Débat sur l’élevage : les anti-viande se débinent

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Alors qu’en Dordogne (et ailleurs !), les projets d’élevage sont de plus en plus contestés (« même une petite bergerie de 200 têtes pose souci »), les éleveurs périgourdins ont souhaité organiser un débat le 10 avril 2017 à Coulounieix-Chamiers sur le thème « L’élevage, une richesse ou un non-sens écologique ? ». Objectif ? « Rétablir la vérité » face aux « inepties » des anti-viande qui monopolisent l’attention des grands médias. La France Agricole du 21 avril précise que « les associations d’opposants étaient invitées à échanger leurs points de vue avec le monde agricole » avant de souligner qu' »elles ne sont pas venues, malgré la présence d’une centaine de personnes dont des élus locaux ». Pas très étonnant quand on connaît le sectarisme qui règne dans ces milieux où l’on n’est jamais assez anti-viande (exemple). C’est donc entre personnes saines d’esprit que les discussions ont eu lieu. Elles ont porté sur l’agrotourisme ou encore la place de l’élevage dans le produit agricole départemental (39%) et les emplois agricoles (28%). « Grand témoin de la matinée », Jean-Louis Peyraud, directeur scientifique adjoint de l’Inra, a expliqué qu’ « il ne (pouvait) y avoir d’agriculture durable sans élevage », exemples à l’appui, ainsi listés par l’hebdomadaire : « Les bovins convertissent les fourrages en protéines, une partie des protéines végétales consommées par les animaux d’élevage ne sont en fait pas consommables directement par l’homme. Les pâturages favorisent la biodiversité des sols et les prairies, de par leur richesse en matière organique, constituent des puits de carbone. » Et Yannick Frances, éleveur, de conclure : « Sur un territoire comme la Dordogne, il est impossible de passer au 100% végétal. On a des zones sur lesquelles on ne peut rien faire pousser. »

32 commentaires sur “Débat sur l’élevage : les anti-viande se débinent

  1. L’INRA ne va pas dire le contraire c’est l’industrie de la bidoche qui financent certaines de leurs études. Cf les études financées par les éleveurs de fois gras.
    Comme si les bovins ne mangeaient que du fourrage, la bonne blague !

    1. Allez petit test de connaissance :
      Comment les bovins (et tous les ruminants d’ailleurs) tirent l’énergie de la cellulose ?
      Quand vous aurez répondu à cette petite question M Marc, je pense que vous allez vite changer de positions idéologiques !!!
      Si toutes fois vous avez la bonne idée de chercher la vraie réponse scientifique !!!

      1. « Quand vous aurez répondu à cette petite question M Marc, je pense que vous allez vite changer de positions idéologiques !!! » ?

        Vous êtes bien optimiste !

        Aucun fait ne résiste aux positions idéologiques…

  2. @ Marc

    « Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui, avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel. C’est l’invasion des imbéciles.  »
    – Umberto Eco

    1.  » ils ont le même droit de parole qu’un prix Nobel.  »
      Au moins les prix Nobel ont les mêmes droits. Alors que dans le Monde, une tribune de 100 prix Nobel sera ignorée et la dernière ânerie de Générations futures mise en exergue.

    2. Zygomar
      L’argent permet d’acheter n’importe quoi mais surtout les paroles de n’importe qui, scientifiques compris. Ceux qui ne souhaitent pas « être arrangeants » se font virer…. d’autres ont des menaces ou leurs résultats ne sont pas publiés . Aux USA les labos de recherches des universités sont financés par les grands groupes de l’industrie agroalimentaire et autres, le système est donc biaisé.
      En France, on va utiliser les études américaines ou on va dire qu’il n’y a pas de financement pour vérifier si tel ou tel produit est dangereux, c’est tellement facile et ça arrange tout ceux qui s’enrichissent avec. Ensuite il faudra des années avant d’interdire le produit (cf l’amiante, le bisphénol A, le glyphosate, etc). C’est l’industrie pharmaceutique qui se frotte les mains… Les grandes sociétés financent aussi les scientifiques français, donc il ne faut pas nier les conflits d’intérêts.
      Les bénévoles eux, n’ont pas d’argent à gagner alors, ils ne risquent pas grand-chose et même si vous les détestez ils font souvent un bon travail. Dans tous les cas vous allez dire le contraire puisqu’ils nuisent à votre business. Et le bénévolat est ouvert à tous, donc au lieu de les critiquer, vous pouvez aussi les rejoindre.

        1. @ Daniel

          >>> Le Marc ne fait rien d’autre que pérorer sur des sujets qu’il ne connaît qu’à peine ou pas du tout, ce qui est général le comportement des écologues autoproclamés.

          1. Marc a raison de refuser l’argument d’autorité. Le problème est qu’il est trop feignant pour aller consulter les publicationsoriginales et préfère l’automatisme du « conflit d’intérêt ». Il se rapproche de ces « tireurs d’élite » qui tirent d’abord puis tracent une cible autour de l’impact …

      1. hahahahah
        je ne l’avais pas vue celle la.
        le super conseiller marco nous dit:
        « le bénévolat est ouvert à tous, donc au lieu de les critiquer, vous pouvez aussi les rejoindre. »
        C’est ça la solution!!bien sur!!
        les bac plus dix, restent bénévoles quelques années (une petite dizaine serait bien) ils gagnent de ce fait en expérience professionnel sans se coller de conflit d’intérêt sur le dos pour la suite pour leur découverte en tant que bénévol (sinon pas credible pour les écolobobo casse bombon a deux de QI)!
        C’est évident et normal pour un marco de se taper des années d’étude après le bac pour rester bénévole par la suite

        Moi qui croyait bêtement que l’expérience professionnel pouvait donner une expertise « améliorer » et bien plus maintenant , pour les neu neu de la’boboecologie plus tu as travaillé, amassé de l’expérience (autre que bénévole) plus tu es devenu un pourris prêt a vendre père et mère sans scrupule .Par contre tu n’as plus du tout d’expertise aux yeux des boboecolodébilo pénible.
        Ils sont balaise les marco et compagnie dans leurs raisonnement!!

        1. Yann…
          Trop fort pour les critiques surtout quand il s’agit de dire n’importe quoi.
          Au cas ou vous n’auriez pas compris, le bénévolat ne remplace pas l’activité profesionnelle, c’est en plus même avec des journées bien chargées. Vous ne devez pas cotoyer beaucoup de bénévoles parce que les bac + sont nombreux : médecins, ingénieurs , techniciens supérieurs, etc.

          1. mon pauvre marco que de certitude toutes faites dans votre tête!
            un peu binaire vos raisonnement quand même !
            Je suis un bac plus comme vous dites et j’ai passé deux comme bénévole au Burkina Faso (avec ONG AFVP) et je suis toujours trésorier de mon club (bénévolat encore).Cela ne change rien a mon discours plus haut mais ne colle plus avec vos croyances et certitude mon pauvre….Unez petite remise en question s’impose.
            pour en remettre une couche, je travail même dans une entreprise leaders d

            1. parti trop vite:
              je travail même dans une entreprise leaders dans plusieurs secteur du bio ! (et Je n’ai aucun pb avec le faite que des producteurs fassent vivre leurs entreprises avec la filière bio).
              Je ne vais pas pour autant valider toutes les bêtise de la filière bio, et je vous confirme que la machine a faire du fric elle est sur cette filière pour l’instant! Reprocher des conflits d’intérêts aux autres quand on vente le bio risible .La filière bio est la plus « lobbyiste » qui existe!
              Elle est basée sur un tas de contre vérités scientifique incroyable et insupportables de bêtises.

  3. A Daniel, Zygomar, Un Physicien

    Je constate les réactions :
    – Zygomar : « Le Marc » , quand on met un déterminant devant un prénom c’est familier, moqueur, péjoratif …
    – Daniel/ Zygomar . La personne ne sait pas, elle est ignorante, elle n’y connait rien …. mais derrière aucun argument de votre part. Facile de critiquer quand soi- même on n’ avance RIEN, au moins la prise de risque est nulle.
    – Daniel pose des questions sur autrechose pour détourner le sujet. Si vous avez besoin d’une révision de vos connaissances sur la digestion des vaches, faites la chez vous.
    – Un Physicien . Vous tentez de me rabaisser par des propos comme « fainéant ». Si vous lisez seulement des études scientifiques il est vraiment étonnant que vous soyez ici, sur ce blog. Et vous détournez mes propos « préfère l’automatisme du conflits d’intérêts ».
    A propos des prix nobel… Ces prix ne concernent que quelques domaines : la médecine, la physique, la chimie (votre domaine de prédilection semble-t-il), la paix, la littérature et plus récemment l’économie. Donc heureusement qu’ils ne sont pas les seuls à pouvoir s’exprimer.
    L’agnotologie doit vous parler à vous tous… Des vrais pros !

    1. Bon, Marc, je confirme: vous semblez n’y connaître pas grand chose, à part répéter ce que vous avez lu ou vu dans votre petite lucarne.
      le problème, c’est que avez une lecture systématiquement idéologique des faits. Or, le monde vivant est un sustème complexe, infiniment extrêmement difficile à mettre dans des algorithmes.
      Tiens, pour les vaches, et bien elles consomment des fourrages (pature, ensilage, foin…), mais pas que, bien sûr pour équilibrer le régime, ce sera des complémentations azotées, énergétiques, en vitamines , oligo… Et les complémentations azotées et énergétiques sont élaborées à partir de matières premières brutes dont on n’aurait aucune utilité par ailleurs : que faire du tourteau de colza, à part le bruler?, ou même les céréales brutes. Si vous avez un peu voyagé de part le monde, vous aurez peut être remarqué que dans les contrées reculées, les animaux domestiques utilisent les produits non valorisés par l’homme (cuisson du riz: l’eau de cuisson est donnée aux porcs).
      D’ailleurs, il est amusant de’ constater qu’en ville de notre pays, on commence à promouvoir les poules pour « consommer » les déchets organiques (bon, ça attire aussi les rats, mais c’est une autre histoire :))

      1. Douar
        Merci mais vous ne m’apprenez rien.
        L’essentiel du maïs grain est utilisé pour l’alimentation animale et la part du maïs doux ne représente finalement pas grand chose. Ce maïs est arrosé en plein été par ces impressionnantes rampes d’irrigation. Que d’eau consommée !

        1. @ Douar

          « Marc 7/05/2017 | 6:25
          Douar
          Merci mais vous ne m’apprenez rien. »

          >>> Douar, vous devriez savoir que l’on n’apprend jamais rien à quelqu’un qui sait déjà tout….. Et Marc est de ceux-là! Relisez ses interventions toujours abondamment et judicieusement argumentées et référencées!!

        2. @Marc
          L’eau ne se consomme pas , elle s’utilise et est restituée ( pas de pertes de molécules H2O).
          L’irrigation en France représente quelques % de l’eau qui tombe avec les pluies et l’irrigation ne change pas grand chose ( en France il n’y a pas d’exploitation de nappes fossiles comme en Lybie, Inde….) car l’eau de pluie serait absorbée par la végétation ou irait rejoindre la mer ou alimenter les nappes.

    2. @Marc
      Merveilleux raisonnement :  » Si vous lisez seulement des études scientifiques il est vraiment étonnant que vous soyez ici ». Il se trouve que je suis chercheur ET citoyen, que je lis des publications de mon domaine pour mon travail et d’autres domaines en tant que citoyen, ce que je peux faire aussi bien qu’un autre. Mes collègues assez brillants pour être récompensée d’un Prix Nobel sont sans doute dans le même cas. Quelqu’un de très compétent dans un domaine devrait être moins crédible dans un autre domaine qu’un « ignorant généraliste » ? . Je ne connaissais pas la notion d’agnotologie et je vous remercie de me l’avoir fait découvrir. J’espère que cela vous incitera à réfléchir (par vous même) à la production de connaissances ou d’ignorance.

    3. agnotologie!!
      whaou effectivement avec cette étalage de confiture/connaissance, on n’a plus de doute sur l’intérêt des interventions du marco.
      Pour rappel le marco:
      la culture c’est comme la confiture, moins on en a , plus on l’étale.

    4. @ Marc
      :
      – Zygomar : « Le Marc » , quand on met un déterminant devant un prénom c’est familier, moqueur, péjoratif

      >>> C’était effectivement l’objectif en raison de la qualité du contenu habituel de vos interventions ici!

      Daniel/ Zygomar

      « …. Facile de critiquer quand soi- même on n’ avance RIEN, au moins la prise de risque est nulle. »

      >>> Dites, franchement , avez-vous relu toutes vos interventions? Au niveau arguments, çà frise le niveau « bitume »!

      1. Zygomar

        Par la même occasion , vous pouvez aussi relire les votres.

        1. @ Marc
          Zygomar
          Par la même occasion , vous pouvez aussi relire les votres.

          >>>> Ah! Cà au moins c’est envoyé, argumenté!! C’est çui qui l’dit çui qui y est!! Niveau cour de récré…….

  4. Sans commentaires!! Enfin si quand même: ce malheureux exemple qui apporte la preuve que l’exception confirme la règle quand l’adage dit que la connerie ne tue pas! Il y a hélas quelques exemples dont celui-ci qui montre que la connerie et le sectarisme a tué un nourrisson!!

    http://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/belgique-un-bebe-est-mort-apres-avoir-ete-nourri-au-lait-vegetal_2194899.html

    Belgique : un bébé est mort après avoir été nourri au lait végétal

    Un couple belge encourt 18 ans de prison car leur bébé est mort de malnutrition et de déshydratation après avoir été nourri au lait végétal. Sans avis médical, les parents ont supposé que leur enfant était intolérant au lactose et au gluten.

    1. Et si la mort de ce malheureux bébé avait été provoquée par un de ces méchants produits dont le nom se termine en -cide, il y aurait déjà une flopée d’appels pour le faire interdire.

      À quand l’interdiction des « laits » végétaux ? Ou un étiquetage informatif et dissuasif ?

      Car la mort de ce malheureux n’est que le sommet de l’iceberg.

    2. Dans le genre, en Chine, il y a quelques années déjà, certains malfaisants n’avaient pas hésité à « couper » le lait infantile avec de la farine de blé, provoquant des troubles digestifs et des mortalités importantes chez les nourrissons.
      On n’a eu que très peu d’écho en Occident.
      Par contre, quand ces mêmes « malfaisants » ont utilisé de la mélamine pour augmenter artificiellement le taux de protéine de la poudre de lait (2008), ça a fait un buzz en occident, bien que le nombre de victimes ait été largement moindre.
      Nous n’associons pas la farine de blé à un produit toxique, contrairement à la mélamine, chimique.
      Et pourtant, la farine de blé n’est pas digestible par le nourisson, son équipement enzymatique étant incomplet.

  5. Wouah ! Vu les sujets abordés ici c’est une page à éviter absolument… ou à lire histoire de bien rire !!! Alerte environnement prétend dans sa présentation amener le débat mais on voit vite dans les commentaires que rien n’est constructif et tout est critiques : vous démontez les gens qui ne partagent votre avis en les traitants de fermés, sectaires et terroristes alors que vous faites pareil ! schizophrénie ? Vous devez avoir des actions dans les grosses boites agroalimentaires pour penser que les pesticides ne sont pas dangereux pour la santé, que les « écologistes » enfin les gens qui s’inquiètent de leur santé, environnement sont là juste pour enquiquiner les agriculteurs et que ceux qui pensent que tuer des animaux est mal alors là des terroristes abrutis sans coeur avec les agriculteurs, (oui oui les plus mal lotis ne sont pas ceux envoyés à l’abattoir mais les éleveurs qui sont critiqués notamment pour leur mode d’élevage où les besoins physiologiques des animaux ne sont pas pris en compte dans leur courte et misérable vie). Ma famille est dans l’agriculture et ils n’ont jamais pensé comme vous à être de la race supérieure et à avoir tous les droits sur la planète juste pour avoir de l’argent. Et on ne peut réduire des questions aussi centrales aujourd’hui à quelques lignes d’insultes.
    De plus, pour une même surface de céréales cultivées qui peuvent faire 18 000 repas, vous ne nourrirez que 5000 personnes avec un morceau de viande : l’élevage ne permettra donc pas de répondre à la demande mondiale alimentaire avec la population qui ne cesse de croitre et les réserves d’eau et de sol qui sont limitées…
    Et Marc a tout à fait raison, si vous travailliez vous dans la recherche scientifique (oui c’est mon domaine, pas de bol…) vous sauriez si vous ouvriez les yeux que cela se passe bien comme Marc l’a décrit, renseignez vous sur les scientifiques à l’OMS, la grande majorité travaille pour des grosses entreprises agroalimentaires ou pharmaceutiques. Et pourquoi interdire le lait végétal ? Il n’est pas dangereux pour la santé en tant que tel c’est son utilisation dans certains cas comme pour ce malheureux bébés car sinon il faudrait interdire tout ce qui est dangereux en soi comme des ciseaux hein ou les couteauxA non pardon ça fait de la concurrence au lait animal et ici c’est une page pro-agriculteurs-fermés-sectaristes. le monde évolue, d’accord pas dans votre sens (qui a longtemps était dominant) mais il évolue : soit vous suivez le changement, soit vous résistez mais le monde ne fera pas marche arrière ! J’ai lu assez d’inepties pour une année là après 2 articles… je vous laisse dans votre secte 😉
    Cadeau de départ pour ouvrir un peu votre esprit (s’il y a de la place bien sûr ^^) : quelques faits qui prouvent que l’agriculture et l’élevage d’aujourd’hui ne sont pas viables :
    Au moins 80% des cultures mondiales de soja et plus de 50 % de tout le maïs est donné aux animaux d’élevage. http://www.pubmedcentral.nih.gov/
    Près d’1 milliard d’être humains souffrent de la faim.
    Près d’1 milliard d’autres êtres humains sont en surpoids.
    Chaque année 760 millions de tonnes de céréales sont données au bétail, une quantité qui pourrait résoudre le manque de nourriture dans le monde 14 FOIS.
    Un boeuf fournit 1500 repas alors que les céréales qu’il a consommé sa vie durant pourraient fournir 18 000 repas.
    50% des terres arables du Tiers-Monde servent à nourrir “notre bétail” au lieu de nourrir les humains. Et 1/3 des terres arables mondiales sont utilisées pour produire des céréales destinées aux animaux.
    http://www.un.org/
    Plus de 70% des cultures céréalières produites dans les pays en voie de développement ou sous-développés est exportée ou donnée aux animaux d’élevage.
    http://www.pubmedcentral.nih.gov/
    En Thaïlande, le manioc, qui constitue la principale ressource du pays, est exporté à 90 %. En conséquence, les disponibilités locales en fécule et en protéines régressent alors que 50 000 enfants (pour une population de 5,1 millions d’habitants) meurent chaque année principalement de malnutrition.
    Au plus fort de la sécheresse, le Sahel a exporté plus de protéines qu’il n’en a reçues au titre de l’aide alimentaire !
    Les céréales actuellement données aux animaux d’élevage pourraient nourrir 2 milliards d’humains.
    New York TIMES – Mark Bittman

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