Sur Twitter, Gil Rivière-Wekstein pose les questions qui fâchent tandis que la filière bio persiste à l’ignorer :
1/2 Bonjour la @dgccrf,
Cela fait maintenant 3 mois que j’attends des réponses à mes questions suivantes sur les #OGM #bio ! Je suis sûr que @IFOAMEU, @synabio, @fnab_bio, @Biocoop et Cie seraient aussi intéressés… pic.twitter.com/BuOLI4AdUR— GRW (@AEGRW) 3 décembre 2018
2/2 Par exemple, chère @dgccrf, que dites-vous des huiles #bio de tournesols oléiques certifiées AB ? Pour la CJUE (décision juillet 2018), il s’agit d’#OGM… pourtant interdits dans le cahier des charges #bio. pic.twitter.com/2zLrW4Xhqw
— GRW (@AEGRW) 3 décembre 2018
Vu le public touché par les professionnels du bio, il est évident qu’ils n’ont pas intérêt à faire de la publicité aux affirmations étayées de l’animateur de la (toujours très pertinente) lettre d’information Agriculture Environnement (s’abonner).
La filière bio ne fera probablement pas plus étalage de cet article paru dans la revue Nature en décembre dernier… 🙄
« L’agriculture biologique pourrait avoir des effets très néfastes sur le climat, en contribuant à une augmentation du CO2 dans l’atmosphère. »
http://www.lefigaro.fr/sciences/2019/01/04/01008-20190104ARTFIG00088-manger-bio-est-il-dangereux-pour-la-planete.php