Le philosophe Raphaël Enthoven a clôturé le symposium international de la filière veau des 25 et 26 avril 2017 par une intervention remarquée où il a dénoncé les manipulations des organisations véganes. Extrait :
« On a raison d’éprouver du dégout devant ces images mais tort de penser que toute la viande est issue d’animaux maltraités. Ces images ne disent pas qu’il ne faut pas manger de la viande. Manger de la viande et torturer un animal sont deux choses différentes. (…) Le débat est possible quand il cesse d’être un combat : manger de la viande n’est pas être un criminel, ne pas en manger n’est pas être un fanatique. »
Raphaël Enthoven oublie juste de préciser que les personnes qui ne mangent pas de viande ne sont jamais traitées de fanatiques tant qu’elles ne cherchent pas à terroriser et à anéantir toute une filière ou à inciter les Français à ne plus consommer de viande, à l’image de L214 ou 269 Life…
La domination de l’abattage rituel donne une image désastreuse de la filière viande et ne peut que donner envie de se passer de la viande pour ne pas cautionner des actes barbares d’un autre âge. Les lois ( obligation d’étourdissement) doivent enfin être appliquées strictement.
@visor
Visor ne sait pas de quoi il parle. , visiter de temps en temps un abattoir lui ferait le plus grand bien…
l’abattage rituel, la tarte à la crème … brune. l’abattage rituel c’est ce que des générations de paysans ont fait et font encore de par le monde sans qu’il soit question de religion mais de mise à mort point barre. Donc, oui, n’en déplaise aux mangeurs de viande n’assumant pas leur naturel omnivorisme , aux végétariens et aux végans « con-vertis », donner la mort fait partie de la vie dans le règne animal, la prédation en est un bel exemple … et les humains sont classés dans les prédateurs. Et pourquoi ne pas ouvrir le débat de la prédation humaine sur tout ce qui concerne la vie en société : énergie nucléaire et fossile, déforestation et perte de biodiversité, réchauffement climatique ??? D’un seul coup, le véganisme semble un combat bien misérable.
« Et pourquoi ne pas ouvrir le débat de la prédation humaine sur tout ce qui concerne la vie en société : énergie nucléaire et fossile, déforestation et perte de biodiversité, réchauffement climatique ??? »
Quel gloubi boulga! ;(
@Patsih
Non, nos ancêtres n’égorgeaient pas les bœufs car ils n’admettaient pas de les voir souffrir 15 minutes, le cou à moitié tranché! Ils enfonçaient un gros clou dans le cerveau : l’effet était bien plus rapide.L’abattage ne subventionnait pas le culte musulman.