La fraude pullule dans le bio. Pas très étonnant pour un marché ultra-lucratif où il est possible de faire des marges très importantes en trafiquant quelques étiquettes. C’est ce que nous rappelle cet article du site presseurop.eu.
On en revient toujours à ce besoin du consommateur d’être rassuré. Il est incapable de distinguer du bio du non-bio mais peu importe le bio est toujours meilleur !
Avec le bio tout est dans l’étiquette ….du produit ….et dans la tête …du bobo consommateur.
Aussi dans le tiroir caisse de la GSM qui en fait la promotion.
« Avec le bio tout est dans l’étiquette ….du produit ….et dans la tête …du bobo consommateur. »
C’est vrai et c’est valable pour tout les consommateurs et tous les produits proposés .
Le comportement des individus est irrationnel , c’est bien pour ça que lorsqu’un industriel lance un produit destiné à un large public il réalise des études de marchés , c’est le client qui décide de ce qu’il achète et au prix qu’il estime correct (sauf les cas de monopoles , bien sur !)
Plaire au client est un art difficile , le fidéliser l’est encore plus !
Les biocoop ne font qu’exploiter des ressorts connus et éprouvés , c’est du marketing et pas autre chose .Un client doit être rassuré dans son achat , si en plus il aime à croire que c’est bon pour sa santé , alors il accepte de payer plus cher , pour lui ça justifie le surcoût
« Le comportement des individus est irrationnel »
Sauf les Français qui sont, c’est bien connu ,surtout d’eux-mêmes, le peuple le plus rationnel de la terre……..
oui et je crois qu’ils disent qu’ils sont « cartésiens » !! , hi hi je pouffe !!
Jeudi soir, sur envoyé Spécial de F2, il y avait un sujet sur les liquidateurs judiciaires. http://www.france2.fr/emissions/envoye-special/administrateurs-liquidateurs-sauveurs-ou-fossoyeurs_54987
Et parmi les « liquidés » un couple d’associés qui tenaient une épicerie BIO dans une grande ville. Étonnant que les Lyssenko du BIO ne réagissent pas ?
Pourtant France 2 n’est jamais en reste pour claironner les progressions fulgurantes du marché du BIO ?
Comment peut-on faire faillite dans le business du Saint-BIO ?
Nous aurait-on menti sur le prétendu engouement des Français pour le BIO ?
Vu que je ne reconnais pas une tomate espagnole à 90ct/kg à la tomate française à 2 €/kg, j’achète en général des produits non français. J’ai voulu aller dans une AMAP, mais cet imbécile de bouzlouc voulait se convertir au bio. Un truc à y passer, donc retour au supermarché, là au moins je suis certain de la sécurité de mes aliments.
http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Des-esclaves-pour-produire-des-tomates-bio-19673050
Des esclaves pour produire des tomates bio
http://www.natura-sciences.com/agriculture/agriculture-biologique/produire-bio-business696.html
Produire bio : un business comme les autres ?