et de mensonge.» de la part de l’UNAF, mais vous etes un champion dans ce domaine!!!
    Avec un dossier vide vous voulez expliquer au président de la région Aquitaine qu’il s’était fait avoir par l’UNAF avec des « thèses absurdes sur l’influence des pesticides sur les abeilles.»!!!
    Dossier vide car vous avez demandé à Dany, Bombus, ME51 ou Wackes Seppi de PEUT-ETRE rédiger une note circonstanciée demandée par le président de la région Aquitaine !!!
    Le président de la région Aquitaine va t-il etre sensible à votre «grossière action de désinformation et de mensonge» basée sur un PEUT-ETRE ?

    1. Alors ducon, on change de sujet maintenant qu’on a le nez dans son caca…
      Technique de troll puant. Alors qu’avez vous à répondre à vos mensonges
      ——
      José.B dit :
      12 février 2011 à 18:13

      C’est toujours la meme histoire, ce ne sont que les propos de « observatoiredessubventions », rien n’indique que les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!!
      ——-
      Si l’argent du contribuable va dans les caisses de ces racketteurs. Et vous avez encore une fois démontré votre bêtise, votre malhonnêteté et la connerie profonde de vos écrits !
      Serez vous capable d’écrire « je me suis trompé, l’argent du contribuable va bien dans les caisses de l’UNAF pour mener des actions de désinformation » ?

      1. Vous n’avez rien compris à la convention signée entre le Conseil Régional d’Aquitaine et l’UNAF, celle-ci est pourtant claire!!!
        Le Conseil Régional d’Aquitaine et l’UNAF sont des partenaires du programme « Abeille, sentinelle de l’environnement »
        Le Conseil Régional d’Aquitaine, conscient du problème de la disparition des abeilles, s’engage à financer ce programme pour des actions qui sont précisées dans la convention et dans un but bien précis, alerter le grand public de la disparition des abeilles et tenter de protéger aussi bien l’abeille que l’apiculture qui en dépend.!!!
        Avec ce financement l’UNAF engage les dépenses nécessaires à la réalisation du programme sous le controle du Conseil Régional d’Aquitaine!!!
        Ce financement ne part pas dans les caisses de l’UNAF pour mener des « actions de désinformation » que vous voulez démontrer avec des PEUT-ETRE que les pesticides n’ont pas d’influence sur les abeilles!!!
        Votre bétise n’a pas de limites!!!
        A vous d’écrire:« je me suis trompé, l’argent du contribuable ne va pas dans les caisses de l’UNAF pour mener des actions de désinformation »!!!

        1. @José.B :
          « Vous n’avez rien compris à la convention signée entre le Conseil Régional d’Aquitaine et l’UNAF, celle-ci est pourtant claire!!!
          Le Conseil Régional d’Aquitaine et l’UNAF sont des partenaires du programme « Abeille, sentinelle de l’environnement »
          Le Conseil Régional d’Aquitaine, conscient du problème de la disparition des abeilles, s’engage à financer ce programme pour des actions qui sont précisées dans la convention  »

          ===> Il n’y a pas que le programme de sensibilisation qui est financé par la région! Il y a également l’installation et l’entretien de ruches sur le toit de l’h^tel de région pendant 3 ans, à grand frais, il faut bien le noter!

  14. @José.B :
    12 février 2011 à 18:13

    « C’est toujours la meme histoire, ce ne sont que les propos de « observatoiredessubventions », rien n’indique que les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!! »

    Il n’ y a pas qu’en Aquitaine que les abeilles butinent l’argent du contribuable. Voir le Cri du Contribuable d’octobre 2009 :

    En 2005, 8 ruches avaient été installées sur l’Hôtel de Région Languedoc Roussillon

    La région Languedoc Roussillon avait dépensé 180 000 euros pour soutenir la filière apicole.

    Par ailleurs la région avait financé le syndicat apicole de Lozère dont le président est Henri Clément, également président de… l’Unaf :

    15 000 euros pour se rendre à l’événement Apimondia qui se déroulait en 2007 à Melbourne en Australie.

    ===>Par ailleurs la région avait financé le syndicat apicole de Lozère dont le président est Henri Clément, également président de… l’Unaf :

    °°°°°° La région a financé le syndicat apicole de Lozère … président de l’UNAF
    En bon français, çà signifie bien que la région a donné de l’argent du contribuable au président de l’UNAF. La question peut également se poser: l’argent est allé dans les caisse de l’UNAF ou dans celles de son président?

    ===> 15 000 euros pour se rendre à l’événement Apimondia qui se déroulait en 2007 à Melbourne en Australie.

    °°°° Toujours en bon français: le contribuable, par l’intermédiaire de la Région a financé, ce qui veut bien dire  » a donné de l’argent, non? A hauteur de 15000 euros pour que quelqu’un de l’UNAf aille se balader à Melbourne; non? A ce prix là, Il a dû y aller en première classe et séjourner dans un palace …..

    JoséB., ne jouez pas sur les mots pour essayer de vous en sortir. La région a bel et bien versé le pognon du contribuable dans les caisses de l’UNAF, que vous le vouliez ou non.

    1. Votre bla bla ne remet pas en cause le programme à but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!
      Vous citez le Cri du Contribuable d’octobre 2009 pour tenter de discréditer l’UNAF, mais vous n’avez pas fait l’effort de vérifier la crédiblité de vos copier-coller notamment celui mettant en cause sans arguments le déplacement à Melbourne en Australie.
      Encore une fois rien n’indique que dans Le programmeà but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement » les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!!

      1. « mettant en cause sans arguments le déplacement à Melbourne en Australie. »

        ===> Quoi « mettre en cause ». Je ne mets rien « en cause »! Je constate simplement que la Région a indiqué qu’elle mettait 15000 euros sur la table de l’UNAF pour payer le ou les déplacements de certaine (s) personne(s) pour assister à un congrès à Melbourne. Je ne vois pas
        pourquoi ce serait le contribuable aquitain qui paierait pour que le président de l’UNAF ou quelqu’un d’autre aille assister à un congrès Melbourne Pourquoi l’UNAF ne paie-t-elle pas les frais de déplacement de son Président?

        1. Si la région a payé le déplacement d’une délégation de l’UNAF à Melboune c’est qu’elle avait certainement de bonnes raisons de le faire!!!!
          Le 41eme Congrès international APImondia, du 15 au 21 deptembre 2009 à Montpelliers cela ne vous dit rien?

  15. René vous avez oublié de mentionner ceci dans la convention:« Dans le cadre du projet « L’Abeille, sentinelle de l’environnement », opération de sensibilisation, à but non lucratif,…»
    A but non lucratif vous ne savez pas ce que cela veut dire!!!
    La mention «versera à l’UNAF» ne veut donc pas dire financement d’un syndicat apicole, mais financement d’un programme appelé « Abeille, sentinelle de l’environnement » dans lequel des actions sont menées, notamment sensibiliser le public aux «pratiques agricoles inadaptées (emploi abusif de produits phytosanitaires de plus en plus toxiques…)»
    Et c’est surtout ce dernier point que vous appelez « actions de désinformation» de l’UNAF,« actions de désinformation » que vous ne pouvez toujours pas démontrer!!!

    1. A but non lucratif?
      L’argent va bien quelque part, dans quelque poche!
      Que l’UNAF, avec ces subventions, rétribue des salaires, des honoraires ou des indemnités, peu importe: cela va quelque part.
      Les apiculteurs qui mettent leurs ruches sur les bâtiments publics sont rémunérés. De même ceux qui font des « actions de sensibilisation ». L’UNAF a probablement un secrétariat salarié, un ou des avocats…

      1. Les collectivités territoriales qui s’engagent avec l’UNAF ne sont pas irresponsables!!!
        Elles exercent comme il se doit un controle sur la bonne utilisation des subventions allouées au programme à but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!

  16. @ José B.

    Faudrait quand même arrêter de faire chier en jouant constamment au con mon vieux. Votre mauvaise foi incessante devient véritablement lassante:

    Art.5– Participation financière du Conseil régional d’Aquitaine

    ==> « Participation financière », çà veut bien dire versement d’argent.

    Le Conseil régional d’Aquitaine, en devenant partenaire de l’UNAF dans le cadre du programme
    « Abeille, sentinelle de l’environnement », versera à l’UNAF :

    == > »versera à l’UNAF »: çà veut quand même bien dire versement des sommes d’argent indiquées à l’UNAF!

    – La somme de 16 400 € pour l’adhésion au programme Abeille, sentinelle de
    l’environnement et l’installation des 8 ruches sur le toit de l’Hôtel de région – bâtiment Croix
    des Fontaines

    ==> « installation de 8 ruches sur le toit de l’Hôtel de Région »: çà ne concerne pas que le financement des actions de propagande…

    – La somme de 16 000 € par an pendant 3 ans pour le suivi et les actions de sensibilisation
    Convention en date du 30/11/2010

    – 7-
    UNAF – 26, rue des Tournelles – 75 004 PARIS – Tel. 01 48 87 47 15 – Fax 01 48 87 76 44
    Abeille, sentinelle de l’environnement – Sup Agro – 2 place Viala-34060 Montpellier cedex 1 – Tel : 04 99 61 21 78 – Fax : 04 99 61 29 68

    Le soutien financier du Conseil régional d’Aquitaine s’effectuera tous les ans, pendant 3 ans,

    ==> « le soutien financier »: à votre avis que cela veut-il dire? Ce n’est pas un « soutien moral »…Les sommes concernées et l’échéance de leurs versements sont clairement indiqués.

    après adoption du dossier en Commission Permanente (CP), de la façon suivante :
    – CP novembre 2010 : adhésion au programme – installation et suivi 2011 des ruches : 32 400 €
    – CP 3ème trimestre 2011 : suivi 2012 des ruches : 16 000 €
    – CP 3ème trimestre 2012 : suivi 2013 des ruches : 16 000 €

    Ce soutien financier correspond à :

    ===> Encore!!

    – L’installation de 8 ruches en 2011, le suivi annuel et la récolte de miel de ces ruchers pendant
    3 ans,

    – La Promotion nationale du programme et de la Charte « Abeille, sentinelle de
    l’environnement »,
    – La défense de l’abeille et des pollinisateurs sauvages

    – Le soutien à l’UNAF (frais juridiques, actions nationales, etc)

    ==> Le soutien à l’UNAF (frais juridiques, actions nationales)

    ==> C’est clair que la Région verse de l’argent à l’UNAF pour couvrir certains de ses frais qui ne sont pas seulement « apicoles »!! C’est on ne peut plus clair!

    Le règlement s’effectuera selon les conditions précisées dans l’arrêté ou convention d’attribution.

    ==> Le règlement s’effectuera: c’est clair, non? Le réglement, çà veut bien dire le paiement.

    « selon les conditions précisées dans l’arrêté ou convention d’attribution »

    ===> Extrait de la convention signée entre le Conseil Régional d’Aquitaine et l’UNAF

    Que voulez-vous de plus abruti?

  17. @ José.B :

    « René vous avez oublié de mentionner ceci dans la convention:« Dans le cadre du projet « L’Abeille, sentinelle de l’environnement », opération de sensibilisation, à but non lucratif,…»
    A but non lucratif vous ne savez pas ce que cela veut dire!!! »

    José B., c’est vous qui ne savez pas ou ne voulez pas connaître la signification de « à but non lucratif »!!

    Art 2 : Installation des ruches
    2.1 : lieu d’installation
    Dans le cadre du projet « L’Abeille, sentinelle de l’environnement », opération de sensibilisation, à but non lucratif, L’UNAF met en oeuvre l’installation d’un rucher de 8 ruches peuplées et installées par ses soins sur : la toiture de l’Hôtel de Région (au niveau de la plateforme)

    ===> Une association « à but non lucratif » est une association qui n’a pas le droit de faire des bénéfices, du profit! A but non lucratif n’a jamais signifié « ne pas recevoir de subventions »…. Si c’était le cas, le contribuable français ferait des drôles d’économies quand on voit les quantités monstrueuses de pognon distribué larga manu par les bureaucrates et les politiciens de tous poils à toutes sortes d’associations pour toutes sortes de raisons (surtout clientélistes et électoralistes).
    Par conséquent votre interprétation vicelarde et tordue de « à but non lucratif » tombe à plat, mon vieux. L’UNAF est bel et bien financée par l’argent du contribuable.

    1. Les collectivités territoriales qui s’engagent avec l’UNAF ne sont pas irresponsables!!!
      Elles exercent comme il se doit un controle sur la bonne utilisation des subventions allouées au programme à but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!
      Par conséquent, la Région ne verse pas de l’argent à l’UNAF pour couvrir certains de ses frais qui ne sont pas seulement « apicoles»!!!
      Prenez-vous les élus pour des imbéciles????

      Par ailleurs, une CONVENTION DE PARTENARIAT entre l’UNAF et la région pour une opération de sensibilisation à but non lucratif n’a rien à voir avec une association « à but non lucratif », vous délirez une fois de plus!!!
      Par conséquent, contrairement à vos phantasmes, l’UNAF n’est pas financée par l’argent du contribuable dans le programme « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!

  18. José.B :

    « René vous avez oublié de mentionner ceci dans la convention:« Dans le cadre du projet « L’Abeille, sentinelle de l’environnement », opération de sensibilisation, à but non lucratif,…»
    A but non lucratif vous ne savez pas ce que cela veut dire!!! »

    ==> Voir mon commentaires ci-dessous sur ce sujet.

    « La mention «versera à l’UNAF» ne veut donc pas dire financement d’un syndicat apicole, mais financement d’un programme appelé « Abeille, sentinelle de l’environnement » dans lequel des actions sont menées »

    ===> Vous êtes vraiment con à ce point l ou bien c’est uniquement pour vous donner le plaisir de faire chier la compagnie?

    Explication de texte: « Versera à l’UNAF »: versera veut bien dire « donnera », paiera », de l’argent. L’UNAF, le destinataire du ou des versements est bien un « syndicat apicole », non? Alors? C’est bien comme vous le dites le  » financement d’un programme » et le-dit programme sera entrepris et effectué par l’UNAF, non? Et pour effectuer ce programme, l’UNAF, syndicat apicole, recevra de l’argent de la Région. Alors la boucle est bouclée!

    1. Finalement comme vous dites l’argent versé à l’UNAF sert bien à la réalisation du programme de sensibilisation et non pas au financement ordinaire du syndicat apicole l’UNAF!!!
      Sous le controle des élus de la région cette opération de sensibilisation est à but non lucratif pour l’UNAF!!!

      1. @ José.B :

        Finalement comme vous dites l’argent versé à l’UNAF

        ==> Bravo! Vous admettez qu’il y a de l’argent versé à l’UNAF!!

        sert bien à la réalisation du programme de sensibilisation et non pas au financement ordinaire du syndicat apicole l’UNAF!!!

        ===> + les ruches sur le toit pendant 3 ans + les frais d’avocats et autres + les frais de déplacement à un congrès comme clairement prévu par la convention…..

  19. « Encore une fois rien n’indique que dans Le programmeà but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement » les subventions vont dans les caisses de l’UNAF!!! »

    ===> Donc vous admettez qu’il y a des subventions! C’est déjà un progrès.
    Maintenant où vont ces subventions? En principe et d’après l’article 5 de la convention passée entre le Conseil régional d’Aquitaine et son « partenaire » l’UNAF, les subventions vont bien à l’UNAF afin de réaliser un programme de sensibilisation…..
    Si rien n’indique d’après vous que ces subventions vont bien dans les caisses de l’UNAF, il faut se demander où ailleurs elles aboutissent. Logique non?

  20. @ José.B :

    « Les collectivités territoriales qui s’engagent avec l’UNAF ne sont pas irresponsables!!! »

    Elles exercent comme il se doit un controle sur la bonne utilisation des subventions allouées

    ===> Tu parles! Et un grand nïf en plus! Vous devriez lire un peu les rapports annuels des Cours régionales des Comptes pour vous rendre compte du haut degré de responsabilité des administrations régionales quand il s’agit de la distribution et de la gestion de l’argent de nos impôts

    au programme à but non lucratif « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!

    ===> Quand il s’agit d’engraisser l’environnement et l’escrologie, rien n’est trop beau!

  21. Par conséquent, la Région ne verse pas de l’argent à l’UNAF pour couvrir certains de ses frais qui ne sont pas seulement « apicoles»!!!

    ==>> Mais vous mentez comme vous respirez! Relisez le texte de la convention entre Région et UNAF, outre le « programme de sensibilisation », il y a également l’installation et l’entretien des ruches sur le toit du batiment + « Le soutien à l’UNAF (frais juridiques, actions nationales, etc)+ 15000 euros de frais de déplacement à un congrès à Melbourne…….

    Par ailleurs, une CONVENTION DE PARTENARIAT entre l’UNAF et la région pour une opération de sensibilisation à but non lucratif n’a rien à voir avec une association « à but non lucratif », vous délirez une fois de plus!!!

    ==> Je n’ai pas parlé d’association à but non lucratif j’ai simplement expliqué le sens de la formule « à but non lucratif », ne jouez pas constamment au con.

    Par conséquent, contrairement à vos phantasmes, l’UNAF n’est pas financée par l’argent du contribuable dans le programme « Abeille, sentinelle de l’environnement »!!!

    ===> Et les subventions de la Région prévues par la convention, il viendrait d’où d’après vous si ce n’est pas de la poche du contribuable?

    Le soutien financier du Conseil régional d’Aquitaine s’effectuera tous les ans, pendant 3 ans, après
    adoption du dossier en Commission Permanente (CP), de la façon suivante :
    – CP novembre 2010 : adhésion au programme – installation et suivi 2011 des ruches : 32 400 €
    – CP 3ème trimestre 2011 : suivi 2012 des ruches : 16 000 €
    – CP 3ème trimestre 2012 : suivi 2013 des ruches : 16 000 €
    Ce soutien financier correspond à :
    – L’installation de 8 ruches en 2011, le suivi annuel et la récolte de miel de ces ruchers pendant
    3 ans,
    – La Promotion nationale du programme et de la Charte « Abeille, sentinelle de
    l’environnement »,
    – La défense de l’abeille et des pollinisateurs sauvages
    – Le soutien à l’UNAF (frais juridiques, actions nationales, etc)

    1. Oui les subventions viennent bien de la poche du contribuable mais il faut vous le rappeler sans cesse, elle sont utilisées dans le cadre d’une CONVENTION DE PARTENARIAT entre l’UNAF et la région pour une opération de sensibilisation à but non lucratif, et non pas pour le financement ordinaire du syndicat apicole l’UNAF!!!
      Concernant Melbourne,si la région a payé le déplacement d’une délégation de l’UNAF à Melboune c’est qu’elle avait certainement de bonnes raisons de le faire!!!!
      Le 41eme Congrès international APImondia, du 15 au 21 deptembre 2009 à Montpelliers cela ne vous dit rien?

  22. « Par ailleurs, une CONVENTION DE PARTENARIAT entre l’UNAF et la région pour une opération de sensibilisation à but non lucratif n’a rien à voir avec une association « à but non lucratif », vous délirez une fois de plus!!! »

    ===> L’UNAF n’est évidemment pas une « association » mais un « syndicat » et en tant que tel, il conctitue un organisme à but non lucratif, c’est à dire qu’il n’est pas autorisé à faire des preofits ou des bénéfices. Il est cependant autorisé à recevoir des subventions (demandez à la CGT, à la CFDT et autres, s’ils ne sont pas grassement subventionnés avec nos impôts).

    1. Il faut ajouter que les subventions qui sont destinées au programme « Abeille, sentinelle de l’environnement » ne sont pas des subventions reçues par le syndicat l’UNAF pour le fonctionnement ordinaire de ce syndicat!!!
      Vous fabriquez des complications là ou il n’y en a pas dans le but de discréditer l’UNAF!!!

      1. « Vous fabriquez des complications là ou il n’y en a pas dans le but de discréditer l’UNAF!!! »

        ===> Pas besoin de discréditer l’UNAF! Elle se discrédite bien toute seule par ses déclarations et ses actions fracassantes basées sur des mensonges et des fabrications, ses pratiques de financement douteuses aux frais des contribuables, etc….

  23. Bon, pour mettre tout le monde d’accord :

    1° Le conseil régional finance l’UNAF pour le programme « Abeille, sentinelle de l’environnement », qui est un programme de désinformation du public. 🙁

    2° Le conseil régional avait certainement de bonnes raisons de financer le voyage du président de l’UNAF à Melbourne et ça fait un peu penser aux bonnes raisons qu’avait Moubarak de financer celui de Fillon en Égypte, la différence étant que dans le premier cas c’est le contribuable aquitain qui a payé, dans le second le contribuable égyptien ! 🙁

    3° Le conseil régional finance les frais juridiques de l’UNAF autrement dit le coût des procès aux firmes phytopharmaceutiques. Est-ce que c’est vraiment dans l’intérêt du contribuable aquitain de contribuer au règlement de compte idéologique de gauchistes à la con contre le capitalisme qu’ils vomissent ? Vivent les soces ! Depuis le programme commun ils n’ont pas changé ! Et ceux du conseil régional Aquitaine n’ont pas supporté le bouquin qui dénonce la paresse et l’incompétence qui règne dans les services de leur Région ! 🙁

    1. Il ne suffit pas de dire que «Le conseil régional finance les frais juridiques de l’UNAF autrement dit le coût des procès aux firmes phytopharmaceutiques», il faut présenter des arguments qui le confirme, sinon vous etes un beau menteur!!!

      1. Qu’est-ce que l’Unaf peut avoir d’autre comme frais juridiques ? Des frais d’avocats pour des licenciements de permanents ? Des frais d’avocats pour des procès qui lui seraient faits en diffamation ? José. B vous êtes toujours aussi nul. Le menteur, la petite merde morale, le falsificateur, le diffamateur, le gros troll qui pue, sur ce forum, c’est vous.

  24. « contribuer au règlement de compte idéologique de gauchistes à la con contre le capitalisme qu’ils vomissent ? » En tant que gauchiste je me permet de vous faire remarquer que le chemical bashing est un sport qui dépasse largement les clivages, et que tout les bords politiques lèchent l’anus des écologistes pour grappiller des vois. C’est pas parce que les bobos gauchissant trouvent que c’est de bon ton d’être écologistes que les fondements idéologiques de gauche deviennent d’une pierre deux coups

  25. S’il faut retenir une chose de cette « conversation » avec JoséB. c’est que l’UNAF a trouvé une extraordinaire pompe à fric avec son pseudo-programme « L’abeille, sentinelle de l’environnement ». J’écris ‘pseudo-programme’ parce qu’il est clair que c’est un faux-nez et qu’en fait, l’UNAF fait financer sa propre communication, et davantage encore, par les pouvoirs publics régionaux et locaux.

    À quoi s’engage un « partenaire » :

    « L’UNAF et le partenaire signent une convention de partenariat qui comprend :
    •Le soutien aux actions de L’UNAF pour la défense des abeilles et des pollinisateurs sauvages (actions juridiques, manifestations, etc),
    •L’installation d’un rucher de 6 ruches sur le territoire du partenaire,
    •L’entretien et le suivi de ce rucher,
    •La récolte et l’analyse du miel du rucher,
    •Des supports pédagogiques sur l’apiculture : exposition, dépliant, livre, revue apicole
    •La promotion du partenaire au niveau national et local : conférences de presse, salons, congrès, interviews, communiqués, site internet, affiches, etc. »

    http://www.abeillesentinelle.net/tous-savoir-sur-le-programme-abeille.html#Q_protectionINPII

    C’est quoi « soutien aux actions de L’UNAF » ? Tout.

  26. @ José.B :

    Il ne suffit pas de dire que «Le conseil régional finance les frais juridiques de l’UNAF autrement dit le coût des procès aux firmes phytopharmaceutiques», il faut présenter des arguments qui le confirme, sinon vous etes un beau menteur!!!

    ===> Mais personne d’autre que la convention entre Région et UNAF ne le dit! C’est écrit noir sur blanc dans la dite convention.: « frais juriques ». Vous niez simplement l’évidence mon vieux:

    – « Le soutien à l’UNAF (frais juridiques, actions nationales, etc) »

    1. Vous etes complétement bouché, quelle est la part des subventions concernée par les frais juridiques? Vous l’ignorez donc vous ne pouvez pas dire que ces frais financent le coût des procès aux firmes phytopharmaceutiques!!!

      1. La convention avec le syndicat des apiculteurs du Morbihan doit être signée, jeudi soir, au conseil municipal de Lorient. Au printemps, la ville aux cinq ports installera sept ruches au parc Chevassu et sur le toit de sa mairie. Elles abriteront chacune quelque 60 000 abeilles, soit un total de 420 000 butineuses au plus fort du printemps.

        http://www.lorient.maville.com/actu/actudet_-420-000-abeilles-butineront-a-Lorient-au-printemps_dma-1687664_actu.Htm

        Sur le site du  » syndicat  »

        Aides a l’UNAF

        > Le syndicat des apiculteurs d’Ille et Vilaine et de Haute Bretagne comme d’autres syndicats français apporte une contribution financière a l’UNAF pour couvrir les frais de justice engagés pour les combats des apiculteurs contre les produits phytosanitaires

        http://docs.google.com/viewer?a=v&pid=sites&srcid=ZGVmYXVsdGRvbWFpbnxhcGljdWx0dXJlMzV8Z3g6NDIyYmI5NzgyN2VlM2QxZQ

      2. José.B dit :

        Vous etes complétement bouché, quelle est la part des subventions concernée par les frais juridiques?

        ===> On pourrait le savoir, si l’UNAF publiait honnêtement ses comptes, ce qui devrait être exigé par les bailleurs de fonds (et comme la loi les y oblige) qui distribuent les deniers des contribuables.

  27. Personnellement je suis un exploitant agricole spécialisé dans la production de miels en GAEC
    L’UNAF par ses incessantes communications anti produits phytosanitaires et OGM intoxique le grand public et les élus laissant entendre que les abeilles sont victimes d’intoxications généralisées
    Il ne se passe pas une semaine sans que nos clients consommateurs de miels nous demandent si nos abeilles et donc nos miels ne sont pas empoissonnés par les pesticides
    L’Unaf par sa croisade inappropriée est un organisme fossoyeur de mon métier

    1. http://www.beekeeping.com/spmf/bulletin_dec_2010.pdf
      «Mais savez-vous que l’on retrouve fréquemment des résidus de Thiaclopride, dans les miels de colza récoltés en Allemagne ou il est largement utilisé ? Je tiens à votre disposition une bonne dizaine de résultats d’analyses qui dépassent parfois 30ppb. Jusqu’à présent le scandale du miel pollué par des résidus de produits phytosanitaire nous avait été épargné.»

      1. Dans le rapport SPMF cité il n’est pas dit sur quel pourcentage d’analyses porte ces 12 analyses qui visiblement sont une anomalie par rapport a un usage normal de ce produit

        Voir

        Proteus
        Modalités d’usage :
        2 applications maximum par campagne et 1 seule application sur méligètes
        Pas d’applications en présence de fleurs
        Le produit ne dispose pas a ce jour de la « mention abeille » ( demande en cours )

        http://www.cetiom.fr/fileadmin/cetiom/regions/Est/2010/RTR/9-solutions__insecticides_meligethe_CETIOM_RTR_2009.pdf

    1. Rien à voir avec l’opération « L’abeille, sentinelle de l’environnement »!!!

  28. José.B :

    « Rien à voir avec l’opération « L’abeille, sentinelle de l’environnement »!!! »

    ===> Qu’en savez-vous? Alors si ce n’est pas pour cette opération particulière, c’est pour une autre ou c’est pour des frais de fonctionnement. De toutes façons c’est une subvention du contribuable francilien à l’UNAF. C’est indiscutable, quel que soit le motif.

  29. @ José.B:

    « Vous etes complétement bouché, quelle est la part des subventions concernée par les frais juridiques? Vous l’ignorez donc vous ne pouvez pas dire que ces frais financent le coût des procès aux firmes phytopharmaceutiques!!! »

    ===> De la même manière que vous ne pouvez pas non plus dire que ce n’est le cas. La Région Aquitaine verse des subsides à l’UNAF qui peut s’en servir pour couvrir des frais juridiques quels que soient la nature des dits frais.

  30. L’enquête du SNA( Syndicat National de l’Apiculture ), publiée dans l’Abeille de France de Mai 2010 indique pour l’hiver 2010, pour la Champagne Ardenne, région de grande culture, un taux de mortalité de 4 % (ce qui est très peu) contre 40 % pour l’Auvergne région qui n’en est pas

    Cela rejoint les conclusions de l’étude d’Eric Haubruge de l’Université de Liège, établi sur trois ans, publié en 2008 (Les abeilles ont le bourdon), qui avait montré qu’il y avait, en Belgique, une corrélation négative entre les pertes en zone de grande culture et celles en régions qui n’en n’étaient pas.

    1. Merci pour l’info, 4% de perte en Champagne Ardenne contre 40% en Auvergne,région principalement de prairies et d’élevage,devrait interloqué plus d’un anti-pesticide!!!!!
      Mais il en est bien sûr rien!!!!!
      Au fait combien de pertes en ville?

    2. Il y a aussi beaucoup de forêt en CA… mais aussi en Auvergne, j’en doute pas. Vous pouvez donner le détail région par région? ça serait intéressant de comparer les surfaces forêt/pérennes/grandes cultures/prairies/urbanisé et le taux de survie des abeilles…

  31. Qui etes-vous pour lancer cette polémique?
    Je commencerais par me présenter : apiculteur pluri-actif, j’ai connu il y a 2 ans de gros problème d’empoisonnements de mes abeilles par des traitements de cultures avoisinant mes ruchers. La seul insitution apicole qui m’a apporté son aide, sa compétence et son soutien fut l’UNAF. Ce syndicat se veut fédérateur et sait rassembler un très large public pour la cause des abeilles. C’est grâce à l’UNAF que l’on peut espérer le retrait prochain du Cruiser 350 et que le Gaucho et Régent TS ont été interdits par le passé. Cela s’est fait grace à un travail énorme et une détermination sans faille.

    Derière le problème des pesticides se cachent des firmes monstrueuses aux ramifications tentaculaires. Elles, n’ont pas besoins de mettre en oeuvre un programme pour récolter des fonds. En connaissant le sujet, on sait tous les liens malsains qui les rapprochent des povoirs législatifs et exécutifs. L’UNAF s’emploi sans relache pour la sauvegarde des abeilles. « L’abeille sentinelle » aura par ailleurs vulgarisé notre activité et nos produits. Pourquoi s’en plaindre dans un contexte si difficile? Et ne nous cachons pas derrière l’image des produits de la ruche sains et naturels. En lisant certains commentaires on peut voir que le credo serait plutot « Sauve qui peut ! » Mais oui le miel est potentiellement contaminé par les toxiques présents dans l’environnement, oui l’apiculture est allée trop loin pour sa sauvegarde économique.

    Aujourd’hui, le père d’un enfant de 10 ans est venu me voir. Son fils voue une véritable passion pour les abeilles. J’ai eu mes premiers essaims à cet age et c’est pour les mômes de demain que je veux me battre, au coté de l’UNAF entre autre.

    1. Bonsoir,peut on savoir de quelle région vous êtes et quelles sont les cultures avoisinants vos rûches. Merci.

    2. Pour votre information,le Gaucho est toujours homologué et utilisé en traitement de semence sur céréales et betteraves sucrières.
      Même si ces plantes ne sont pas méllifères,on nous a assez rabaché que la matière active pouvait se retrouver l’année d’après dans d’autres plantes comme du Colza par exemple et provoquer des dégats sur les abeilles.
      Hors ma région Champagne Ardenne,consommatrice de Gaucho et de nombreux pesticides a eu en 2010 des pertes hivernales très basse,4% et une récolte de miel exceptionnelle, souvent plus de 80 kg de miel par rûches et une (pourquoi pas d’autres !!) a plus de 120 kg!!!

      Es ce qu’un apiculteur peut expliquer qu’une année les pesticides font d’énormes dégats et que l’année d’après c’est tout l’inverse et ceci avec autant et les mêmes pesticides????

    3. Orain: « C’est grâce à l’UNAF que l’on peut espérer le retrait prochain du Cruiser 350 et que le Gaucho et Régent TS ont été interdits par le passé. Cela s’est fait grace à un travail énorme et une détermination sans faille.  »

      Votre but, celui d’une action syndicale, ce ne devrait pas être de faire interdire tel ou tel produit, mais d’obtenir le seul résultat qui devrait compter: la bonne santé et la bonne productivité de vos ruches!
      Manifestement, les interdictions successives de pesticides sur les cultures ne permettent pas d’aboutir à ce résultat. Vous devriez vous remettre en cause!

      1. La bonne santé et la bonne productivité des ruches c’est le role de la formation apicole, CFPPA, ruchers écoles, etc.
        L’action syndicale c’est ce que font, l’UNAF, le SNA, le SPMF et autres organisations en dénonçant les dégats des pesticides notamment sur les abeilles qui sont la raison d’être de la l’apiculture!!!

  32. Encore un apiculteur qui récite la propagande nauséabonde de L’UNAF.

    Vous incriminez les pesticides alors que les agriculteurs font tout pour en limiter l’utilisation et les nuisances environnementales. Combien de matières actives ont été retirées du marché depuis 10 ans?

    Les pesticides retrouvés dans les ruches sont en grande majorité ceux utilisés par les apiculteurs eux mêmes pour combattre le varroa. Fluvalinate et coumaphos, de bonnes molécules de synthese. Les apiculteurs ont été bien content de trouver ces molécules chez, je vous cite, « les firmes monstrueuses aux ramifications tentaculaires ».

    Quant à l’abeille sentinelle de l’environnement, je ne recommencerais pas ma démonstration. L’abeille domestique est du bétail que l’on élève, que l’on soigne, que l’on déplace. Seulement l’apiculture est devenue un élevage difficile avec l’arrivée du varroa et les différentes maladies virales. Il faut être très compétent. Vous n’allez quand même pas reprocher aux agriculteurs l’arrivée du varroa et de Nosema ceranae? Prenez un peu vos responsabilités. Vous trouvez normal que des essaims arrivent en France depuis l’autre hémisphère? Commencez par faire votre autocritique et arrêtez de trouver un bouc émissaire à vos problèmes.

    L’abeille qui vit mieux à la ville qu’à la campagne est une grosse arnaque. Déjà les colonies en ville sont peu nombreuses et en plus elles bénéficient de tous les soins possibles. Elles sont chouchoutées. C’est LA vitrine de l’UNAF pour prouver que la campagne est polluée par les agriculteurs. » Regardez, en ville les abeilles sont en pleine forme alors qu’elles meurent dans les champs ». Foutaise et propagande. Si en plus ça rapporte des sous…

    L’UNAF se fout de la biodiversité. Pour combattre le frelon asiatique, ils préconisent d’installer des pièges alimentaires qui piègent sans aucune sélectivité. Le muséum d’histoire naturelle a prouvé que ces pièges étaient très préjudiciables pour l’environnement parce qu’ils piègent les frelons européens, des abeilles solitaires et beaucoup de diptères. Pourtant tout cela est encouragé par l’UNAF. Ils conseillent aussi de détruire les nids à l’automne quand on commence à les voir à la chute des feuilles alors que les futures reines fondatrices sont déjà parties et que de toute façon un essaim de Vespa velutina ne vit qu’une saison. Tout cela montre leurs compétences en matière de biodiversité.

  33. Bonjour à tous,

    J’aurais besoin de gens très informés et aux commentaires toujours pertinents comme Bombus, Cultilandes ou Dany pour m’aider à préparer un dossier abeille pour communiquer à des élus.
    Serait-il possible que vous me contactiez sur renepessac33-abeilles »at »yahoo.fr en remplaçant le « at » par le symbole qui va bien.
    Merci

  34. Bonjour à toutes et à tous.

    allons ! il ne faut pas chercher qui est derrière. et bien je pense moi petite abeille que le SNA est idem que tout autre syndicat apicole. Le SNA , je connais que trop bien, et je ne veux pas travailler pour lui. on ne se croirait pas en démocratie, car derrière … c’est la manipulation, des offres de subventions etc … enfin tout ce que vous soulevez contre l’UNAF se trouve aussi dans un autre syndicat, en main gantées est la différence.

    n’adhérez ni à l’un ni à l’autre, prenez les revues tantôt à l’un tantôt à l’autre,

  35. Bonjour à tous ;
    vous menez un double débat qui me semble être la base d’une mauvaises fois bien partagée!
    >D’un coté vous parler de fonds attribués par une collectivité territoriale à une organisation de défense de l’abeille,l’UNAF, qui oui se finance entre autre grâce à son projet »abeille de l’environnement ». Cette collectivité peut-être légitimement attaquée pour ces choix, et en générale c’est le fait de citoyens qui s’expriment tout aussi légitimement quelque soient leurs objectifs. On peut également se demandé si ces citoyens dans ce cas non pas un double objectif, parlant de finances publiques pour atteindre une des principales organisation environnementale, dérangeante pour les lobbys de l’agro-chimie, ayant une écoute médiatique.
    D »un autre un défenseur de l’abeille qui voit dans l’UNAF la seul organisation ayant droit de citer dans les médias; et qui soutient avec des arguments jamais injurieux liés à sa lutte cette même organisation, tout en ayant visiblement l’idée que le débats est double.
    Pour moi qui suis apiculteur de profession non adhérent à l’UNAF il me semble que la s’ouvre un problème tout aussi important qui est celui de la communication. Certain utilise une idée pour discrédité un un ensemble plus vaste que la seul UNAF, d’autres acculés se battent avec des fait, que les choix de l’UNAF SERVENT ET DESSERVENT;
    Je ne soutiens pas la confusion entretenue sur les financement de l’UNAF, celle ci même si plus entendue n’est qu’une des composante de la représentation apicole, et seule n’est jamais arrivé à un résultat bénéfique pour l’apiculture.Par contre je soutiens José lorsqu’il mentionne les problèmes de l’abeille liés à certaines molécules quelque soient les contres arguments de varroas,virus, frelons et mauvaises pratiques des apiculteurs.
    Il faut savoir que l’apiculture a due faire progresser ces pratiques de façon radicale pour seulement survivre. Qu’aujourd’hui les apiculteurs dit sans problèmes, renouvellent pour ainsi dire le cheptel chaque nouvelle saison.En vingt ans depuis l’apparition de certaines molécules la population apiaire diminue sur l’ensemble de la planète.
    les apiculteurs qui sont a priori les plus à même d’observer l’abeille et ces problèmes, sont certainement les interlocuteurs les moins pris au sérieux sur ce sujet.
    Nous n’avons pas les moyens de certains lobbys pour entretenir des polémiques, d’ailleurs José est seul face à plusieurs personnes, dont certaines ont une fâcheuse tendance à la vulgarité surement plus aisée du fait de leur anonymat .
    je m’arrête la le débat est vaste et à mon avis ne se réglera pas que d’un point de vue apicole.
    Salut à vous messieurs qui avancez masqués, bon courage José, l’UNAF ne s’en sortira pas en contrôlant l’ensemble de nos structure la diversité n’est pas le problème tu oubli de citer la FFAP est-ce intentionnel?

    .

    1. « les apiculteurs qui sont a priori les plus à même d’observer l’abeille et ces problèmes, sont certainement les interlocuteurs les moins pris au sérieux sur ce sujet »

      Entre autre ceux la
      Le constat des pertes de ruches montre que les pertes de ruches sont plus importantes chez les apiculteurs  » bio  » dont les ruches ne sont pas en contact avec des champs traités
      Idem pour les ruchers sédentaires de montagne ( Vosges par ex )qui ne sont pas en contact avec les molécules de traitements agricoles
      Ces faits montrent clairement que ce sont bien des épidémies qui ont ravagés les ruchers les dernières années
      La situation s’est nettement améliorée en 2010 et l’on peut espérer que le pic épidémique est franchit
      Reste a voir ce qui vas se passer en 2012 et suivantes

      1. L’ enquête de l’ ITSAP – Institut de l’abeille concernant les pertes hivernales de colonies d’abeilles montre par ex

        Pertes de colonies 2010/2011 : Auvergne env 38% , Champagne -Ardenne env 6% , Lorraine env 3%
        PACA env 17%, Aquitaine env 21%

        En 2007/2008 : Alsace 62 % , Bourgogne env 49% , Bretagne env 33%
        PACA env 21%, Midi-Pyrénées env 23%

          1. Les fortes variations d’une année à l’autre (Franche Compté, Réunion, Alsace) ne peuvent absolument pas s’expliquer par la chimie agricole dont l’usage est globalement stable, c’est climatique ou épidémique. La chute des traitements « bio » contre varroa est impressionnante, j’ai une anecdote à ce sujet, un ami « autonome » voulait se mettre à l’apiculture, il a provisoirement renoncé à cause de varroa, il voit pas comment faire sans bandelette…

          2. D’après l’étude le calcul des pertes peut être biaisé par un très faible effectif ( moins de cinq exploitations ayant répondu a enquête )lors des campagnes

            Les pertes très élevées en 2007/2008 dans certaines régions comme l’Alsace ou un grand nombre de ruches stationnent dans le massif vosgien pour la miellée de sapin peuvent s’expliquer par l’épidémie de maladie noire qui a sévit en été 2007 sur des ruches déjà affectées par nosema ceranae et des problèmes de virus liés a varroa

            Voir http://www.imkerei.com/abeille-de-france/articles/maladie_noire.htm

            « Cette maladie est due au virus de la paralysie chronique (CBPV : Chronic Bee Paralysis Virus)

            Parmi les conditions favorisantes qui entraîneraient le déclenchement de la maladie et l’apparition des symptômes caractéristiques on note : la localisation des ruchers en zone de forêt et en particulier lors des miellées de miellat. Ce phénomène est bien connu des apiculteurs exploitant
            les miellées de sapin.
            les conditions météorologiques qui confinent les fortes populations à l’intérieur des ruches augmentant les possibilités de contamination en raison
            vraisemblablement de la promiscuité des abeilles entraînant des frottements et des lésions cuticulaires plus fréquentes.

            L’association avec Nosema sp se retrouve dans plusieurs cas nécessitant une étude sur les possibles synergies. »

            En conclusion, la paralysie chronique contribue de manière significative aux mortalités d’abeilles. »

  36. L’UNAF est passé maître en matière de communication et de propagande, vous ne pouvez quand même pas le nier! Occulter toutes les responsabilités des apiculteurs dans le syndrome d’effondrement des colonies pour rejeter la faute sur le monde agricole est le comble de l’hypocrisie.
    Reconnaitre ses fautes permettrait peut-être aux apiculteurs de résoudre bien des problèmes. Mais je ne pense pas qu’un jour l’UNAF communique sur le fait que les apiculteurs sont obligés de traiter leur ruches avec des pesticides acaricides pour lutter contre le varroa. Que contre l’acariose certains traitent avec du bromopropylate. Que contre Nosema apis et ceranae, l’antibiotique Fumidil B est efficace. Que contre la fausse teigne, Bacillus thuringiensis(ce n’est pas du tout hypocrite de militer pour l’ interdiction du maïs Bt Mon 810…) est pulvérisé directement dans la ruche. Après on pourrait aussi parler de l’importation d’abeilles venues de l’hémisphère sud, de l’hybridation des races conduisant à une abeille agressive et peu productive, de la disparition des abeilles noires locales, du nourrissage des colonies, du manque de nourriture laissé pour passer l’hiver etc…etc…
    C’est tellement plus facile d’avoir trouvé le bouc émissaire idéal et de se faire passer comme victime. Ce que je peux vous dire, c’est qu’Apis mellifera est loin d’être le seul pollinisateur. Dans ma région très agricole(viticulture!), l’abeille domestique est présente sans être omniprésente! Et dans les friches au milieu des vignes, je trouve de nombreuses espèces d’abeilles solitaires (Mégachiles, Osmies, Eucères, Andrènes, Colletes, Halictes…) et sociales (bourdons) que je ne trouverais pas si le milieu était si dégradé que ça. En ville, vous ne trouverez pas cette diversité d’espèces mais par contre l’abeille domestique s’y « porte très bien » avec des récoltes de miel excellentes! (selon l’Unaf…) Donc le milieu le plus artificiel qui soit convient mieux à l’abeille domestique. Et la campagne est devenue »toxique » pour elle et pas pour les autre espèces…

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