Gaz de schiste : interdit en France, on va le chercher ailleurs

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C’est la dernière contradiction de notre beau pays. On interdit l’extraction de gaz de schiste. En revanche, on l’importe !  Pour une fois, les écolos sont cohérents en dénonçant le contrat que vient de passer EDF avec un fournisseur américain. Évidemment, si ces derniers ne faisaient pas un lobbying intense après du gouvernement, ce problème n’existerait pas. Nous aurions du gaz de schiste, extrait chez nous, et à un coût permettant un minimum de reprise à notre économie.

7 commentaires sur “Gaz de schiste : interdit en France, on va le chercher ailleurs

  1. @ Gauchodedroite

    Bonjour, Après plusieurs mois d’absence pour cause de maladie, je reviens sur ce site extra-ordinaire

    >>> Il reste quand même de sérieuses séquelles!

  2. petite histoire environnementaliste :
    A la caisse d’un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.

    La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l’écologie et lui dit:
    >  » Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !  »
    > La vieille femme s’excuse auprès de la caissière et explique :
    > – Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps. »

    Alors qu’elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
    > « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps.
    >
    > Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu’à l’époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin.
    > Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les bouteilles étaient recyclées,
    > mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    > Elle ajoute :
    > De mon temps, on montait l’escalier à pied:
    > on n’avait pas d’escaliers roulants et peu d’ascenseurs.
    > On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues :
    > on marchait jusqu’à l’épicerie du coin.
    >
    > Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    >
    > On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés.
    > On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde.

    On avait un réveil qu’on remontait le soir.
    > Dans la cuisine, on s’activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.
    > Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

    On n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées : On utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon.
    > On travaillait physiquement : on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
    > Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste
    >
    > On buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif.
    > On n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
    > On remplissait les stylos dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo.
    > On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
    > Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    > Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.
    > Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue,
    >
    > Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !
    > On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
    >
    > ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ESCROLOGISTE !
    >
    > Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel? (pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc.
    > mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance crasse !
    >
    > MERDE à la fin !
    >

  3. @roger,
    à propos de sac plastique, j’ai cru comprendre que notre ministre de l’écologie parlait de les interdire, du moins, ceux qui ne sont pas biodégradable pour ne pas qu’ils forment un océan de plastique.
    Bon, d’abord, j’ai cru lire il y a peu de temps, que cet « océan de plastique » était largement surévalué, et que ces chercheurs étaient un peu embêtés pour savoir où ils étaient bien passés.
    Je reviens d’une contrée lointaine où les préoccupations écologiques ne sont pas encore une priorité: c’est certain qu’on y retrouve des sacs plastiques un peu partout, notamment dans l’océan.
    Je me suis donc fait la réflexion que cette « mesure » de notre ministre n’aura strictement aucun impact sur les océans car dans notre contrée, on ne jette plus (ou à la marge) de sacs plastiques. Par contre, c’est très démagogique et ça va coûter quelques euros à la collectivité.
    Un peu dans le même genre, c’est la pollution dans les grandes villes: ce qui se passe à Paris lors d’un anticyclone persistant est une franche rigolade quand on compare avec d’autres mégalopoles de pays « en développement ». N’empêche que les autorités françaises font tout pour faire croire que les pics de pollution sont alarmants. Ils sont peut être un peu élevés, mais très en deçà des pays plus exotiques.

    1. Mais oui faisons rien de trop démagogique, à regarder les chinois. Et c’est vrai qu’à regarder nos rues et campagnes c’est pas par chez nous qu’on jette à tout va. tout est clean

      1. Par rapport à ce qui se faisait il y a 30 ans, les rues et les campagnes françaises d’aujourd’hui sont nettement plus propres, contrairement aux nombreux lieux communs véhiculés çà et là. (ah, les carcasses de voitures au fond des bois et les décharges sauvages dans la moindre carrière de jadis).
        Les pays en développement nous suivront mais ce n’est pas encore leur préoccupation première. D’ailleurs, même à l’intérieur de ces PVD, la perception est différente selon le niveau de vie: plus on est riche, plus on fait attention à son environnement.
        Salauds de pauvres 😉

    2. Même la pollution des rivières , c’était plus important par le passé.Cela c’est beaucoup amélioré.

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