Crise dans la filière bio

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« La filière bio affronte sa première crise de confiance ». C’est ce qu’affirme Claire Gatinois et Laetitia Van Eckhout, journalistes au Monde dans un article publié la semaine dernière. « A cause de la bactérie E.Coli, la croissance explosive des aliments issus de l’agriculture biologique pourrait s’arrêter » estiment les 2 journalistes. Ainsi , les ventes de graines germées se seraient effondrées de 60% dans les magasins Biocoop depuis le 1er juillet. Même constat chez Auchan : « les croissances à deux chiffres laissent la place à une courbe plus plate » selon le porte-parole du distributeur.

Et c’est la confiance même du consommateur envers les produits bio qui est aujourd’hui malmenée. « A la question « peut-on faire confiance au bio ? », les sondés répondaient oui à 70% en 2008 ; aujourd’hui, le chiffre est retombé à 50% » selon Jérôme Fourquet de l‘IFOP. En plus, le bio ne s’affiche pas au même prix que les produits conventionnels. « 93% des personnes interrogées par l’IFOP estiment que ces produits sont encore trop chers. Si ce surcoût n’est pas gage de sécurité, alors pourquoi acheter bio ? » s’interrogent Claire Gatinois et Laetitia Van Eckhout.

 

« Face à ces turbulences, les professionnels misent sur le « made in régions de France » pour rassurer les plus inquiets.»

Le « local » serait-il en train de dépasser le « bio » ?

74 commentaires sur “Crise dans la filière bio

  1. Promouvoir le bio comme cela a été fait constituait un mensonge éhonté, soutenu cependant par de nombreux scientifiques qui tordaient les données et les conclusions et la quasi totalité des médias.
    Le mythe de Graal était de retour mais ce graal là on pouvait le toucher et pour l’homo economicus s’en emparer moyennant une poignée d’euros.
    Las, quelques morts suite à une mauvaise bactérie et un incident chez un des chantres de cette agriculture et le voile de l’illusion se déchire et le bio apparaît tel qu’il est nu, ni meilleur, ni pire, tout aussi « dangereux » à supposer que se nourrir ne présente pas des bénéfices bien supérieurs aux risques , de façon évidente moins efficace pour nourrir les hommes, donc bien plus cher.
    Le retour sur du « local » lorsqu’il en existe et surtout du traditionnel, des fruits et légumes cultivés dans la terre , recevant la lumière du soleil, mais ce luxe est surtout davantage à la portée des populations des petites villes et des villages pas des monstres urbains que nos pseudo écolos sont en train de nous construire au nom du nouveau Graal , l’économie du CO2, mythe bien plus éthéré et dangereux que le bio, bien plus cher aussi.

  2. @Alzyme: les Allemands, qui montrent la voix, financent leur centrale à charbon avec le fond climat. Le CO2 est certes un épouvantail, mais la cible n°1 des écogistes sur l’énergie c’est le nucléaire. Une fois le nucléaire détruit et le charbon épuisés ils pourront prendre le pouvoir.

  3. Bon, je sais c’est hors sujet mais c’est trop drôle: ce matin , notre polytechnicienne ministre NKM alias Nique ta mère annonce 200 mesures pour habituer les français à vivre avec 2-3 degrés de plus d’ici la fin du siècle. Déjà, Meteo-France grand prophète devant l’éternel, nous avait promis un été plus chaud que la moyenne. La journaliste de service à Fiente Inter pourtant habituellement le doigt sur la couture du politiquement correct rappelle qu’il neige dans les Alpes qu’il ne fait guère plus de 15 degrés dans la plupart des régions et que la sécheresse annoncée et décrite comme un nouveau méfait du réchauffement climatique n’est plus qu’un souvenir.
    Il reste à attendre les prochains hivers avec les premiers krach électriques programmés par nos écolos bobos!
    C’est vraiment le canard à qui on a coupé la tête mais qui continue à courir ! A moins que les norvégiens n’aient faits un package: on vous refile Eva Joly et en plus , en cadeau Bonux notre climat de merde !
    MK

    1. Krach électrique? en remplaçant le nucléaire par du gaz et du charbon c’est pas pour tout de suite.

  4. La neuneu qui veut nous apprendre comment vivre d’ici la fin du siècle, non mais délire quoi !
    C’est aussi pertinent qu’un ministre des PTT des années 80 qui veut nous démontrer à quel point le minitel est indispensable pour communiquer en 2011.

    Décidément la bêtise et l’arrogance des bureaucrates est sans limite. L’Etat est devenu l’ennemi du citoyen.

  5. Les prévisions de météo France pour l’été 2011 sont effectivement excellente à lire et à relire sans réserve, un pull sur les épaules un 20 juillet voire les moufles aux mains si l’on suit le tour de France dans les Alpes.

    Comment des prévisionnistes peuvent ils assurer un climat dans cinquante ans alors qu’ils se sont montrueusement plantés à 2 mois. Je sais, ils vont nous faire le coup de la tendance long terme mais s’ils étaient incapables de prévoir le climat de l’été ,valait mieux la fermer, pas suivre béatement des modèles mal validés qui sont désormais invalides.
    Leur crédibilité en a pris un sacré coup.

    Pour continuer à s’interroger sur l’affaire E coli et la réaction de la filière bio, le journal le monde en rajouter avec
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/07/19/les-produits-bio-sont-devenus-la-nouvelle-cible-de-la-securite-alimentaire_1549250_3232.html

    Dans le genre arguments malhonnêtes ont fait difficilement mieux, E coli c’est la faute aux …..OGM ….évidemment, mettre le réchauffement climatique dans le coup aurait été plus crédible étant donné les températures au mois d’avril en lien avec une application de fumier bien frais, pouvait marcher pour des contaminations sur des légumes frais comme les concombres ou des salades, raté ce sont de vieilles graines qui sont en cause, alors l’impact du réchauffement sur les climats des années 2009 et 2010….

    1. Les auteurs du point de vue publié par Le Monde se présentent respectivement comme agronome et comme médecin. En vérité ce sont des clowns. Je ne prendrais pas Aubert, de Terre vivante (!), comme régisseur de mon domaine, si j’en avais un, et je ne confierais pas ma santé à Chevallier, de RES ! Il n’y a pas plus menteurs que RES et que terre vivante !

  6. @Alzine,
    Pour la petite histoire, Météo France fait bien des prévisions saisonnières à 3, 6 mois avec ses modèles climatiques et les publie sur son site. Mais elle sait pertinemment que ses lectures de marcs de café ne valent pas un clou et les virent scrupuleusement une fois l’échéance arrivée, des fois qu’un esprit chagrin n’ait eu l’idée de les confronter à la vraie météo (elle veut éviter la mésaventure qui arrive à la Met Office, qui a eu la mauvaise idée d’archiver publiquement ses anciennes prévisions saisonnières toutes foireuses et qui s’est ridiculisée lamentablement avec ses « barbecues summers »).
    Preuve que Météo France et les propagandistes réchauffistes mentent sans vergogne quand ils prétendent que les modèles climatiques savent prédire le climat et qu’ils savent qu’ils mentent.
    Mais hé, c’est la « science » climatique. Les données, les faits réels et la transparence pour eux, c’est comme la lumière pour les cafards, il faut fuir.

    1. Et? il faut brûler le dernier sac de charbon et la dernière goutte de pétrole avant de trouver d’autre source d’énergie? Antropique ou pas il y a un changement climatique, même Allègre l’admet.

  7. @ROBERT

    Personne ne met en cause les variations de températures et le fait par exemple, qu’il y ait eu un réchauffement global entre 1975 et 1998 (et un autre avant entre 1910 et 1945)
    Ce qu’on appelle « réchauffement climatique anthropique » ou RCA porte sur la cause physique des variations de températures, pas sur les variations elles-même…

    Les commentaires précédent se gaussent, et avec raison, des prévisions saisonnières faites par météo-France il y a 3 mois… et qui se sont plantées (ce qui n’est pas une surprise, vu que la performances des prévisions saisonnières, qu’elles soient faites par Meteo France ou un autre organisme a toujours été très mauvaise).
    Ce qui est particulièrement amusant, c’est la prétention de pouvoir faire des prévisions climatiques pour 2100 avec les mêmes modèles….
    Qu’en pense-tu?

  8. Le dossier d’E coli est en train d’être prestement refermé mais les dernières communication du R J Kock institut allemand me troublent :

    selon http://www.eitb.com/infos/europe/detail/710950/la-bacterie-e-coli-laisse-126-morts-227-millions-deuros-degats/
    La bactérie E-coli laisse 126 morts et 227 millions d’euros de dégâts
    « l’épidémie est considérée comme éteinte, après 50 morts en Allemagne, et 76 autres décès imputés à la bactérie tueuse dans les autres pays européens »

    Alors quz lA2
    L’épidémie causée par la bactérie E.Coli, responsable de la mort de 126
    personnes en Europe, est considérée comme finie.

    Selon un bilan final de l’institut allemand, l’épidémie a fait 76 morts
    en Europe pour un total de 4.321 cas rapportés. En *Allemagne*, la
    bactérie, appelée *Eceh,* a causé la mort de 50 personnes pour 3.469 cas
    recensés. Parmi eux, 852 personnes avaient développé des complications
    graves entraînant des *défaillances des reins et neurologiques appelées
    SHU*.

    L’Union européenne avait décidé le 5 juillet d’interdire temporairement
    l’importation de graines de *fenugrec d’Egypte* et de retirer de la
    vente un lot considéré comme le lien « le plus probable » entre les
    intoxications par la bactérie en Allemagne et à Bordeaux, où une
    dizaine de personnes avaient également été hospitalisées pour des
    diarrhées sanglantes ou des cas de SHU.

  9. Le dossier d’E coli est en train d’être prestement refermé mais les dernières communications du R J Kock institut allemand me troublent :

    selon http://www.eitb.com/infos/europe/detail/710950/la-bacterie-e-coli-laisse-126-morts-227-millions-deuros-degats/
    La bactérie E-coli laisse 126 morts et 227 millions d’euros de dégâts
    « l’épidémie est considérée comme éteinte, après 50 morts en Allemagne, et 76 autres décès imputés à la bactérie tueuse dans les autres pays européens »

    Alors qu’A2
    « L’épidémie causée par la bactérie E.Coli, responsable de la mort de 126
    personnes en Europe, est considérée comme finie.
    Selon un bilan final de l’institut allemand, l’épidémie a fait 76 morts en Europe pour un total de 4.321 cas rapportés. En *Allemagne*, la bactérie, appelée *Eceh,* a causé la mort de 50 personnes pour 3.469 cas recensés. Parmi eux, 852 personnes avaient développé des complications graves entraînant des *défaillances des reins et neurologiques appelées
    SHU »

    Il n’est pas mentionné que la semence de fénugrec est bio mais nous sommes habitués à cette omission.
    Alors la question: mais dans quels pays ont été hospitalisés ces 4321 malades et ces 76 décés en sus des cas observés en allemagne.

    Sur le site de l’OMS, c’est l’omerta et le site d’information a été restructuré.

    Qui peut en dire plus?

  10. =======>>>>>> Je voudrais vous recommander vivement la lecture du dernier numéro de la lettre de Agriculture & Environnement (n° 94 – Juillet-août 2011).

    Il y a l’édito de Gil Rivière-Wekstein sur les farines animales. Un article intitulé « Le déclin des abeilles une nouvelle fois « en voie d’élucidation » commentant un article du Monde.
    Il y a un article ou plutôt un portrait de Christian Vélot : portrait d’un militant ; c’est assez révélateur de l’imposture de ce bonhomme.
    Le clou de ce numéro est une décortication très bien documentée de l’affaire des graines germées bio (4 pages). C’est à lire absolument si vous voulez connaître les tenants et les aboutissants de cette histoire abracadabrantesque.
    + petits articles sur « le bio en perte de popularité » et sur « l’effet halo du bio « . Ce dernier est court mais très intéressant.

  11. désinformation?
    (voir le site)

    Le 27 juin dernier, deux chercheurs du CNRS publiaient une tribune dans Libération, pointant des dangers de l’agriculture biologique. Ils s’appuyaient sur une étude, réalisée à Atlanta, qui aurait prouvé des cas d’infections après consommation de produits biologiques. Nous vous en parlions ici. Or le site Santé et environnement révèle que cette étude n’a jamais existé.

    1. Si le mensonge est confirmé ils doivent être sanctionnés.
      http://www.cdc.gov/ncidod/eid/vol11no04/04-0739.htm
      J’ai trouvé cette étude du CDC mais elle ne parle pas du bio… peut être une information qui est resté dans le cercle fermé des conférences à huit clos et des correspondances privées?

      Reste qu’il y a eu 50 morts et que cela ne serait pas arrivé avec un traitement de précaution interdit en AB.
      Reste qu’il y a déjà eu 23 morts avec des épinards bio en 2006 aux USA
      Reste qu’il y a eu de la casse avec des cacahuètes bio aux USA à plusieurs reprise
      Reste qu’on n’est sans doute pas au courant des petites épidémie lié au bio, vu que les volumes de vente réduise le nombre de victimes
      Reste qu’il n’existe aucune étude épidémio sérieuse sur la question, alors même que des facteurs de risques ont été identifiés. Évidement aucun politicien ne financera ce genre d’étude à contre courant de l’opinion moutonnière courante.

      1. pour 2006, j’ai deux chiffres
        http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article249&decoupe_recherche=%E9pinards
        Depuis l’affaire des épinards bio contaminés par la bactérie intestinale Escherichia Coli 0157 (à l’origine de la mort de trois personnes, dont un enfant de 2 ans),

        http://www.bio-lelivre.com/Les-scandales-bio.html
        2006 : Epinards bio à l’origine de 23 cas d’insuffisance rénale
        En septembre 2006, vingt-trois cas d’insuffisance rénale (entraînant des séquelles à vie) et plus de 150 hospitalisations, ont été recensés dans vingt et un Etats américains, suite à une contamination d’épinards bio de la société Natural Selections Foods LLC,
        (je n’ai pas 23 morts)

        pDes produis bio à base d’arachide à l’origine de 690 maladies et de 9 décès

        1. fausse manip

          2006 3 morts mais pas 23 23 personnes ayant une insuffisance rénale
          2009 9 morts
          2010 : 2500 tonnes de maïs bio contaminé à la dioxine
          2011: 49 en Allemagne, un en Suède et un aux États-Unis

    2. aatea dit :
      9 août 2011 à 8:57
      désinformation?
      (voir le site)

      ++++ Où est-il?Référence? Merci!

        1. Une fois de plus le dénigrement de la bio en se basant sur des rumeurs fonctionne très bien …!:
          f
          Et le site précise que Dennis T. Avery travaille pour le Hudson Institute, un think tank conservateur, qui a reçu, selon le site, des fonds de firmes comme Monsanto. Travaillant sur l’agriculture et les biotechnologies il « consacrerait une énergie considérable à dénigrer l’agriculture biologique », précise Santé et environnement.
          C’est un peu comme avec les mycotoxines …si on ne fait pas de traitements fongicides elles anvahissent tout …Alors que souvent c’est l’inverse après avoir trop asseptisé le milieu peut être encore plus violemment envahi….
          Alors ce que l’on peut dire c’est que des intoxications il y en aura toujours bio ou pas ..;souvent dues à des gens qui ne savent pas travailler et dans ce cas personne n’y échappe …;

          1. Faut pas faire une fixette sur Monsanto mon vieux! Si vous vous étiez renseigné sérieusement (si toutfois vous savez ce que cela veut dire) vous vous seriez aperçu que cette organisation était financée par pas mal d’industries (et de fondations et même par le gouvernement fédéral) . Ce qui n’a rien de répréhensible ni d’illégal ni de confidentiel (aux USA, chez nous c’est autre chose…). Je vais vous épargner l’effort intellectuel (!!??) de chercher quelles sont ces industries, la voici:

            http://www.sourcewatch.org/index.php?title=Hudson_Institute

            Funding

            Between 1987 and 2006, the Institute received 273 grants totaling $17,722,643 (unadjusted for inflation) from a range of foundations including:[4]

            Castle Rock Foundation
            Earhart Foundation
            F.M. Kirby Foundation
            John M. Olin Foundation, Inc.
            JM Foundation
            Koch Family Foundations (David H. Koch Foundation)
            Lynde and Harry Bradley Foundation
            Samuel Roberts Noble Foundation
            Scaife Foundations (Scaife Family, Sarah Mellon Scaife, Carthage)
            Shelby Cullom Davis Foundation
            Smith Richardson Foundation
            Walton Family Foundation
            William H. Donner Foundation
            While many conservative think tanks eschew government funding, Hudson happily takes government contracts. The Capital Research Center (CRC) database lists Hudson as having received six grants between 1996 and 2002 totalling $731,914 (unadjusted for inflation). Five of the six grants were from the Department of Justice Office of Justice Programs. (Neither the CRC database or Hudson’s annual report for those years provide details on what the grants were specifically for). [5]

            In 2002 Hudson received a grant of $173,484 from the Department of Commerce. (Rather bizarrely, CRC assigns the Department of Commerce an « ideological ranking » of 1 – « Radical Left »).

            The Hudson Institute’s IRS Form 990 for the financial year ending on September 30, 2003 showed total revenue of $9.34 million, including over $146,000 in government grants. Other known funders listed in the institute’s 2002 annual report include:

            Ag Processing Inc
            American Crop Protection Association
            American Cyanamid
            Archer Daniels Midland
            Cargill
            Ciba-Geigy
            ConAgra Foods
            Conrad Black
            CropLife International
            DowElanco
            DuPont
            Eli Lilly and Company
            Exxon Mobil
            Fannie Mae
            General Electric Fund
            Heinz
            IBM
            Lilly Endowment
            McDonald’s
            Merck
            Microsoft
            Monsanto
            National Agricultural Chemical Association
            Nichols-Dezenhall Communications Management Group
            Novartis
            PayPal
            PhRMA
            PriceWaterhouseCoopers
            Procter & Gamble
            Sunkist Growers
            Syngenta Crop Protection
            United Agri Products
            Westfield Corporation
            After it was revealed that Michael Fumento received funding from Monsanto for his 1999 book Bio-Evolution, company spokesman Chris Horner confirmed that it continues to fund the think tank. « It’s our practice, that if we’re dealing with an organization like this, that any funds we’re giving should be unrestricted, » Horner told Businessweek. Hudson’s CEO Kenneth R. Weinstein told Businessweek that he was uncertain if the payment should have been disclosed. « That’s a good question, period, » he said.

          2. Le viens de lire l’article concernant le faux bio en Pologne sur courrier international ….
            En fait il est mal titré …iL dû être titré :
            « Escroquerie aux aides BIO » ou « détournements des aides par des profiteurs « ….

            Alors des profiteurs il y en a partout ..;Nous même avions dénoncé les Contrats territauriaux d’exploitation qui n’avaient pas de plafonds ….il y a une dizaine d’année …ceux qui en ont profité n’ont pas duré mais que de dépenses pour rien ..alors que des jeunes en auraient profité à bon escient pour maintenir la vie rurale dans les campagnes avec des projets d’installation

  12. Arnaque : le maraîcher prétendait vendre des légumes bio…

    c’est pas vrai, il y a des profiteurs?
    des personnes qui utilisent la crédilité des écolo-bobo?

    1. Des tricheurs il y en a partout le conventionnel ou chimique n’est pas exclut …!entre les détournements de produits qomme les raccourcisseurs de paille utilisés pour faire rougir les tomates ,les desherbants pour hâter la maturité des cucurbitacées melons entr’autres …les mauvais dosages qui neutralisent ou grillent presque la quasi totalité de la production le restant se retrouvant sur les étals …j’arrète parce que la liste serait trop longue … alors arrêter d’arraquer systèmatiquement la bio parce que je vais vous en sortir d’autres de la même trempe…!
      Ce que je peux dire c’est que toutes les analyses statitiques dénombre une moindre présence de polluants chimiques dans les produits bio et que c’est souvent des pollutions occasionnelles produits par des traitements voisins quand c’est le cas …….!

      1. @ ROBERT JP

        ==> Affirmer c’est bien ! Apporter des éléments de preuve c’est mieux.

        · -les raccourcisseurs de paille utilisés pour faire rougir les tomates: par exemple?

        · -les desherbants pour hâter la maturité des cucurbitacées melons: par exemple?

        · -les mauvais dosages qui neutralisent ou grillent presque la quasi totalité de la production le restant se retrouvant sur les étals: par exemple?

         » alors arrêter d’arraquer systèmatiquement la bio parce que je vais vous en sortir d’autres de la même trempe…!

        ==> Mais non mon vieux ! Faut pas vous en tenir là ! Si vous avez des exemples, c’est le moment ou jamais d’en faire part

        « toutes les analyses statitiques dénombre une moindre présence de polluants chimiques dans les produits bio et que c’est souvent des pollutions occasionnelles produits par des traitements voisins quand c’est le cas …….! »

        ==> Deux remarques :

        a) s’il y a « moindre présence de polluants chimiques dans les produits bio, c’est qu’il
        y en a quand même contrairement à ce que proclament les écolos.

        b) Lorsqu’on trouve des résidus de pesticides dans les produits bio il a 2 cas :

        – ces résidus se trouvent en quantités infimes à la limite de
        détection ou de quantification. Dans ce cas, on considère qu’il s’agit très probablement du résultats de dérives dues à des traitements de parcelles voisines cultivées en conventionnel

        – Ou bien ils sont détectés à des concentrations comparables à celles que l’on trouve dans les denrées issues de l’agriculture conventionnelle (si, si, çà arrive, lisez bien tous les rapports d’analyses disponibles) et l’on considère à juste titre que les produits bio en question ont été traités de la même façon que les produits conventionnels (mêmes produits, mêmes doses/ha).

        Quand on lit les rapports d’analyses de résidus, il faut les lire en entier et surtout quand on en discute, il faut éviter d’en occulter une partie.

  13. Dans la plupart des campagnes françaises ce ne sont plus les agriculteurs qui maintiennent la vie rurale, ce sont les rurbains, vous savez, ceux qui travaillent à la ville et vivent à la campagne. C’est comme ça. C’est l’évolution des choses.

    Les agriculteurs, pour leur part, remplissent deux fonctions essentielles : cultiver cette p… de nature, humanisant ainsi le paysage, ce qui l’embellit, et nourrir les hommes. C’est déjà pas mal. Et ils le font très bien.

    NB Je trouve un peu gros qu’on reproche à certains intervenants de dénigrer le bio alors que les militants du bio n’arrêtent pas de dénigrer le conventionnel et que c’est de ce dénigrement que vivent en grande parrtie les producteurs bio.

    1. Adressez vous aux responsables des fraudes qu’ils vous communiquent leurs rappors ,tenez par exemple dans le lot un poison qui était utilisé pour faire en sorte que la viande de veau soit plus blanche …Est ce qu’il voudront vous les communiquez ???
      Et les doses de fongicides avant récolte Hors délai …dans le voisinnag de temps à autre une production est saisie dans les frigo et détruite … J’en passe ..;
      Quant aux dénigrements qui a commencé depuis plusieurs posts …!

      1. J’ai oublié de précisez puisque certains ne comprennent rien que les doses de fongicides allongent très bien les durée de conservation de fruits ….c’est illégal …
        J’ai pas parlé non plus des produits détournés pour faire tmber les noix et faciliter la récolte …

        1. Évidement en bio personne n’utilise de tourteau de ricin et d’huile de neem, personne ne dépassent les doses de cuivre, personne n’utilise de roténone en dehors de dérogation etc. Le respect de la loi est un artifice en France, quelques soit l’étiquette qu’on met sur les produits.

        2. @ ROBERT JP

          « J’ai oublié de précisez puisque certains ne comprennent rien que les doses de fongicides allongent très bien les durée de conservation de fruits ….c’est illégal … »

          == C’est faux! Il y a des traitements post-récoltes fongicides autorisés!

          1. Ceux dont je parle c’est ceux qui ont des DAR (délai avant récolte à respecter …)
            Après vous faites bien de préciser que certains fongicides sont utilisés après récolte de façon à informer le consommateur qui n’a jamais été au courant de ces faits …c’est jamais marqué sur les étiquettes sauf pour les agrumes et d’ailleurs cela devrait être systématique …

  14. ROBERT JP a écrit (10 août 2011 à 11:33) :

    « Des tricheurs il y en a partout le conventionnel ou chimique n’est pas exclut …! »

    C’est là un mode de défense original, mais inopérant. Nul ne peut se prévaloir des turpitudes alléguées des autres pour justifier ou excuser les siennes.

    Il est tout à fait heureux que «  toutes les analyses statistiques dénombrent une moindre présence de polluants chimiques dans les produits bio… » On n’en attend pas moins du « bio ».

    Mais il faut aussi replacer les analyses statistiques dans leur contexte. Voici ce que montre le dernier rapport publié par l’EFSA (qui, dans cet exercice, n’a fait que colliger les données fournies par les États membres, donc, pas la peine de nous ressortir la classique accusation de conflit d’intérêts) :

    1.  En « conventionnel », environ 60 % des produits sont sans résidus détectables ;
    2.  En « conventionnel » toujours, environ 35 % des produits contiennent des résidus, mais à des niveaux n’excédant pas les LMR (limites maximales de résidus) ;
    3.  En « conventionnel » encore, environ 2-4 % des produits contiennent résidus au-dessus de la LMR, sans que cela conduise à des problèmes sanitaires (sauf circonstance très exceptionnelle).

    Les chiffres exacts n’ont pas un grand intérêt car ils dépendent des conditions particulières des vérifications et contrôles. Mais poursuivons :

    4.  En « bio », les données statistiques sont déficientes à triple titre (et je ne suis pas loin de croire qu’il y a là une véritable omerta) :
    a.  On n’a pas recherché les résidus des pesticides autorisés – et utilisés – en « bio » ;
    b.  On n’a pas fourni les statistiques sur la présence de résidus au-dessus du seuil de détection mais en-dessous de la LMR ;
    c.  Certains États membres – parmi lesquels, surprise, surprise, ceux qui ont une surface importante en « bio », notamment l’Autriche et l’Italie – n’ont pas fourni de données sous des prétextes futiles ;
    5.  Néanmoins, pour les fruits et légumes, il a été trouvé 0,9 % de dépassements en « bio », à comparer aux 3,7 % en « conventionnel », ces deux chiffres étant directement comparables.

    En d’autres termes, les dépassements de LMR sont réduits d’un facteur quatre en « bio » par rapport au « conventionnel ». Il serait plus exact d’écrire : « ne sont réduits que… ».

    Le bobio hypocondriaque dépense donc deux, trois ou même quatre fois plus pour ses fruits et légumes pour réduire d’un facteur quatre un risque faible en termes statistiques et minime en termes sanitaires (répétons le : un dépassement de LMR n’entraîne pas de risque pour la santé sauf circonstance exceptionnelle, du style cure prolongée de jus d’épinard). C’est son choix, et il n’y a rien à redire au fait qu’il existe une filière de production répondant à ce marché.

    Mais qu’on ne vienne pas prétendre que les 0,9 % de dépassements de LMR en « bio » sont dûs aux « pollutions occasionnelles produites par des traitements voisins ».

    Sur un plan plus général, ce dont s’offusquent bon nombre d’intervenants sur ce site, c’est la politique des ayatollahs du « bio » qui consiste à dénigrer le « conventionnel » pour promouvoir le « bio » (et plus généralement à parer le « bio » de vertus qu’il ne possède pas).

    Source : http://www.efsa.europa.eu/fr/efsajournal/doc/1646.pdf

    1. J’ai oublié de mettre les points sur les i :

      En « conventionnel », les 3,7 % de dépassements de LMR représentent la somme de trois facteurs : les erreurs (de dosage, de réglage, d’application), les aléas de culture (notamment avance de la récolte), les fraudes (essentiellement application délibérée d’un traitement sachant qu’il se traduira par un dépassement).

      En « bio », c’est tout de la fraude. Et une fraude d’une autre nature que la précédente, puisque c’est l’application d’un traitement interdit. Et, au final, la violation d’un cahier des charges et de préceptes quasi religieux. Un sacrilège, quoi.

      1. Dernière nouvelles et pas des moindre en conventionnel il est possible d’avoir des LMR qui vire au rouge te tout agriculteur paut dépasser les doses de traitements chimiques sans être inquiété ….je rêve …! Voupouvez tout vous permettre …
        Quant à moi puisque vous niez l’évidence pourquoi suite à un desherbage de voisin le contrôleur m’a ordonné après analyse qui s’est révélée positive )de faire tomber toutes les pommes de mon verger même pas commercialisable en conventionnel ..(bien entendu après analyse ….produit correspondant au desherbage de la culture du voisin … )
        Dans ce cas puisque vous aimez les mots qui sont violents …! il s’agissait bien d’une violation de mon droit de propriété …
        Quant aux dépense des bobios en ce moment le prix du conventionnel en gros arrive quasiment au même prix que le kg de melons bio …à qualité de terroir égale ….!
        Je vais même vendre du tournesol bio mais vendu en conventionnel car son prix est meilleur en conventionnel …Revoyez tout vos dogmes …………………;

        A part ça je suis heureux que vous reconnaissiez qu’il y a une moindre présence de pôlluants dans les produits bio …c’est déjà un premier pas dans l’honneteté intellectuelle.
        Expliquez moi vous qui faites parler plus les chiffres que la pratique du terrain …comment se fait il que de plus en plus d’enfants ont des allergies (aphtes , indigestions…)quand ils mangent par exemple des melons conventionnels et pas d’allergies en bio …idem pour le chasselas que je produits et vends …???

        1. Cher Monsieur,

          Vous m’accusez de malhonnêteté intellectuelle (si, si !) en prétendant que le fait de « reconn[aître] qu’il y a une moindre présence de pôlluants dans les produits bio …c’est déjà un premier pas dans l’honneteté intellectuelle ». Je ne vous en tiens pas rigueur, car vous êtes dans la démarche habituelle des intégristes qui prennent toute critique de leurs thèses comme une agression.

          Pour ma part, je ne reconnais rien. Je constate.

          Et je constate que les statistiques colligées par l’EFSA, d’une part, montrent une moindre fréquence de dépassement de LMR dans les produits bio et, d’autre part, ne nous fournissent aucune indication – j’insiste lourdement : ni dans un sens, ni dans l’autre – sur la présence de polluants dans les produits bio.

          Vous posez par ailleurs une affirmation sur les allergies chez les enfants. Où sont les preuves ? Autres, évidemment, que les affirmations de mamans converties au bio et qui font dans l’autosuggestion.

        2. @Robert JP

          Comme à votre habitude mais cette fois en encore plus fort, votre dernier message n’est qu’une suite d’affirmations sans l’ombre de la queue de la moindre preuve, de la moindre référence vérifiable. C’est la technique bien connue de fanatiques et des intégristes: l’affirmation péremptoire avec défense de discuter. Plus c’est gros et plus çà a des chances de passer.

        3. « A part ça je suis heureux que vous reconnaissiez qu’il y a une moindre présence de pôlluants dans les produits bio … »

          = C’est quand même la moindre des choses, non qu’il y ait moins de résidusquand on prétend ne pas utiliser de produits chimiques mais qu’on en trouve quand même et pas seulement de façon anecdotique…..Il ne devrait d’ailleurs pas y avoir de résidus du tout. Mais quand la maladie ou les inscets se foutent dans une parcelle que fait on ? On perd tout ou bien on donne un petit coup de pulvé en douce?

      2. Puisque vous insistez …que pensez vous sur le fait de doper (illégal…)les vaches avec de l’antigel acheté par fût de 220 litres livré directement chez le producteur ce que permet le commerce de façon légale …) et mélangé à l’alimentation (illégal) …vous allez me dire que c’est peut être mieux que les hormones de synthèse ,dont il y a eu maints procès chez les éleveurs ….et dans ce cas pour que les animaux grossissent plus vite …
        Alors s’il y a des tricheries en bio il faut se faire un devoir de les dénoncer puisque cela porte préjudice à toute la filière et d’ailleurs quand c’est le cas la FNAB et les assos de consommateurs ainsi que les Groupements de producteurs se portent partie civile …ce n’est pas de la délation quand il y a préjudice flagrand … pour que le consommateur ne soit pas floué …

        1. Je précise que le fait de doper les vaches concerne certaines pratiques de l’agriculture qui n’est pas bio …!

          1. « Je précise que le fait de doper les vaches concerne certaines pratiques de l’agriculture qui n’est pas bio …! »

            == Et dans quel but doperait-on les vaches à l’antigel?

        2. ROBERT JP dit :
          11 août 2011 à 18:43
          Puisque vous insistez …que pensez vous sur le fait de doper (illégal…)les vaches avec de l’antigel acheté par fût de 220 litres livré

          == Des preuves?

          1. C’est du délire, les produits antigels sont toxiques et feraient crever les bovins en vitesse. Plus c’est gros plus ça passe.

        3. « que pensez vous sur le fait de doper (illégal…)les vaches avec de l’antigel acheté par fût de 220 litres livré directement chez le producteur ce que permet le commerce de façon légale …) et mélangé à l’alimentation (illégal) » je pense que ROBERT JP fait référence au propylène glycol qui est utilisé pour combler le déficit énergétique des vaches laitières en début de lactation. Ce n’est pas du tout illégal contrairement à ce qu’il prétend (faites un clic sur le site de l’institut de l’élevage par exemple). En attendant, il ne fait que colporter des rumeurs dont les écolos sont très friands.

          1. Informez bien le consommateurs …une crise de la vache vient de se terminer parce qu’elle venaient de manger des farines de vaches …maintenant vous vous permettez de les nourrir de produits chimiques de synthèse ….bientôt un autre scandale …les vaches ce n’est pas fait pour manger de l’herbe et classées parmi l’ordre des mamifères ruminants ???n’est ce pas ???
            A force d’ébranler sa confiance …l’agriculture que vous défendez sera encore moins crédible …!

  15. Moi c’est simple, j’évite absolument d’acheter bio, même si c’est au même prix que le conventionnel, même si c’est moins cher que le conventionnel, parce que je pense que je cours plus de risques avec les produits bio qu’avec les produits conventionnels. C’est ce que je crois. Et j’y crois dur comme fer. Celui qui me démontrera le contraire n’est pas encore né. Les graines germées de fenugrec me donnent plutôt raison.

    1. C’est absolument votre droit et je le respecte …Mais par contre arrêtez d’insulter avec vos collègues ceux qui veulent faire l’inverse ….
      Je crois par la présente arreter toutes discussions car nous ne sommes pas sur la planète « terre » en vous en entendant …

      1. Robert JP: « Je crois par la présente arreter toutes discussions car nous ne sommes pas sur la planète « terre » en vous en entendant … »
        ———————————————–

        La « planète terre » de Robert est représentée par une bande d’écolos des villes qui ne fait même pas 2% de l’électorat, dont le marché bio n’arrive même pas à égaler celui du halal (eh oui, c’est con les chiffres) et qui est persuadée qu’elle détient la Vérité.
        Cherchez l’erreur…

  16. Moi dans mon coin (très proche des pyrénées) bien des escrolos verts tentent de faire croire qu’il y a « beaucoup » de produits phytos qui sont achetés illégalement en Espagne …. Quadn bien même si cel

    Ce qui est amusant avec « Robert JP » c’est qu’il est capable d’envoyer tout un wagon de « on dit que » et de vous asséner ça en guise de « vérité indiscutable » ….

    1. PLUS MENTEUR QUE La Coupe Est Pleine TU MEURS!!!
      Le dénigrement du bio sert à masquer les pratiques inavouables de l’agriculture conventionnelle en faillite!!!

      « Vigilance sur les importations illégales
      Fragilisés par la crise viticole, des vignerons ont répondu aux sollicitations de plusieurs
      distributeurs espagnols leur proposant des produits phytosanitaires. Les bons de commande
      mentionnent bien des noms de produits français… mais à la sortie du camion,
      les vignerons reçoivent des produits dont les étiquettes sont rédigées en espagnol.
      Cette pratique est illégale à plusieurs titres. En premier lieu, elle va à l’encontre de la réglementation
      sur l’étiquetage qui vise à assurer la protection de l’utilisateur et de l’environnement.
      L’étiquette doit impérativement être rédigée en français. D’autre part, il y
      a tromperie car le viticulteur a le sentiment d’acheter un produit de marque alors que dans
      la plupart des cas, la formulation et les molécules sont différentes. En infraction totale
      avec l’obligation de traçabilité de l’application des produits phytosanitaires, en vigueur
      depuis le 1er janvier 2005, ces importations illégales font de plus courir un risque d’image
      à la profession viticole. Que se passera-t-il si un journal titre sur l’utilisation de produits
      non homologués en viticulture ? » (Bayer CropScience)

      1. Tiens le TROLL JoséB qui déboule !

        1/ combien d’agris ont acheté ? Ou quand et quels produits ?
        2/ « En infraction totale avec l’obligation de traçabilité de l’application des produits phytosanitaires, en vigueur depuis le 1er janvier 2005, »
        Cette réglementation est des plus débiles ! Elle n’existe QUE pour faire durer le marché interne de distribution de Phytos au sein des coops et négoces. Que Bayer s’en insurge afin de garantir ses marges, soit. Mais JoséB ? A-t-il des RFC en jeu ?

        3/ Vous connaissez l’AMM de l’huile de Neem ? quelle fraction de l’agri-BIO emploi ce produit TOTALEMENT ILLÉGAL ? (plus du tiers des arbos et maraîchers BIO)
        Et quel est l’insignifiant pourcentage d’agriculteurs qui s’approvisionne en Espagne ? Dont une fraction encore plus réduite achète des produits illégaux en Europe ?

        4/ Robert JP vient de débiter tout un wagon de « légendes » made in Escrolo-land, afin de DÉNIGRER le conventionnel, pourquoi ?
        Parce que le BIO ne pourrait exister sans faire croire à un « risque sanitaire imaginaire » sur le conventionnel ?

        Votre volonté de vouloir exclure de force et de vous victimiser est bien le fait de gens SECTAIRES ! Imaginer des pratiques « démoniaques » chez vos « ennemis » ne changera rien au caractère de votre secte !

        1. «Parce que le BIO ne pourrait exister sans faire croire à un « risque sanitaire imaginaire » sur le conventionnel ? »

          PLUS MENTEUR QUE La Coupe Est Pleine TU MEURS!!!

          http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/07/19/les-produits-bio-sont-devenus-la-nouvelle-cible-de-la-securite-alimentaire_1549250_3232.html#ens_id=1517462

          « Mais où la supériorité des produits bio sur les conventionnels est incontestablement la plus flagrante, c’est en matière de résidus de pesticides. Selon l’EAT (Etude alimentation totale) que vient de publier l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), un aliment sur deux contient au moins un résidu de pesticides. En bio moins d’un aliment sur dix en contient, en provenance dans la plupart des cas d’une contamination par des voisins ou par l’environnement.

          Certains objectent que les niveaux de résidus trouvés dans les aliments sont trop faibles pour avoir un impact négatif sur notre santé. Un argument contredit par la très abondante littérature publiée sur ce sujet. Une méta-analyse publiée au Canada a conclut que sur 207 publications scientifiques mettant en regard l’exposition aux pesticides et diverses pathologies (cancer, neurotoxicité, problèmes de reproduction, génotoxicité, problèmes dermatologiques) 173 concluaient à une corrélation positive entre l’exposition et l’incidence de ces maladies. Il s’agissait souvent, mais pas toujours, d’expositions professionnelles, ce qui ne change rien aux conclusions qu’il faut en tirer. En effet, même si les résidus de pesticides présents dans les aliments n’avaient pas d’impact grave sur la santé du consommateur, ce qui est hautement improbable au vu des données de la littérature scientifique, avons-nous moralement le droit de consommer des aliments dont nous savons que leur production peut rendre les agriculteurs malades ? »

          1. @ José.B

            « Une méta-analyse publiée au Canada »

            == Référence svp?

          2. @ José.B

            « Il s’agissait souvent, mais pas toujours, d’expositions professionnelles, ce qui ne change rien aux conclusions qu’il faut en tirer.  »

            ==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!

          3. « == Référence svp?»

            Vous ne faites pas confiance au journal Le Monde zygomar ?

            «==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!»

            Les consommateurs ont dans leur sang les pesticides utilisés en agriculture, c’est bien connu!!!

        2. « Et quel est l’insignifiant pourcentage d’agriculteurs qui s’approvisionne en Espagne ? Dont une fraction encore plus réduite achète des produits illégaux en Europe ? »

          PLUS MENTEUR QUE La Coupe Est Pleine TU MEURS!!!

          « Nous sommes face à une nouvelle forme de criminalité en bande organisée, extrêmement bien structurée, et aux ramifications qui dépassent les frontières », constate le colonel Thierry Bourret, chef de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp).(Office Central de Lutte contre les Atteintes à l’Environnement et à la Santé Publique)
          Saisis par la Brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires, ses enquêteurs ont démantelé en 2008, pour la première fois en France, un vaste réseau illégal d’importations parallèles. De quoi s’agit-il ? De pesticides fabriqués sous licence à partir de matières actives homologuées en France, dont les brevets sont tombés dans le domaine public. « Les problèmes commencent lorsque ces matières actives, achetées en Chine, sont formulées par des apprentis sorciers sans précaution dans des laboratoires clandestins et repackagés. Cela donne des combinaisons chimiques dont on ne mesure pas encore la portée », explique-t-on à l’Oclaesp. Vendus dix fois moins cher, ces produits écoulés frauduleusement trouvent facilement preneur dans les milieux agricoles. »

          Et qui sont « les preneurs dans les milieux agricoles »? Les agri conventionnels bien sur !!!

          1. José.B dit :
            13 août 2011 à 9:05

            Et qui sont « les preneurs dans les milieux agricoles »? Les agri conventionnels bien sur !!!

            ===> Voilà encore une affirmation sans preuves dont vous faites fonds de commerce!

            Et moi si je vous affirme, comme vous le faites sans arrêt, que les « bios » qui n’ont en principe pas le droit d’utiliser des produits de synthèse, sautaient sur l’occasion d’en acheter quand même (et moins chers évidemment) pour pouvoir les utiliser en douce lorsque la pression de la maladie ou l’infestation par les insectes se fait trop forte au point de menacer la totalité de la récolte et/ou sa qualité et que l’efficacité des remèdes de grand’mère montre ses limites. Pas vu, pas pris, pas de traces……

          2. «===> Voilà encore une affirmation sans preuves dont vous faites fonds de commerce! »

            Si des agri bio étaient impliqués dans ce trafic, Alerte environnement aurait saisi l’occasion pour pondre un papier virulent sur le sujet!!!
            Par conséquent, jusqu’à preuve du contraire pas d’agri bio dans le trafic de pesticides, donc finalement que des conventionnels!!!

  17. Je crois que j’ai fait une erreur de manipulation lors de mon dernier post :

    Moi dans mon coin (très proche des pyrénées) bien des escrolos verts tentent de faire croire qu’il y a « beaucoup » de produits phytos qui sont achetés illégalement en Espagne …. Quand bien même cela serait vrai, ce que je n’ai toujours pas pu vérifier dans des faits, l’Espagne est encore l’Europe et aux dernières nouvelles les bidons de Harness ont la même composition des deux côtés de la frontière …
    Que l’étiquette soit principalement en Castillan ou en François va-t-il changer quelque chose ?

    Ce qui est amusant avec « Robert JP » c’est qu’il est capable d’envoyer tout un wagon de « on dit que » et de vous asséner ça en guise de « vérité indiscutable » …. Quand on lui demande des « sources » il n’est capable que de produire des racontars et des ragots, après il faut qu’on le croit sur parole ?
    Faut-il seulement « croire » Robert JP parce qu’il dit avoir participé à une commission de l’eau ?
    Les petites légendes qu’il débite ont-elles plus de crédit que des rapport émanant d’officines gouvernementales ou internationales ?
    C’est encore sur ce genre de faits que l’on mesure tout le caractère spirituel de la « religion » pro-BIO !

    Je devrais dire SECTE puisque leur but est d’exclure ce qu’ils appellent le : Kapital et l’agriculture chimik !

  18. José.B pourrait-il arrêter de faire tourner sa crécelle qui crache régulièrement sa ritournelle insultante : « PLUS MENTEUR QUE La Coupe Est Pleine TU MEURS!!! »

    C’est lassant et ne fait que révéler sa bassesse morale et son infâmie.

    NB1 Je ne vois pas comment on peut faire confiance aux journalistes du « Monde » qui n’ont de journalistes que le nom et sont en réalité des militants.

    NB2 Le texte du « Monde » qui sert de référence à José.B est une libre opinion. On sait bien que les libres opinions des journaux sont ouvertes à n’importe qui pour dire n’importe quoi. D’ailleurs le deuxième paragraphe de l’extrait cité par José. B contient une contradiction interne grossière. Il n’y a que les imbéciles militants pour ne pas la voir. Ce qui montre bien que ce papier n’est qu’un torchon de militants pour militants abrutis.

  19. @ José.B
    « == Référence svp?»

    Vous ne faites pas confiance au journal Le Monde zygomar ?

    *** Je reprends ma question qui avait le mérite d’être claire:

    zygomar dit :
    13 août 2011 à 7:31
    @ José.B

    « Une méta-analyse publiée au Canada »

    == Référence svp?

    == Je rpépète: quelle est la référence de la « méta-analyse canadienne ». je préfère toujours avoir des informations de première main plutôt que des resucées plus ou moins biaisées. Non, je ne fais pas du tout confiance au Monde pas plus qu’a

    «==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!»

    Les consommateurs ont dans leur sang les pesticides utilisés en agriculture, c’est bien connu!!!

  20. @ José.B
    « == Référence svp?»

    Vous ne faites pas confiance au journal Le Monde zygomar ?

    *** Je reprends ma question qui avait le mérite d’être claire:

    zygomar dit :
    13 août 2011 à 7:31
    @ José.B

    « Une méta-analyse publiée au Canada »

    == Référence svp?

    == Je rpépète: quelle est la référence de la « méta-analyse canadienne ». je préfère toujours avoir des informations de première main plutôt que des resucées plus ou moins biaisées. Non, je ne fais pas du tout confiance au Monde pas plus qu’a

    «==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!»

    Les consommateurs ont dans leur sang les pesticides utilisés en agriculture, c’est bien connu!!!

  21. @ José.B
    « == Référence svp?»

    Vous ne faites pas confiance au journal Le Monde zygomar ?

    *** Je reprends ma question qui avait le mérite d’être claire:

    zygomar dit :
    13 août 2011 à 7:31
    @ José.B

    « Une méta-analyse publiée au Canada »

    == Référence svp?

    == Je rpépète: quelle est la référence de la « méta-analyse canadienne ». je préfère toujours avoir des informations de première main plutôt que des resucées plus ou moins biaisées. Non, je ne fais pas du tout confiance au Monde pas plus qu’a

    «==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!»

    Les consommateurs ont dans leur sang les pesticides utilisés en agriculture, c’est bien connu!!!

    1. @ José.B

      « Une méta-analyse publiée au Canada »

      == Référence svp?

      °°°°°> Cà ne vient pas vite dites donc…. C’est si difficile que çà? Ou bien ne l’avez-vous tout simplement pas et vous êtes contenté de répéter servilement ce que vous avez lu dans le Monde ?

  22. FAUSSE Manip’! Mes excuses§ Je reprends:

    zygomar dit :
    13 août 2011 à 9:47
    @ José.B
    « == Référence svp?»

    Vous ne faites pas confiance au journal Le Monde zygomar ?

    *** Je reprends ma question qui avait le mérite d’être claire:

    zygomar dit :
    13 août 2011 à 7:31
    @ José.B

    « Une méta-analyse publiée au Canada »

    == Référence svp?

    == Je répète: quelle est la référence de la « méta-analyse canadienne ». Je préfère toujours avoir des informations de première main plutôt que des resucées plus ou moins biaisées. Non, je ne fais pas du tout confiance au Monde pas plus qu’à d’autres feuilles de chou pour obtenir des informations scientifiques. Vous n’avez pas donné la référence de l’artcile du Monde que vous citez! Vous ne donnez que votre « résumé » qui ajouté aux vues militantes du Monde, n’en est qu’encore plus douteuse.

    «==> A une « nuance » près: niveau d’exposition entre « exposition professionnelle » et exposition du consommateur »!»

    Les consommateurs ont dans leur sang les pesticides utilisés en agriculture, c’est bien connu!!!

    — C’est possible mais ce sur quoi je voulais attirer l’attention, c’était la forte différence entre les niveaux d’exposition entre les professionnels et les consommateurs, niveaux d’exposition qui expliquent les différences de pathologies notées mais dont je ne peux rien savoir tant que je n’aurai pas lu en entier l’artcile canadien auquel vous faites allusion. D’autant plus que vous dites vous-même que  » 173 concluaient à une corrélation positive entre l’exposition et l’incidence de ces maladies. Il s’agissait souvent, mais pas toujours, d’expositions professionnelles ».

    1. «Non, je ne fais pas du tout confiance au Monde … », «vues militantes du Monde» (zygomar)

      «Je ne vois pas comment on peut faire confiance aux journalistes du « Monde » qui n’ont de journalistes que le nom et sont en réalité des militants. » ( Laurent Berthod ingénieur agrenoble)

      Le sujet de la discussion est « Crise dans la filière bio » initié par Alerte environnement avec pour référence un aticle du Monde:
      « La filière bio affronte sa première crise de confiance ». C’est ce qu’affirme Claire Gatinois et Laetitia Van Eckhout, journalistes au Monde…»

      Pourquoi n’avez-vous pas déclaré à cette occasion que Claire Gatinois et Laetitia Van Eckhout étaient des journalistes « qui n’ont de journalistes que le nom et sont en réalité des militants. »?
      Vous etes incapables de voir vos incohérences de militants antibio!!!

  23. José.B
    «===> Voilà encore une affirmation sans preuves dont vous faites fonds de commerce! »

    Si des agri bio étaient impliqués dans ce trafic, Alerte environnement aurait saisi l’occasion pour pondre un papier virulent sur le sujet!!!

    ===> Cette fois c’est purement et simplement un procès d’intention! Pas une preuve…..

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