Le business des abeilles en ville, que nous dénonçons depuis longtemps, semblait intouchable. Ceux qui osaient briser le tabou de la rentabilité de l’installation de ruches au frais du contribuables passaient souvent pour des ultra-libéraux près de leurs sous et insensibles au sort des malheureuses butineuses devenues la proie des vilains agriculteurs !
Mais l’omerta commence à se fissurer. Sud Ouest vient ainsi de publier un article sur « la guéguerre des abeilles ». Le journaliste Daniel Bozec donne ainsi la parole à Dominique Montez. Cet apiculteur dénonce le business de l’UNAF (Union Nationale de l’Apiculture Française) et de sa célèbre opération « Abeille, sentinelle de l’environnement ». Et il sait de quoi il parle Dominique Montez : il a été le « référent » de l’opération à Angoulême.
Alors a-t-il constaté ce que l’Unaf ne cesse de répéter, c’est à dire que les abeilles se portent mieux en ville qu’à la campagne et qu’elles y produisent davantage de miel ? « Jusqu’au milieu de l’an dernier, je me suis occupé des ruches avec la même rigueur que celles que j’ai en zone rurale. En deux campagnes, avec six ruches, j’en ai fait autant qu’en une campagne avec une seule ruche, chez moi. » Le constat est sans appel.
Mais plus encore que cette triste réalité, c’est aussi le business sur le dos du contribuable qui révolte Dominique Montez. Selon le quotidien Sud Ouest, « chaque année, il en coûte très exactement 8 004 euros à la mairie d’Angoulême. S’y ajoutaient les 8 605 euros nécessaires à l’installation des six ruches. La municipalité Mottet s’était ainsi engagée pour trois ans. » Que devient cet argent ? « Rien ne justifie ce montant-là, continue Dominique Montez. Il y avait 1 000 euros par an qui m’étaient versés pour mes déplacements, c’est tout. J’ai même laissé du matériel qui m’appartenait. Plusieurs fois, j’ai posé la question, on m’a répondu que ça servait à tout ce travail médiatique. »
L’Unaf serait donc devenu une agence de communication spécialisée dans le militantisme anti pesticide ? Pas loin. D’ailleurs, Henri Clément, porte parole de l’Unaf et ancien président le reconnaît lui-même bien volontier : « nous avons cinq salariés qui travaillent dessus au niveau national », soit 50% des salariés de l’Unaf.
Quand aux habitants d’Angoulême, pas sûr qu’ils se sentent rassurés par les précisions d’Henri Clément : « Angoulême ne serait pas une commode vache à lait parmi d’autres, renvoyant au barème qui s’applique aux collectivités : six ruches mises disposition, c’est 8 000 euros pour une mairie, 12 000 euros pour un Conseil général, 16 000 euros pour un Conseil régional, tout est fonction du rayonnement du partenaire, dit-il en substance. »
Avec ce témoignage précieux de Dominique Montez, faisons circuler l’information auprès de nos élus pour les alerter sur la face cachée de la lucrative présence des abeilles en ville… Surtout en période de crise et de forte inflation.
Depuis le temps qu’on le répète que c’était une arnaque pour soutirer du pognon au contribuable…….
Enfin un apiculteur brise l’omerta, les abeilles ont plus de mal en ville qu’a la campagne, c’est étonnant non? c’est un des arguments propagandistes les plus répétés par les écogistes, c’est lamentable. Quand on en rencontre un, il faut aussi lui expliquer que les apiculteurs donnent 15 000t de sirop de glucose fructose à leur abeilles pour produire à peine 16 000t de miel. Il y a
Il y a bien un problème profond dans les itinéraires techniques des apiculteurs.
Il faut être complètement crétin pour croire que les abeilles se portent mieux en ville qu’en campagne. Crétin ou escrologiste.
non miniTAX,il suffit simplement d »être » un francais moyen »….,de la même sauce que ceux qui votent tantôt à droite et tantôt à gauche!!!