Les abeilles en ville, on en parle beaucoup. Il faut dire qu’un syndicat apicole (l’Unaf) est devenu un spécialiste de ce nouveau business qui reste avant tout un outil de communication à destination des médias. Depuis plusieurs années, l’Unaf ne cesse de marteler que les abeilles se portent mieux en ville qu’à la campagne en raison de l’absence de produits phytosanitaires. Et encore plus fort, les abeilles feraient nous assure-ton des récoltes exceptionnelles.
Oui mais voilà, le quotidien La Provence (voir ici) revient sur la récolte de miel des ruches installées par la municipalité de Martigues. « Actrices majeures de la pollinisation et de la bio-diversité, les abeilles martégales se sont faites, cette année, un peu tirer les oreilles. Les butineuses des six ruches installées sur le toit de l’Hôtel de ville n’ont produit que 70kg de miel contre 80 en 2008. « C’est moins bien que l’an passé, précise Henri Clément, président de l’Union nationale des apiculteurs français (UNAF). C’est à cause des intempéries que le nectar n’a pas pu remonter. Mais aussi parce que les abeilles ont beaucoup essaimé. Le miel martégal est de très grande qualité, avec un taux d’humidité de 16%, il se conserve très bien« . »
Rappelons que 6 ruches ont été installées par l’Unaf à Martigues en 2007 (voir ici). Cela fait donc une moyenne de 11.6 kg/ruche contre 13.3 kg/ruche en 2008. Or, selon l’Unaf, en 2008 la France a produit 20.000 tonnes de miel et comptait 1.250.000 ruches (voir ici), soit une moyenne de 16 kg par ruche.
Les ruches se portent-elles vraiment mieux en ville ???
Bonjour à tous.
je reviens sur une interrogation que j’avais déjà posté sur un billet de même thématique que celui ci:
Si les abeilles se portent mieux en ville, pourquoi alors les écolos nous assènent à longueur de journée que l’air des villes est particulièrement pollué, nocif à nos poumons?
Serait-il possible que l’air des villes soit moins pollué qu’on nous dit.
une étude d’air parif vient de montrer que l’air dans le métro est plus pollué (surtout en particules issues du freinage des rames) que l’air de la ville. Qui cela étonne? Tout le monde!!! Pourtant j’ai toujours appris au cours de mes études que l’air dans un milieu confiné était toujours plus vicié que l’air extérieur. Les médecins et pneumologues attestent régulièrement de la qualité de l’air des villes et des champs en recommandant aux gens d’ouvrir leurs fenêtres le matin.
Quand à la baisse de production des abeilles en ville, je pense que la solution est plutôt à chercher du côté des sources de nectar et pollen. les grands champs de fleurs sur les toits des maisons sont clairement visibles par les abeilles urbaines.
conclusion: L’air des villes est moins pollué que les écolo nous le disent, et les abeilles crèvent de faim en ville.
Bien cordialement à tous.
Henri Clément Président de l’Unaf trouve toujours une bonne explication
Quand les apiculteurs de montagne ou des villes font de mauvaises récoltes c’est la faute a la sécheresse ou aux intempéries…
Quand ses collègues de Lozère perdent une bonne partie de leur cheptel c’est une conséquence de la sécheresse …
Cette année dans certaines régions de plaine les apiculteurs ont réalisés trois excellentes récoltes de bon miel / colonie ( Colza , acacia , tilleul )
L’Unaf ne risque pas de communiquer la dessus et pour cause cela ne cadre pas avec leur propagande
Les abeilles, sentinelles de l’environnement, meurent aussi en ville, sous les sophoras et en direct !!! http://www.eauseccours.com/article-33688680.html
@ Ciel Nature:
Les abeilles ne sont pas des « sentinelles de l’environnement », pas plus que d’autres espèces. Les écologistes, n’aillant aucune connaissances scientifique en fond un animal « magique », marqueur des activités humaine, ce qui est totalement faux.
Sur le site que vous indiquez, je ne vois rien d’exceptionnel. Des abeilles, des bourdons, des diptères … qui meurent des suites d’un épisode de chaleur important. Phénomène régulier et naturel dans les zones de climat méditerranéen en fin de printemps.
La diversité des arthropodes et leur phénologie annuelle (dynamique de la population) montre toujours une explosion au printemps, un chute importante en début d’été avec un minima en été, suivi d’une deuxième explosion en automne avant le crash hivernal.
Il serait bien que l’auteur du site que vous avez citez (et vous même aussi) se renseigne sur l’écologie des arthropodes avant d’écrire des bêtises comme celle-ci.
Bien cordialement.
PS:http://www.recherche-innovation.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/Pollutions_atmosph_cle5bd1d9.pdf
ce site officiel (et non un pseudo blog pseudo informatif) montre l’évolution de la pollution de l’air des villes depuis les années 50, et vous verrez qu’elle diminue fortement depuis le premier choc pétrolier (en fait d’un facteur 10 000).
hum, dans la Provence de ce matin, le docteur Halimi se montre avec tous ces beaux appareils de mesure…
Les coups de chauds de cette année sont différents car plus humides et les humains devraient bien s’en méfier, les oliviers, les amandiers, les ormeaux entre autres en souffrent beaucoup. http://www.eauseccours.com/article-33425628.html
Pouvez-vous encore trouver en Provence une seule journée entière de vrai ciel bleu, du matin au soir, à 360°?
Si vous la trouvez, citez-la moi!!! en tous cas, ce n’est pas aujourd’hui!!!
@ Ciel nature:
Vous confondez sécheresse et canicule. Une sécheresse est l’absence d’eau. La canicule est un excès de température. L’un ne dépend pas de l’autre. La grande sécheresse de 1976 n’était pas liée à une canicule. Et la canicule de 2003 n’était pas liée à une sécheresse importante…
En bord de mer, les épisodes chauds sont toujours avec un forts taux d’humidité. Rien de nouveau sous les palmiers de la côte d’azur. A si, ils sont en train de se faire bouffer par un papillon importé d’Amérique du sud… Et personne chez les écolo ne s’en émeut…
quand à l’humidex cité par le site, l’auteur devrait apprendre à faire attention. J’ai vécu au canada. Il y a une abaque précise liant température et humidité. Et les conditions décrite dans votre article ne font pas un humidex dangereux (indice 31). En outre le site donne des définition fausse des valeurs de l’humidex:
exemple: en dessous de 29: Canada « sensation de bien-être », votre site : »Peu de gens sont incommodés. »
entre 30-39 : Canada « un certain inconfort », sur le site c’est « Sensation de malaise assez grande. Prudence. Ralentir certaines activités en plein air. ».
entre 40-45: Canada » beaucoup d’inconfort; évitez les efforts »; votre site « Sensation de malaise assez grande. Prudence. Ralentir certaines activités en plein air. » Vous dramatiser déjà un danger, qui n’est pas répertorié dans le site canadien… Mensonges.
« La relation entre l’humidex et le bien-être est subjective. Elle varie largement selon les individus. »
http://www.cchst.ca/oshanswers/phys_agents/humidex.html
« Pouvez-vous encore trouver en Provence une seule journée entière de vrai ciel bleu, du matin au soir, à 360°? ». Très subjectif votre « argument » et localisé géographiquement.
Pitoyable.
Vous en voulez comme ça au monde entier?
Mais passons. Je découvre le présent site qui se nomme « alerte-environnement ».
Je n’ai aucune étiquette écolo, ni d’idéal politique. Simplement je vis le plus souvent dehors et je voudrais avertir qu’il est grand temps de se rendre compte que la lumière solaire et les cycles de l’eau sont gravement modifiés par l’excès de trafic aérien et par voie de conséquence tout ce qui vit, nous compris et nos économies aussi.
L’article parle de Martigues, c’est pour cela que j’ai parlé de soleil dans le sud. Je suis allé aux sardinades de Martigues ce soir. Le ciel y était exactement comme je m’attendais à le trouver, ravagé par le passage des avions et sur les milliers de fleurs mellifères plantées par la mairie, quelques très rares abeilles frigorifiées et chassées par la nuit précoce.
Objectivement, essayez de me photographier un ciel sans nuages, une glace ou une voiture sans reflet démesuré et irisé, une ombre bien nette et je vous croirai.
J’ai gardé l’adresse de votre humidex. Mais l’essentiel est que chacun soit attentif à ses réactions à la chaleur avant qu’il ne soit trop tard.Beaucoup de morts auraient pu être évité ces derniers mois, particulièrement en montagne où les conditions de fonte de la neige ont changé et sur la route à cause des éblouissements ou de la lumière éclipsée du soleil.
Un autre illuminé a débarque sur le blog???
Tu fait partie de la secte des « de ceux qui luttent contre le complot des chemtrails », cn ?
Non, je les connais mais ils s’accrochent à des idées…
je me contente de photographier des faits que chacun peut vérifier !!!
abeilles mortes à Marseilles et qui meurent à Aix-en-Provence : http://www.eauseccours.com/article-33688680.html
explication des chemtrail et cotra : http://www.eauseccours.com/article-27420468.html
J’attends une phto de ciel vraiment bleu et vos impressions de plage…
Je vois… pas complètement illuminé, mais un peu tenté… 😉
Pour ta gouverne, il existe des mesures scientifiques sur l’épaisseur optique (et donc la transparence de l’atmosphère) faites par un réseau mondial de photomètres…. qui montre que depuis 20 ans la transparence atmosphérique s’améliore sur l’Europe (et se dégrade ailleurs).
Tes impressions (Européennes), sont donc comme toutes les impressions de plage ou de comptoir…. fausses…
axiome de départ : une étude doit être sur du long terme et utiliser des moyennes
fatale erreur !!! la pollution des usines ne cesse de diminuer mais elle vient d’être remplacée bien plus haut, à 11km, là où volent les avions par un voile d’aviocirrus de plus en plus opaque.
Je n’ai pas d’impressions mais des constatations que tu peux faire toi-même si tu lèves un peu le nez de ton écran.
si tu es dans le coin viens au phare de la couronne, vendredi prochain,24 juillet, il y a la nuit des étoiles, je vais aller y faire un tour juste pour voir comment cela va se passer et ainsi confronter mes observations quotidiennes à leur envie de nature
@cielnature.
Je te parle pas d’axiomes, mais de mesures, régulièrement faites par des appareils calibrés et étalonnés, et sur du long terme….
Que tu le veuille ou non, c’est bien plus précis que tes « impressions » et tes « observations ».
Juste pour dire, je fais bien plus que lever le nez de mon écran, je suis pilote amateur… le ciel je le scrute en permanence, même quand je suis au sol, histoire d’estimer la météo (ce qui ne m’empêche pas de vérifier sur des bulletins de mesures… je ne me fie jamais à mes sens).
La première chose qu’on apprend quand on a un peu de culture scientifique, c’est que les sens nous « mentent », la mémoire n’a rien de fiable, si on veut mesurer quelque chose, il faut un appareillage adéquat…. et en l’occurrence, pour mesurer la transparence atmosphérique, un photomètre.
Tout le reste c’est bon pour la science de comptoirs…
🙂 je n’ai rien contre la science, je suis même maître formateur en sciences et technologies nouvelles mais les instruments ne sont pas la seule voie. Je ne les renie pas et celui qui en a peut vérifier mes dires. Je ne me fie pas à mes sens et prends le temps de vérifier.
Pilote amateur? ça m’intéresse, et je te mets en garde comme je mets en garde les montagnards depuis plusieurs mois : les conditions météo ont changé, ils faut en tenir compte si tu veux rester en vie. Rencontrons-nous, je te montrerai sur le terrain.
Sans instruments, pas de mesures, donc rien de fiable, désolé…
Et en ce qui concerne ta proposition…Euh…. comment dire… sans te vexer… non merci… 😉
(et j’ai tout ce qu’il faut pour me renseigner sur les conditions météo… météo France a un site très bien fait, Aeroweb, spécialement pour les pilotes).
Pas de souci mais ouvre bien les yeux quand même. Les pilotes d’avion, de delta, de parapente ou de montgolfière risquent plus qu’avant de se faire surprendre par des vents localisés, des orages. En vol à vue, dans la lumière éclipsée actuelle, la sensation de releif est faussée et peut entraîner des erreurs d’appréciation à l’atterrisage ou des collisions en vol avec arbres ou autre pilote.
Je suis en contact avec météofrance et météorage…
A une prochaine
« je n’ai rien contre la science, je suis même maître formateur en sciences et technologies nouvelles »
Et c’est bien çà qui fout la trouille…..
« lumière éclipsée actuelle »
… qu’est-ce qu’il faut pas lire comme connerie…
… m’enfin… 😉
“lumière éclipsée actuelle”
… qu’est-ce qu’il faut pas lire comme connerie…
Ce n’est pas une connerie puisque çà vient d’un « maître (autoproclamé???) formateur en sciences et technologies nouvelles »…….
tiens notre Zygomar qui sait tout 😉 sauf que maître formateur est vraiment un titre qui permet d’enseigner en IUFM
encore une fois avant de critiquer des mots, prenez le temps ce soir de regarder à quelle heure les lumières s’allument pour un milieu d’été
Encore une fois, tout ce que tu a c’est du blabla… tes « constatations » ne valent, scientifiquement parlant, que dalle…
La seule chose sur laquelle on peut baser des conclusions solides, ce sont les mesures photométriques.
A bon entendeur…
tiens notre Zygomar qui sait tout sauf que maître formateur est vraiment un titre qui permet d’enseigner en IUFM
encore une fois avant de critiquer des mots,
<<< Mon commentaire précédent était:
“je n’ai rien contre la science, je suis même maître formateur en sciences et technologies nouvelles ”
Et c’est bien çà qui fout la trouille…..
Quand on voit les commentaires basés sur des notions plus qu’approximatives faits par ce « formateur », on peut avoir des doutes sur: 1. La formation que lui- même a reçue et 2. La formation que lui-même peut dispenser à ses élèves d’IUFM, même avec le titre de « maître formateur et ce quelle que soit l’heure à laquelle les lumières s’allumeront ce soir…….
@ cielnature:
« axiome de départ : une étude doit être sur du long terme et utiliser des moyennes fatale erreur ». Une étude est l’ensemble des travaux visant à évaluer une hypothèse. Cela comprend l’hypothèse de départ (et son opposée), les protocoles expérimentaux, les expérimentations, leurs résultats, l’analyses des résultats et la comparaison avec les valeurs réelles (ou la réalité des faits).
Une étude scientifique sérieuse doit absolument comporter un volet d’analyse de résultats avec des outils mathématiques statistiques. La moyenne n’est qu’un simple outil, très limité.
« un voile d’aviocirrus de plus en plus opaque » Vous pouvez émettre n’importe quelle hypothèse, encore vaut-il la validée par des faits expérimentaux. Alors seulement vous pouvez en parler au public. Sinon cela ne reste que des élucubrations d’illuminés. Avez vous donc des preuves scientifiques de ce que vous avancez?
Pour des constatations en voici: Je suis en montagne, je n’ai jamais vue une journée sans nuages, surtout en été. En effet la chaleur et l’évaporation sur les montagnes créent avec les courants ascendants de nombreux nuages en fin de journée (quand l’air chaud humide rencontre les couches supérieures d’air froid = condensation).
Pour avoir vécu et travaillé en bords de mer plusieurs années, j’ai fait les mêmes constations. Ce sont des phénomènes météorologiques parfaitement connus des météorologues.
Les seules journées ou le ciel peut resté bleu sont celles ou la pression dépasse les 1035 hectopascals pendant plusieurs jours, la pression partielle de la vapeur d’eau est non saturée en relation avec la température élevée (assèchement des masses d’air, loi des gaz parfaits).
« maître formateur en sciences et technologies nouvelles mais les instruments ne sont pas la seule voie. » Et bien je comprend mieux pourquoi les IUFM forment aussi mal les jeunes profs et instits, si des gens comme vous confondent sciences et sophisme. Comment fait vous pour expliquer à vos « élèves » que vos enseignements (technologiques) ne sont pas vrais et efficaces, qu’ils peuvent tout aussi bien se servir de leur yeux pour « lire » l’aéropollution humaine du ciel. C’est plus superman cà, c’est carrément divin.
« maître formateur est vraiment un titre qui permet d’enseigner en IUFM ». Tu parles d’une connerie. Un truc inventé pour permettre aussi aux instituteurs d’être enseignants dans les IUFM (traitement digne et égalitaire entre les différents corps enseignants.(Circulaire n° 85-058 du 12 février 1985) comme les PRAG dans les universités. Ce n’est ni un diplôme ni un concours mais un vulgaire un examen devant une commission (ad hoc…) comprenant des agrégés et d’autre maître formateur. Bref, tout le monde baigne dans son petit monde nombriliste et en profite pour flinguer la formation des futurs profs.
Pour avoir été chercheur contractuel très longtemps, je sais que les IUFM sont pleines d’enseignants incapables. « ls ont été vécus par certains étudiants et stagiaires – qui ont publié des ouvrages de témoignages au vitriol – comme un espace d’abêtissement et d’endoctrinement. Ils ont été perçus par les universités comme des établissements d’enseignement supérieur de seconde zone, au statut et aux contours incertains… » Ce qui fait que les présidents d’université ont ainsi trouvé une porte béante dans laquelle ils ont pu se débarrasser facilement des maîtres de conf et autre prag incompétents.
Merci de mettre en garde les montagnards!!! Les conditions météo ont changée. La bonne blague. Depuis que les hommes vivent en montagnes ils savent que les conditions météorologiques changent très vite. Et cela bien avant qu’il y ai des avions dans le ciel. Ignorance crasse de ta part (dsl, mais là je m’emporte devant tant de bêtises).
Comme le disent Laurent et Zygomar, vous n’apportez pas de preuves de ce que vous dites, pires, vous prétendez mettre des gens en gardes (voir vos élèves…) sur vos simples suppositions!!! Cela tient de la supercherie, de l’escroquerie intellectuelle. Je plains vos « élèves », ils doivent avoir le cerveau bien embrouillé avec tout votre préchi-précha.
http://www.meirieu.com/DICTIONNAIRE/iufm.htm
Les butineuses des six ruches installées sur le toit de l’Hôtel de ville n’ont produit que 70kg de miel contre 80 en 2008.
>>> La saison des butineuses de Martigues est déjà terminée? Elles ont déjà pris leurs quartiers d’hiver que les apiculteurs municipaux font déjà le bilan de l’année?? Ou bien ont-elles, comme les agents municipaux de Martigues, pris leurs RTT??
En outre, sont-ils conscients que les abeilles ne travaillent pas sous contrat avec la municipalité ni avec qui que ce soit d’autre pour fournir une quantité précise toujours la même (et plus importante autant que possible) d’une année sur l’autre? La différence entre cette année et 2008 est de 12,5%. C’est loin d’être catastrophique et c’est très certainement dans les marges de variation biologique normales.