Le bio concerne désormais plus de la moitié des Français, soit 60% des Français interrogés, selon un sondage CSA pour L’Agence Bio publié hier. 84% savent que le bio interdit les organismes génétiquement modifiés (OGM) et 77% ont conscience que les produits bio ne contiennent ni colorant ni arôme artificiel.
Une seule question de notre part : combien de Français savent que le bio utilise aussi des produits phytos ?
16 commentaires sur “Plus de la moitié des Français consomme bio”
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Le dossier de presse se trouve à :
http://www.agencebio.org/upload/actu/fichier/DPconf_14022012val.pdf
Le « Plus de la moitié des Français consomme bio » est une sinistre imposture, une injure à l’intelligence.
L’Agence Bio a le chic pour nous prendre pour ce que nous ne sommes pas. Voici le résumé de son « enquête » :
« 60% des Français ont consommé des produits Bio en 2011 contre 47% en 2001 : 6% tous les jours, 20% au moins une fois par semaine, 40% au moins un produit bio au moins une fois par mois. Les consommateurs acheteurs de produits Bio au cours des 4 dernières semaines précédant l’enquête sont presque unanimes (96%) pour dire qu’ils vont augmenter (18%) ou maintenir cette consommation en 2012. »
Cela ne veut strictement rien dire ! On compte de la même façon le consommateur régulier et l’occasionnel, voire l’accidentel ; celui qui choisit un produit « bio » de préférence à un « conventionnel » et celui qui n’a pas (vraiment) le choix (c’est par exemple mon cas pour le café en grains).
Ou peut-être cela dit ce que l’Agence Bio ne veut pas laisser entendre. Vu la quantité de produits « bio » maintenant disponible, les astuces de marketing et le matraquage publicitaire, on peut considérer que le fait que 40 % des Français interrogés déclarent n’avoir pas consommé de produits « bio » en 2011 signe un échec pour la filière.
L’agriculture biologique mérite mieux que cette propagande.
Pour moi, plutôt boire du Nescafé qu’acheter du café enrichissant des escrocs à la Madof !
Avec 11% du budget des ménages consacré à la nourriture, moyenne de la population, hors restauration, payer 2 fois plus cher une petite fraction de son alimentation ne pose pas de problème.
On focalise sur le mode de production bio, ce pourrait être du local, plus raisonnable car plus fiable ou de l’équitable, venant d’une agriculture paysanne et non de latifundia des pays de l’est ou d’Afrique , ou de modes de production traditionnels respectueux de tel ou tel critère.
Le bio est de fait un produit marketing qui permet de différentier une autre gamme sur des critères subjectifs qui ne tiennent qu’à des obligations de moyens, cela ne garantit aucun résultat, sauf le prix plus élevé et des fraudes bien plus nombreuses que décelées qui découlent du différentiel de prix.
L’agence bio nous habitue à sa méthode coué : ça marche ! quand ça monte, c’est une ascension, quand ça descend, ça monte encore. On croirait une com du ministère des armées pendant la drôle de guerre en 39.
Attendons la contagion de la crise Grecque et son impact sur le revenu des français, faisons ensuite le même sondage.
Il faudrait dès à présent établir la liste des élus locaux favorables au 100 % bio dans les cantines et leur poser la même question dans 3 ou 4 ans, si cela tient jusque là !
Il n’est pas sûr alors qu’ils soient en mesure de proposer une ration équilibrée aux élèves dans certaines collectivités, bio ou pas bio.
Un stage en Grèce leur ferait le plus grand bien pour être au parfum quand cela arrivera.
Peu de grecs se préoccupent de se nourrir bio actuellement, se nourrir, se chauffer, s’éclairer et un peu se déplacer est déjà un luxe, et ce n’est que le début.
Les cigales ayant fait la fête tout l’été…..
Pour rebondir sur le bio, un article question réponse sur l’huile de palme bio.
http://www.centpourcentnaturel.fr/post/2009/06/20/Huile-de-palme-bio
On savait que la principale réticence vis à vis des biocarburants au niveau européen vient du risque de déplacement d’affectation des terres, les colzas dont l’huile rentrerait dans les moteurs comme carburant bio provoqueraient plus de plantation donc d’huile de palme en Afrique ou en Indonésie.
Ici on nous parle d’huile de palme bio et l’argument vaut son pesant de noix : l’huile de palme est celle qui permet le meilleur rendement par unité de surface, on pourrait ajouter que ce rendement doit autant au climat tropical et à la troupe de cultivateurs payés une misère car la production est non mécanisée, cela dit une misère dans certains pays est mieux que pas de misère du tout. Dans les plantations bio ce doit être une misère équitable qui permet de vivre.
On y apprend:
» La certification des plantations est assurée notamment par des ONG (WWF, FSC…) et l’organisme anglais Pro Forest qui vérifient chaque impact sur la vie sauvage, le respect de la forêt, le respect des conditions de travail et l’impact social. Ecocert apporte la garantie bio et également une certification commerce équitable, avec un nouveau référentiel »
L’avis du blogueur est cependant intéressant et très pertinent:
« En pratique, la provenance de l’huile n’est pas inscrite sur les emballages. En tout cas je n’ai jamais vu un produit le mentionnant. Ce doit donc être rare. Peu nombreux seront ceux d’entre nous qui pourrons prendre le temps de contacter les fournisseurs.
Quand bien même nous le ferions, en tant que simple acheteur d’un produit, aurons nous une réponse ?
De mon point de vue, les distributeurs sont mieux placés que les consommateurs pour engager une telle démarche.
Le réseau Biocoop, par exemple, s’assure-t-il que les produits vendus dans ses magasins et qui contiennent de l’huile de palme, utilisent de l’huile issue de plantations respectueuses de l’environnement et des hommes ?
Une labellisation sérieuse, contrôlée, indépendante et largement répandue serait une meilleure solution encore.
Un autre aspect de l’huile de palme ne doit pas être oublié : son impact nocif sur la santé… Mais c’est un autre sujet…
L’huile de palme, le mieux c’est de l’éviter ! »
Fin de citation
Donc plutôt que la mention bio mieux vaut rechercher des produits locaux, s’ils existent et dans tous les cas sans huile de palme, mauvais pour la santé du consommateur et mauvais pour l’environnement.
La dangerosité des acides gras de l’huile de palme est clairement établie par de nombreux rapports des académies de médecine au niveau mondial, pas issue d’un quelconque buzz, elle devrait être interdite dans l’alimentation autant que possible dans les pays développés.
Au fait quelle est la marque de pain et de viennoiserie sans huile de palme, bio ou pas bio.
Il restera toujours suffisamment de demande dans les pays qui n’ont pas les moyens de s’offrir autre chose que de l’huile de palme, la moins chère car très productive à l’hectare et cultivée par des paysans crève la faim, ou des latifundistes qui les emploient.
La mention aux mélanges d’huile de palme usagée -huile de palme neuve acceptées frauduleusement dans les biocarburants à minimum de taxe , mention contenue dans le dernier rapport de la cour des comptes, n’est pas sans rappeler le trafic des crédits carbone qui a coûté quelques milliard d’euros.
Le business vert ne serait -il qu’une monstrueuse machine à faire des trafic en tous genres?
Dominic Green n’est qu’un nom prété à des personnages bien réels et très actuels.
Vos avis blogueurs de ce site?
« La dangerosité des acides gras de l’huile de palme est clairement établie par de nombreux rapports des académies de médecine au niveau mondial » L’excès d’acide gras saturé est dangereux, pas une consommation occasionnelle… interdire l’huile de palme ça va pas faire plaisir aux Africains, de nombreux plats typiques nécessite de l’huile de palme (alloco, sauce graine). Je trouve ça raciste comme position…
cette statistique ne veut rien dire si en 2018 par exemple on découvre que 90% des Français on mangé du bio mais que 85% ne l’ont fait qu’une fois par an en fait la conso bio aura reculé.
Si on veut éviter le bio ce n’est pas toujours facile vu que les GMS ont une politique pro bio ,car comme c’est plus cher ils gagnent plus. Si vous voulez éviter le bio allez chez Ildl ou Aldi …
perso j’évite les produits bio frais car ils sont généralement moches et je sais de quoi il retourne avec l’Ecoli, par contre sur des produits transformés je m’en fiche s’ils sont au même prix
Il y a une énorme erreur dans le chronique sur le livre de GRW, il est dit que les autres labels n’exigent pas de qualité organoleptique supérieur, en citant notamment le label rouge. C’est faux, tout les labels rouges comprennent une obligation de moyen et de résultats, y compris sur ce critère.
« Rusch conçoit l’agriculture biologique non pas comme un projet de société mais comme un ensemble de techniques répondant aux enjeux de l’agriculture contemporaine. »
Non, une forme d’agriculture qui effondre les rendements et qui n’apporte rien en terme de réduction des besoins de pétrole n’est absolument pas la solution aux enjeux de l’agriculture contemporaine. La solution c’est l’Agriculture de Conservation, pour deux raisons simples, d’abord parcelle qu’elle permet de produire autant voir plus avec moins de ressource et ensuite parce qu’elle repose sur des données scientifiques et techniques, pas sur une idéologie. Ce n’est pas parce que vos collègues du CIRAD sont en avance de 30 ans sur vous qu’il faut refuser la réalité.
Ce com n’est pas à sa place, l’admin peut le supprimer. Merci d’avance
@ karg
« elle devrait être interdite dans l’alimentation autant que possible dans les pays développés. »
« autant que possible » et la référence aux pays développés rend l’accès de l’huile de palme possible partout et tient compte du revenu de certaines régions du monde où elle est seule accessible.
J’aurai du compléter par la nécessité de développer les zones du monde qui ne le sont pas, c.a.d faire passer la dépense alimentaire à au plus 50% du revenu des familles; loin d’être le cas et sans espoir de voir la situation évoluer à court terme en Afrique.
Cela permet aux populations d’accéder à d’autres matières grasses que l’huile de palme ou des matières grasses animales dangereuses, qui sont à réserver à la gastronomie, notamment pour le beurre.
On notera le coté positif de la graisse d’oie et de canard par rapport à d’autres matières grasses animales.
Pour les matières grasses animales dangereuses, le diester est un bon moyen de les valoriser.
Ne pas se préoccuper des risques liés aux matières grasses alimentaires et rechercher des dangers aux OGM actuellement mis sur le marché est le marqueur d’une rare boboisation de la société, dont la France a le secret.
Les grecs étaient pas mal aussi dans ce domaine, maintenant ils ont compris, ils s’attaquent à la pollution par les voitures à Athènes, ils les brulent de façon préventive d’après ce que j’ai vu à la télé (après avoir coupé le son) , il était temps!
La grèce a toujours montré la voie, ici application stricte du principe de précaution.
«
« Pour les matières grasses animales dangereuses, le diester est un bon moyen de les valoriser »: les matières grasses animales aujourd’hui sont parfaitement utilisables en alimentation animale, D’autres pays européens les utilisent sans problème. Les valoriser en carburant, c’est de l’argent jeté par les fenêtres. Le qualificatif « dangereux » est peut être justifié pour l’image commerciale, mais certainement pas pour le risque sur la santé.
« matières grasses animales dangereuses »
Oui mébon essayez de vous faire des tartines avec de l’huile de palme au p’tit dèj 😆
Plus sérieusement, c’est quand même marrant de voir ces consommateurs découvrir, s’inquiéter, boycotter un produit dont ils font la base de leur alimentation depuis un bail… Dilemme, il est devenu un produit industriel, à fort potentiel économique pour pas mal de pays, avéré médiocre pour la santé et évidement exclu de cet aspect éco-responsable qu’ils prônent => circuit court et local
Alors si en + la garanti bio-équitable-respectueuse de l’environnement-gnangnan est mise à mal* c’est foutu!
* le lien n’est plus valide mais ce commentaire du lien d’alzine laisse pantois…
http://www.centpourcentnaturel.fr/post/2009/06/20/Huile-de-palme-bio
« Regardez ce que nous rapporte « Sauvons la forêt » ici :
… (le groupe colombien) Daabon fait de la publicité avec 11 sigles écologiques et des petits paysans satisfaits, desquels doit provenir une partie de l’huile de palme. Mais selon les recherches de Sauvons la Forêt, chez Daabon on est loin de l’écologie et de la responsabilité sociale. Le groupe a déjà déclaré posséder 5 350 hectares de monocultures d’huile de palme et continue à s’étendre. En juillet 2009, Daabon fait violemment expulser 123 familles de petits paysans de leurs champs à Las Pavas, afin d’y dresser de nouvelles plantations de palmiers à huile. »
Un contrôleur ecocert qui faisait que l’international me racontait qu’en Colombie il était pris en charge depuis l’aéroport par les sbires armés de l’exploitant à « contrôler », tout le temps du contrôle, ça doit pas donner envie de contrarier le bonhomme!
Bon je garde mon beurre 1/2 sel, mon huile d’olive et de tournesol comme celle d’arachide ou de noix pour d’autres occasions!
alzine : « La dangerosité des acides gras de l’huile de palme est clairement établie par de nombreux rapports des académies de médecine au niveau mondial, pas issue d’un quelconque buzz, elle devrait être interdite dans l’alimentation autant que possible dans les pays développés. »
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« Clairement établie » hmm ?
Source Cirad : http://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/articles/2010/science/huile-de-palme-et-idees-recues
Idée reçue n°4 : L’huile de palme est une huile naturellement hydrogénée et contenant des acides gras saturés, donc mauvaise pour la santé.
L’huile de palme est en effet hydrogénée, c’est ce qui lui donne sa consistance solide sous nos températures tempérées. Mais elle l’est naturellement. Le beurre de cacao est également naturellement hydrogéné, et personne ne dit qu’il est mauvais pour la santé d’en consommer! Une huile est hydrogénée industriellement pour lui donner une consistance plastique intéressante lors de sa transformation. Or, il existe des accidents d’hydrogénation des huiles, qui vont mener à la production d’acides gras trans, qui sont extrêmement mauvais pour la santé car cancérigènes. Ces accidents dépendent de la composition de l’huile d’origine et de la qualité de la transformation.Quant aux acides gras saturés, l’huile de palme en contient environ 50 %. A titre de comparaison, le beurre de cacao en contient 60 % et l’huile d’olive, 15 %. Ces acides gras sont soupçonnés d’être la cause de maladies cardio-vasculaires, bien que les différentes études menées chez l’homme soient contradictoires.
Les spécialistes en biochimie nutritionnelle s’accordent à dire que tous les acides gras ont une fonction biologique utile, c’est la dose qui est le poison, il n’y a pas de « bonne » ou « mauvaise » huile, le consommateur doit veiller, quand il le peut, à varier les types d’huile végétale dans son alimentation.En outre, les relations entre acides gras et obésité ou acides gras et maladies cardio-vasculaires sont complexes, les résultats publiés sont souvent contradictoires et très difficilement transférables d’une espèce animale à l’autre.Le principal défaut de l’huile de palme reste son coté un peu monolithique, car elle apporte un acide gras saturé majoritaire : l’acide palmitique. L’acide palmitique est la forme de stockage de l’énergie la plus élaborée, il a constitué un avantage évolutif considérable pour bon nombre d’espèces animales, mais c’est aussi une molécule-carrefour qui va s’accumuler dès que l’alimentation est déséquilibrée, y compris en sucres.
La position des acides gras sur le glycérol semble aussi jouer un rôle dans leur digestibilité, même si ces résultats demandent à être confirmés chez l’homme adulte : dans l’huile de palme comme dans le beurre de cacao, les acides gras saturés ne se trouveraient pas en position digestible.
Rappelons pour finir que l’huile de palme brute est le produit le plus riche que l’on connaisse en carotènes (précurseurs de la vitamine A) et en tocophérols, un antioxydant, d’où notamment l’intérêt de son utilisation en Afrique comme source naturelle de Vitamine A.
Bon, maintenant, peut-on les voir tous ces rapports d’académie de médecine sur la prétendue dangerosité de l’huile de palme svp ?
Ou à défaut, est ce trop demander à ce qui ont répandu ces stupidités sur l’huile de palme de s’excuser ?
Pour les matière grasses animales, je ne faisais pas allusion à toutes les matières grasses animales mais à celles utilisées par les populations au début du XXème siècle ou plus récemment en ex URSS. Je citerai un cancérologue connu « Au Royaume-Uni à partir de 1970
quand les grandes enquêtes épidémiologiques (Framingham aux USA, Carélie du Nord en
Finlande) eurent démontré l’influence néfaste du tabac, du taux élevé de cholestérol et d’une
alimentation riche en acides gras saturés, on a assisté à une spectaculaire diminution de la
mortalité cardiovasculaire ».
Ce n’est pas du beurre sur une tartine de pain ou utilisé de façon épisodique dans la cuisine mais bien une consommation massive de graisses animales, autres que celles de canard ou d’oie qui semblent plus sympathiques en relatif.
Pour l’huile de palme, son utilisation tient à son faible cout et aux profits qu’elle génère .
Ok pour les préparations où elle est indispensable pour des questions de texture mais nous devons être à 50 % d’acides gras saturés minimum dans notre ration au lieu des 25 % max recommandés, surtout pour les repas pris à l’extérieur.
Il restera pour l’huile de palme tous les usages non alimentaires, les préparations où elle est indispensable pour ses qualités physiques et les populations qui n’ont pas les moyens de s’offrir autre chose.
Je préfère voir utilisées de l’huile d’olive , de tournesol d’une agriculture conventionnelle voire de colza OGM ou de soja OGM à de l’huile de palme bio.
Pour le beurre de cacao, pas l’impression que l’on surconsomme au prix où il est.
Le must serait l’huile de noix ou l’huile de soja OGM avec des précurseurs d’w3, mais ok pour alterner les huiles et éviter le mono-usage, quoique les crétois cuisinent tout à celle d’olive et ne s’en portent pas plus mal il me semble !
Cela permet de souligner l’intérêt de la viennoiserie sans huile de palme qui a plus de sens que la viennoiserie bio.
Alzine : « Je préfère voir utilisées de l’huile d’olive , de tournesol d’une agriculture conventionnelle voire de colza OGM ou de soja OGM à de l’huile de palme bio. »
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Je demande à voir les preuves de la « dangerosité de l’huile de palme » et tout ce vous avez à montrer c’est votre « préférence » ?? Désolé mais ça ne vaut pas un clou !
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« Quoique les crétois cuisinent tout à celle d’olive et ne s’en portent pas plus mal il me semble ! »
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Les Crétois, ils vivent moins vieux que les Japonais ou les Australiens, qui jusqu’à nouvel ordre n’en ont rien à battre du « régime méditerranéen », alors bon…
Ah mais c’est vrai, pourquoi laisser les faits ficher en l’air une si belle fable !
@ Minitax
Je ne suis ni nutritioniste, ni médecin, vous l’aurez compris, mais j’essaye de choisir des sources fiables, généralement officielle, académie de médecine ou sites francophones officiels; canadien ici http://www.hc-sc.gc.ca/hl-vs/iyh-vsv/food-aliment/trans-fra.php
Je pense que les recommandations sont assez claire même si la science en biologie est molle et évolue avec la connaissance mais aussi, à la marge, sous l’effet des modes et des lobbies.
Pour les crétois, il faut aussi ajouter dans l’équation qui permet de calculer l’espérance de vie ,le PIB du pays et l’efficacité du système de santé. La comparaison avec le Japon et l’Australie est sans appel.
En France, il n’est pas inintéressant de voir que l’on vit plus vieux dans le Gers qu’en Ile de France ou en Picardie, que l’incidence de maladies cardiovasculaire y est bien plus faible , d’où la mention que je faisais aux graisses de canard et d’oie, même si effectivement les maladies cardiovasculaires sont également déterminées par le stress, la pollution de l’air ……et que les modèles d’interprétation des données sont presque aussi compliqués que ceux qui prévoient le climat.