L’enseignement, c’est bien, sauf quand celui-ci ne va pas dans le sens que vous souhaitez. Le Pesticide Action Network (dont Générations Futures est la filiale française) a accusé BASF « d’acheter de la crédibilité pour que l’industrie présente ses points de vue au sein du monde académique, après que l’un des employés de l’entreprise s’est vu proposer un poste de professeur à l’université de Wageningen aux Pays-Bas. »
Pour l’instant, le Pesticide Action Network n’a fait aucune remarque concernant la présence d’un certain professeur Séralini, militant écologiste engagé contre les OGM et le pesticide Round Up, au sein de l’université de Caen.
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