C’est une dépêche AFP publié ce week-end qui est (curieusement ?!) passée sous silence dans les principaux médias. On y apprend que selon une étude « Wind at work », « le nombre d’emplois dans le secteur de l’énergie éolienne en Europe devrait plus que doubler d’ici 2020, passant de 154.000 en 2007 à 325.000, selon une étude de l’Association européenne de l’énergie éolienne (EWEA). »
Précision importante : « Les trois quarts de ces emplois (75%) se trouvent concentrés dans les trois pays pionniers de l’éolien : Danemark, Allemagne et Espagne. » Néanmoins, selon le SER (Syndicat des Energies Renouvelables), « en France, le nombre d’emplois devrait plus que doubler dans ce secteur d’ici 2012, passant de 7.000 à 16.000 ».
Faut-il faire un lien entre la récente polémique sur les éoliennes et la faible médiatisation de cette étude « Wind at work » ?
Bonjour.
L’ensemble de ces emplois seront des emplois « fictifs ». En effet, ils seront tous fortement subventionnés (directement ou indirectement) par les pouvoirs publics.
Soutient au prix de rachat de l’électricité, aides aux investissements, à la création de parc éoliens, baisses des taxes et des charges sociales, TVA réduite….
Toutes ces petites choses qui font que les contribuables paierons deux fois:
Une fois par la facture d’électricité, une deuxième fois par leurs impots.
Perso, je ne suis pas du tout d’accord.
Enfin, il faut rappeler que les éoliennes sont en matériaux composites (carbone haut module tressé) et que personne ne sait recycler ces matériaux. En général ils finnisent dans des incinérateurs (ou à la décharge).
Donc le pétrole qui aura servit à fabriquer ces matériaux sera finalement rejeté sous forme de CO2.
Et le rendement final de ces éoliennes est quasi-nul.
Bien cordialement à tous.
Ceci dans l’hypothèse d’un accueil éolien sans faille ce qui est loin d’être le cas, quand on voit d’autres sondages que ceux « officiels » de l’ADEME ou du SER… et qu’un projet sur 2 en France est porté au tribunal!
Et quand bien même, ce sont nos voisins Danemark, Allemagne et Espagne en tête pour la conception industrielle, donc leur priorité obtenir de nouveaux territoires à investir.
Ici seuls quelques bureaux d’études « environnementalistes » font de bonnes affaires.
Pour ce qui est des études accoustiques, les développeurs ont leur propre étude toute ficelée et non traduite à fournir à l’attention du public.
Quand on a si peu de crédit, ben on tente l’effet « emploi »…
est ce que la priorité d’EDF ne serait pas pluutôt d’enterrer les lignes électriques plutôt que de racheter à prix d’or l’électricité éolien ou solaire.
Les dégâts de la tempête dans le Sud Ouest nous rappelle à la dure réalité