Dans un interview accordé le 1er août dernier, en plein tournage de son prochain film sur les OGM et le nucléaire (sortie prévue en 2012), Jean-Paul Jaud fait le bilan de ses deux derniers films : « Mon premier film a rencontré un succès relativement important pour un documentaire environnementaliste, avec plus de 300 000 entrées. Deux ans plus tard, « Severn, la voix de nos enfants » ne générait déjà plus que 35 000 entrées. » Alors, à quoi il attribue le gros flop de son second film ? Pour le réalisateur, c’est la « preuve flagrante que l’engouement pour le bio et l’environnement s’essoufflaient, notamment après cette phrase assassine du président de la république : « les contraintes environnementales, ça commence à bien faire ». Mon film allait être suivi par Home, Le syndrome du Titanic, Solution locale pour désordre global… occasionnant un sentiment de connaissance suffisante des problèmes de la part des spectateurs mais surtout de la presse qui parlait alors d’une « pluie de films », face à une production pourtant plus que confidentielle. Nous avons à faire à une presse « aux ordres ». » Et il en rajoute une couche en affirmant que « la censure de l’agroalimentaire reste très présente et très puissante », et que si ses films « n’ont été diffusés par aucune chaîne publique, c’est bien la preuve qu’il existe actuellement un véritable boycott sur l’information environnementale ». C’est évidemment cocasse, quand on sait que Jean-Paul Jaud a soutenu Nicolas Hulot au moment des primaires écologistes, un des animateurs phares de TF1 ! Mais, de plus, nous avions déjà montré dans un billet précédent (voir ici) que l’affirmation de Jaud est une ineptie. La presse s’est en effet déchaînée, en particulier le premier semestre 2011, contre l’agriculture conventionnelle, et les chaînes publiques ont régulièrement programmé des émissions ou des documentaires sur des thèmes environnementaux. La meilleure preuve de cela, c’est Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin qui a été regardé par plus de 1,2 million de téléspectateurs. Il est vrai que pour Jaud, il est plus facile de jouer au martyr du lobby agroalimentaire que d’assumer son échec.
Sources
http://www.paperblog.fr/4726484/jean-paul-jaud-une-voix-pour-l-avenir/
Jaud a attribué son cancer du colon aux pesticides présents dans son alimentation! Ses diatribes ineptes montrent clairement que ces pesticides ont eu également des effets délétères sur son cerveau.
Son cancer, c’est à cause des pesticides dans la bouffe. Le flop de son film, c’est à cause de la censure. Sa moustache qui pousse, c’est qu’à cause des salauds de fabricants de rasoirs.
Comme tout gauchiste écolo-fasciste, que serait Jean-Paul Jaud sans un bouc-émissaire ?!
Un con inconnu.
Alors que maintenant c’est un con connu!!!
A propos des boucs émissaires : http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-on-a-toujours-besoin-d-un-bouc-emissaire-64575709.html
Allez, Allez, l’affreux Jaud Jaud a la trouille de voir la panique (justifiée) des populations bobos vis à vis de la crise financière et économique l’emporter sur la crainte de la crise (imaginaire mais savamment entretenue) écologique.
L’environnement en Europe s’est rarement aussi bien porté mais il est clair qu’avec 20-30% de pouvoir d’achat en moins, le bobo moyen n’aura rien à foutre de son fond de commerce, comme du réchauffement climatique ou de la crise de la biodiversité.
Si cela s’arrête à 20% ce sera un miracle et comme l’affreux Jaud Jaud ne croit pas aux miracles mais aux biens matériels de ce monde et aux chèques avec plus de 6 zéros après le 1 er chiffre et sans virgule pour séparer la belle suite ainsi formée, esthète aussi le Jaud Jaud !
Le dernier rapport de l’ANSES sur l’alimentation des français le trouble aussi un poil, métaux lourds, mycotoxines, pas très vendeur dans son cas.
Le bobo n’aura pas 20 à 30 % de pouvoir d’achat en moins. Ce sera les classes pauvres, qui n’ont jamais cru à l’écologisme, qui ont pu voter à gauche un temps et qui votent FN aujourdh’ui, et les classes moyennes inférieures, profs, infirmières, etc. abonnées à Télérama et très sensibles aux idées écolos. Ce sont ces dernières qui vont quitter Jaud-Jaud, mais non sans mal, car passer d’une idéologie prétendument altruiste à son petit égoïsme bien calculé et tout à fait justifié ne va pas sans douleur. Les bobos, eux, ils continueront à travailler sans vergogne pour RSCG, sans beaucoup de perte de pouvoir d’achat.
Tout ( 😉 ) sur le dernier rapport de l’Anses, en cliquant ici : http://laurent.berthod.over-blog.fr/article-pesticides-le-chiffre-du-jour-1-78648264.html
Si si M. BERTHOD, ils auront une baisse du pouvoir d’achat.
Car tout ces bobo-créatif « enfarinés » et accros au tabac « bio » dépendent de l’activité économique. Et les agences de pub et autres pseudo-éditeurs sont dans le marasme économique.
Les grands contrat de pub ne sont plus légions, le prix de la pub à la télé à baissée, et même les éditeurs de livres se plaignent.
Il faut voir et entendre les appels désespérés de ces gauchistes écolo pour que les gens achètent leurs livres dans les librairies et non pas sur internet (leurs marges sont plus importantes en librairies). Ils crient à la mort de l’édition. Il n’y a que 654 livres cette année pour la « rentrée littéraire » contre 800 l’année dernière et 1200 il y a 5 ans…
Moi qui galère pour trouver des contrats… en environnement…lol je me dis que j’ai pas le temps de lire des « grattes papier ». Donc que leur « économie » de la page noircie par en fumée, et bien tant mieux!!!
Cela fera de la vraie écologie: moins d’arbres abattus, plus de forêts et moins d’encres!!!!
L’écologie çà eut payé mais çà ne paye plus……
Les files d’attentes du photovoltaïques ont été presque divisés par 2…
Jaud est sans doute victime de censure car en effet il n’a pas eu les subventions nécessaires du CNC concernant son second film jugé trop politique. Il est vrai que son second film est bien filmé, mais c’est le néant, le nini, le niannian. Rien à voir que celui qu’il a soutenu Hulot dont le film est très pédagogique est sublime et l’humain et l’humanisme et au centre du film. Je n’ai pas vu le premier film de Jean-Paul Jaud ça ne m’intéresse cette propagande moralo-bobo qui profite bien plus à la société de consommation, Jean-Paul Jaud se garde bien de dire que beaucoup de produits bio restent chers et tout le monde ne peut pas manger bio non plus.