« Manger bio préserve-t-il la santé ? » – Les approximations du Figaro

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Tous les 6 mois ou presque, nous avons droit à ce marronnier dans divers quotidiens et hebdos nationaux. C’est cette fois-ci le Figaro qui s’y colle avec un résultat, disons…qui pourrait être pire.

Les bons points d’abord :
-Sur la qualité nutritionnelle : De fait, les études menées sur la qualité nutritionnelle des aliments issus de l’agriculture biologique sont encore peu probantes. «Il en est ressorti qu’il y avait assez peu de différences au niveau des nutriments, indique Emmanuelle Kesse-Guyot, épidémiologiste à l’Institut national de la recherche agroalimentaire (Inra),
– Sur le mode de vie « bio » : Mais manger bio est plus qu’un choix alimentaire, c’est un mode de vie. «Les personnes consommant ces produits font plus de sport, mangent plus sainement. Elles ont souvent un niveau d’études plus élevé et donc une meilleure prise en charge médicale», pointe Emmanuelle Kesse-Guyot. Difficile alors de faire la part des choses entre les bénéfices de l’alimentation biologique.

Des doutes : «Cueillis plus tard, ils (les produits bio, ndlr) sont aussi cultivés plus près du consommateur qui reçoit donc des produits plus frais, donc moins déshydratés et plus riches en matière sèche. Mais cela n’a pas de lien avec le fait qu’ils sont biologiques. C’est un peu comme lorsqu’on cultive son propre jardin, ajoute-t-il. Les tomates du potager sont meilleures, qu’elles soient biologiques ou pas.»
Pas faux mais encore faut-il que les aliments bio proviennent bien de producteurs proches du lieu de consommation, et ça, c’est loin d’être systématiquement le cas.

Et des affirmations carrément à revoir : En revanche, les aliments bio ont sans conteste l’avantage de ne pas contenir de pesticides issus de l’industrie phytosanitaire. Or la dangerosité de ces derniers ne fait pas débat. «Il est établi que les pesticides organochlorés qui sont interdits en France, sont extrêmement nocifs, souligne Emmanuelle Kesse-Guyot. D’autres familles de pesticides, comme les organophosphorés, le plus connu étant le Roundup, ont certes un impact moins important mais moins bien identifié. Ils sont par ailleurs toxiques à haute dose. Des études ont prouvé qu’il existait un lien entre pesticides et cancers, notamment chez les agriculteurs qui les manipulent.»

-Rappelons à Emmanuelle Kesse-Guyot que le cancer est très loin d’être la première cause de décès des agriculteurs et que ceux-ci meurent même moins de cette maladie que le reste de la population !

-Erreur encore plus grossière : affirmer que les aliments bio ont sans conteste l’avantage de ne pas contenir de pesticides issus de l’industrie phytosanitaire. Emmanuelle Kesse-Guyot ne fait là que répéter une vieille croyance du grand public. Or, les produits bio « contiennent » bien des pesticides, et dont la toxicité peut être tout aussi importante que leurs homologues de synthèse. Le site A&E rappelle même dans une vidéo consacrée au sujet qu’il « existe pas moins de 400 spécialités différentes de pesticides utilisées par les agriculteurs bio dont certains sont classés dangereux pour l’environnement, très toxiques pour les organismes aquatiques ou dangereux pour les abeilles. » On s’étonnera d’ailleurs qu’une épidémiologiste de l’Inra puisse sortie de telles inepties…

Bref, des progrès mais l’essentiel est encore à revoir.

45 commentaires sur “« Manger bio préserve-t-il la santé ? » – Les approximations du Figaro

  1. Une telle médiocrité au niveau de la valeur ajoutée est tout simplement une honte pour un Directeur de Recherche de l’INRA.Nos impôts sont bien mal investis avec ces personnes qui confondent leur idéologie et militantisme avec ce pour lequel on les paye ( trouver quelque chose qui rapporte à la société).Pas un mot sur les contaminants, les mycotoxines, les substances bonnes et mauvaises dans les aliments etc…ni bien sûr sur les aspects économiques ( une alimentation pour les riches )et la mauvaise performance environnementale du bio.Elle n’a pas pu s’empêcher de faire un couplet Roundup (et non glyphosate)car cela fait partie des éléments de langage qu’elle a appris par coeur pour être bien vue du pouvoir.Désolant!

    1. @ VISOR

      >>> Vous omettez quand même de dire que vous avez appris quelque chose de nouveau sur le Roundup dans cette interview d’Emmanuelle Kesse-Guyot, épidémiologiste à l’Institut national de la recherche agroalimentaire (Inra):

      « ….D’autres familles de pesticides, comme les organophosphorés, le plus connu étant le Roundup…. »

      Vous me direz, elle est épidémiologiste à l’INRA, elle ne peut pas tout savoir…

      1. ….Cliqué trop vite! Ya le dernier morceau qu’a pas eu le temps de suivre… Je disais donc:

        « Elle n’est pas non plus chimiste. Alors entre « organophosphoré » et « phosphonométhyl etc »…. C’était pas loin parce que ya quand même du phosphore!! »

  2. la Roundup dans les organophosphorés ça on nous l’avait jamais fait !

    1. Bah, j’avais pris en stop un gars qui m’assurait que le RoundUp était « plein de métaux lourds » (il était documentaliste dans un lycée agricole pour info).
      Quand j’y repense, ça fait au moins 8 ans de ça, ce qui prouve que cette histoire dure.

  3. Je ne vous suis pas très bien. La présence d’une liaison phosphore carbone, comme dans le glyphosate, ne suffit-elle pas à qualifier un organophosforé?

    1. @ Listo

      Le glyphosate est un herbicide de la famille des amino-phosphonates (ACTA, 2010).

      1. Merci pour la réponse, Zygomar. Mais les amino-phosphonates ne sont-ils pas justement des organophosphorés, (tels que décrits ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_phosphonique ) ?
        Organophosphoré c’est un terme très général qui me semble-t-il peut s’appliquer à tout composé avec une liaison C P . Après vérification, c’est une définition assez courante. Or le glyphosate est dans ce cas et cela ne me parait donc pas erroné de dire que c’est un organophosphoré.

        1. Emmanuelle Keysse Guyot n’a pas du discuter beaucoup avec des professionnels de terrain pour mettre le glyphosate ( sels isopropylamine) dans les organo phosphorés, à moins que ce ne soit par snobisme ou par connaissance livresque?. Ce qui compte c’est la manière de catégoriser les familles chimiques par les gens de la profession. Dans cette catégorie se trouvent surtout des insecticides ( dits OP) qui bloquent l’action de la cholinestérase. Les professionnels tiennent aussi compte du mode d’action quand ils définissent une famille ou une sous famille et pas seulement de la simple structure chimique.

          1. OK, je vois à quel niveau se situe la critique. Néanmoins, même dans une discussion où le contexte est agronomique cela me gène un peu qu’on se fasse descendre pour un pour un propos finalement « chimiquement correct » si vous voyez ce que je veux dire.

          2. et oui Listo , le niveau d’exigence dans l’exactitude es propos varie selon la personne qui les prononce.

  4. A mon avis, c’est surtout le journaliste qui doit déformer les propos (sans avis préalable du Docteur) car les avis de celle ci sont plus mesurés dans d’autres interviews…

    1. voir le site sur son enquête bionutrinet
      http://bionutrinet.etude-nutrinet-sante.fr/
      on ne peut pas dire que le niveau soit bien élevé et je crains qu’il ne ressorte rien de nouveau de cette étude.
      Dans certaines interviews elle indique qu’une banane qui fait des milliers de KM n’est pas forcément durable: ceci est de l’idéologie car la consommation d’énergie par Kg de banane dans le transport bateau Amérique centrale/ France est moindre que celle qui se fait localement ( prendre sa voiture pour faire les courses).On attendrait plus de rigueur intellectuelle de la part d’un directeur de recherche scientifique.De même la tomate de Bretagne ( serre chauffée) est moins durable que celle du Sud de l’espagne malgré les distances.

  5. Bon on a connu pire comme article et interview, quand même.

    L’encadré de la photo précise:
     » Les produits bio, le plus souvent cultivés à proximité de leur lieu de consommation, ont en tout cas le mérite d’être frais ».

    Ce qui est vrai pour les fruits et légumes bio du marché, comme ceux d’ailleurs produits en conventionnels.
    Avec moins d’engrais azoté et moins d’irrigation parce que risque maladies non maitrisées, les tomates bio sont en général plus gouteuses que les tomates conventionnelles.

    En revanche pour les produits issus de céréales bio ou des viandes bios, je demande à voir.

    Pour les pesticides, les fruits et légumes bio qui ont reçu de la bouillie bordelaise posent plus de pb tox que les fruits et légumes produits en conventionnel. le cuivre a vu sa toxicité révisée …ce qui aurait du l’interdire en sus de ses effets délétères sur l’environnement.

    On pourrait aussi souligner que la maladie de Parkinson est induite par un herbicide dont on peut se protéger et qui ne passe jamais dans les aliment et par un insecticide très utilisé en bio jusqu’à son interdiction récente : la roténone.

    Insecticide présent sur les fruits et légumes bio.

    Pour l’incidence des pesticides sur les cancers la DR de l’INRA aurait du citer l’étude AGRICAN qui double d’autres études nombreuses dans d’autres pays qui prouvent également que les agriculteurs massivement exposés aux pesticides et sans protection jusque dans les années 95 ont développé nettement moins de cancers que le reste de la population.

    Cela ne veut bien entendu pas dire que les pesticides sont sans dangers ( certains plus dangereux que d’autres), mais que le reste de la population est en relatif exposée à des cancérigènes bien plus puissants et cela n’a rien à voir avec les pesticides contenus dans l’alimentation.

    Ces études excluaient l’effet du tabac qui reste de loin la première cause de cancers en France, idem pour les études conduites à l’étranger.

    C’est en cela que l’intervention de la DR de l’INRA est très décevante mais on a vu bien pire dans cet institut, elle essaie certainement de faire du bobo politiquement correct, mais manque de recul et surtout d’expérience pour jouer sur l’ambigüité de son propos.

    Il ne faut surtout pas suite à ces constats jeter le bio avec l’eau du bain médiatique, produit par de petits agriculteurs, dans des zones périphériques et difficiles, c’est un bon moyen de permettre la survie de ces exploitations, le bobo citoyen acceptant de payer plus cher son alimentation si elle est bio. C’est la principale vertu de ce mode de production mais ce n’est pas rien quand même.

    Mais cela veut dire pas de bio ukrainien comme il en existe beaucoup, cela veut dire du bio acheté sur le marché local directement au producteur. Pas du bio Auchan ou Carrefour ou biocoop qui ne fait qu’engraisser ces enseignes qui saignent le production bio comme le producteur conventionnel.

    1. @alzine
      Les tomates qui partent d’almeria le soir sont le lendemain en France, donc parfois plus  » fraîches  » que celles produites localement. Les Hollandais font encore mieux avec les fleurs: beaucoup de fleurs produites dans le monde entier arrivent le soir par avion à Amnsterdam , où a lieu la vente aux enchères la nuit( tous les gros acheteurs mondiaux sont là) et à 5 H du matin les fleurs repartent dans le monde entier! La logistique a fait d’énormes progrès. Si la France considère que c’est un obstacle d’être loin du lieu de consommation elle se prive de 95 % du marché mondial! le concept du local est bien souvent une entourloupe.Pour le bio vous oubliez de dire que les engrais azotés mis sont des excréments ! ( contenant donc parfois des micro organismes pathogènes, qui peuvent muter, se recombiner et infester l’homme! ( tiens pour une fois, on abandonne le principe de précaution).Il ya aussi les mycotoxines cancérigènes dont on pourrait parler pour les produits bios locaux.Vous oubliez de dire que les subventions données au bio ( ils cumulent bien souvent différentes aides)sont payées par les contribuables sans leur consentement ( c’est donc du vol) et que l’argent ainsi prélevé ne va donc pas dans les investissements qui nous manquent tant, ce qui génère donc du chômage: le bio a donc aussi sa part dans l’augmentation du chômage!malheureusement les producteurs bios français exportent bien peu et ils ne sont donc que des assistés.Vous vous réjouissez que les bobos citoyens acceptent de payer plus cher le bio mais le problème est que les producteurs profitent de leur méconnaissance ( combien savent qu les bios utilisent des pesticides?) pour leur mentir : on est donc dans l’escroquerie pure et simple.je respecterais la filière bio lorsqu’elle sera honnête sur ses promesses et qu’elle ne sera pas assistée en vivant aux crochets de ceux qui produisent les vraies richesses ou des générations futures ( via la dette).

      1. VISOR > beaucoup de fleurs produites dans le monde entier arrivent le soir par avion à Amnsterdam , où a lieu la vente aux enchères la nuit( tous les gros acheteurs mondiaux sont là) et à 5 H du matin les fleurs repartent dans le monde entier!

        Tout ce pétrole définitivement cramé pour des ***fleurs***. On croit rêver… mais non.

        > Vous oubliez de dire que les subventions données au bio ( ils cumulent bien souvent différentes aides)sont payées par les contribuables sans leur consentement ( c’est donc du vol) et que l’argent ainsi prélevé ne va donc pas dans les investissements qui nous manquent tant

        C’est comme la taxe CSPE imposée à tous les clients d’EDF pour financer ces bêtises que sont l’éolien et le solaire, alors qu’une centrale nucléaire peut produire beaucoup plus d’électricité 24/7, sans gaz à effet de serre et pour beaucoup moins cher (rapporté à la durée de vie totale de la centrale).

        http://www.contrepoints.org/2015/01/22/195375-taxe-sur-lelectricite-la-nouvelle-gabelle

      2. Pour les mycotoxines, j’estime ne pas avoir fait encore suffisamment le tour du sujet pour le développer sur ce blog, donc je cite, pourtant…

        Je cite donc le prof de l’ENV Toulouse qui était cité avec beaucoup justesse dans l’article. Le Pr Corpet avait développé par ailleurs un point de vue que j’estime malgré tout intéressant sur le sujet de mycotoxines ( plutôt mélange d’ alcaloïdes contenus dans le sclérote d’un champignon qui comme les mycotoxines provoque des effets aigües à forte dose et chroniques à faible dose. l’Utilisation de ces alcaloïdes dans le domaine médical a permis d’identifier diverses interactions et phénomènes de potentialisation avec d’autres substances notamment médicaments, ce qui limite la connaissance précise de la dose vraiment toxique. Dose toxique bien inférieure à celle identifiée par les agences sanitaires du fait de cette potentialisation ).

        On lira donc http://fcorpet.free.fr/Denis/Risque-seigle-mycotoxine-ergot-T2.html.
        l
        Les précisions que j’ai porté dans l'() n’étant pas apportées dans le blog cité, c’est une synthèse sur un sujet dont je n’ai pas encore fait le tour tellement il est large mais que je ne méconnais pas non plus tout à fait.

        Pour la toxine T2 et HT2 si le seigle peut être contaminé, dans l’état actuel des choses en Europe c’est plutôt l’orge ou l’avoine( de printemps ) qui en contiennent le plus avec des risques de passage dans la bière dont la base est l’orge ( de printemps) maltée .
        Le maïs n’est pas épargné et le blé dur semé en cours d’hiver également.

        Il n’y a donc pas que le tabac de dangereux dans la vie, même la bière et pas forcement à cause de l’alcool contenu. Bon tout cela reste bien surveillé et, en principe, sous contrôle et inférieur aux doses considérées comme dangereuses, en l’état actuel des connaissances et avec infiniment moins de facteurs de sécurité que pour les pesticides infiniment moins à risque pour le consommateur, que les alcaloïdes, mycotoxines et même l’alcool ( qui est dangereux avec un effet de seuil contrairement au tabac sans effet de seuil).

        Bon cette fois, je me suis, un peu, lâché sur les mycotoxines, pas dans mes habitudes.

      3. En parlant de LOCAL !
        mon fils en faisant ses courses dans les marchés de quartier à Paris , que des légumes produits du coté de Rouen ou Orléans étaient considérés comme du « Local » !!!!

  6. « Ces études excluaient l’effet du tabac qui reste de loin la première cause de cancers en France, idem pour les études conduites à l’étranger.  »
    —————
    Allez, voilà qu’Alzine recommence avec son hystérie anti-tabac et ses certitudes bidon sur le cancer.
    Non, le tabac n’est PAS la première cause de cancer, ni en France, ni ailleurs. La première cause de cancer, personne n’en a la moindre idée, alors merci de nous épargner de ta prétention de savoir, on en a déjà assez soupé avec les journaleux.

    P.S. Histoire que tu cesses de répéter toujours la même bêtise, le cancer le plus fréquent, et de très très loin, chez l’homme, c’est de la prostate, chez la femme, c’est du sein. On se demande bien quel « cause » tu vas sortir du chapeau pour l’expliquer : la sexualité, la punition divine ?

    1. @mini tax
      Quelle est votre source pour dire que ce n’est pas le tabac la première cause de cancer? Tout ce que j’ai lu sur le sujet donne raison à Alzine et en plus on pourrait ajouter les méfaits du tabac sur les maladies cardio vasculaires ou autres.Le seul côté positif du tabac c’est pour l’état qui gagne au niveau des impôts et qui paye moins en retraite.

      1. @ VISOR

        « …. Sans doute faut il préciser si on parle d’incidence …. »

        >>> Ah! Incidence, fréquence, prévalence….. Travail et vocabulaire de spécialistes!

    2. @ miniTAX

      « ….. La première cause de cancer, personne n’en a la moindre idée… »

      >>> Dire que « personne » n’en a « la moindre idée », est très probablement ex

      1. @ miniTAX

        « ….. La première cause de cancer, personne n’en a la moindre idée… »

        >>> Dire que « personne » n’en a « la moindre idée », est très probablement exagéré! On peut néanmoins dire, sans trop de risque de se tromper, que le cancer est un phénomène multifactoriel dont on n’a pas encore démêlé complètement l’écheveau…..

    3. @ miniTAX

      « ….. On se demande bien quel « cause » tu vas sortir du chapeau pour l’expliquer : la sexualité, la punition divine ? »

      >>> Vous savez bien que l’on est toujours puni pa

        1. @ roberto

          « pourquoi vous n’êtes jamais foutu de terminer vos phrases ?  »

          >>> Pour donner à ceux qui n’ont rien d’autre de plus intelligent à dire des occasions de se manifester pour avoir l’impression d’exister!

          1. waouh ! je ne savais pas que des élèves d’école primaire intervenaient sur ce site. bon courage petit, fais bien tes devoirs pour la rentrée.

  7. @ miniTAX

    « ….. On se demande bien quel « cause » tu vas sortir du chapeau pour l’expliquer : la sexualité, la punition divine ? »

    >>> Vous savez bien que l’on est toujours puni par là où on a péché…..

    1. Il y a plus de cancers de la prostate chez ceux qui ont peu de relations sexuelles.

      1. @ VISOR

        « Il y a plus de cancers de la prostate chez ceux qui ont peu de relations sexuelles. »

        >>> Et où donc ce genre de données a-t-il été publié?

          1. @ VISOR

            >>> Merci pour cette intéressante référence. L’étude est bien faite mais je dois avouer que les constatations et les conclusions qui en sont tirées n’emportent pas vraiment la conviction des auteurs ni la mienne …….

  8. @ Listo

    « OK, je vois à quel niveau se situe la critique. Néanmoins, même dans une discussion où le contexte est agronomique cela me gène un peu qu’on se fasse descendre pour un pour un propos finalement « chimiquement correct » si vous voyez ce que je veux dire. »

    >>>> Vous me semblez avoir la susceptibilité à fleur de peau ! Le commentaire de Visor, tout à fait calme et courtois soit dit en passant, n’était qu’une mise au point tout à fait pertinente venant de la part de quelqu’un « du terrain » relatant les us et coutumes des utilisateurs habituels du produit! Vous ne vous êtes en aucun cas « fait descendre » mon vieux!

    1. Mais je ne me suis pas du tout senti « descendu ». Je parlais de l’interviewée. C’est l’interviewée qui s’est fait descendre en flammes pour un terme qui est finalement juste, au moins formellement.
      Je trouve que c’est injustifié de la critiquer ainsi sur ce point là. Pour le reste…

  9. roger a dit :

    et oui Listo , le niveau d’exigence dans l’exactitude es propos varie selon la personne qui les prononce.

    >>> Cà aurait été étonnant que le sénile de service ne vienne pas mettre son nez dans un propos auquel il n’a encore rien compris….

  10. @roberto

    « waouh ! je ne savais pas que des élèves d’école primaire intervenaient sur ce site. bon courage petit, fais bien tes devoirs pour la rentrée. »

    >>> J’aurais dû parier sur le niveau de la répartie!! Pas de surprise! La constance dans le degré quasi-zéro de la pensée!

  11. avec la répartie dont vous faites preuve, ce n’est pas le « niveau quasi-zéro de la pensée » qui vous caractérise mais plutôt celui des profondeurs abyssales, bien en-dessous de zéro !

    1. @ roberto

      « avec la répartie dont vous faites preuve, ce n’est pas le « niveau quasi-zéro de la pensée » qui vous caractérise mais plutôt celui des profondeurs abyssales, bien en-dessous de zéro ! »

      >>> Bravo Toto! Cà continue!! La prochaine fois qu’Est-ce que çà va être? C’est çui kil dit kai çui kil y est??

      Pour mettre les points sur les i une fois pour toutes et éclairer la lanterne des durs de la comprenette:

      roberto a dit : pourquoi vous n’êtes jamais foutu de terminer vos phrases ?

      Zygomar a dit :

      @ miniTAX

      « ….. On se demande bien quel « cause » tu vas sortir du chapeau pour l’expliquer : la sexualité, la punition divine ? »

      >>> Vous savez bien que l’on est toujours puni pa

      ===> Il est clair pour tout un chacun normalement constitué et habitué à ce genre de pratique sur les forums, que la raison pour laquelle je n’ai pas (cette fois et plusieurs autres) terminé ma phrase et que pour une raison que j’ignore mais certainement due à la maladresse, elle-même due à la fois à un manque d’habitude et à la précipitation, j’ai cliqué trop vite ou par inadvertance pour envoyer mon message avant qu’il ne soit terminé!! Cà y est maintenant, c’est clair? Cà ne va plus vous empêcher de dormir et remonte-je un peu dans votre estime, si tant est que vous en ayez jamais eu?

      1. Et ben voilà quand il veut il reconnaît ses erreurs !
        A présent, tjs dans l’optique d’une meilleure compréhension, reste plus qu’à corriger l’orthographe, mais faut pas trop en demander d’un coup à ce zyg, sinon il risquerait nous faire une surchauffe crânienne !

        1. « …il risquerait DE nous faire une surchauffe… »

          Et la première phrase serait bien mieux si elle était agrémentée de deux signes de ponctuation.

        2. @ roberto

           » Et ben voilà quand il veut il reconnaît ses erreurs ! »

          >>> Ah! Et quelle est donc « l’erreur » que j’aurais ici reconnue?? C’est bien le genre de mec prétentieux qui veut péter plus haut qu’il n’a le trou qui, faute d’autre chose, prend ses interprétations personnelles pour des arguments….

          Par ailleurs, si moi, « j’ai reconnu mes erreurs », ce qui reste à prouver, le Roberto lui ne l’a pas fait! Car il me reproche de ne pas terminer mes phrases. Ce qui est exact! Mais j’en ai donné la raison! Lui n’a pas admis mon explication d’une part et que sa remarque acerbe n’avait dès lors plus vraiment sa raison d’être d’autre part!

          « … A présent, tjs dans l’optique d’une meilleure compréhension, reste plus qu’à corriger l’orthographe »

          >>> Le mieux lorsqu’on a des griefs à faire valoir c’est d’être précis! Exemple de faute d’orthographe qu’il conviendrait de corriger?

          >>> En ce qui me concerne, j’en aurai terminé ici avec cette perte de temps en discussion stérile avec un adolescent en mal de reconnaissance d’une personnalité encore mal structurée.

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